Archive pour le Tag 'rembourser'

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !! (Sandrine Rousseau)

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !! (Sandrine Rousseau)

Une idée lumineuse de la gauchiste Sandrine Rousseau d’Europe écologie les Verts. Prendre l’épargne des Français ou les inciter à éponger la dette publique. Sandrine Rousseau est sans doute à l’économie ce que McDo est à la gastronomie. Témoin sa très évasive formation. En 2002, elle obtient un doctorat en sciences économiques avec les félicitations du jury, pour une thèse intitulée « Économie et environnement, une analyse « régulationniste » de la rente environnementale », qui aborde les rapports sociaux à l’environnement et leur impact sur les processus d’accumulation.

Un sujet suffisamment ésotérique et confus pour plaire à un jury de gauche. Sandrine Rousseau oublie que l’épargne en particulier dans les différents livrets n’est pas de l’argent qui dort mais sert de trésorerie à l’État au financement d’infrastructures et notamment du logement. Un État qui déjà ponctionne ses livrets avec un taux de rémunération très en dessous de l’inflation sur le log terme..

Une épargne qui concerne surtout les couches moyennes qui ne peuvent malheureusement solliciter l’évasion fiscale réservée aux plus riches. Notons qu’il faudrait aussi signaler à Sandrine Rousseau que rien n’empêche les épargnants de souscrire aux obligations d’État et autre formes d’emprunt. Mettre la totalité ou presque de l’épargne au service de la dette publique constituerait une sorte de fuite en avant et un gros risque pour les épargnants de voir leur épargne encore davantage ponctionnée. D’une certaine manière, ce serait creuser un trou au détriment des épargnants pour boucher l’énorme trou des déficits publics et en crèer de nouveaux  Des propos de gauchistes dangereux et irresponsables. Aussi irresponsables que ceux de Mélenchon ( dont Sandrine Rousseau est proche) qui propose tout simplement d’effacer la dette. Bref, de ne plus rembourser les emprunts.

Pour être crédible, la gauche aura besoin de faire un sérieux effort de formation et de compétences en matière économique.

Sandrine Rousseau: L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !!

Sandrine Rousseau: L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !!

Une idée lumineuse de la gauchiste Sandrine Rousseau d’Europe écologie les Verts. Prendre l’épargne des Français ou les inciter à éponger la dette publique. Sandrine Rousseau est sans doute à l’économie ce que McDo est à la gastronomie. Témoin sa très évasive formation. En 2002, elle obtient un doctorat en sciences économiques avec les félicitations du jury, pour une thèse intitulée « Économie et environnement, une analyse « régulationniste » de la rente environnementale », qui aborde les rapports sociaux à l’environnement et leur impact sur les processus d’accumulation.

Un sujet suffisamment ésotérique et confus pour plaire à un jury de gauche. Sandrine Rousseau oublie que l’épargne en particulier dans les différents livrets n’est pas de l’argent qui dort mais sert de trésorerie à l’État au financement d’infrastructures et notamment du logement. Un État qui déjà ponctionne ses livrets avec un taux de rémunération très en dessous de l’inflation.

Une épargne qui concerne surtout les couches moyennes qui ne peuvent malheureusement solliciter l’évasion fiscale réservée aux plus riches. Notons qu’il faudrait aussi signaler à Sandrine Rousseau que rien n’empêche les épargnants de souscrire aux obligations d’État et autre formes d’emprunt. Mettre la totalité ou presque de l’épargne au service de la dette publique constituerait une sorte de fuite en avant et un gros risque pour les épargnants de voir leur épargne encore davantage ponctionnée. D’une certaine manière, ce serait creuser un trou au détriment des épargnants pour boucher l’énorme trou des déficits publics et en crèer de nouveaux  Des propos de gauchistes dangereux et irresponsables. Aussi irresponsables que ceux de Mélenchon ( dont Sandrine Rousseau est proche) qui propose tout simplement d’effacer la dette. Bref, de ne plus rembourser les emprunts.

Pour être crédible, la gauche aura besoin de faire un sérieux effort de formation et de compétences en matière économique.

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !!

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !!

Une idée lumineuse de la gauchiste Sandrine Rousseau d’Europe écologie les Verts. Prendre l’épargne des Français ou les inciter à éponger la dette publique. Sandrine Rousseau est sans doute à l’économie ce que McDo est à la gastronomie. Témoin sa très évasive formation. En 2002, elle obtient un doctorat en sciences économiques avec les félicitations du jury, pour une thèse intitulée « Économie et environnement, une analyse « régulationniste » de la rente environnementale », qui aborde les rapports sociaux à l’environnement et leur impact sur les processus d’accumulation.

Un sujet suffisamment ésotérique et confus pour plaire à un jury de gauche. Sandrine Rousseau oublie que l’épargne en particulier dans les différents livrets n’est pas de l’argent qui dort mais sert de trésorerie à l’État au financement d’infrastructures et notamment du logement. Un État qui déjà ponctionne ses livrets avec un taux de rémunération très en dessous de l’inflation.

Une épargne qui concerne surtout les couches moyennes qui ne peuvent malheureusement solliciter l’évasion fiscale réservée aux plus riches. Notons qu’il faudrait aussi signaler à Sandrine Rousseau que rien n’empêche les épargnants de souscrire aux obligations d’État et autre formes d’emprunt. Mettre la totalité ou presque de l’épargne au service de la dette publique constituerait une sorte de fuite en avant et un gros risque pour les épargnants de voir leur épargne encore davantage ponctionnée. D’une certaine manière, ce serait creuser un trou au détriment des épargnants pour boucher l’énorme trou des déficits publics. Des propos de gauchistes dangereux et irresponsables. Aussi irresponsables que ceux de Mélenchon ( dont Sandrine Rousseau est proche) qui propose tout simplement d’effacer la dette. Bref, de ne plus rembourser les emprunts.

Pour être crédible, la gauche aura besoin de faire un sérieux effort de formation et de compétences en matière économique.

7 % seulement des entreprises en difficulté pour rembourser les aides ?

7 % seulement des entreprises en difficulté pour rembourser les aides ?

Comme souvent la Banque de France se veut rassurante et indique que seulement 7 % des entreprises pourraient être en difficulté après la levée des mesures d’aide. La Banque de France a toutefois exclu les entreprises qui avaient déjà des problèmes avant la crise sanitaire. 75 % des entreprises n’auraient pas davantage de difficultés qu’avant la crise du covid. Une autre lecture de ces chiffres laisse cependant entrevoir que 25 % pourraient connaître des problèmes soit du fait de difficultés financières récurrentes, soit du fait du confinement.

.Les commerces de l’hôtellerie, cafés et restauration (HCR) ont, en raison des nombreuses contraintes sanitaires qui ont pesé sur leur activité, souffert plus que les autres sur le plan financier. 10% d’entre eux pourraient ainsi être mis en difficulté au moment où les aides de l’État prendront fin, selon les estimations de la Banque de France. Ce taux est de 6% pour l’ensemble des entreprises étudiées.

Des hypothèses sans doute très basses qui se fondent sur les résultats financiers observés jusqu’au début de l’année (entre le 30 juin 2020 et le mois de janvier 2021). Les  vraies difficultés financières commencent maintenant notamment avec la levée des aides publiques (prêts , subventions, et de chômage, URSSAF etc.

 

«Comment rembourser la dette : par l’impôt ou l’inflation ? »

 «Comment rembourser la  dette : par l’impôt ou l’inflation ? »

 

 

« qui va rembourser les énormes dettes découlant de la crise ? Comme souvent face à cet enjeu central, le gouvernement vient de mettre en place une commission. C’est la question à laquelle s’efforce de répondre aussi -timidement par rapport à l’inflation- – l’ancienne Ancienne associée-gérante de la banque Rothschild, Anne-Laure Kiechel dans un interview de l’Opinion ; elle a conseillé le gouvernement grec dirigé par Alexis Tsipras dans le cadre du suivi du plan d’aide financière à la Grèce. Elle a lancé sa structure indépendante Global Sovereign Advisory, qui compte une vingtaine de mandats de différents gouvernements, et la première chaire en Europe consacrée à la dette souveraine, à Sciences Po.

Que pensez-vous du résultat du dernier Conseil européen?

 

Le Fonds de relance européen a fait l’objet d’un consensus dans son principe lors du dernier Conseil européen. Il n’exclut pas a priori les propositions italienne et espagnole portant respectivement sur l’émission de coronabonds ou d’une dette perpétuelle et s’ajoutera aux 540 millions d’euros déjà mobilisés via le Mécanisme européen de stabilité, la Banque européenne d’investissement et la Commission. Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE ont ainsi chargé, jeudi dernier, la Commission européenne d’analyser avec précision les besoins afin de proposer dès que possible des modalités techniques pour ce fonds (montant, financement, répartition) permettant une relance commune à la hauteur des enjeux de la crise. Si le plan atteint les 1 000 à 1 500 milliards, la Commission ou un autre véhicule devront lever de la dette sans se limiter au seul budget européen et selon des modalités qui ne sont pas encore arrêtées.

La proposition de la France de mélanger aux prêts des subventions pour les régions les plus touchées, notamment dans les pays du sud, doit également encore faire son chemin. La proposition espagnole de dette perpétuelle pour financer un fonds de relance de 1 500 milliards a également été remarquée.

 

Voyez-vous l’Italie comme une bombe à retardement politique et économique pour l’UE?

L’Italie fait nation durant cette crise. La cote de confiance des Italiens en leur gouvernement a ainsi gagné plus de 15 points. En revanche, l’Italie a le sentiment d’être délaissée par ses partenaires européens, et les excuses de la présidente de la Commission européenne n’y ont rien changé. Dans un contexte de très faible croissance l’an dernier (0,2 %), la dette italienne, qui est déjà de plus de 134 % du PIB et qui atteindra très vite cette année 156 points de PIB, est un sujet croissant d’inquiétude. Certes, la BCE rachètera massivement cette dette, au moins jusqu’à la fin de l’année. Mais pour l’avenir, le Fonds de relance européen devra aider à assurer la soutenabilité de l’économie italienne et à répondre à cette attente forte de solidarité.

«Si chaque pays est confronté à des situations particulières car chaque économie est différente, on distingue une séquence commune de réponse à la crise»

Quels conseils donnez-vous actuellement aux pays qui sont vos clients?

Nous travaillons actuellement avec une vingtaine de pays sur tous les continents. Leur première priorité est évidemment sanitaire. Pour le reste, si chaque pays est confronté à des situations particulières car chaque économie est différente, on distingue une séquence commune de trois phases de réponse à la crise.

Tout d’abord, une phase de liquidité, c’est-à-dire de soutien direct aux acteurs économiques pour qu’ils ne disparaissent pas, ainsi qu’aux ménages pour préserver leurs revenus. Cette phase implique parfois des mesures de contrôles des prix, des soutiens massifs aux entreprises comme dans le secteur aérien en France, voire des plans de nationalisations. Le recours au chômage partiel et les prêts garantis par l’État sont évidemment emblématiques de cette phase, tout comme le revenu universel qui va être lancé en Espagne ou la « monnaie hélicoptère ​» utilisée aux États-Unis.

Ensuite, une phase de solvabilité qui s’attachera à assurer ou à rétablir la soutenabilité des dettes – donc une phase de transition. Les mesures d’urgence seront progressivement à adapter tandis que les entreprises reprendront leur activité. L’Etat devra les accompagner avec un filet de sécurité pour limiter, autant que faire se peut, les licenciements dont certains seront malheureusement inévitables. L’Etat devra accompagner les citoyens dans cette situation précaire en travaillant à amorcer le troisième temps, créateur d’emplois, le plus rapidement possible.

Enfin, le temps de la reprise viendra. Ce sera aussi celui des choix qui seront à arrêter en fonction de la société que nous voulons. Quelles activités relancer et quelles chaînes de valeur relocaliser pour assurer plus d’autonomie stratégique dans un monde toujours plus incertain ? Faudra-t-il développer de nouveaux métiers, par exemple dans le domaine du soutien aux personnes âgées à domicile ou du numérique ​?

Les instruments de dettes et les entités qui les émettront devront être adaptés aux différentes étapes, de même que les plans de relance qui devront être cohérents pour créer durablement plus d’emplois.

«Le temps de la reprise viendra. Ce sera celui des choix à arrêter en fonction de la société que nous voulons. Quelles activités relancer, quelles chaînes de valeur relocaliser?»

Qui va payer les dettes demain?

La question de la dette mondiale mérite une mise en perspective. La dette était déjà difficilement soutenable avant la crise. Début 2020, elle dépassait 320 % du PIB mondial, soit 257 000 milliards de dollars, ce qui représente 50 % de plus qu’en 2008 en raison de taux d’intérêt anormalement bas. Or, les premières mesures budgétaires adoptées par les Etats dans le monde viennent d’ajouter, en seulement quelques semaines, 8 000 milliards de dollars à ce niveau déjà élevé de dette mondiale.

 

(Après un record à 322% du produit intérieur brut (PIB) fin 2019, la dette mondiale devrait atteindre 277 000 milliards de dollars fin 2020, soit 365% du PIB, selon l’Institute of International Finance (IIF) NDLR)

 

Dans ce contexte, l’accord trouvé par le G20   ne peut être que salué car le remboursement de cette dette ne doit pas passer avant les mesures d’urgence dans les pays en développement. Il prévoit une suspension des échéances de dette pour les pays à bas revenus jusqu’à la fin de l’année et a marqué une avancée historique puisqu’il concerne le Club de Paris comme la Chine, les autorités gouvernementales comme les créanciers privés. Cependant, ses modalités pratiques demandent encore à être clarifiées et nous accompagnons en ce moment de nombreux Etats afin qu’ils puissent bénéficier de ces mesures pour consacrer plus de moyens à leur lutte contre la pandémie.

Il faudra aussi, le moment venu, d’une manière ou d’une autre, se poser la question de l’opportunité de l’effacement d’une partie de ces dettes qui seront devenues, après la crise, probablement dans au moins une quarantaine de pays émergents ou en développement, insoutenables.

Est-ce que dans les autres pays, on remboursera par l’inflation, par l’impôt ? Sur quels agents cela pèsera-t-il ? Il faudra décider du partage de ce fardeau et ne pas le faire derrière des portes closes.

 

Dette : Lemaire déclare qu’il faut la rembourser !

Dette : Lemaire déclare qu’il faut la rembourser ! 

Le ministre de l’économie rééquilibre d’une certaine manière les propos du président de la république. Il annonce que le remboursement de la dette est incontournable, un double message pour avertir en interne que le moment venu (sans doute à partir de 2022 il faut compter sur une augmentation des impôts), un message aussi destiné aux institutions internationales et aux agences de notation pour les rassurer sur la politique financière de la France. « Mon raisonnement est de dire qu’il faut rembourser la dette. »  La dette française qui représentait de leurs 200 % du PIB fin 2019 va atteindre 120 % fins 2020. Une dérive évidente. « Ça n’a pas d’équivalent dans l’histoire moderne parce que cette crise économique n’a pas d’équivalent dans l’histoire contemporaine. Nous avons tous fait en Europe le choix collectif de protéger au risque de dégrader les finances publiques », a rappelé le ministre des Finances, invité de l’émission « Quelles réponses face à la crise ? » sur LCI ce mardi 1er décembre.

« Il faut faire les choses les unes après les autres, la protection, la relance et ensuite rembourser la dette que nous avons contractée et reprendre le chemin des réformes », a expliqué le patron de Bercy. Le seul problème c’est qu’il sera totalement impossible d’amortir sur une période courte une dette d’une telle importance. Pour preuve pouvoir a mandaté plusieurs personnalités pour réfléchir aux conditions d’amortissement de la dette comme Corona virus. Une problématique qui ne se pose pas seulement à la France.

 

CORONAVIRUS : L’IMPACT ÉCONOMIQUE DE LA PANDÉMIE

Le député LaREM qui se faisait rembourser deux fois des notes de frais !

Le député LaREM qui se faisait  rembourser deux fois des notes de frais !

Le député LaREM du Val-de-Marne Jean-Jacques Bridey, l’un des premiers élus à avoir soutenu Emmanuel Macron, aurait bénéficié d’un double remboursement de certaines de ses notes de frais, en 2016 et 2017, au moment où il était à la fois président de la Société d’économie mixte locale d’aménagement de Fresnes (Semaf) et maire PS de cette commune, révèle ce lundi Mediapart.

L’élu se serait ainsi fait doublement rembourser certaines de ses notes de frais au restaurant « À la marée », situé au marché international de Rungis, qu’il fréquentait régulièrement: une fois par la Semaf et une deuxième fois par la mairie de Fresnes. Un montant total de 4807,70 euros, soit 3975,90 euros en 2016 et 831,80 euros en 2017, selon le site d’investigation en ligne.

Jean-Jacques Bridey est déjà soupçonné d’avoir perçu des sommes indues via le cumul des indemnités de ses différents mandats lorsqu’il était membre du Parti socialiste.

Scandale Tapie : nouvelle entourloupe procédurière pour ne pas rembourser les 400 millions

Scandale  Tapie : nouvelle entourloupe procédurière pour ne pas rembourser les 400 millions

 

 

Tapie demande maintenant la saisine de la cour de justice européenne évidemment pour gagner encore du temps dans une affaire qui dure depuis 25 ans. S’il n’est pas entendu, on suppose qu’il tentera de solliciter l’Onu  voire le pape. Bernard Tapie espère évidemment que la procédure sera ainsi prolongée encore de quelques années. Ce qui remettrait à plus tard la perspective du remboursement des 400 millions qu’il doit dans l’affaire Adidas. Certes,  il a été  exonéré de responsabilité en correctionnelle mais il a pourtant été condamné à rembourser intégralement la somme touchée après le sulfureux arbitrage favorisé par Sarkozy. Une affaire particulièrement lamentable qui commence avec Mitterrand qui permet à Tapie (via le Crédit Lyonnais) d’emprunter pour  acheter Adidas, qui continue avec Sarkozy avec une procédure très sulfureuse d’arbitrage qui octroie la bagatelle de 400 millions à Tapie et qui se prolonge avec Macron. Notons que Tapie s’est montrée proche politiquement et même très proche successivement de Mitterrand, de Sarkozy et maintenant de Macron. Bref une affaire politico financière qui risque comme de nombreuses autres de s’embourber dans les procédures judiciaires.  L’homme d’affaires Bernard Tapie demande donc  à chaque juridiction européenne qui a eu à connaître de l’affaire du Crédit Lyonnais, dans laquelle il a été relaxé le 9 juillet dernier, de saisir la Cour de justice de l’Union européenne.

L’homme d’affaires affirme avoir déposé trois mémoires à la Cour de cassation dans le cadre des recours qu’il avait introduits afin d’obtenir que des questions préjudicielles soient adressées à la Cour européenne, mécanisme par lequel les juridictions nationales demandent aux juges de Luxembourg d’interpréter le droit de l’Union pour les éclairer. Bernard Tapie y dénonçait ce qu’il considère comme “les multiples violations du droit européen de la concurrence commises par le Crédit lyonnais, ses filiales, ses offshores, acheteurs d’Adidas”.

“Une telle concentration ne pouvait pas être autorisée, car elle était totalement contraire aux traités en vigueur : défaut de notification d’une opération de concentration, défaut de notification d’une aide d’État, accord anticoncurrentiel, abus de position dominante”, ajoute-t-il. “Toutes ces violations sont susceptibles d’entraîner des conséquences extrêmement graves, raison probable pour laquelle la Cour de cassation a choisi la politique de l’autruche”, écrit-il en soulignant qu’elle a refusé de poser les questions préjudicielles évoquées.

S’estimant floué par le Crédit Lyonnais lors de la vente du fabricant d’équipements sportifs Adidas en 1993, Bernard Tapie avait obtenu 15 ans plus tard 403 millions d’euros lors d’un arbitrage contesté.

Mais il était accusé, avec son avocat Maurice Lantourne, d’avoir obtenu frauduleusement cet arbitrage en collusion avec un des arbitres, Pierre Estoup, et avec l’aide de Stéphane Richard, alors directeur de cabinet de la ministre de l’Economie et des Finances Christine Lagarde.

Malgré la relaxe dont il a bénéficié, l’homme d’affaires reste condamné à rembourser les 403 millions d’euros. Il ne dit pas dans sa tribune s’il espère que la saisine de la Cour de justice de l’Union européenne lui permettra de remettre en cause ce remboursement et présente sa démarche comme une défense des valeurs européennes.

Le parquet de Paris a annoncé le 16 juillet qu’il faisait appel de la relaxe générale prononcée une semaine plus tôt. Bref encore des années gagnées  pour Tapie !

Affaire Tapie : nouvelle entourloupe procédurière pour ne pas rembourser les 400 millions

Affaire Tapie : nouvelle entourloupe procédurière pour ne pas rembourser les 400 millions

 

 

Tapie demande maintenant la saisine de la cour de justice européenne évidemment pour gagner encore du temps dans une affaire qui dure depuis 25 ans. S’il n’est pas entendu, on suppose qu’il tentera de solliciter l’Onu  voire le pape. Bernard Tapie espère évidemment que la procédure sera ainsi prolongée encore de quelques années. Ce qui remettrait à plus tard la perspective du remboursement des 400 millions qu’il doit dans l’affaire Adidas. Certes,  il a été  exonéré de responsabilité en correctionnelle mais il a pourtant été condamné à rembourser intégralement la somme touchée après le sulfureux arbitrage favorisé par Sarkozy. Une affaire particulièrement lamentable qui commence avec Mitterrand qui permet à Tapie (via le Crédit Lyonnais) d’emprunter pour  acheter Adidas, qui continue avec Sarkozy avec une procédure très sulfureuse d’arbitrage qui octroie la bagatelle de 400 millions à Tapie et qui se prolonge avec Macron. Notons que Tapie s’est montrée proche politiquement et même très proche successivement de Mitterrand, de Sarkozy et maintenant de Macron. Bref une affaire politico financière qui risque comme de nombreuses autres de s’embourber dans les procédures judiciaires.  L’homme d’affaires Bernard Tapie demande donc  à chaque juridiction européenne qui a eu à connaître de l’affaire du Crédit Lyonnais, dans laquelle il a été relaxé le 9 juillet dernier, de saisir la Cour de justice de l’Union européenne.

L’homme d’affaires affirme avoir déposé trois mémoires à la Cour de cassation dans le cadre des recours qu’il avait introduits afin d’obtenir que des questions préjudicielles soient adressées à la Cour européenne, mécanisme par lequel les juridictions nationales demandent aux juges de Luxembourg d’interpréter le droit de l’Union pour les éclairer. Bernard Tapie y dénonçait ce qu’il considère comme “les multiples violations du droit européen de la concurrence commises par le Crédit lyonnais, ses filiales, ses offshores, acheteurs d’Adidas”.

“Une telle concentration ne pouvait pas être autorisée, car elle était totalement contraire aux traités en vigueur : défaut de notification d’une opération de concentration, défaut de notification d’une aide d’État, accord anticoncurrentiel, abus de position dominante”, ajoute-t-il. “Toutes ces violations sont susceptibles d’entraîner des conséquences extrêmement graves, raison probable pour laquelle la Cour de cassation a choisi la politique de l’autruche”, écrit-il en soulignant qu’elle a refusé de poser les questions préjudicielles évoquées.

S’estimant floué par le Crédit Lyonnais lors de la vente du fabricant d’équipements sportifs Adidas en 1993, Bernard Tapie avait obtenu 15 ans plus tard 403 millions d’euros lors d’un arbitrage contesté.

Mais il était accusé, avec son avocat Maurice Lantourne, d’avoir obtenu frauduleusement cet arbitrage en collusion avec un des arbitres, Pierre Estoup, et avec l’aide de Stéphane Richard, alors directeur de cabinet de la ministre de l’Economie et des Finances Christine Lagarde.

Malgré la relaxe dont il a bénéficié, l’homme d’affaires reste condamné à rembourser les 403 millions d’euros. Il ne dit pas dans sa tribune s’il espère que la saisine de la Cour de justice de l’Union européenne lui permettra de remettre en cause ce remboursement et présente sa démarche comme une défense des valeurs européennes.

Le parquet de Paris a annoncé le 16 juillet qu’il faisait appel de la relaxe générale prononcée une semaine plus tôt. Bref encore des années gagnées  pour Tapie !

Affaire Tapie : il devra rembourser : mais quand ?

Affaire Tapie : il  devra rembourser : mais quand ?

 

Sans doute un peu bousculée par les réactions négatives  suscitées par la verdict surprise du verdict concernant l’affaire Tapie, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a confirmé mercredi 10 juillet que tout sera mis en œuvre pour récupérer les millions d’euros dus par l’homme d’affaires. Le problème est de savoir quand. En effet sur le plan civil, Tapie  a été condamné à rembourser les 400 millions obtenus frauduleusement. Mais depuis cette date, il n’a cessé de multiplier les procédures pour retarder l’échéance. Il faut dire aussi que les pouvoirs publics n’ont pas manifesté un grand dynamisme pour obtenir ce remboursement.  Complices, certains tribunaux de commerce ou même estimé que ce remboursement n’était pas possible sans mettre en péril l’existence d’entreprises que possède Tapie ! Notons cependant que Tapie possède une solide fortune personnelle évaluée autour de 200 millions en plus de ces entreprises. Les obstacles procéduriers retenus par les tribunaux de commerce concernant les sociétés de Tapie ne sauraient pour autant faire obstacle à la récupération de l’autre partie de la fortune personnelle de l’intéressé. Sans doute comme dans toutes les affaires politico financières, les bénéficiaires, les complices et les intermédiaires comptent sur le temps pour enterrer le dossier. Cela d’autant plus que nombre de représentants de l’État et de politiques sont aussi mouillés dans cette affaire. Le fait que la ministre de la justice indique que l’État ne fera pas appel de la décision en correctionnelle témoigne évidemment de la complicité des pouvoirs publics qui souhaitent entendre parler le moins possible de ce dossier judiciaire pourri. On peut s’interroger quand la ministre de la justice déclare “L’État se mettra en position de récupérer ce qui lui est dû. L’affaire étant terminée, l’État mettra en œuvre les moyens”, a déclaré la Garde des Sceaux sur France 2 !

Bernard Tapie devra rembourser : mais quand ?

Bernard Tapie devra rembourser : mais quand ?

 

Sans doute un peu bousculée par les réactions négatives  suscitées par la verdict surprise du verdict concernant l’affaire Tapie, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a confirmé mercredi 10 juillet que tout sera mis en œuvre pour récupérer les millions d’euros dus par l’homme d’affaires. Le problème est de savoir quand. En effet sur le plan civil, Tapie  a été condamné à rembourser les 400 millions obtenus frauduleusement. Mais depuis cette date, il n’a cessé de multiplier les procédures pour retarder l’échéance. Il faut dire aussi que les pouvoirs publics n’ont pas manifesté un grand dynamisme pour obtenir ce remboursement.  Complices, certains tribunaux de commerce ou même estimé que ce remboursement n’était pas possible sans mettre en péril l’existence d’entreprises que possède Tapie ! Notons cependant que Tapie possède une solide fortune personnelle évaluée autour de 200 millions en plus de ces entreprises. Les obstacles procéduriers retenus par les tribunaux de commerce concernant les sociétés de Tapie ne sauraient pour autant faire obstacle à la récupération de l’autre partie de la fortune personnelle de l’intéressé. Sans doute comme dans toutes les affaires politico financières, les bénéficiaires, les complices et les intermédiaires comptent sur le temps pour enterrer le dossier. Cela d’autant plus que nombre de représentants de l’État et de politiques sont aussi mouillés dans cette affaire. Le fait que la ministre de la justice indique que l’État ne fera pas appel de la décision en correctionnelle témoigne évidemment de la complicité des pouvoirs publics qui souhaitent entendre parler le moins possible de ce dossier judiciaire pourri. On peut s’interroger quand la ministre de la justice déclare “L’État se mettra en position de récupérer ce qui lui est dû. L’affaire étant terminée, l’État mettra en œuvre les moyens”, a déclaré la Garde des Sceaux sur France 2.

 

 

Dette : ne pas rembourser ou faire payer l’Allemagne (Hamon)

Dette : ne pas rembourser ou faire payer l’Allemagne (Hamon)

 

Pour financer ses orientations fantaisistes,  Benoît Hamon a trouvé la martingale financière pour financer ses orientations fantaisistes Benoît a trouvé la martingale financière il suffit d’abord d’emprunter, ensuite de ne pas rembourser la dette actuelle ou autre solution de la faire rembourser par l’Allemagne. Hamon propose donc soit le défaut comme en Grèce (banqueroute totale ou partielle) ou bien le transfert de dette sur l’Allemagne avec la mutualisation de l’endettement.  . Depuis 35 ans, c’est la grande glissade ;  on objectera que François Fillon en sa qualité de Premier ministre avait déclaré en 2007 être à la tête d’un État en faillite ; malheureusement quand il a quitté Matignon il a ajouté 600 milliards de plus à cet endettement. Le paradoxe c’est que la France détient le record du monde de prélèvement fiscal avec un taux de 46 % mais bien insuffisants pour couvrir cependant les dépenses qui représentent-elles 57 % du PIB. À ce rythme de détérioration du rapport entre recettes et dépenses d’ici 20 ou 30 ans, sur la tendance, la totalité de la richesse nationale pourrait être affectée aux seules dépenses publiques, bref un taux d’imposition globale de 100 % ! De toute manière cette problématique n’est pas tellement vendeur auprès des électeurs en tout cas auprès de la plus grande partie. En cause, l’incurie totale de la plupart des Français en matière de connaissances économiques et financières. Une récente étude effectuée en Europe sur ce sujet montre  que les Français occupent la dernière position en Europe. Il est clair qu’un endettement qui dépasse les 2000 milliards ne dit pas grand-chose à la plupart des citoyens (à peu près 100 % du PIB,  c’est-à-dire de la richesse nationale produite chaque année). Cela représente environ 33 000 € d’endettement par Français qu’il faudra bien rembourser un jour ou l’autre, d’une manière ou d’une autre, à moins comme Hamon ou Mélenchon de décréter que la France ne remboursera pas la dette. (Ce qui n’empêche pas Mélenchon de suggérer d’emprunter 100 milliards à la BCE pour financer son programme !). Quelques chiffres pour résumer : déficit de 70 milliards d’euros en 2016. Dépenses nettes 374 milliards d’euros et recettes nettes à 302 milliards. Les recettes de l’État ne couvrent donc que 80 % de ses dépenses. Le budget de l’État est déficitaire depuis 1974. Le régime général de la Sécurité Sociale est installé dans le rouge, ce qui nous distingue de tous nos grands voisins. «Les déficits publics moyens dans la zone euro et l’Union européenne sont structurellement plus faibles que celui de la France», note le rapport. 35% : C’était la part des dépenses publiques françaises dans le PIB au début des années 1960. Elle était de la moitié de la richesse nationale annuelle au début des années 1990. Elle dépasse ce seuil depuis 1991. En 2015, elle a atteint 57% du PIB, ce qui a placé notre pays au deuxième rang de l’OCDE derrière la Finlande. En moyenne, dans la zone euro, les dépenses publiques atteignaient 48,5% du PIB. La France est donc encore 8,5 points au-dessus, ce qui équivaut à de 185 milliards d’euros. «Entre 2010 et 2014, la France est le seul grand pays européen à avoir augmenté ses dépenses publiques (hors inflation), alors qu’elles ont baissé de 2 à 12 % ailleurs», insiste le rapport. Entre 2007 et 2015, la dépense publique a ainsi augmenté de plus de 250 milliards (passant de 991 milliards à 1 243 milliards). 3,3 points de PIB: c’est l’écart entre la France et la moyenne de la zone euro pour l’ensemble des dépenses de fonctionnement et les subventions, en 2014. Pour les dépenses sociales d’intervention (prestations sociales et transferts en nature), il est de 3,2 points de PIB. L’écart est plus faible s’agissant des dépenses d’investissement (1 point de PIB). Par rapport à notre principal partenaire, l’Allemagne, l’écart est particulièrement marqué pour les dépenses de fonctionnement (7 points de PIB) et dans une moindre mesure pour les prestations sociales et transferts en nature (2,5 points). 63%. C’était le taux de dépenses publiques en Suède entre 1986 à 1995. Le rapport se sert notamment de cet exemple pour montrer qu’une baisse «très significative est possible». Car elles sont revenues à 53,5% en 2000 pour s’établir à 50,5% du PIB en 2015. Au Canada, les dépenses publiques étaient en moyenne de 49% du PIB entre 1986 et 1995 ; elles sont revenues à 40 % en moyenne dans les années 2001 à 2010. 2150 milliards d’euros (33 000 euros par habitant): c’est le niveau actuel de la dette française. Conséquence d’un déficit permanent, la dette publique française n’a cessé d’augmenter. Elle s’élevait à 12% du PIB en 1974, 20% en 1981, 50% en 1994 et atteint désormais 97% en 2016. Cette croissance semble inexorable. En 2003, la dette a dépassé les 1000 milliards. En 2014, elle a franchi les 2000 milliards. Fin 2016, elle est d’environ 2 100 milliards. Mécaniquement, elle augmentera tant que les déficits persisteront. Conclusion: «une réduction de l’ordre de 7 à 8 points de la part des dépenses publiques (autour de 50 % du PIB) permettrait à la France, tout en résorbant son déficit structurel actuel (autour de 2% du PIB potentiel), de baisser son niveau de prélèvements obligatoires de l’ordre de 5 à 6 points», peut-on lire. Dit autrement dépenser moins permettrait de réduire le déficit, tout en diminuant les impôts. À moyen terme, une baisse de 10 à 11 points des dépenses publiques (autour de 46% du PIB, soit un niveau beaucoup plus proche de l’Allemagne) serait même d’ampleur à «combler le déficit entre la France et l’Allemagne en termes de prélèvements obligatoires (8,6 points) tout en maintenant l’équilibre structurel de ses finances publiques».A moins comme Hamon ou Mélenchon de tirer un trait sur l’endettement… comme en Grèce.

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Le tribunal administratif de Limoges a enjoint la commune d’Argenton-sur-Creuse (Indre) de réclamer les 80.000 à 100.000 euros touchés par l’ensemble de l’ancienne équipe municipale dirigée par le ministre de l’Économie et des Finances. Durant son mandat entre 2009 et 2012, Michel Sapin a bénéficié d’une majoration de 25% de l’indemnité municipale qui était attribuée à tous les élus. Cette hausse s’appuyait sur des dispositions prévues au titre des villes dites « touristiques ». Seulement, l’opposition a découvert en 2014 que ce statut n’avait pas été confirmé par un arrêté préfectoral pour Argenton-sur-Creuse. Michel Sapin, tout en reconnaissant avoir commis « une erreur purement administrative et involontaire » se défend toutefois d’avoir vidé les caisses de la municipalité : « Les décisions prises à l’époque (…) fixaient le montant des indemnités dues aux élus à un niveau inférieur à celui qu’autorisaient alors les textes et ainsi aucun préjudice réel n’a été subi par la commune d’Argenton-sur-Creuse ». Le ministre ajoute par ailleurs que la décision du tribunal administratif ne le cite pas expressément et ne le condamne pas directement « à rembourser quelque somme que ce soit ». Le nouveau maire de la commune de 5.300 habitants, Vincent Millan, après avoir reconnu une erreur, avait fait adopter par la majorité municipale une délibération renonçant au recouvrement de ces sommes indues. Mais c’est cette délibération que l’opposition, par son chef de file Ludovic Livernette, avait attaquée devant le tribunal de Limoges. Ainsi, les juges ont prononcé l’annulation pure et simple de cette délibération. Il appartient désormais « à la commune d’Argenton, et à elle seule, d’apprécier s’il convient, comme elle en a le droit, de faire appel de cette décision », a souligné Michel Sapin, assurant que les élus de l’époque, dont lui-même, respecteraient « scrupuleusement les décisions de la justice administrative ».

La Grèce : une dette impossible à rembourser ( le FMI)

La Grèce : une dette impossible à rembourser ( le FMI)

 

Mea culpa du FMI qui a failli torpiller la Grèce en l menaçant même de défaut et qui aujourd’hui reconnaît que la dette actuelle (autour de 170 % du PIB) est impossible à rembourser. Il aura fallu des mois et même des années aux éminents experts du fonds monétaire international pour s’apercevoir de l’évidence. Comment la Grèce pourrait-elle rembourser la totalité de sa dette dans le délai prévu alors qu’elle a perdue le quart de son PIB. Cela représente 32 000 € par habitant environ. Une somme insupportable pourtant équivalente par habitant à celle de la France. Avec une différence de taille les créanciers n’exigent pas les mêmes délais pour la France. La France paiera mais en monnaie de singe alors que la Grèce, elle ne peut pas même utiliser ce moyen monétaire. La Grèce peut rembourser mais à condition qu’on lui prête les sommes correspondantes ! A chaque plan d’aide, les créanciers et la Grèce se mettent d’accord sur des hypothèses qui ne se réalisent jamais. Croissance, rentrée des impôts, recettes de privatisations : les prévisions sont toujours trop optimistes. Arrive donc le jour où la Grèce manque d’argent, et fatalement il faut renégocier (toujours dans la douleur). En 2012, il était prévu que le ratio dette/PIB soit de 153% en 2015. La réalité d’aujourd’hui s’élève à 175%. De fait, les plans d’austérité, corollaires des plans d’aide, ont fait chuter le PIB grec de 25% depuis 2009. Résultat, malgré l’annulation de 107 milliards d’euros de dette sur les créanciers privés (aussi appelé haircut- « coupe de cheveux»), le ratio dette/PIB a explosé. La Grèce a besoin d’un allègement substantiel de sa dette pour pouvoir en supporter durablement le poids et replacer l’économie du pays sur la chemin de la croissance, a déclaré vendredi le Fonds monétaire international (FMI). Dans sa revue annuelle, distincte des négociations en cours sur la mise en place du dernier plan de sauvetage en date, le FMI dit que l’allègement de la dette grecque doit être calibré sur des objectifs budgétaires et de croissance crédibles et souligne que les objectifs d’excédents primaires (hors service de la dette) qui ont été fixés au-delà de 2018 ne devraient pas être atteints. « Les objectifs actuels des autorités restent irréalistes en conservant l’hypothèse que la Grèce atteindra et maintiendra des excédents primaires de 3,5% du PIB pendant plusieurs décennies malgré des taux de chômage à deux chiffres », écrit le FMI. « Il n’est pas possible de supposer que la Grèce peut tout simplement sortir de son problème d’endettement. Un nouvel allègement de la dette est nécessaire pour qu’elle soit viable. »

(Avec Reuters)

La nouvelle arnaque de Tapie pour ne pas rembourser

La nouvelle arnaque de Tapie pour ne pas rembourser

Grâce à la complicité du tribunal administratif tape  a trouvé une nouvelle arnaque pour ne pas rembourser les 400 millions auxquels il a été condamné. Une manipulation dont a l’habitude le champion de l’escroquerie. En faite= sous prétexte de protection de ses entreprises le tribunal administratif a accepté une mise en sauvegarde qui permet de bloquer les remboursements de tape. Cela pour une durée de six mois qui pourra être prolongés deux fois soit une durée totale de 18 mois. Or  d’ici la il est vraisemblable que Sarkozy sera à nouveau élu président de la république. Sarkozy qui a couvert l’escroquerie de Tapie  contre son appui politique. Du coup il faut s’attendre à ce que « la justice » indépendante » enterre l’affaire lorsque Sarkozy sera réélu. Une manipulation largement passée sous silence par les médias mais qui témoigne des incohérences de la justice voire de sa complicité. L’Etat n’est donc pas prêt de récupérer ses 404 millions d’euros. Condamné à rembourser cette somme perçue en 2008 pour solder son contentieux avec le Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas, Bernard Tapie a pris des mesures judiciaires lui permettant de se mettre à l’abri des huissiers, du moins pour quelques mois. Avant d’être condamné par la cour d’appel de Paris, l’homme d’affaires a ouvert une procédure de sauvegarde, auprès du tribunal administratif de Paris, rapporte Le Monde. Une démarche entraînant, temporairement, la suspension des poursuites individuelles. Bernard Tapie a visiblement senti le vent tourner. Anticipant la décision défavorable des magistrats de la cour d’appel, l’homme d’affaires a demandé l’ouverture d’une « procédure de sauvegarde », visant ses deux sociétés, pour lesquelles il a organisé ses activités et son patrimoine. Le 30 novembre, le tribunal de commerce de Paris a accédé à la demande de l’homme d’affaires concernant le Groupe Bernard Tapie (GBT), actionnaire majoritaire du journal « La Provence ». Puis, mercredi 2 décembre, la veille la condamnation, il a prononcé l’extension de cette procédure à la Financière et immobilière Bernard Tapie (FIBT).

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