Archive pour le Tag 'remises'

Normes CO2 automobile remises en cause par les industriels

Normes CO2 automobile remises en cause par les industriels

Contestation quasi générale des industriels contre les nouvelles normes européennes dans l’automobile qui prévoient dès 2025 des amendes pour les fabricants automobiles dont les parcs de voitures neuves vendues émettraient trop de CO2. Pour être dans les clous, les constructeurs, comme Renault et Stellantis en France, doivent vendre davantage de voitures électriques. Mais tous sont confrontés à une demande insuffisante pour leurs modèles à batteries, encore trop chers par rapport à leurs équivalents à motorisation thermique.

L’ACEA, le lobby des constructeurs européens, à une nouvelle fois donné de la voix. « Trouver une solution pour 2025 est très urgent », a insisté Luca de Meo, le patron de Renault, qui préside le lobby. « Si la Commission ne change pas de position, les entreprises comme les nôtres devront provisionner » des « milliards d’euros » pour se préparer à d’éventuelles amendes. A ses yeux, c’est autant « de ressources qui n’iront pas vers l’investissement », a-t-il averti devant la presse à Bruxelles. « Personne ne nie la nécessité de la décarbonation » du secteur automobile, mais il faut de la « flexibilité », a-t-il renchéri.

La part de marché des voitures électriques vendues en Europe végète à 13,5%. Or « il faut atteindre 22% l’année prochaine » pour éviter les amendes ! Face à la concurrence chinoise de pari paraît impossible. 

La conséquence pourrait générer de nouveaux plans sociaux dans le secteur.

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Vacances d’été : déjà remises en cause

Vacances d’été : déjà remises en cause

Le ministre Clément Beaune prépare déjà le terrain en annonçant qu’il n’est pas du tout certain que les vacances d’été se déroulent normalement. Pourtant le gouvernement avait bien indiqué que les mesures restrictives seraient limitées à quatre semaines, qu’elles devaient donc se terminer avant fin mai.

La vérité sans doute ce qu’elles seront prolongées au moins d’un mois en juin puis a nouveau déclarées encore nécessaires au cours de l’été. Par exemple, le ministre a indiqué que les déplacements à l’étranger pourraient être strictement limités

Ce qu’a déclaré dimanche le secrétaire d’État chargé des Affaires européennes, Clément Beaune.

« Moi, aujourd’hui, je ne sais pas vous dire à partir de quand on pourra reprendre des voyages en Europe », a expliqué Clément Beaune sur RTL et LCI. « J’espère qu’on pourra le faire cet été. »

 

Clément Beaune a souligné qu’un éventuel assouplissement de ces mesures devait être coordonné à l’échelle européenne. « On est le premier pays touristique au monde, il faut qu’on puisse, le moment venu, ré-accueillir des gens mais on ne le fera pas si ça met en risque notre situation sanitaire », a-t-il dit. « On fait tout pour que les déplacements d’abord entre régions françaises, puis en Europe j’espère avant l’été, et puis plus largement au cours de l’été puissent reprendre, mais je ne peux pas vous donner aujourd’hui un calendrier précis ».

La légitimité politique et la démocraties remises en cause par les inégalités dans le monde (PNUD)

La  légitimité politique et la démocraties  remises en cause par les inégalités dans le monde  (PNUD)

 

 

 

Dans de nombreux pays, les révoltes contestent évidemment l’accroissement des inégalités et s’en nourrissent mais au-delà de ces aspects, c’est la légitimité politique des élites qui est en cause. Une sorte d’opposition entre la légitimité juridique qui peut sortir des urnes et la légitimité politique. Un conflit qui concerne des pays en développement et des pays modernes comme la France par exemple- “Ce n’est pas un hasard si le phénomène ne se limite pas à la Colombie ni de l’Amérique latine. Il se produit dans le monde entier a averti lundi Achim Steiner, administrateur du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). On objectera évidemment que les règles démocratiques actuelles donnent une légitimité à ces élites mais le problème provient du fait que le système  démocratique est cadenassé par des professionnels de la politique au service d’intérêts financiers voire aussi de leur propre intérêt. En outre, on a sans doute touché les limites d’une démocratie caractérisée essentiellement par une délégation de mandat qui limite le rôle du citoyen à déposer un bulletin de vote sans pouvoir ensuite participer à l’élaboration des orientations et contrôler les élus. Globalement, les élus sont choisis sur des programmes démagogiques et prennent ensuite des mesures qui contredisent leurs orientation et vont à l’encontre du progrès socio économiques.

 

Les manifestations qui ont eut lieu récemment au Chili, en Équateur, en Bolivie ou au Liban pourraient prendre encore plus d’ampleur et s’étendre ailleurs si les gouvernements ne font pas le nécessaire pour réduire les inégalités, a averti lundi Achim Steiner, administrateur du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Le responsable de l’ONU n’a sans doute pas voulu citer deux pays développés qui pèsent cinq de l’ONU. Il aurait pu cependant dire la même chose des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et l’Italie. Au moment même où les écarts de niveau de vie se resserrent, écrivent les auteurs du rapport, “une nouvelle génération d’inégalités voit le jour” autour de l’éducation, de la transformation technologique et des changements climatiques”.

Faute d’être maîtrisés, ces “grands bouleversements” pourraient selon eux déclencher une “nouvelle grande divergence” d’une ampleur inédite depuis la Révolution industrielle.

Dans les pays à développement humain très élevé, les abonnements à Internet à haut débit fixe progressent par exemple 15 fois plus vite que dans les pays à développement humain faible et la proportion d’adultes ayant fait des études supérieures, augmente plus de six fois plus vite, soulignent-il. “Différents détonateurs poussent les populations à descendre dans la rue : le coût d’un billet de train, le prix de l’essence, les revendications politiques d’indépendance. Ces manifestations sont une nouvelle expression des inégalités et, comme le fait ressortir le Rapport sur le développement humain, les inégalités ne sont pas sans solutions. “Reconnaître le vrai visage des inégalités est un premier pas. La suite est un choix qui appartient à chaque dirigeant”, conclut Achim Steiner.

 

Mutuelles étudiants remises en cause

Mutuelles étudiants remises en cause

La Cour des comptes, qui publie demain mardi 17 septembre un rapport sur la sécurité sociale, émet en tous cas des critiques sur le fonctionnement des mutuelles étudiantes. La gestion de l’assurance maladie étudiante est confiée aujourd’hui à deux réseaux de mutuelles : La Mutuelle Des Etudiants (LMDE) et le réseau régional emeVia. Au total, 1,7 million d’étudiants doivent payer une cotisation (211 euros cette année) dans l’une de ces deux mutuelles. Selon le pré-rapport de la Cour publié en juillet dernier par le journal Le Monde, mettre fin aux cotisations obligatoires permettraient de faire économiser 69 millions d’euros à la CPAM, l’assurance maladie.  Pour assurer la mission de service public des mutuelles, l’assurance maladie leur verse chaque année 54,77 euros par affilié, soit 92 millions d’euros. Un chiffre trop élevé pour une efficacité bien trop faible dénonce la Cour des comptes. Selon elle, la LMDE accumulerait les retards dans le traitement des feuilles de soins et ne répondrait qu’à un appel téléphonique sur 14. La mutuelle affichait d’ailleurs un déficit record de 23 millions d’euros en 2011. Quant aux mutuelles régionales, elles mettraient 3 fois de temps que la CPAM pour actualiser les cartes vitales de ses affiliés. « Les mutuelles étudiantes paraissent significativement moins productives que les caisses primaires », juge la Cour des comptes. Une conclusion que conteste Cédric Chevalier, président du réseau emeVia. « En 2012, un affilié coûtait en moyenne 65,8 euros ans les 50 CPAM les plus performantes alors que les mutuelles étudiantes ne touchent que 52 euros pour gérer la santé d’un étudiant. Dire que le régime étudiant coûte plus cher que le régime général est faux », expliquait-il sur ma Chaîne étudiante. Pour autant, les mutuelles tente de se rattraper en profitant de la possibilité qui leur est offerte de cumuler des activités commerciales à celles de gestion de l’assurance maladie.Ainsi, le paiement de la cotisation à la sécurité sociale, qui se fait le jour de l’inscription à l’Université, est une bonne occasion pour les mutuelles de vendre leur complémentaire santé facultative. Et pour un étudiant de 18 ans mal conseillé, la limite entre cotisation à la sécurité sociale et souscription à une complémentaire santé reste flou. En 2012, l’UFC-Que Choisir dénonçait des pratiques commerciales douteuses encore en vigueur sur les campus français. Afin de mettre fin à ces abus, le Sénat se prononçait en décembre dernier pour la création d’une mutuelle étudiante unique.La Cour des comptes prône quant à elle un assouplissement du régime. Selon les Sages, la délégation de service public aux mutuelles est une bonne chose, mais les étudiants devraient avoir la possibilité de rester rattachés au régime de leurs parents s’ils le désirent.

 




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