Archive pour le Tag 'regrette'

Etats-Unis-Trump regrette Biden !

Etats-Unis-Trump regrette Biden !

 

 

Trempe regrette tellement l’abandon de Biden qu’il se fait son défenseur considérant qu’il a été particulièrement maltraité par le camp des démocrates ! Mesure à quel point est déboussolée par cet abandon et surtout par la perspective d’avoir à affronter Kamala Harris. Pour preuve, sa seule stratégie et son seul argumentaire est de considérer que Carmela Harris est folle. Et dans ce domaine c’est un expert !

«Ils l’ont poussé dehors, entre Pelosi, Obama et d’autres», a regretté le candidat républicain lors d’un entretien matinal sur Fox News, au téléphone.

Le rôle, en coulisse, de l’ancienne présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi et de l’ancien président Barack Obama dans le retrait de Joe Biden est largement commenté dans la presse américaine depuis plusieurs jours. «Je les regardais à la télévision, ils étaient si gentils, “Ho oui, on adore Joe, on adore Joe”. Mais dans les coulisses, je sais parfaitement qu’ils étaient brutaux» envers lui, a-t-il encore déclaré.
De là à ce que Trump porte plainte pour coups et blessures contre Biden il n’y a qu’un pas !

 

Trump regrette Biden !

 Trump regrette Biden !

 

 

Trempe regrette tellement l’abandon de Biden qu’il se fait son défenseur considérant qu’il a été particulièrement maltraité par le camp des démocrates ! Mesure à quel point est déboussolée par cet abandon et surtout par la perspective d’avoir à affronter Kamala Harris. Pour preuve, sa seule stratégie et son seul argumentaire est de considérer que Carmela Harris est folle. Et dans ce domaine c’est un expert !

«Ils l’ont poussé dehors, entre Pelosi, Obama et d’autres», a regretté le candidat républicain lors d’un entretien matinal sur Fox News, au téléphone.

Le rôle, en coulisse, de l’ancienne présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi et de l’ancien président Barack Obama dans le retrait de Joe Biden est largement commenté dans la presse américaine depuis plusieurs jours. «Je les regardais à la télévision, ils étaient si gentils, “Ho oui, on adore Joe, on adore Joe”. Mais dans les coulisses, je sais parfaitement qu’ils étaient brutaux» envers lui, a-t-il encore déclaré.
De là à ce que Trump porte plainte pour coups et blessures contre Biden il n’y a qu’un pas !

 

Tartuferie criminelle : Poutine regrette la mort de Navalny

Tartuferie criminelle : Poutine regrette la mort de Navalny

Être un demeuré profond pour croire aux propos hypocrites de Poutine-réélu avec prés de 90%-  qui dit regretter maintenant la mort de navalny!

 

La mort de l’opposant russe Navalny est un « événement triste », a en effet déclaré ce dimanche 17 mars Vladimir Poutine, quelques heures après avoir été réélu très largement à la tête de la Russie, dans une élection sans réelle opposition.

« Quant à Monsieur Navalny, il est décédé. Oui, il est décédé, c’est toujours un événement triste, mais nous avons eu d’autres cas où des personnes en prison sont décédées », a déclaré Vladimir Poutine dans un discours retransmis à la télévision publique.

Le président russe également affirmé avoir été favorable à un échange de prisonniers avec les Occidentaux incluant son principal détracteur, avant sa mort en prison dans des conditions obscures mi-février.

Le président russe Vladimir Poutine a recueilli 87% des voix à l’élection présidentielle qui s’est achevée dimanche en Russie. Les résultats de l’élection témoignent de la confiance des citoyens du pays et de leur espoir que nous ferons tout ce qui est prévu », a-t-il assuré.

Impôt : Hollande regrette de n’avoir pas suffisamment augmenté la fiscalité locale

Impôt : Hollande regrette de n’avoir pas suffisamment augmenté la fiscalité locale

En tant qu’ancien président de la république, Hollande ne regrette nullement la hausse de fiscalité. Pas davantage que ses prédécesseurs ou ses successeurs d’ailleurs. Pire, il regrette de n’avoir pas augmenté suffisamment la fiscalité locale. Il est vrai que Hollande a rajouté des couches aux couches administratives avec la nouvelle organisation territoriale qui permet de cumuler les étagères inutiles. D’abord celle des communes. Ensuite celle des communes regroupées. Ensuite celle des communautés de communes puis celle des départements et enfin des régions. Autant de structures qui n’agissent que dans des champs très limités mais perçoivent toutes le fruit de fiscalité.

Et l’ancien président de se féliciter régions « qui ont pris confiance en elles-mêmes et ont été capables de monter des projets et de faire entendre leur voix ». « C’est le conseil régional qui est devenue la collectivité territoriale qui met en œuvre les politiques publiques avec une taille et des moyens assurant leur développement », a-t-il ajouté amis

« Nous n’avons jamais été jusqu’au bout du transfert des moyens, des ressources et des compétences », a aussitôt concédé, et de manière surprenante, François Hollande. « J’ai sans doute commis les mêmes péchés que mes prédécesseurs et mon successeur avec toujours l’idée que l’Etat doit être le premier et que les régions doivent suivre », a-t-il poursuivi.

Et de regretter le manque de fiscalité en France en constatant « un Etat central aussi puissant et aussi pauvre en moyens et en ressources, qui crée une insatisfaction qui pèse sur la démocratie. Autant la centralisation constitue un « système efficace » pour les questions régaliennes (police, justice, défense, Ndlr) ; pour autant, « ce qui devient insupportable, c’est d’être entravé dans sa liberté par une tutelle technique, permanente ». « Il faut plus de liberté dans l’application des règles », a exhorté l’ex-locataire de l’Elysée.

Et de réduire la politique à la question de la fiscalité ou la philosophie classique d’un technocrate sorti de l’ENA:

« Le problème, c’est de ne plus disposer de ressources propres. Il n’y a pas d’organisation démocratique sans l’autorité d’émettre une dépense et, en contrepartie, de voter une recette. Quand une partie des citoyens ne paient plus d’impôts, il s’opère une distinction entre ces mêmes citoyens et une distance entre les citoyens et les responsables politiques », a enchaîné l’ex-président.

Un « regret » face à une situation « archaïque »et « injuste »
Il s’agit même de « l’un de [ses] regrets » : « nous avons laissé notre fiscalité locale dans un état archaïque et injuste. Il a été commode ensuite d’en supprimer un certain nombre d’éléments (taxe d’habitation, CVAE… Ndlr), mais il y a sûrement une refonte générale à mener qu’aucun gouvernement n’a menée car il y a des transferts de prélèvements qui sont extrêmement préjudiciables pour ceux qui en décident ».

Et d’asséner encore : « Qu’il n’y ait pas eu d’impôt sur le revenu additionnel et qu’il n’y ait jamais eu d’impôt économique pour les collectivités locale, quand vous ne disposez plus de la possibilité de lever l’impôt sur tous les citoyens et quand vous n’avez même plus intérêt à accueillir des habitants ou des installations économiques sur votre territoire, ça pose quand même un problème. La grande réforme à faire, c’est celle de la fiscalité locale ».

Macron : » non, rien de rien, non, je ne regrette rien ! »

Macron : » non, rien de rien, non je ne regrette rien ! »

 

Macron n’a pas chanté mais a repris les paroles de la célèbre chanson de Piaf : non, rien de rien, non, je ne regrette rien. Il a même justifié sa politique de janvier consistant à refuser toute perspective de confinement. Résultat une catastrophe sanitaire. Alors qu’on attendait pour la fin de l’année 2020 de l’ordre de 5000 contaminations par jour on est passé aujourd’hui à plus de 40 000. Sans parler des morts.

 

Le fiasco est total en matière de vaccination tout autant qu’en matière de prévention. Pourtant contrairement à Merkel qui s’est excusé pour ses erreurs de gestion de la politique sanitaire, Macron, lui, s’est vanté d’une fausse réussite.

 

Toute l’opposition a fortement critiqué l’exercice d’auto justification de macro qui frôle l’indécence.

 

«Allemagne, Danemark, Royaume-Uni… Les chefs d’État reconnaissent des erreurs sauf Macron, qui reste spectateur de ses fautes», a-t-il encore appuyé alors que la situation sanitaire se dégrade fortement. «Il y a, c’est certain, un microclimat à l’Élysée qui déconnecte son locataire de la réalité, mais à ce point…», s’est aussi inquiétée la sénatrice UDI de l’Orne Nathalie Goulet en dénonçant une discordance entre le discours politique tenu et la réalité des faits.

 

«Être pris pour des enfants de 5 ans en permanence par des incapables et des gens qui ont tout raté depuis le début de cette crise, je crois que c’est profondément humiliant et infantilisant», a vivement critiqué le numéro deux du RN, Jordan Bardella, sur BFMTV et RMC. «Parce que le virus est hors de contrôle dans nos écoles, collèges et lycées, je propose au gouvernement d’avancer et de prolonger les vacances scolaires – du 2 avril au 3 mai – pour freiner efficacement la pandémie de Covid», a répété la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, après avoir mis cette proposition sur la table, en milieu de semaine.

 

Du côté de la gauche, Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste, a dénoncé un manque d’anticipation du chef de l’État. «Les modèles n’ont jamais évoqué de flambée de Covid-19 en février mais que, sans coup de frein, le variant anglais deviendrait majoritaire et que ce serait l’explosion début avril. Nous y sommes», a-t-il déploré.

Sa collègue Valérie Rabault, présidente du groupe PS à l’Assemblée, tient, elle aussi, à rappeler que «les projections étaient très claires en janvier».

Chez les écologistes, la sénatrice EELV Esther Benbassa a ironisé sur Emmanuel Macron, «l’homme qui ne doute jamais»«J’ignore si quelqu’un d’autre aurait pu faire mieux. On nous aurait peut-être au moins épargné l’arrogance», a-t-elle souligné, rappelant que plus de 90.000 Français étaient déjà morts à cause de l’épidémie.

 

Et parmi ces 90 000 morts., certains ont été directement victime des contradictions, du flou et du manque de courage de Macron.

Benalla : Macron ne regrette rien

Benalla : Macron ne regrette rien

 

 

“C’est trop facile de regretter”, a estimé le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse à l’Elysée. “Est-ce que je pense qu’au moment où j’ai été élu, connaissant ce jeune garçon, qui avait vraiment du talent, qui s’était engagé dans ma campagne (….), est-ce que je regrette de l’avoir embauché à l’Elysée ? Non”. “Je pense que c’était extrêmement cohérent avec les valeurs que je porte, c’est sans doute pour cela que je lui en veux encore plus”, a-t-il ajouté. “Il a fait des fautes très graves (…) mais il a le droit à la présomption d’innocence”. “Quoique n’ayant jamais été protégé par l’Elysée, qui l’a sanctionné, qui l’a ensuite licencié, qui n’a jamais cherché à le protéger à l’égard de quelque service administratif (…), il n’a pas donné une bonne image”, a poursuivi Emmanuel Macron. “Donc je le regrette pour cela mais je ne regrette pas les choix qui ont été faits à d’autres moments, où je ne savais pas tout”. “Quand vous décidez d’employer quelqu’un, il y a une part de risque”, a-t-il ajouté, estimant qu’”on en avait sans doute trop fait” sur cette affaire. L’affaire Benalla a éclaté en juillet dernier avec la diffusion d’une vidéo dans laquelle l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron apparaît en train de molester des manifestants le 1er-mai 2018 à Paris.

 

Hollande regrette la TVA sociale de Sarkozy !

Hollande regrette la TVA sociale de  Sarkozy !

Un regret de Hollande qui démontre bien son désarroi en matière d’analyse économique. Voilà qu’il regrette maintenant de n’avoir pas appliqué la TVA dite sociale de Sarkozy. De quoi s’agissait-il alors ? D’une augmentation de la TVA sur la consommation qui aurait hypothéqué un peu plus le pouvoir d’achat. Certes cette TVA dite sociale existe dans certains pays mais dont les prélèvements obligatoires sont moins importants qu’en France. Or ce qui compte c’est le poids global de la fiscalité tant pour les entreprises que pour les ménages. La vérité c’est que ni Hollande, ni Sarkozy n’ont jamais été capables de s’attaquer au problème central que constitue la baisse des dépenses notamment à la réforme de l’État et que la seule solution simpliste qu’ils ont trouvée est  d’augmenter les impôts ;  malheureusement ses impôts plombent la compétitivité et la consommation. Le regret de Hollande concernant cette TVA sociale prouve s’il en était qu’il n’a encore rien compris. Si c’était à refaire, « je ne serais pas allé aussi loin, j’aurais gardé l’augmentation de la TVA décidée par Nicolas Sarkozy pour boucler le budget qu’il nous avait laissé ». C’est l’une des confessions de François Hollande dans un livre intitulé Le stage est fini, à paraître mercredi 2 septembre aux éditions Albin Michel. Le chef de l’État, qui s’est confié à la journaliste François Fressoz (Le Monde), auteure de l’ouvrage dont les bonnes feuilles sont publiées par l’AFP et L’Express, admet ainsi qu’il n’aurait pas dû revenir, dans les premiers mois de son quinquennat, sur la hausse de 1,6 point de TVA voulue par l’ancien président. La mesure, annoncée en janvier 2012, devait donc faire passer la taxe sur la valeur ajoutée à 21,2%.

Tarifs EDF: Royal regrette, et nous donc !

Tarifs EDF: Royal regrette, nous auusi !

Regrets éternels pour l’augmentation de l’électricité de la part  Royal. Des regrets qui ne changent rien. Si Ségolène veut vraiment changer les choses et préserver le pouvoir d’achat des consommateurs pressurés de partout, il faut tout de suite changer la loi. Après le gaz, l’électricité. Le Conseil d’Etat vient en effet d’annuler les tarifs réglementés d’EDF d’août 2012 à août 2013 qui touchent 27 millions de foyers. Il suit ainsi l’avis de son rapporteur public du 31 mars. Le Conseil avait été saisi par l’Anode, une association qui regroupe les fournisseurs alternatifs de gaz et d’électricité. Réagissant à cette annonce, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a évoqué une décision « très regrettable », jugeant qu’il fallait « réformer le mode de calcul » des tarifs de l’électricité. Selon le Conseil d’Etat, ces tarifs ne couvraient pas les coûts d’EDF. Ils avaient été arrêtés par le gouvernement Ayrault en juillet 2012. A l’époque, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) avait, elle-même, exprimé un avis défavorable à la trop faible hausse (+2%). Celle-ci aurait dû atteindre au moins 5,7% pour respecter les textes en vigueur.  Mais le gouvernement Ayrault, comme son prédécesseur pour le gaz, avait préféré limiter la hausse en période de crise économique.  Les ménages devraient donc payer une hausse rétroactive. C’est le gouvernement de Manuel Valls qui devra décider du montant et son application dans le temps. Il a deux mois pour le faire.  La hausse devrait être de 20 à 40 euros en moyenne sur la période concernée. Elle devrait toucher les particuliers comme les petits professionnels.

 




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