Archive pour le Tag 'rejoint'

Intox- Meta rejoint les réseaux poubelles

Intox- Meta rejoint les réseaux poubelles

Intox- Meta rejoint les réseaux poubelles dans politique trans

Pour Meta, la «DEI», c’est fini. Après McDonald’s, Ford, Jack Daniel’s ou WalMart, le géant des réseaux sociaux est la dernière entreprise américaine en date à mettre fin à ses programmes «Diversité, Egalité et Inclusion» en matière de recrutement ou de choix de ses fournisseurs, révèle le média Axios. Méta à également décidé de mettre fin à sa politique de modération des contenu et rejoint ainsi les réseaux poubelles. 

Concrètement, Meta va arrêter d’utiliser la méthode dite «Diverse slate» pour ses recrutements.

La fin des programmes DEI est le dernier gage en date du géant des réseaux sociaux envers la future administration Trump, qui arrivera au pouvoir le 20 janvier. Après avoir versé 1 million de dollars à l’équipe de transition, Meta a nommé le républicain Joel Kaplan à la tête de son département des affaires publiques, puis intégré un proche de Donald Trump, Dana White, à son conseil d’administration. Mark Zuckerberg a également annoncé cette semaine faire table rase sur les politiques de modération des propos tenus sur ses réseaux sociaux.

 

Meta rejoint les réseaux poubelles

Pour Meta, la «DEI», c’est fini. Après McDonald’s, Ford, Jack Daniel’s ou WalMart, le géant des réseaux sociaux est la dernière entreprise américaine en date à mettre fin à ses programmes «Diversité, Egalité et Inclusion» en matière de recrutement ou de choix de ses fournisseurs, révèle le média Axios. Méta à également décidé de mettre fin à sa politique de modération des contenu et rejoint ainsi les réseaux poubelles. 

Concrètement, Meta va arrêter d’utiliser la méthode dite «Diverse slate» pour ses recrutements.

La fin des programmes DEI est le dernier gage en date du géant des réseaux sociaux envers la future administration Trump, qui arrivera au pouvoir le 20 janvier. Après avoir versé 1 million de dollars à l’équipe de transition, Meta a nommé le républicain Joel Kaplan à la tête de son département des affaires publiques, puis intégré un proche de Donald Trump, Dana White, à son conseil d’administration. Mark Zuckerberg a également annoncé cette semaine faire table rase sur les politiques de modération des propos tenus sur ses réseaux sociaux.

 

La rédaction vou

Foot ligue 1: pour son centième anniversaire Monaco rejoint le PSG à la dernière minute

Foot ligue 1: pour son centième anniversaire Monaco rejoint le PSG à la dernière minute

Pour le Centenaire du club, l’AS Monaco s’impose à la dernière seconde face à Montpellier (2-1) grâce à Camara et rejoint le PSG en tête de la Ligue 1. Les Monégasques restent invaincus cette saison à trois jours de retrouver le Dinamo Zagreb en Ligue des champions.

Le Hamas a rejoint Al Qaïda dans l’horreur

Le Hamas a rejoint Al Qaïda dans l’horreur

En mettant en scène l’horreur de ses actes, l’organisation palestinienne utilise désormais la même grammaire visuelle que celle issue du 11-Septembre, explique l’écrivain et universitaire Eric Marty dans une tribune au « Monde », qui estime que les termes de « crimes de guerre » sont « insuffisants » pour caractériser l’attaque contre Israël.

Depuis le 11 septembre 2001, quelque chose retient l’attention dans ce qu’on pourrait appeler la praxis jihadiste, et qui, de ce fait, est devenu une constante : il s’agit du souci d’exhiber par des images les actes de destruction, mortification, humiliation, torture de manière à en faire un spectacle. Cela fut mis en évidence avec l’effondrement des Twin Towers en mondiovision sur fond de ciel hollywoodien, c’est-à-dire l’effondrement de ce qui pouvait, à juste titre, symboliser la puissance du mécréant et sa soudaine impuissance.
C’était, si l’on peut dire, le paradigme inaugural, signé Al-Qaida, de ce qui allait devenir une pratique politique extrêmement singulière : la réponse dialectique de l’islam politique à la société du spectacle occidentale. Nous n’avons pas fini d’en mesurer la puissance d’ironie, encore accentuée par le fait que ce spectacle était une pure image, très peu verbalisée, se passant aisément des discours traditionnels de justification ou d’explicitation.

Depuis le 11-Septembre, ce paradigme a été décliné avec un esprit de système tout à fait flagrant. Il y a bien sûr eu l’organisation Etat islamique [EI] et son sens particulièrement pervers de la mise en images de ses exactions : vidéos de décapitations, de l’assassinat par le feu d’ennemis vivants dans une cage de fer ou du lynchage sanglant de prisonniers. Peu à peu, une grammaire visuelle de la mise à mort s’est ainsi construite.

Le Hamas, jusque-là, en était resté à une action politique encore en partie modelée sur celle des mouvements de libération nationaux : une pratique dans laquelle le discours, l’argumentation, la rationalisation doctrinale des actes dominent pleinement la politique du mouvement, manifestant le souci ordinaire d’obtenir l’adhésion du plus grand nombre. Mais avec l’agression barbare du 7 octobre, le Hamas a rejoint le paradigme inauguré par Al-Qaida, affermi et consolidé par l’EI. Nous avons tous été submergés par des vidéos postées soit directement par des miliciens du Hamas, soit par des témoins de leurs exactions parmi la population de Gaza : femmes brutalisées, femmes dénudées et mortes, otages apeurés, rapts d’enfants, vidéos d’attaques…

Le message du Hamas est aussi clair que l’étaient ceux d’Al-Qaida et de l’EI : ces images actent une rupture sans retour de toute communication humaine. Ce sont des messages sans discours, ou qui donnent une place infime aux mots : ils rendent forclose et caduque toute éventuelle réponse, qui d’ailleurs ne saurait être qu’une sidération hébétée.

Muselier, en attente sans doute d’un portefeuille, rejoint  » Renaissance »

Comme d’autres, Renaud Muselier entretient avec les convictions politiques des relations assez confuses et molles. Jusque-là il appartenait au parti des « Républicains » mais s’était prononcé à plusieurs reprises pour Emmanuel Macron.

Comme d’autres encore, l’intéressé rejoint le parti au pouvoir dans l’espérance sans doute d’un Marocain. Pourtant ceux qui observent bien la politique en Provence Côte d’Azur ne lui reconnaissent pas une grande compétence et un grand charisme.Il n’est pas interdit de penser que Muselier pourrait encore changer ultérieurement après la fin du mandat de Macron pour rejoindre par exemple le parti d’Édouard Philippe. Bref, comme disait Edgar ce n’est pas la girouette qui tourne mais le vent !

«Je rejoindrai début décembre le parti Renaissance», a-t-il déclaré à l’AFP, ajoutant qu’il ferait partie du bureau exécutif de cette formation. «Je m’étais donné le temps de prendre une décision d’ici la fin de l’année sur un positionnement national», a poursuivi M. Muselier, en assurant qu’il ne se «retrouve pas dans les propos des trois candidats» à la présidence des Républicains.
À lire aussiRenaud Muselier: «L’avenir de la droite passe par le rassemblement et l’addition».

En octobre, Renaud Muselier avait dénoncé «une course vers l’extrême droite» de son ancien parti LR et avait critiqué ouvertement le candidat à la présidence du parti Éric Ciotti, soutenant qu’il avait instauré un «système politique de pressions et de menaces» dans les Alpes-Maritimes. «Le mot traître a un nouveau synonyme : Muselier. Les dictionnaires l’intégreront très prochainement. Méprisable et ridicule…», a d’ailleurs tweeté mardi M. Ciotti, en réaction à la décision de M. Muselier.

Mercato politique : Gilbert Collard rejoint Zemmour

Mercato politique : Gilbert Collard rejoint Zemmour

Gilbert Collard change aussi de maillot. Après le ralliement du député européen Jérôme Rivière, ce mercredi, suivi de près par l’ancien porte-parole de Génération identitaire, Damien Rieu, c’est au tour de l’avocat Gilbert Collard de quitter le Rassemblement national (RN) pour rejoindre Éric Zemmour. Il sera aux côtés de l’essayiste lors de sa réunion publique, ce samedi à Cannes.

 

Mercato politique : Jérôme Rivière (RN) rejoint Éric Zemmour

Mercato politique : Jérôme Rivière (RN)  rejoint Éric Zemmour

Encore un qui a fréquenté pas mal de partis politiques à droite et à l’extrême droite et un dernier ressort le rassemblement national. Cette fois il va signer chez Éric Zemmour.

 

le parlementaire, responsable du groupe Rassemblement national au Parlement européen rejoint le mouvement d’Éric Zemmour ; il  avait déjà quitté, en 2007, l’UMP pour le MPF de Philippe de Villiers, avant de rejoindre le Front national en 2015.

 

Jérôme Rivière, le président de la délégation Rassemblement national (RN) au Parlement européen, estime que : «Marine Le Pen n’est pas en situation de gagner l’élection présidentielle. La situation de la France est trop inquiétante pour participer à une campagne présidentielle en étant résigné à un échec.

L’obsession racialiste qui rejoint le racisme

L’obsession racialiste qui rejoint le racisme

La grande spécialiste de l’histoire africaine renvoie dos à dos tenants de l’universalisme et ceux de la pensée décoloniale. Dans cette controverse, chacun gagnerait à être davantage attentif au point de vue opposé, affirme-t-elle dans un entretien au « Monde ».

 

Figure fondatrice de l’histoire africaine en France, à qui l’on doit des découvertes importantes sur l’histoire coloniale et esclavagiste de l’Hexagone, Catherine Coquery-Vidrovitch publie Le Choix de l’Afrique (La Découverte, 304 pages, 22 euros) dans lequel elle revient sur son parcours hors norme mais aussi ce qui l’a poussée à travailler sur l’Afrique subsaharienne, perçue par ses pairs dans les années 1960 comme une terre sans histoire.

Quel était le contexte intellectuel de vos débuts ?

Il n’y avait pratiquement pas d’historiens travaillant sur l’Afrique subsaharienne. Seuls les anthropologues s’y intéressaient. Les Britanniques avaient créé deux chaires d’histoire africaine en 1947 – année de la première indépendance d’un pays dit du Sud, l’Inde –, l’une à la School of Oriental Studies de Londres, l’autre au Ghana. Mais en France, rien.

J’ai été engagée, au tout début des années 1960, au sein de la sixième section de l’Ecole pratique des hautes études, dirigée par Fernand Braudel (1902-1985). Avec l’Ecole des annales, il avait participé à renouveler la conception de l’histoire et il avait créé des aires géoculturelles rassemblant des chercheurs de différentes disciplines, y compris pour l’Afrique subsaharienne. C’était totalement nouveau. Pour les historiens français de l’époque, les sociétés africaines n’avaient pas d’histoire.

Quelles étaient les sources dont vous disposiez ?

Les archives sur l’Afrique subsaharienne étaient abondantes à cause du sens administratif et archivistique des colonies. Celles de l’Afrique-Occidentale française étaient rassemblées à Dakar, celles de l’Afrique-Equatoriale française à Brazzaville. Elles sont extrêmement riches à partir des années 1880. Mais ce qui m’intéressait, ce n’était pas l’histoire coloniale, celle des administrateurs et des colonisateurs, mais celle des Africains. Comment avaient-ils subi la conquête coloniale ? Qu’est-ce que cela avait changé ? Les sources écrites ne manquaient pas, mais il fallait les rassembler ; cela n’avait presque pas été fait parce qu’on pensait que les sources africaines étaient uniquement orales.

Dans votre dernier ouvrage, « Le Choix de l’Afrique », vous revenez régulièrement sur le lieu d’où vous parlez : celui d’une femme blanche, qui a eu une enfance clandestine pendant la seconde guerre mondiale. Pourquoi ?

L’objectivité, extrêmement importante pour un historien, n’existe jamais totalement. On reste toujours une personnalité fabriquée par une enfance, des influences, des opinions, qui choisit de s’intéresser à un sujet plutôt qu’un autre. Ce qui m’intéressait dans ce livre, c’était de reconstituer, après coup, pourquoi j’ai choisi l’Afrique.

Libertés: Amnesty rejoint l’islamogauchisme

Libertés: Amnesty rejoint  l’islamogauchisme

Agnès Callamard, nouvelle secrétaire générale d’Amnesty International qui a la particularité comme la plupart des radicaux de n’avoir travaillé que pour des fonds publics, bref comme fonctionnaire, donne des leçons de liberté à la France et rejoint les reproches du courant Islamo gauchiste à propos des libertés non respectées en France :

 

«Il s’agit là d’une destruction à petit feu des valeurs qui devraient fonder toute société. Il s’agit bien là d’un carton rouge (adressé à la France, ndlr), de dire «attention les derniers développements depuis quelques années et en particulier en 2020 vont dans une direction qui est extrêmement nocive, problématique, et possiblement même dangereuse pour l’ensemble des droits et libertés en France», explique Agnès Callamard. «C’est l’ensemble des valeurs de solidarité, de respect, les valeurs contre le racisme, les valeurs pour l’égalité qui sont attaquées par cet ensemble de mesures prises, on a l’impression, à la va-vite sans une grande réflexion», poursuit-elle.

 

Bref un discours très proche d’Europe écologie les Verts, des insoumis, de l’extrême gauche ou de l’UNEF mais qui discrédite en même temps le concept même de défense des libertés.

 

Climat : Biden rejoint l’accord international

Climat : Biden rejoint l’accord international

 

Trois gestes très symboliques et très significatifs de Biden pour rompre avec la politique environnementale de Trump. D’une part les États-Unis vont reprendre leur place dans l’accord mondial sur le climat. Deuxièmement Biden s’oppose à un projet d’oléoduc avec le Canada enfin il décide d’un moratoire sur l’exploitation du gaz et du pétrole dans l’Arctique.

Biden a promis de mettre les États-Unis sur la voie des émissions nettes nulles d’ici 2050 pour égaler les réductions mondiales importantes et rapides que les scientifiques jugent nécessaires pour éviter les effets les plus dévastateurs du réchauffement climatique, en utilisant des freins sur les combustibles fossiles et des investissements massifs dans énergie propre.

Le chemin ne sera pas facile, avec les divisions politiques aux États-Unis, l’opposition des sociétés de combustibles fossiles et les partenaires internationaux méfiants préoccupés par les changements de politique américaine qui font obstacle.

«Nous nous sommes beaucoup écartés ces quatre dernières années avec un négationniste du climat dans le bureau ovale», a déclaré John Podesta, conseiller de l’ancien président Barack Obama qui a contribué à l’élaboration de l’Accord de Paris de 2015. «Nous entrons sur la scène internationale avec un déficit de crédibilité.»

Les ordonnances de Biden exigent également que les agences gouvernementales envisagent de réviser les normes d’efficacité énergétique des véhicules et les réductions des émissions de méthane, et d’étudier la possibilité de repousser les limites des monuments nationaux de nature sauvage que l’administration Trump a réduits en taille.

Alors que les défenseurs de l’environnement étaient ravis des commandes, les groupes industriels et les conservateurs les ont critiqués.

Le gouverneur républicain de l’Alaska, Mike Dunleavy, s’est moqué de la décision de Biden de fermer les travaux pétroliers et gaziers dans le Arctic National Wildlife Refuge, affirmant que le nouveau président «semble tenir sa promesse de transformer l’Alaska en un grand parc national».

L’American Petroleum Institute, le principal groupe de pression de l’industrie pétrolière et gazière du pays, a déclaré qu’il pensait que le blocage de l’oléoduc Keystone XL était un «pas en arrière».

«Cette décision malavisée entravera la reprise économique américaine, sapera la sécurité énergétique nord-américaine et tendra les relations avec l’un des plus grands alliés de l’Amérique», a déclaré le président de l’API Mike Sommers.

Brian Deese, directeur du Conseil économique national de Biden, a déclaré à Reuters que les États-Unis espèrent encourager d’autres grands émetteurs à également «pousser leur ambition, alors même que nous devons démontrer notre capacité à revenir sur scène et à faire preuve de leadership».

Pete Betts, chercheur associé au groupe de réflexion londonien Chatham House qui a dirigé les négociations sur le climat pour l’Union européenne lorsque l’accord de Paris a été conclu, a déclaré que les États-Unis devront également tenir leurs promesses par des engagements financiers.

Les États-Unis sous Obama se sont engagés à verser 3 milliards de dollars au Fonds vert pour le climat pour aider les pays vulnérables à lutter contre le changement climatique. Jusqu’à présent, il n’a livré qu’un milliard de dollars.

«Les États-Unis devront mettre de l’argent sur la table et encourager les autres à faire de même», a-t-il déclaré.

Renault-Nissan : pas de fusion, Macron rejoint Valls,

Renault-Nissan : pas de fusion, Macron rejoint Valls,

 

Macron semblait favorable à une fusion entre Renault et Nissan, fusion dans l’intérêt de l’État français mais Valls, lui, s’est nettement opposé à toute opération de regroupement juridique. Du coup macro s’aligne sur la position du gouvernement. En clair la France veut maintenir l’état du rapport de force entre les deux sociétés sans aucune modification juridique et financière ; cela n’excluant pas certains rapprochements opérationnels mais dans le cadre de l’alliance actuelle. « Je suis pour deux choses, la préservation de l’alliance Renault-Nissan dans ses équilibres tels que signés en 2002, deuxièmement l’intégration opérationnelle des deux groupes », a-t-il dit au micro d’Europe 1.   »Ce n’est pas la fusion, elle n’est pas à l’ordre du jour, elle n’a pas à être à l’ordre du jour », a-t-il insisté alors que le Premier ministre, Manuel Valls, a soutenu la même position dimanche.  Un bras de fer entre le PDG de Renault et Nissan, Carlos Ghosn, et le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, s’est installé depuis la brusque montée de l’Etat au capital du groupe français en avril afin de s’assurer les droits de vote doubles prévus par la loi Florange.  Nissan considère que cette manœuvre déséquilibre l’alliance, mais Emmanuel Macron a répété mardi que la montée au capital de Renault de l’Etat était temporaire. « Nous repasserons à 15% de détention dès que les intérêts patrimoniaux des contribuables seront pleinement préservés, c’est-à-dire qu’on ne va pas perdre d’argent dans cette opération, on n’est pas loin de pouvoir le faire mais il faut le faire de manière progressive », a-t-il dit.  Le conseil d’administration de Renault n’est pas parvenu vendredi à résoudre le conflit sur la répartition des pouvoirs entre le constructeur français et Nissan, mais est tombé d’accord pour soutenir de nouvelles discussions et tenter ainsi de sortir de l’impasse sur les conditions de l’approfondissement des liens entre les deux groupes. « Le positionnement de l’Etat est à géométrie variable, entre d’un côté une envie d’accélérer pour aller vers une fusion, ensuite des propos relativement différents », a réagi mardi Fabien Gache, représentant CGT chez Renault, au cours d’une conférence de presse. « Le problème de fond, c’est que les salariés et leurs représentants sont complètement en dehors des discussions qui pourtant les concernent directement. » Reuters a rapporté fin octobre que Nissan avait formulé des propositions confidentielles pour mettre fin au contrôle de Renault, via une augmentation de sa participation dans son partenaire français et une réduction de celle de Renault, actuellement de 43,4%, dans son capital. Des sources gouvernementales et proches de l’alliance ont indiqué par ailleurs la semaine dernière que le ministre de l’Economie exhortait depuis plusieurs mois le PDG Carlos Ghosn à créer un groupe de travail conjoint pour explorer les scénarios de fusion, mais selon des termes fixés par le gouvernement. L’Etat français détient actuellement 19,7% du capital de Renault. En mars prochain, il pourra exercer les droits de vote doubles prévus par la loi Florange, alors que Nissan ne détient aucun droit de vote en vertu de l’accord de 2002.

PACA-régionales : Jean-Marie Le Pen rejoint Marion Maréchal-Le Pen

PACA-régionales  : Jean-Marie Le Pen rejoint  Marion Maréchal-Le Pen

Le fondateur du Front national Jean-Marie Le Pen a appelé vendredi ses partisans à « se rallier » à la candidature de sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen pour les élections régionales en Provence-Alpes-Côte-d’Azur.   »L’élection régionale de décembre peut et doit donner le signal d’alerte en donnant la majorité à la liste de Marion Maréchal-Le Pen, qui saura réunir derrière elle tous les patriotes et en particulier mes courageux amis, auxquels je demande de se rallier dans l’intérêt supérieur de la région Paca et de la France », a déclaré  Jean-Marie Le Pen lors de la dernière séance plénière du conseil régional de Paca. M. Le Pen a convié sa petite-fille à un déjeuner dans la foulée, en compagnie d’élus FN proches de lui et en rupture de ban avec le parti, pour la convaincre d’en intégrer certains sur les listes frontistes.  »C’est un symbole que Marion vienne au Conseil régional, au milieu des conseillers sortants, quand même », a-t-il souligné avant la séance au conseil régional. Le patriarche du Front national s’est cependant défendu d’avoir « négocié » avec  sa petite-fille : « Je n’ai pas négocié avec elle, non, je lui ai donné des conseils », a-t-il tenu à nuancer. Le conseiller régional suspendu du FN Laurent Comas, l’un des élus fidèles de Jean-Marie Le Pen prenant part à la fronde contre Marion-Maréchal Le Pen et le parti, a quant à lui indiqué vouloir « convaincre Marion de ne pas participer à un racolage, mais plutôt à un rassemblement ». « Il est évident que si Marion ne postule pas pour ce rassemblement, eh bien elle pourra dire adieu à la région et saluer la victoire d’Estrosi », a-t-il estimé. En cas d’échec des discussions sur les listes, « il est évident que nous riposterons et que nous ferons entendre notre voix, une voix de vérité. Car nous sommes des fidèles, mais des fidèles empreints de vérité« , a-t-il menacé, reprochant à Marion Maréchal Le Pen de piocher parmi des transfuges des Républicains. Jean-Marie Le Pen, exclu le 20 août après un long bras de fer avec sa fille Marine, a relancé mercredi la guérilla judiciaire avec le parti qu’il a co-fondé en 1972 en l’assignant pour demander sa réintégration.

Le Canada rejoint le front anti islamique

Le canada  rejoint le front anti islamique

 

Avec une extrême lenteur mais sûrement le front anti islamique se renforce avec le Canada ; Avec lenteur car les djihadistes continuent de progresser en particulier près de la frontière turque. Des turques, théoriquement dans la coalition anti djihadistes mais qui ne bougent pas et semblent régler des comptes avec les kurdes.  Les députés canadiens ont donc approuvé mardi l’envoi par le gouvernement canadien d’avions de chasse en Irak dans le cadre de la participation du Canada aux frappes aériennes dirigées par les Etats-Unis contre l’Etat islamique. L’autorisation, obtenue par 157 voix pour et 134 contre, a été accordée pour une durée de six mois. Le vote ne faisait pas de doute, le gouvernement conservateur disposant d’une majorité à la Chambre des communes.  Mais les deux principaux partis d’opposition avaient appelé à voter contre, estimant que le Premier ministre Stephen Harper n’avait pas donné suffisamment de précisions et risquait d’entraîner le pays dans une guerre longue. Stephen Harper a promis que le Canada ne déploierait pas de troupes au sol contre l’EI. Il a fait valoir que si l’organisation djihadiste n’était pas arrêtée, elle pourrait organiser des attentats dans le monde entier, y compris au Canada. Le groupe américain SITE, qui suit l’activité des groupes islamistes sur internet, a fait savoir mardi qu’un combattant appartenant vraisemblablement à l’EI avait appelé sur Twitter à l’organisation d’attentats au Canada. SITE indique que l’homme s’appelle Abou Khalid Al Canadi (Abou Khalid le Canadien), un patronyme qui laisse supposer que l’homme est Canadien.

 




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