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Russie : quelles nouvelles relations ?

Russie : quelles nouvelles relations ?

 Quelles nouvelles relations sont-elles envisageables avec la Russie d’après Laurence Daziano , maître de conférences en économie à Sciences Po et membre du Conseil scientifique de la Fondapol et de l’Institut du Bosphore. (tribune Figaro)


« Le président russe, Vladimir Poutine, arrive le 19 août au fort de Brégançon pour une rencontre bilatérale avec son homologue français, Emmanuel Macron, à la veille du sommet du G7 de Biarritz dont la Russie est exclue.

Vladimir Poutine rencontrera son quatrième président français, après Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande. En comptant les quatre années où il fut Premier ministre, Vladimir Poutine est désormais au pouvoir depuis dix-neuf ans, ce qui lui confère l’un des plus longs règnes de l’histoire politique russe moderne. Se maintenir aussi longtemps au pouvoir, dans un pays aussi rude que la Russie et marqué par une transition extrêmement dure après la chute de l’URSS, a eu un prix: la centralisation totale du pouvoir, l’écrasement de l’opposition, la mise au pas des milieux économiques et l’alliance avec des régimes autoritaires pour marquer le retour de Moscou sur la scène internationale.

Après quasiment vingt ans au Kremlin, Vladimir Poutine est devenu le synonyme de son pays, si bien que les diplomates et les experts occidentaux ne réussissent plus à avoir une analyse fine et nuancée des évolutions russes. Or, la Russie est un pays qui change.

 

Les sanctions commencent à peser sur l’économie de la Russie

Malgré une très forte dépendance aux matières premières (pétrole et gaz), la Russie a réussi à redresser son économie après quinze ans de descente aux abîmes lors de la chute de l’URSS. Aujourd’hui, les sanctions commencent à peser sur l’économie et le taux de pauvreté de la population, qui avait spectaculairement baissé, commence à remonter. La classe moyenne urbaine s’est développée mais les jeunes des campagnes rêvent d’émigrer.

La Russie a réussi l’accueil de la Coupe du monde de football en 2018, tout en modernisant son industrie pétrolière et gazière avec des projets industriels aussi audacieux que les gazoducs Nord Stream ou l’exploitation des ressources en Arctique.

Enfin, Moscou est redevenu une puissance «centrale» des relations internationales, réussissant son pari stratégique au Moyen-Orient et consolidant des alliances avec les «ennemis» des États-Unis, Chine, Iran, Turquie ou Venezuela. La Russie revient également en Afrique, réunissant un sommet russo-africain, sur les bords de la mer Noire à Sotchi.

 

Le défi de la succession

Mais ce qui a permis à Vladimir Poutine de se maintenir au pouvoir, depuis si longtemps, est désormais sa principale faiblesse. Le système de pouvoir poutinien est profondément empreint de l’histoire politique tsariste: une stabilité qui confine à la rigidité, reposant sur les services de renseignement et sans perspective de succession.

Vladimir Poutine, qui a réussi ses paris (règne de vingt ans, retour de la Russie sur la scène internationale et mainmise politique sur le pays), doit désormais affronter son principal défi: la succession, sans laquelle, rien de ce qui a été édifié ne sera pérenne. Homme issu des services de renseignement, son histoire, sa vision et son exercice du pouvoir sont formatés par le KGB et le FSB, et plus encore par son expérience de la chute de l’URSS.

Or l’approche de la succession peut être le moment où, parce que les intérêts convergent, l’Europe renouerait avec la Russie par une série d’initiatives proches de la conférence sur la paix et la sécurité en Europe, initiée en 1975 à Helsinki à l’époque de la Guerre froide. Une initiative diplomatique européenne, portée par la France, proposerait des perspectives à Moscou qui tiennent compte des intérêts respectifs des Européens et des Russes.

 

D’abord, la question ukrainienne, après les récentes élections présidentielles et législatives à Kiev, doit être réglée dans un cadre global qui comprend trois sujets: un accord de paix en Ukraine avec la «finlandisation» du pays, c’est-à-dire sa neutralisation entre l’Europe et la Russie, ce qui ne sera que la reconnaissance de la mixité ukrainienne entre les anciennes terres européennes catholiques de l’Empire austro-hongrois et les régions russophones ; le désarmement de toutes les factions armées ; la cession de la Crimée à la Russie avec la garantie d’un statut de neutralité pour la péninsule, en dehors du port de Sébastopol, et la reconnaissance de droits spécifiques pour les Ukrainiens ne souhaitant pas devenir Russes.

 

La Syrie, pour sa part, doit faire l’objet d’un plan de paix global sous l’égide d’un groupe de contact associant les puissances occidentales et le «format» d’Astana initié par la Russie, la Turquie et l’Iran. Les accords de paix de Dayton et la constitution d’une juridiction pénale internationale pourraient être des pistes de sortie de crise intéressantes pour la Syrie.

Enfin, l’Union européenne pourrait proposer à la Russie, en échange de ses concessions sur les conflits ukrainien et syrien, une perspective de développement économique de long terme. Un accord de libre-échange pourrait être conclu entre l’Union européenne (UE) et la Russie afin de développer les échanges commerciaux puisque l’Europe représente le premier débouché pour les exportations russes (55 % du total). L’UE pourrait proposer de créer une Union de l’énergie, dotée d’un conseil conjoint, et permettant de sécuriser l’approvisionnement gazier européen (la Russie représentant plus du tiers des importations de gaz en Europe) ainsi que les grands projets, à l’instar de Nord Stream 2, essentiel pour l’économie allemande, ou l’exploration-production dans le Grand Nord arctique à l’instar de Yamal.

Winston Churchill a déclaré que «si deux hommes ont la même opinion, l’un d’eux est de trop». Il est désormais temps de ne pas regarder la Russie avec le regard d’un Occidental déçu, mais d’offrir une perspective diplomatique et économique crédible aux Européens et aux Russes qui partagent une histoire, des frontières et des intérêts qui peuvent converger. »

 

Enquête sur les relations tordues entre distribution et fournisseurs

Enquête sur les relations tordues entre distribution et fournisseurs

 

Dans la grande distribution, c’est un peu le monde à l’envers. En effet, d’une manière ou d’une autre il faut que les fournisseurs payent le distributeur pour être présents dans les rayons du supermarché. Du coup, les députés ont décidé de mettre en place une commission pour enquêter sur les relations particulièrement tordues des distributeurs avec leurs fournisseurs. Pendant longtemps on a même exigé de la part des fournisseurs un chèque préalable, sorte de ticket d’accès à l’entrée du magasin. Le plus souvent, on exige des fournisseurs des ristournes complémentaires non conformes au code de commerce. Ainsi Leclerc vient d’être prie la main dans le sac  Le patron de Leclerc qui il y a quelque temps critiquait  à juste titre les effets de la loi alimentation pour les producteurs cette fois est pris la main dans le sac des illégalités vis-à-vis de ses fournisseurs. Il s’agit du procédé qui était bien connu de la grande distribution qui consiste à demander des remises pour avoir le droit d’être distribuée. Des procédés qui sont interdites par le code de commerce Le ministère de l’Economie réclame une sanction de 108 millions d’euros contre le distributeur indépendant Leclerc pour avoir imposé à ses fournisseurs des remises contraires aux dispositions du code de commerce. Selon une enquête de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) entre 2015 et 2017 q la centrale d’achat de Leclerc, Galec, avait imposé à des fournisseurs de grandes marques une remise additionnelle de 10% “Cette demande de remise additionnelle était exigée sans aucune contrepartie commerciale, ce qui est contraire aux dispositions du code du commerce”, affirme la DGCCRF. Le ministère demande au tribunal de Commerce de Paris la nullité de ces remises dans les conventions entre Galec et ses fournisseurs, la cessation de ces pratiques et la condamnation de Galec à une amende civile de 25 millions d’euros ainsi que la restitution aux fournisseurs des sommes indûment perçues à hauteur de 83 millions, ajoute-t-elle. Le gouvernement a certes fait voter une loi pour rééquilibrer les relations entre producteurs agricoles et distributeurs au bénéfice des premiers, la loi Egalim du 30 octobre dernier, mais force est de constater que les distributeurs restent en position de force dans leurs négociations avec leurs fournisseurs pour imposer leurs prix, ont souligné les députés qui sont intervenus mardi pour prôner la constitution de la commission d’enquête. Lors des négociations commerciales en cours entre producteurs et distributeurs, il semble que, mis à part les producteurs du secteur laitier, les autres agriculteurs ont du mal à obtenir une revalorisation de leurs prix de vente. Quant au relèvement de 10% du seuil de revente à perte des grandes surfaces prévu par la loi Egalim, il augmente le prix de vente au consommateur, mais n’oblige pas les grandes surfaces à reverser la marge gagnée aux producteurs, a souligné la députée non inscrite Emmanuelle Ménard.

Leclerc coincé par Bercy pour ses relations avec les fournisseurs

Leclerc coincé par Bercy pour ses relations avec les fournisseurs

 

Le patron de Leclerc qui il y a quelque temps critiquait  à juste titre les effets de la loi alimentation pour les producteurs cette fois est pris la main dans le sac des illégalités vis-à-vis de ses fournisseurs. Il s’agit du procédé qui était bien connu de la grande distribution qui consiste à demander des remises pour avoir le droit d’être distribuée. Des procédés qui sont interdites par le code de commerce Le ministère de l’Economie réclame une sanction de 108 millions d’euros contre le distributeur indépendant Leclerc pour avoir imposé à ses fournisseurs des remises contraires aux dispositions du code de commerce. Selon une enquête de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) entre 2015 et 2017 q la centrale d’achat de Leclerc, Galec, avait imposé à des fournisseurs de grandes marques une remise additionnelle de 10% “Cette demande de remise additionnelle était exigée sans aucune contrepartie commerciale, ce qui est contraire aux dispositions du code du commerce”, affirme la DGCCRF. Le ministère demande au tribunal de Commerce de Paris la nullité de ces remises dans les conventions entre Galec et ses fournisseurs, la cessation de ces pratiques et la condamnation de Galec à une amende civile de 25 millions d’euros ainsi que la restitution aux fournisseurs des sommes indûment perçues à hauteur de 83 millions, ajoute-t-elle. “Leclerc est légaliste et s’il y a contestation sur la qualité des contrats commerciaux signés par une entité du mouvement coopératif, la justice tranchera, comme elle l’a fait pour les autres enseignes”, a réagi Michel Edouard Leclerc, président du groupement de distributeurs indépendants, sur son blog.

Industriels et distributeurs pour des relations équitables !

Industriels et distributeurs pour des relations équitables !

Une charte de bonne conduite a été signée entre les industriels, producteurs et les distributeurs afin de parvenir à une répartition plus équitable de la valeur ajoutée des produits alimentaires. L’objectif est aussi d’ arrêter  la baisse tendancielle des prix du fait de la concurrence exacerbée. La logique voudrait qu’on parte de désormais des coûts de revient de la production pour ensuite construire le prix de vente et non partir  de prix de dumping pour imposer des prix aux producteurs qui ne couvrent pas les coûts de production. Reste que cette charte de bonne conduite relève des intentions et qu’il conviendra de la mettre en musique y compris avec des dispositions d’ordre légal. FNSEA, Jeunes Agriculteurs, Confédération paysanne, Coordination rurale côté monde agricole, Ania, Coop de France, FEEF côté industriels, et FCD, Auchan, Casino, Cora, Système U, LIdl, Intermarché, Carrefour côté distributeurs. Tout le monde était présent. Même Michel-Édouard Leclerc, le patron des enseignes du même nom, qui avait fait entendre une voix discordante à la fin du premier chantier des EGA sur l’augmentation du seuil de revente à perte (SRP), censé mettre fin à la guerre des prix. Cette grand-messe qualifiée «d’historique» par nombre de participants, difficile de dire si la charte (qui n’est pas la première du genre), portera ses fruits lors des négociations commerciales annuelles qui viennent de s’ouvrir. Ce qui n’a pas empêché la majorité des 18 signataires de rappeler le gouvernement à ses promesses. Plus précisément à celles d‘Emmanuel Macron, qui s’est engagé le 11 octobre dernier à modifier rapidement la loi pour tenter de mettre un terme à une demi-décennie de guerre des prix entre grandes enseignes. «Nous voulons maintenant du concret. Nous ne serons pleinement satisfaits que quand les engagements gouvernementaux seront tenus», a ainsi clairement exigé Christiane Lambert, présidente du syndicat agricole FNSEA. Les États généraux de l’alimentation ont permis de mettre en lumière le profond déséquilibre qui existe entre les milliers d’organisations de producteurs, petits ou grands, et les quatre puissantes centrales d’achats qui dictent leur loi, forçant parfois les agriculteurs à vendre à des prix inférieurs à leurs coûts de production.

Trump a demandé d’enterrer une enquête sur les relations avec la Russie

Trump a demandé d’enterrer une enquête sur les relations avec la Russie

 

 

Le président des Etats-Unis est désormais soupçonné d’avoir tenté de mettre fin à une enquête du FBI. Selon un article du New York Times  publié mardi soir, Donald Trump a demandé mi-février au directeur du FBI James Comey, qu’il a limogé avec fracas la semaine dernière , de mettre un terme aux investigations visant Michael Flynn, son ancien conseiller à la sécurité nationale. James Comey a rédigé un mémo sur sa conversation avec Trump. Détail accablant : James Comey a relaté cette conversation dans une note écrite, citée par le quotidien  »C’est quelqu’un de bien. J’ espère que vous pourrez laisser tomber », aurait affirmé Donald Trump, selon cette note rédigée par le patron du puissant Federal Bureau of Investigation. La Maison Blanche a catégoriquement contesté cette version des faits, qui pourrait constituer une possible obstruction à la justice, affirmant que le président n’avait « jamais demandé à M. Comey ou qui que ce soit d’autre de clore aucune enquête ».  »Ce n’est pas un récit fidèle (…) de la conversation entre le président et M. Comey », a indiqué un responsable de l’administration sous couvert d’anonymat.Dans un témoignage jeudi devant le Sénat, le directeur par intérim du FBI, Andrew McCabe, avait affirmé qu’il n’y avait eu « aucune tentative » d’entraver l’enquête sur les liens possibles entre des membres de l’équipe Trump et la Russie. L’enquête visant Michael Flynn, qui est toujours en cours, est distincte de cette dernière. Michael Flynn a été contraint à la démission le 13 février pour avoir omis de révéler des contacts répétés avec l’ambassadeur russe aux Etats-Unis, dont certains auraient porté sur des sanctions américaines contre Moscou.

 

Palmarès des relations clients

Palmarès des relations clients

 

De plus en plus de robots pour répondre ou plutôt ne pas répondre aux questions des clients sans parler des plates formes situées à l’étranger. Depuis vingt-cinq ans, le cabinet The Human Consulting Group (HCG) juge, à travers un palmarès, l’accueil que réservent aux consommateurs les 200 plus importantes entreprises installées en France. La mouture 2016 place Century 21, Randstad, BMW, Rolex et Unilever dans un quinté de tête. « Mais plusieurs entreprises, en tête il y a dix ans, figurent aujourd’hui en bas du classement », alerte Fabrice Lanoë, le fondateur d’HCG, qui pointe les mesures de réduction de coûts prises dans un contexte de concurrence accrue. « Depuis la crise de 2008, la qualité des services client des entreprises ne cesse de se dégrader ». À noter en bas du classement les grandes entreprises de télécoms le plus souvent injoignable par téléphone !

Classement général de la relation client (2016)

N°1 : Century 21 (17,565 sur 20), +67 rangs par rapport à 2015
N° 2 : Randstad (17,299 sur 20) +1
N° 3 : BMW (16,030 sur 20) +1
N° 4 : Rolex (15,884 sur 20) +36
N° 5 : Unilever (15,841 sur 20) +7
N° 6 : Colgate Palmolive (15,841 sur 20) -3
N° 7 : Fauchon (15,792 sur 20) +54
N° 8 : Vente-privee.com (15,545 sur 20) +18
N° 9 : Relais et châteaux (15,372 sur 20) -1
N° 10 : Total (15,202 sur 20) +17
N° 11 : Galeries Lafayette (15,059 sur 20) +60
N° 12 : Leaseplan (15,051 sur 20) +25
N° 13 : Lactalis (14,887 sur 20) +5
N° 14 : Mercedes (14,866 sur 20) +137
N° 15 : Leroy Merlin (14,857 sur 20) +14
N° 16 : L’Oréal (14,848 sur 20) +7
N° 17 : PMU (14,726 sur 20) +131
N° 18 : Leclerc (14,722 sur 20) +63
N° 19 : Intermarché (14,621 sur 20) +58
N° 20 : Sodexo (14,565 sur 20) +39
N° 21 : Yves Rocher (14,531 sur 20) +12
N° 22 : Futuroscope (14,523 sur 20) +26
N° 23 : Bayer HEALTHCARE (14,417 sur 20) +19
N° 24 : Monoprix (14,376 sur 20) +25
N° 25 : Bouygues Immobilier (14,288 sur 20) -23
N° 26 : Pierre Fabre (14,127 sur 20) +110
N° 27 : Toyota (14,077 sur 20) -13
N° 28 : Fiat (14,047 sur 20) +70
N° 29 : Axa (14,020 sur 20) +50
N° 30 : Nestle (13,828 sur 20) +8
N° 31 : Manpower (13,800 sur 20) +151
N° 32 : Orpi (13,790 sur 20) -4
N° 33 : Beghin Say – Tereos (13,641 sur 20) +111
N° 34 : Esso (13,629 sur 20) -24
N° 35 : Montblanc (13,600 sur 20) +32
N° 36 : Mutex (13,597 sur 20) -19
N° 37 : PSA Peugeot (13,572 sur 20) -18
N° 38 : Accor (13,567 sur 20) +13
N° 39 : Bristol-Myers Squibb (13,551 sur 20) +64
N° 40 : BNP Paribas (13,346 sur 20) +52
N° 41 : Schneider Electric (13,342 sur 20) +150
N° 42 : Parc Astérix (13,304 sur 20) +57
N° 43 : Pierre & Vacances (13,299 sur 20) +42
N° 44 : Castorama (13,146 sur 20) +19
N° 45 : Yves Saint Laurent (13,054 sur 20) +48
N° 46 : Bel (13,043 sur 20) +60
N° 47 : SEB (13,010 sur 20) +15
N° 48 : Foncia (12,906 sur 20) -4
N° 49 : Danone (12,887 sur 20) -18
N° 50 : Carrefour (12,865 sur 20) -39
N° 51 : Crédit Agricole (12,864 sur 20) +67
N° 52 : Clarins (12,832 sur 20) -31
N° 53 : Philips (12,790 sur 20) +85
N° 54 : Ferrero (12,748 sur 20) -19
N° 55 : Lancôme (12,675 sur 20) +69
N° 56 : Coca Cola (12,629 sur 20) +10
N° 57 : Henkel (12,601 sur 20) -25
N° 58 : McDonald’s (12,543 sur 20) -45
N° 59 : UPS (12,470 sur 20) +5
N° 60 : BUT (12,442 sur 20) -17
N° 61 : Société Générale (12,363 sur 20) -14
N° 62 : Michelin (12,356 sur 20) +18
N° 63 : Kaufman & Broad (12,350 sur 20) -10
N° 64 : Maaf Assurances (12,235 sur 20) +67
N° 65 : Pepsico (12,214 sur 20) +110
N° 66 : Louis Vuitton (12,164 sur 20) -32
N° 67 : Fortuneo (12,157 sur 20) +37
N° 68 : Bongrain/ Savencia (12,152 sur 20) +16
N° 69 : Allianz (12,149 sur 20) +32
N° 70 : Booking.com (12,147 sur 20) +3
N° 71 : Eugène Perma (12,128 sur 20) +37
N° 72 : Shell (12,081 sur 20) +47
N° 73 : KFC (12,060 sur 20) +49
N° 74 : Speedy (12,016 sur 20) -68
N° 75 : BHV (12,010 sur 20) -60
N° 76 : Legrand (12,006 sur 20) +39
N° 77 : Boulanger (11,952 sur 20) +37
N° 78 : April (11,895 sur 20) +52
N° 79 : La Poste Mobile (11,875 sur 20) +73
N° 80 : Crédit Mutuel (11,827 sur 20) +8
N° 81 : MMA (11,761 sur 20) -59
N° 82 : LCL (11,704 sur 20) -27
N° 83 : Casino (11,658 sur 20) +13
N° 84 : Printemps (11,650 sur 20) -45
N° 85 : Baccarat (11,610 sur 20) +36
N° 86 : JPG Staples Direct (11,575 sur 20) +82
N° 87 : Auchan (11,568 sur 20) +30
N° 88 : Adecco (11,551 sur 20) +44
N° 89 : Promovacances (11,548 sur 20) +74
N° 90 : Becton Dickinson (11,536 sur 20) -66
N° 91 : JM Bruneau (11,523 sur 20) -37
N° 92 : Bourjois (11,430 sur 20) -85
N° 93 : Louvre Hotels (11,424 sur 20) +12
N° 94 : Go Sport (11,368 sur 20) +85
N° 95 : Johnson & Johnson (11,368 sur 20) -90
N° 96 : Best Western (11,356 sur 20) -27
N° 97 : Renault (11,339 sur 20) +12
N° 98 : GlaxoSmithKline (11,335 sur 20) +71
N° 99 : Bosch France (11,322 sur 20) -23
N° 100 : GDF Suez (11,316 sur 20) -48
N° 101 : Beiersdorf (11,262 sur 20) -23
N° 102 : American Express (11,202 sur 20) -30
N° 103 : Christian Dior SA (11,193 sur 20) -58
N° 104 : Pernod Ricard (11,124 sur 20) -88
N° 105 : Lastminute.com (11,112 sur 20) -35
N° 106 : Corsair (11,003 sur 20) +1
N° 107 : BNP Paribas Cardif (10,975 sur 20) +26
N° 108 : Norauto (10,963 sur 20) -67
N° 109 : CNP Assurances (10,963 sur 20) +7
N° 110 : Harmonie Mutuelle (10,932 sur 20) Pas d’évolution par rapport à 2016
N° 111 : Hennessy (10,894 sur 20) -20
N° 112 : Cartier (10,882 sur 20) -62
N°113 : Conforama (10,825 sur 20) +45
N°114 : Natixis (10,810 sur 20) -31
N°115 : Truffaut (10,724 sur 20) -95
N°116 : Arval (10,66 sur 20) +37
N°117 : Air France (10,658 sur 20) +76
N°118 : Fly (10,645 sur 20) +22
N°119 : Transavia (10,584 sur 20) -8
N°120 : Kellogg’s (10,565 sur 20) +21
N°121 : Eaton (10,480 sur 20) +5
N°122 : FedEx (10,474 sur 20) -10
N°123 : Icade Immobilier (10,429 sur 20) +14
N°124 : Nexity (10,428 sur 20) -66
N°125 : Showroom privé.com (10,426 sur 20) +18
N°126 : Décathlon (10,377 sur 20) -26
N°127 : Novartis (10,274 sur 20) +1
N°128 : HSBC (10,248 sur 20) +37
N°129 : DHL Express (10,212 sur 20) +16
N°130 : Lucien Barrière (10,141 sur 20) -36
N°131 : EDF (10,083 sur 20) +3
N°132 : ING Direct (10,079 sur 20) +14
N°133 : Bricorama (10,033 sur 20) -10
N°134 : Française des Jeux (10,018 sur 20) -59
N°135 : France Quick (10,005 sur 20) -89
N°136 : IBM (10,000 sur 20) -11
N°137 : Hewlett Packard (9,995 sur 20) +27
N°138 : TNT (9,968 sur 20) +19
N°139 : TMC (9,835 sur 20) -65
N°140 : Nouvelles Frontières (9,813 sur 20) -51
N°141 : Bridgestone (9,800 sur 20) -55
N°142 : Groupama (9,789 sur 20) -82
N°143 : Midas (9,767 sur 20) -134
N°144 : Sony (9,764 sur 20) -79
N°145 : Aviva (9,741 sur 20) +4
N°146 : Darty (9,720 sur 20) -56
N°147 : La Poste (9,696 sur 20) +7
N°148 : Procter & Gamble (9,617 sur 20) +38
N°149 : Europ Assistance (9,466 sur 20) -119
N°150 : Kronenbourg (9,465 sur 20) -114
N°151 : Sanofi Aventis (9,403 sur 20) -126
N°152 : Hermès (9,322 sur 20) +9
N°153 : Volkswagen France (9,170 sur 20) +6
N°154 : Heineken (9,140 sur 20) -98
N°155 : Club Méditerranée (9,090 sur 20) -28
N°156 : Dalkia (9,037 sur 20) -1
N°157 : Dell (8,985 sur 20) +39
N°158 : France Télévisions (8,976 sur 20) -71
N°159 : Sofinco (8,955 sur 20) +25
N°160 : Cetelem (8,951 sur 20) +21
N°161 : Disney (8,847 sur 20) -66
N°162 : Voyage-privé.com (8,830 sur 20) +14
N°163 : Haribo (8,827 sur 20) -20
N°164 : Banque Postale (8,779 sur 20) +9
N°165 : TF1 (8,744 sur 20) +33
N°166 : Plastic Omnium (8,720 sur 20) -69
N°167 : Hertz (8,683 sur 20) -32
N°168 : Generali Vie (8,625 sur 20) +6
N°169 : Complétude (8,601 sur 20) -67
N°170 : Canal+ (8,597 sur 20) -4
N°171 : Pfizer (8,563 sur 20) -21
N°172 : SFR (8,548 sur 20) +13
N°173 : Audi (8,197 sur 20)
N°174 : Chronopost (8,126 sur 20) -45
N°175 : Caisse d’Epargne (8,108 sur 20) -118
N°176 : M6 (8,094 sur 20) -63
N°177 : Free (7,861 sur 20) +13
N°178 : SNCF (7,790 sur 20) -18
N°179 : Orange (7,746 sur 20) -97
N°180 : Boursorama Banque (7,456 sur 20) -13
N°181 : Fnac (7,452 sur 20) +8
N°182 : La Lyonnaise des Eaux (7,392 sur 20) +5
N°183 : Heinz (7,236 sur 20) -10
N°184 : Groupon (7,179 sur 20) -1
N°185 : Bouygues Telecom (7,118 sur 20) -23
N°186 : Acadomia (7,113 sur 20) -15
N°187 : W9 (7,073 sur 20) -48
N°188 : Whirlpool (6,669 sur 20) -10
N°189 : GMF Assurances (6,661 sur 20) -69
N°190 : Cours Legendre (6,580 sur 20) +9
N°191 : BASF (6,519 sur 20) -44
N°192 : D8 (6,242 sur 20) -4
N°193 : Goodyear (5,989 sur 20) -51
N°194 : Veolia (5,979 sur 20) -24
N°195 : Vinci Park (5,592 sur 20) -18
N°196 : Apple (5,417 sur 20) -16
N°197 : NC Numéricable (5,342 sur 20) -2
N°198 : Altarea Cogedim (4,883 sur 20)
N°199 : Barclays (4,424 sur 20) -5
N°200 : Microsoft (4,365 sur 20) -8

Relations Poutine-Le Pen : enquête aux Etats-Unis ?

 

Relations  Poutine-Le Pen : enquête aux Etats-Unis

« En février 2016, le Front national a demandé à la Russie un prêt de 30 millions de dollars pour financer la campagne présidentielle de la chef du parti Marine Le Pen. » Cette affirmation provient des Etats-Unis. Le Canard enchaîné publie mercredi un extrait d’un courrier d’un parlementaire américain, Mike Clapper, membre du Comité permanent sur le renseignement, au directeur national du renseignement des Etats-Unis, qui coordonne toutes les agences du pays, type NSA, CIA et FBI. Dans ce document daté du 28 novembre, il demande que son pays suive de plus près les relations entre Vladimir Poutine et Marine Le Pen. Le représentant républicain de l’Ohio souhaite obtenir « des détails supplémentaires » sur cette « vaste campagne » menée par la Russie et destinée à « mener une guerre de l’information contre les Etats-Unis et d’autres pays dont les intérêts contrecarrent ceux de la Russie ». Sauf que, comme le dit l’hebdomadaire satyrique, il en connait déjà un rayon : un prêt de 30 millions de dollars a été demandé, assure-t-il et de rappeler que la candidate s’est engagée, en cas de victoire, à reconnaître la Crimée comme faisant partie du territoire russe. Marine Le Pen a déjà contracté un prêt de 9,3 millions d’euros auprès d’une banque russe, fin 2014. Un établissement « lié au Kremlin », rappelle Mike Clapper. A l’époque, le FN s’était justifié en rappelant qu’aucune banque française n’avait accepté de le financerLe Canard enchaîné a questionné le trésorier du parti, Wallerand de Saint Just sur cette nouvelle demande de prêt : « Nous n’avons pas de problèmes particuliers. Nous ne vous donnerons pas un seul détail supplémentaire. » En avril dernier, Mediapart révélait l’existence de SMS entre deux hauts responsables russes sur un appui du FN à la politique du Kremlin et la question des « financements ». Ces échanges, diffusés par des hackers russes, indiquaient notamment que Marine Le Pen avait été conviée en Crimée « comme observatrice » du référendum sur son rattachement à la Russie. Elle avait décliné l’invitation, mais les deux hommes s’étaient félicités ensuite que la dirigeante frontiste ait reconnu les résultats de ce scrutin. (JDD)

Migrants -Sommet turco-européen : l’UE doit s’imposer et non s’incliner (Hadrien Desuin, expert en relations internationales)

Migrants -Sommet turco-européen : l’UE doit s’imposer et non s’incliner (Hadrien Desuin, expert en relations internationales)

Hadrien Desuin dénonce à juste titre la soumission de l’UE vis-à-vis de la Turquie à propos de la négociation sur les migrants. (Interview Le Figaro). 

 

Angela Merkel, Donald Tusk et Ahmet Davutoglü forment le nouveau trio de tête de l’Union européenne. Chancelière allemande, président du conseil européen et premier ministre turc multiplient les rencontres et souhaitent imposer leur feuille de route aux 27 partenaires européens de nouveau réunis en sommet.

La situation migratoire est grave, l’hiver n’a pas ralenti le flux continu des migrants. Lesquels sont chaleureusement accueillis par une myriade d’associations d’extrême gauche qui ne veulent plus de frontières. Et le printemps est déjà là.

La culture consensuelle de négociation à l’allemande croit pouvoir trouver un compromis avec la Turquie malgré les nombreux faux bonds qu’elle a eu à subir par le passé. Désavouée par les élections régionales, menacée dans son propre parti, Angela Merkel a déjà annoncé qu’elle ne changera pas sa politique de «bord du gouffre». La grand-mère de l’Europe entend assumer ses erreurs passées jusqu’au bout, quitte à s’entêter. Elle compte bien poursuivre sa politique irresponsable de portes ouvertes aux réfugiés qui font une demande régulière. C’est méconnaître les effets pervers du système très généreux du «droit d’asile».

On ne peut pas négocier avec la Turquie comme on négocie avec la Suisse et le Canada. Comment peut-on faire confiance à un pays qui bafoue les droits de sa propre population et qui n’a aucun intérêt à garder sur son sol une population étrangère ?

Or, on ne peut pas négocier avec la Turquie comme on négocie avec la Suisse et le Canada. Comment peut-on faire confiance à un pays qui bafoue les droits de sa propre population et qui n’a aucun intérêt à garder sur son sol une population étrangère? La Turquie, faut-il le rappeler, est dirigée par une oligarchie autoritaire qui a verrouillé la presse et l’ensemble des corps intermédiaires. Et on voudrait en faire la gardienne humanitaire de l’Europe? Il y a quelques jours encore, le journal Zaman a été placé sous contrôle par une autorité judiciaire aux ordres. Ce n’est pas avec un nouveau chèque de 3 milliards d’euros qu’on rassasie une police aux frontières corrompues. Plus l’Allemagne donne et plus la Turquie réclame. En échangeant une demande d’asile légale contre un migrant illégal, l’Europe se lie les mains d’avance.

La Turquie est une des premières responsable du drame syrien. A ce titre, l’Europe doit sanctionner et non pas plier.

La Turquie ne se contente pas d’une aumône même chiffrée en milliards. L’Europe s’apprête à lui donner des visas. Dans un pays en guerre civile dans le quart sud-est de son territoire (le Kurdistan turc) et tout à fait «daechisé» à sa frontière avec le territoire de l’État islamique, donner des visas est parfaitement ahurissant. Ce serait doubler l’immigration illégale d’entrées légales massives. L’espace Schengen est déjà ingérable et on envisage de l’ouvrir à la Turquie? C’est folie. La Turquie est une des premières responsable du drame syrien. A ce titre, l’Europe doit sanctionner et non pas plier. Il n’y a plus d’accommodements possibles avec Ankara. Ce n’est pas avec l’appât de l’ouverture de chapitres d’adhésion à l’UE qu’on fera changer le pompier pyromane turc. On ne fait que surenchérir ses gains. Désormais il faut sanctionner la Turquie et cesser de biaiser et reculer. Sanctions économiques d’abord puisque rien n’est fait depuis un an. Sanctions politiques ensuite avec une clôture définitive des négociations d’entrée à l’UE ou un boycott du G20. Bref, il ne faut pas ouvrir les chapitres d’adhésion, il faut les fermer jusqu’à nouvel ordre. Ceci passe par un discours nettement plus ferme sur la répression anti-kurde en cours, largement responsable de la vague de réfugiés. Quant à la fédéralisation syrienne vivement combattue par Ankara mais soutenue par la Russie, il serait de bon ton également de brandir la menace d’une reconnaissance de l’autonomie kurde en Syrie. L’Europe a de multiples cartes dans son jeu pour faire évoluer la Turquie. Armement des milices kurdes syriennes, introduction des kurdes syriens au sein des négociations de Genève, sanctions économiques, gel des négociations d’adhésion… Dans le bras de fer avec la Turquie, il faut montrer ses muscles ou c’est la gifle assurée sur les deux joues.

Des Airbus pour réchauffer les relations diplomatiques entre la France et l’Iran

Des Airbus pour réchauffer les relations diplomatiques entre la France et l’Iran

Que ce soit sur le nucléaire iranien, sur la Syrie ou d’autres sujets les relations que la France entretenait avec l’Iran était relativement fraîches jusque-là pour ne pas dire glacer. La plupart des pays ont maintenant normalisé leurs relations avec l’Iran mais la France reste très frileuse. Ce qui pourrait changer la donne ses la perspectives d’un achat assez significatif d’Airbus par l’Iran. Aussi d’autres contrats dans différents domaines dans la signature pourraient être annoncés lors de la visite du président iranien en France. Quand le business permet d’adoucir la rigueur de la morale. !

 

Air France : un conseiller de Valls aux ressources humaines ou l’étatisation des relations sociales

Air France : un conseiller de Valls aux ressources humaines ou l’étatisation des relations sociales

 

 

 

Il est évident que la nomination d’un conseiller politique de Valls à Air France comme futur DRH constitue une preuve de l’étatisation des relations sociales dans cette entreprise. Le conflit d’Air France très médiatisé et donc repris en main par l’État qui souhaite mettre la pédale douce sur les restructurations nécessaires surtout à la veille d’élections politiques qui s’avèrent particulièrement délicates pour le parti socialiste. Certes l’intéressé n’est sans doute pas sans qualités mais le principe qui consiste pour un conseiller ministériel à pantoufler dans une grande entreprise à la demande du gouvernement d’une certaine manière remet en cause l’indépendance de gestion. Un proche collaborateur du premier ministre Manuel Valls va donc rejoindre Air France et succéder à la direction des ressources humaines à l’un des dirigeants de la compagnie agressés début octobre lors de l’annonce d’une nouvelle restructuration, a annoncé Air France ce mercredi. Gilles Gateau, directeur de cabinet adjoint et conseiller social de Manuel Valls, rejoindra Air France à compter du 1er novembre, a indiqué la compagnie. Son arrivée a été négociée avant les violences de la semaine passée. Depuis l’élection de François Hollande en 2012, M. Gateau était un rouage important de la politique sociale du gouvernement, d’abord en tant que directeur de cabinet de Michel Sapin au ministère du Travail (2012-2014), puis auprès du Premier ministre (2013-2015). Cet habitué des cabinets ministériels était déjà passé par la rue de Grenelle et Matignon dans les années 1990, en tant que conseiller de Martine Aubry (1991-1993) puis de Lionel Jospin (1997-2001). Il a également occupé plusieurs postes à l’ex-Agence nationale pour l’emploi (ANPE). Xavier Broseta est l’un des deux dirigeants d’Air France violemment pris à partie par des manifestants le 5 octobre lors de l’annonce d’un nouveau plan de restructuration de la compagnie prévoyant notamment la suppression de 2900 postes sur les deux ans à venir. Les images des deux hommes, vêtements en lambeaux, fuyant la vindicte de salariés en colère en escaladant des grillages, avaient fait le tour du monde, suscitant l’inquiétude des pouvoirs publics et des milieux économiques sur leur impact pour l’image de la France. L’Etat français est actionnaire à 17,6% d’Air France-KLM. Le gouvernement socialiste a apporté son soutien à la direction d’Air France mais surveille de près les démarches engagées pour renouer le dialogue avec les syndicats. La ministre de l’Ecologie Ségolène Royal, qui a la tutelle sur les Transports, a notamment estimé mercredi que la direction devrait suspendre son dernier projet de réduction d’effectifs pour permettre la reprise des discussions sur des efforts de productivité.

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