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Ukraine : Trump passe de 24 heures à 100 jours pour régler le conflit

Ukraine : Trump passe de 24 heures à 100 jours pour régler le conflit

Comme sur d’autres terrains d’action, Trump revient sur ses promesses illusoires. Ainsi pour le conflit ukrainien il avait déclaré qu’il pourrait régler l’affaire en 24 heures. En réalité il se donne désormais 100 jours après avoir désigné un chargé de mission.

Trump une fois élu montre les limites de son action et se contente de paroles:

«Zelensky veut passer un accord. Je ne sais pas si Poutine le souhaite, peut-être pas. Il devrait le faire. Je crois qu’il est en train de détruire la Russie en ne trouvant pas un règlement», a-t-il lancé dans le Bureau Ovale quelques heures après son entrée en fonction. «La Russie court au-devant de gros problèmes. Regardez l’économie, l’inflation», a-t-il ajouté. Elle dépasse, en effet, près de 9,5%, le troisième taux le plus élevé parmi les cinquante plus grandes économies du monde. La banque centrale russe a dû augmenter ses taux d’intérêt à 21%, et le rouble, la monnaie russe, a perdu 8% face au dollar en novembre.

En matière d’actions,, Donald Trump a seulement déclaré que de nouvelles sanctions contre l’économie russe sont «probables».

Donald Trump a nommé un émissaire spécial à qui il a donné cent jours, révèle ce mercredi le Wall Street Journal , pour résoudre le conflit : le général Keith Kellogg. «Presque personne pense qu’il puisse y parvenir, surtout les Russes», commente, sceptique, le quotidien américain.

La dissolution ne va pas régler la crise mais en créer une supplémentaire

La dissolution ne va pas régler la crise mais en créer une supplémentaire

Le sénateur (Les Républicains), Philippe Bas, craint, dans une tribune au « Monde », que la décision du président de la République n’entraîne une cohabitation subie et dangereuse avec le Rassemblement national, qui pourrait provoquer une succession de chocs politiques.

 

La dissolution prononcée par le président de la République, dimanche 9 juin, rend peu probable la formation d’une majorité entre forces de gouvernement. Pourquoi les électeurs du 7 juillet, date du second tour des élections législatives, désavoueraient-ils ceux du 9 juin ? Il faut donc réfléchir à ce que serait une cohabitation d’Emmanuel Macron avec l’extrême droite.

La France a l’expérience de trois cohabitations. Le gouvernement n’a pas les pleins pouvoirs. L’action gouvernementale bute sur les pouvoirs propres du président. Le premier ministre ne peut faire de référendum ou décider une dissolution, ni commander les armées, ni signer de traité, ni déclencher les pleins pouvoirs de l’article 16 de la Constitution [qui peut être activé en cas de menace grave et immédiate contre les institutions de la République], ni se substituer au président au Conseil européen. Il ne peut promulguer les lois, ni demander une seconde délibération, ni nommer seul les dirigeants de l’administration et de l’armée. Le président reste maître de l’ordre du jour du conseil des ministres.

Pour que les institutions fonctionnent, les deux têtes de l’exécutif ont instauré un rapport de force responsable entre partis de l’alternance démocratique. En 1997, Jacques Chirac président a ainsi obtenu de Lionel Jospin premier ministre ce que Mitterrand président avait imposé à Chirac premier ministre (1986). Un tiers des nominations dans les grands corps ont été réservées au chef de l’Etat. Les Français ont attendu d’eux qu’ils se respectent, respectent les institutions, s’entendent sur la politique étrangère et européenne et sur la défense nationale.




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