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Régionales- Sarkozy : ni, ni !

Régionales- Sarkozy : ni, ni !

Un NI-NI qui arrange bien Sarkozy car la question du front républicain se pose surtout au PS. Nicolas Sarkozy, président des Républicains se positionne à six semaines des élections régionales, qui auront lieu les 6 et 13 décembre prochain. En voyage à Moscou, où il a échangé avec Vladimir Poutine, l’ancien chef de l’État a affirmé sur BFMTV qu’il n’y aurait « ni rapprochement, ni front républicain » avec les socialistes pour contrer le Front national à l’issue du 1er tour, et ce malgré un sondage hissant le Front national en tête des intentions de vote pour le 1er tour« Chacun prendra ses responsabilités et analysera les résultats », a déclaré Nicolas Sarkozy depuis Moscou. « Je ferai tout pour que nos candidats gagnent parce que je ne crois pas que Mme Le Pen ait la moindre solution aux problèmes du pays« , a-t-il lancé à destination de la présidente du Front national.    »Je vois bien que le Front national fait de nous l’adversaire privilégié. Il y a deux combats emblématiques. L’un en Provence-Alpes-Côte d’Azur, où Christian Estrosi mène une campagne remarquable. L’autre dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie où Xavier Bertrand est vraiment un candidat extrêmement pugnace ».  Interrogé sur l’échange qu’il a eu la semaine passée avec Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste à propos de la cinquième participation de Marine Le Pen à l’émission Des paroles et des actes, Nicolas Sarkozy a explique ; « M. Cambadélis m’avait écrit des choses que j’ai trouvées sensées. Il considérait que ce n’était pas le rôle du service public de faire la publicité de la présidente du Front national. J’ai considéré que ce qu’il disait était raisonnable et donc, j’ai saisi avec mes amis le CSA, et la décision a été prise par le CSA. C’est très bien ainsi ».

Régionales : Un sondage fantôme pour discréditer Aubry »

Régionales : Un sondage fantôme pour discréditer Aubry »

 

 

Matignon ferait officieusement état d’un sondage qui montrerait que  martine Aubry aurait nettement de meilleurs chances dans le nord que le transparent Pierre de Saintignon. L’objectif est de mettre en difficulté politique Aubry qui ne cesse de critiquer le gouvernement ; De fait Aubry n’a pas faiat preuve d’un grand courage et pourrait le payer par une lourde défaite du PS dans le nord. Mais sa stratégie consiste à en fait porter le chapeau à Hollande. Bref quand les luttes internes appareils prennent  le pas sur l’intérêt général. Le sondage ? En fait il n’existerait pas, ce serait Une manœuvre politicarde pour affaiblir Martine Aubry, et ça vient de Matignon ». Cette accusation, c’est un très proche de la maire de Lille qui la formule. Son entourage est excédé par les méthodes des amis de Manuel Valls. Matignon est effectivement à la manœuvre, les lieutenants du Premier ministre ciblent les Aubrystes. Exemple avec ce député : « Il faut qu’ils atterrissent les copains, ils sont en train de se suicider ». Et cet élu cite le fameux sondage. « Regardez, il y a un sondage qui dit qu’elle ferait quatre points de plus que Pierre de Saintignon ». Or, ce sondage n’existe pas. Et pire, certains des amis de Manuel Valls interpellent carrément les journalistes : « Pourquoi vous ne faites pas un sondage sur une candidature de Martine Aubry ? Ça serait intéressant ». Pour eux, le résultat ne fait aucun doute, la maire de Lille ferait mieux que Pierre de Saintignon. Et ils font tout pour la faire changer d’avis, jusqu’à essayer de créer un débat sur le cas Aubry au bureau national. Pourtant, Martine Aubry le répète : elle ne remplacera pas la tête de liste PS dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Alors à quoi bon ? Là encore, les Aubrystes ont leur explication. « Si on perd la région, ils lui feront porter le chapeau. Ça évitera de mettre en lumière la responsabilité du gouvernement et de son chef, Manuel Valls ».

Sondages régionales : seulement 3 régions pour la gauche

Sondages régionales : seulement 3 régions pour la gauche

De 22 régions o passerait à 3 pour la gauche, 5 dans le meilleur des cas BVA).  Alain Rousset conserverait la région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes Donné à 36% d’intentions de vote au premier tour des régionales, le sortant PS d’Aquitaine Alain Rousset conserverait la région avec 46% d’intentions de vote au second tour, loin devant la LR Virginie Calmels (33%) et le FN Jacques Colombier (21%). Le ministre de la Défense a les coudées larges : confirmant un sondage paru le 20 octobre, BVA donne Jean-Yves Le Drian à 46% au second tour des régionales en Bretagne. Un score possible grâce au report des voix des écologistes et de la liste « Oui à la Bretagne ». Au second tour, le candidat socialiste serait dix points devant son rival des Républicains Marc Le Fur. Le bloc de gauche l’emporterait en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées Le sondage place la liste du vice-président du Front national, Louis Aliot, en tête au premier tour avec 29% des intentions de vote. Le candidat de droite Dominique Reynié, dont l’éligibilité est mise en doute, arriverait deuxième avec 20%. La socialiste Carole Delga serait troisième avec 19% des intentions de vote. La liste du maire DVG de Montpellier, Philippe Saurel, en revanche, ne passerait pas le premier tour, avec un score de 6%. Au second tour, cependant, le bloc de gauche (PS-PRG-EELV-Front de gauche) l’emporterait avec 39% des voix, devant la droite (29%) et le FN (32%).  Raz-de-marée bleu marine dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie. C’est l’information de ce sondage : les intentions de vote donnent Marine Le Pen largement en tête dans la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie pour l’élection de décembre. BVA indique que la présidente du Front national remporterait la région : au second tour, la leader frontiste obtiendrait 46% des voix, loin devant ses adversaires Xavier Bertrand (Les Républicains, 29%) et le socialiste Pierre de Saintignon (25%). D’après la même enquête, au premier tour, Marine Le Pen serait en tête avec 42% des suffrages. Suivraient Xavier Bertrand (25%) et Pierre de Saintignon (15%).  Duel serré en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Si le second tour avait lieu dimanche, le FN pourrait également l’emporter, avec un score beaucoup plus serré en Paca, où il est crédité de 37% d’intentions de vote, devant la liste de droite à 36%. La marge d’erreur étant de 2,5%, rien n’est cependant joué même si la gauche semble plus nettement distancée (27%). Au premier tour, la liste conduite par Marion Maréchal-Le Pen recueille 36% d’intentions de vote, devant celle de Christian Estrosi à 32% et celle du socialiste Christophe Castaner à 16%.  La droite, qui ne dirige actuellement qu’une seule région, l’Alsace, en raflerait sept en sortant victorieuse de triangulaires des autres

Sondage régionales : 7 régions à droite, 3 à gauche et 2 au FN (BVA)

Sondage régionales : 7 régions à droite, 3 à gauche et 2 au FN (BVA)

 

Dans le Nord c’est à peu près sûr pour le FN, en Paca probable mais pas certain. Le reste sera très serré la droite remporterait sept régions, la gauche en garderait trois et le Front national en conquerrait deux, selon l’institut de sondages BVA, qui insiste toutefois sur la marge d’incertitude très importante qui pèse sur les résultats pour quatre régions. Au second tour, le 13 décembre, le PS et ses alliés garderaient assez facilement la Bretagne, Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes et Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, avec au moins dix points d’écart par rapport à la droite, selon cette étude d’opinion publiée, aujourd’hui, par des quotidiens régionaux. Les Républicains et leurs alliés centristes remporteraient quant à eux un peu moins aisément quatre régions, Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, Centre-Val de Loire, Pays de la Loire et Auvergne-Rhône-Alpes, ajoute le sondeur. Le résultat serait très serré en Normandie, Ile-de-France et Bourgogne-France-Comté, que BVA attribue à la droite mais avec deux points d’écart seulement sur la gauche et classe donc en ballottage. La présidente du Front national, Marine Le Pen, serait assurée de conquérir le Nord-Pas-de-Calais-Picardie avec 46% des voix au second tour, contre 29% à la droite et 25% à la gauche. Sa nièce, Marion Maréchal-Le Pen arriverait en tête en Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec 37% des voix, mais la marge est très faible (36% à la droite et 27% à la gauche).  Au total, en France métropolitaine (la Corse ne fait toutefois pas partie de l’étude), les listes de gauche et de droite font jeu égal (36%) et le FN ferait 28% des voix.

Sondage Régionales : Jean-Yves Le Drian gagnant en Bretagne

Sondage Régionales : Jean-Yves Le Drian gagnant en Bretagne

Selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTélé et Sud Radio, publié mardi, l’actuel ministre de la Défense serait en tête au premier et au second tour. Le 6 décembre, sa liste terminerait devant celle de son rival de droite Marc Le Fur : 32% des intentions de vote contre 27%. Le Front national récolterait 16% des suffrages. Suivraient la liste du Mouvement Bretagne et Progrès (8%), celle d’EELV (7,5%), puis du Front de gauche (6,5%)… Le second tour tournerait également à l’avantage de Jean-Yves Le Drian. Soutenu par les écologistes et le Front de gauche, le socialiste obtiendrait 46% des voix, devant celle des Républicains et de l’UDI, soutenue par le MoDem (36%) et du Front national (18%). « L’équation personnelle de Jean-Yves Le Drian joue à plein », résume le directeur général adjoint de l’Ifop, Frédéric Dabi, sur le site de Paris Match.

Sondage régionales : Les Républicains devant le FN

 

Sondage régionales : Les Républicains devant le FN

Dans un sondage. Sipa Les Républicains-UDI recueillent 30% des intentions de votes au premier tour des élections régionales, distançant le Front national, crédité de 26%, le PS arrivant troisième avec 23%, d’après un sondage Elabe pour le site Atlantico publié samedi. A la question: « Si le premier tour des élections régionales avait lieu dimanche prochain, pour laquelle des listes suivantes voteriez-vous? », 30% des personnes interrogées (+3 par rapport à début octobre) s’orientent vers les listes LR-UDI, devant le FN avec 26% (=) et le PS avec 23% (+0,5). Derrière, aucune autre liste ne dépasse les 10% d’intentions de vote. EELV obtient 8,5% (=), devant le Front de Gauche, à 5% (-1), et le parti de Nicolas Dupont-Aignan, Debout la France, à 3% (=). Aux régionales, une liste peut fusionner avec une autre si elle obtient au moins 5% des suffrages exprimés et se maintenir au second tour si elle fait plus de 10%. Au total, l’ensemble de la gauche comptabilise 38% (-0,5) des intentions de vote exprimées, devant l’union de la droite et du centre avec 33,5% (+2, en additionnant les listes LR-UDI, MoDem et Debout la France). Le sondage établit un rapport de forces national, qui ne permet pas une analyse des intentions de vote par région. S’agissant de la participation, 40% des personnes interrogées se disent « tout à fait certaines d’aller voter » au premier tour, le 6 décembre.

Régionales : Le Drian candidat en Bretagne

Régionales : Le Drian candidat  en Bretagne

 

Hollande fera-t-il une exception pour le ministre le plus populaire du gouvernement ? C’est possible. Jean-Yves Le Drian pourrait demeurer ministre tout en étant élu à la tête de la Bretagne aux régionales.  »Si les Bretonnes et les Bretons m’accordent leur confiance, je serai et resterai président de la région », a-t-il déclaré, lors d’une déclaration solennelle organisée dans un restaurant du front de mer à Guidel-Plage, près de Lorient.  »En 2012, je l’avais déjà dit : la Bretagne m’a fait et je ferai toujours le choix de la Bretagne. Aujourd’hui, je veux rendre à la Bretagne tout ce qu’elle m’a donné. Fidèle à ma parole, je suis au rendez-vous. J’ai décidé d’être candidat à la présidence de la région Bretagne », a poursuivi le ministre de la Défense. Abordant la question de sa double casquette de ministre de la Défense et de candidat à la présidence de la région, Jean-Yves Le Drian a assuré que conformément à la demande de François Hollande et « eu égard aux circonstances exceptionnelles que vous connaissez tous », il resterait « pleinement ministre de la Défense pendant le temps de la campagne électorale ». « J’accomplirai mon devoir », a-t-il renchéri.  Quittera-t-il ce poste en cas d’élection? Assurant qu’il « serai(t) et resterai(t) président de la région Bretagne », en cas d’élection, le ministre n’a toutefois pas levé les interrogations sur un possible cumul de cette fonction avec son mandat ministériel.  »Je connais les règles relatives au cumul. J’assume mes responsabilités. Il reviendra au président de la République de prendre, le moment venu, les décisions qui conviennent », a-t-il simplement affirmé.   »Vous connaissez la règle! On ne peut pas être président de région, maire d’une grande ville, et être membre du gouvernement », avait rappelé la veille Manuel Valls sur RMC et BFMTV.

Référendum régionales PS : un bide annoncé

Référendum régionales PS : un bide annoncé

C’est forcément le bide certain pour ce curieux référendum, d’abord la question n’a pas de sens. « Voulez-vous l’union de la gauche pour les régionales » ? La réponse est évidemment oui mais pas sans condition. Du coup aucune interprétation sérieuse ne pourra être faite de cette bizarre consultation. D’autant plus que la participation sera très faible. Et pour cause, 70% des Français (et 52% des sympathisants PS) n’ont pas entendu parler du référendum que le PS organise ce week-end sur les marchés et sur Internet, selon un sondage pour iTélé et Paris Match.   Plus d’un sympathisant socialiste sur deux (52%) n’a « pas entendu parler » du « référendum » sur l’unité de la gauche en vue des régionales organisé par le Parti socialiste, selon un sondage Odoxa pour l’émission CQFD sur iTélé et Paris-Match publié vendredi.  Si on considère l’ensemble des Français interrogés, le pourcentage de sondés n’ayant pas entendu parler de cette consultation grimpe à 70%, 9% sachant précisément de quoi il retourne. 50% des sympathisants PS pensent que l’organisation de cette consultation « permettra de rassembler efficacement la gauche dès le premier tour des élections régionales », un résultat en baisse de 14 points par rapport au précédent sondage de ce type publié le 26 septembre dernier. Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, escompte quelque 200.000 votants, contre 300.000 initialement, afin de répondre à la question : « Face à la droite et à l’extrême droite, souhaitez-vous l’unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales? » Seuls le PS et les nombreux partis écolo-centristes favorables au gouvernement ont appelé à participer à ce référendum.

 

Élections régionales PACA : Les dissidents ne veulent pas figurer sur la liste officielle du FN

Élections régionales  PACA : Les dissidents ne veulent pas figurer sur la liste officielle du FN

Malgré leur dévotion pour Jean-Marie Le Pen, les frondeurs du FN rejettent en bloc le parti de Marine Le Pen. Le geste d’apaisement du « Menhir » ne devrait pas éviter les listes dissidentes aux élections régionales en décembre prochain.  »C’est une ultime tentative de conciliation de la part de M. Le Pen », confie Lydia Schenardi, à RTL.fr à la sortie du déjeuner. Pour la conseillère régionale du Front national en PACA, Jean-Marie Le Pen a consenti à ce dernier effort pour se « dédouaner de toute responsabilité » dans le conflit qui déchire le Front dans le Sud-est. Pour cette élue historique du FN dans les Alpes-Maritimes, l’annonce et le déjeuner du vendredi 16 octobre ne sont que de « l’habillage » car Jean-Marie Le Pen savait que cette main tendue était désespéré. « Il n’y a pas de conciliation possible », assène celle qui fait partie du premier cercle du cofondateur du FN depuis près de trente ans. Écœurée par la nouvelle ligne du Front nationale de Marine Le Pen et Florian Philippot, elle souhaite désormais faire campagne auprès de Jacques Bompard : « Nous n’attendons pas l’aumône de Madame Le Pen [Marion Maréchal] après avoir été traités d’aigris et de logiciels périmés. » Dans les Alpes-Maritimes, bastion des légitimistes du FN, le candidat investi par Marion Maréchal-Le Pen cristallise le conflit. « Il est hors de question que je rallie les listes d’Olivier Bettati alors qu’il a appelé à voter Modem ou PS pour contrer le FN par le passé », s’insurge Jean-Jacques Guitard, conseiller municipal à Beausoleil (Alpes-Maritimes).  L’ancien adjoint de Christian Estrosi incarne les rancœurs des militants historiques : « Nous ne voulons pas de quelqu’un d’étranger au FN pour mener les listes dans le département », martèle Lydia Schenardi.  Les frondeurs de l’extrême droite sont désormais prêts à en découdre avec un FN qu’ils ne reconnaissent plus. « Aujourd’hui, c’est devenu un parti fourre-tout, aseptisé, qui cherche à gagner des voix au détriment du combat national », attaque Jean-Jacques Guitard. Si cet élu local explique qu’il « comprend et respecte » la décision de Jean-Marie Le Pen, la rupture est consommée : « Je suis très déçu mais la fracture est désormais trop grande. » Même au second tour des élections régionales, il ne soutiendra pas les listes officielles du Front national. . Les listes départementales du Front national doivent toutes être validées par la Commission nationale d’investiture, au siège du FN, et « là c’est Marine qui a le dernier mot« , reconnaît un membre de l’équipe de campagne. Pour certains des frondeurs, la présidente du Front national aurait fait avorter toutes les tentatives de conciliation de façon très calculée. Marine Le Pen ne souhaiterait pas voir triompher sa nièce en PACA alors qu’elle n’est pas sûre de remporter les élections en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.

 

PACA-régionales : Jean-Marie Le Pen rejoint Marion Maréchal-Le Pen

PACA-régionales  : Jean-Marie Le Pen rejoint  Marion Maréchal-Le Pen

Le fondateur du Front national Jean-Marie Le Pen a appelé vendredi ses partisans à « se rallier » à la candidature de sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen pour les élections régionales en Provence-Alpes-Côte-d’Azur.   »L’élection régionale de décembre peut et doit donner le signal d’alerte en donnant la majorité à la liste de Marion Maréchal-Le Pen, qui saura réunir derrière elle tous les patriotes et en particulier mes courageux amis, auxquels je demande de se rallier dans l’intérêt supérieur de la région Paca et de la France », a déclaré  Jean-Marie Le Pen lors de la dernière séance plénière du conseil régional de Paca. M. Le Pen a convié sa petite-fille à un déjeuner dans la foulée, en compagnie d’élus FN proches de lui et en rupture de ban avec le parti, pour la convaincre d’en intégrer certains sur les listes frontistes.  »C’est un symbole que Marion vienne au Conseil régional, au milieu des conseillers sortants, quand même », a-t-il souligné avant la séance au conseil régional. Le patriarche du Front national s’est cependant défendu d’avoir « négocié » avec  sa petite-fille : « Je n’ai pas négocié avec elle, non, je lui ai donné des conseils », a-t-il tenu à nuancer. Le conseiller régional suspendu du FN Laurent Comas, l’un des élus fidèles de Jean-Marie Le Pen prenant part à la fronde contre Marion-Maréchal Le Pen et le parti, a quant à lui indiqué vouloir « convaincre Marion de ne pas participer à un racolage, mais plutôt à un rassemblement ». « Il est évident que si Marion ne postule pas pour ce rassemblement, eh bien elle pourra dire adieu à la région et saluer la victoire d’Estrosi », a-t-il estimé. En cas d’échec des discussions sur les listes, « il est évident que nous riposterons et que nous ferons entendre notre voix, une voix de vérité. Car nous sommes des fidèles, mais des fidèles empreints de vérité« , a-t-il menacé, reprochant à Marion Maréchal Le Pen de piocher parmi des transfuges des Républicains. Jean-Marie Le Pen, exclu le 20 août après un long bras de fer avec sa fille Marine, a relancé mercredi la guérilla judiciaire avec le parti qu’il a co-fondé en 1972 en l’assignant pour demander sa réintégration.

Régionales : Aubry se dégonfle

Régionales : Aubry se dégonfle

Il n’y a pas d’autres mots pour qualifier la de Martine Aubry très véhémente par rapport au manque de courage du gouvernement mais qui fuit sa responsabilité dans son propre fief. En réalité Martine Aubry, par ailleurs énarque, à hérité du fauteuil de Pierre Mauroy dans le nord sans faire beaucoup d’efforts. Elle connaît pourtant l’État du rapport de force dans sa région où  la gauche risque d’arriver en troisième position. De ce point de vue l’attitude de Martine Aubry est souvent ambiguë. Très critique vis-à-vis de la politique menée par Hollande et soutenue par le PS, au dernier moment elle a rejoint la majorité du parti socialiste tout en regrettant maintenant que son ralliement des services à rien. Alors qu’à moins de deux mois des régionales, Martine Aubry a donc réaffirmé vendredi qu’elle n’irait pas. « Ceux qui continuent à défendre cette petite musique sont ceux qui ne souhaitent pas la victoire de Pierre de Saintignon, dénonce-t-elle dans Le Monde, qui écrit que la maire de Lille « ne sait plus sur quel ton le dire ». Critiquant ce qu’elle appelle des « bruits de cour parisiens », Martine Aubry lance à ses camarades : « C’est plutôt pénible. Ils feraient mieux de bosser dans leurs ministères. » « Je serai à ses côtés. Je n’ai aucun doute sur le choix du candidat » fait par les militants socialistes, déclarait déjà l’ancienne ministre lors de sa conférence de presse de rentrée fin septembre. « Est-ce qu’on peut vraiment dire que Mme Le Pen monte dans le Nord-Pas-de-Calais parce que Mme Aubry ne s’est pas présentée? », renchérissait-elle récemment sur France Inter, disant « halluciner » de « la petite musique » des régionales. Malgré tout, face à la faible notoriété nationale de la tête de liste PS, opposé à Xavier Bertrand (LR) et Marine Le Pen (FN), certains n’en démordent pas. « Avec Pierre de Saintignon, nos chances sont très faibles », confie Manuel Valls en privé selon Le Monde. Le Premier ministre évoque une situation à « très haut risque » pour la gauche. « Je pense vraiment que Martine Aubry devrait y aller », indique au JDD.fr un proche de François Hollande. Mais cette issue ne serait-elle pas en quelque sorte un aveu d’échec? « Combattre Marine Le Pen n’est pas un acte de faiblesse, mais un acte de courage. Si j’étais François Hollande, j’irais faire un tour à Lille lui dire : ‘fais-le’ », ajoute-t-il, tout en affirmant parler là en son nom propre.

Morano évincée des élections régionales

Morano évincée des élections régionales

 

Morano grisée par son exposition médiatique a refusé de s’excuser par écrit de ses propos racistes comme lui demander Sarkozy. Du coup elle est évincée de la liste des républicains aux régionales. Son entêtement pourrait lui coûter très cher dans la mesure où on ne voit pas quelle courant du parti aurait vraiment envie de récupérer cette provocatrice à la fois haineuse et idiote sa place serait davantage au Front National qui n’en veut même pas. La Commission nationale d’investiture des Républicains a retiré mercredi à Nadine Morano la tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales de décembre, une décision qui sanctionne ses propos sur la France, pays « de race blanche ». Cette éviction, confirmée par le parti dans un communiqué, a été votée à l’unanimité moins trois abstentions par la Commission d’investiture, composée de 26 membres. « La CNI a pris acte avec regret du refus de Nadine Morano de revenir sur ses propos comme il le lui avait été demandé à plusieurs reprises », peut-on lire dans ce communiqué.  Nadine Morano, qui est vice-présidente de l’instance, était absente lors de la réunion. Députée européenne, elle se trouvait à Strasbourg pour l’intervention d’Angela Merkel et François Hollande devant le Parlement européen. Nicolas Sarkozy avait accordé mardi soir à l’élue une dernière chance, lui demandant de formuler des regrets dans une lettre avant la réunion de la CNI, ce qu’elle n’a pas fait, ne reniant rien de ses propos. Nadine Morano sera remplacée par Valérie Debord, ex-députée de Meurthe-et-Moselle. Selon un participant au comité exécutif du parti qui a précédé la CNI, Nicolas Sarkozy a estimé qu’il fallait sacrifier Nadine Morano, même si elle avait présenté ses excuses. Philippe Richert, tête de liste des Républicains aux élections régionales dans le Grand Est, a en effet annoncé aux instances nationales de sa formation qu’il démissionnerait si elle gardait son investiture en Meurthe-et-Moselle. « Richert m’a dit : ‘Si Morano est investie, c’est sans nous. J’ai la lettre de démission des têtes de liste de cette région sur mon bureau’ », a déclaré Nicolas Sarkozy selon ce participant. « Mieux vaut une crise passagère et investir à long terme. On a la responsabilité de porter l’alternance », aurait-il ajouté.

Régionales Ile de France : la droite favorite

Régionales Ile de France :  la droite favorite

D’après un sondage Odoxa le PS aurait un retard de 10 points au premier tour sur la droite pour les élections régionales en Nile  de France. En fait l’effet  Bartolone a fait flop. Il n’a pas du tout changé le rapport de force par rapport à Jean-Paul Huchon l’ancien président socialiste de la région parisienne. Il faut bien convenir que Bartolone n’est pas un perdreau de l’année, c’est même un vieux crocodile de la politique qui a navigué entre des positions radicales (avec Fabius par rapport à l’Europe à un moment donné) et des positions beaucoup plus réformistes lorsqu’il assumait des fonctions de gestion. On peut même dire d’un certain point de vue que Bartolone cristallise sur lui toutes les contradictions du PS. D’un milieu bourgeois, comme Fabius, il défend dans ses campagnes des propositions relativement radicales et gauchisantes = mais sitôt parvenu au pouvoir se plie aux impératifs de gestion et à la pensée unique. En face Valérie Pécresse qui ne brille pourtant pas par son intelligence donne au moins l’idée d’une certaine jeunesse et d’un certain dynamisme. De toute évidence le PS a fait une erreur de casting pour sept élections régionales. Ensuite parce que la gauche y est chez elle depuis dix-sept ans. Mais le fief conquis par Jean-Paul Huchon en 1998 s’effrite scrutin après scrutin, et la victoire d’Anne Hidalgo à Paris aux municipales de 2014 masque mal les revers symboliques du PS et de ses alliés dans l’ancienne banlieue rouge, en Seine-Saint-Denis notamment. Notre sondage exclusif Odoxa pour BFMTV et « le Parisien »- « Aujourd’hui en France » révèle que si les élections avaient lieu dimanche prochain, la droite menée par Valérie Pécresse reprendrait la région.  C’était pourtant le pari des socialistes, en exfiltrant sans ménagement en mai un Huchon jugé à bout de souffle après trois mandats, au profit du président de l’Assemblée nationale. Pour l’instant, c’est raté : crédité de 24 % des intentions de vote au 1er tour, Claude Bartolone accuse un retard de 10 points sur Pécresse et ses alliés centristes UDI et MoDem (34 %). Au second tour, elle l’emporterait avec 3 points d’avance (41 % contre 38), dans une triangulaire avec le FN. « Etonnamment, le poids politique apporté par le président de l’Assemblée, 4e personnage de l’Etat, ne fournit aucun bénéfice à la liste socialiste, commente Gaël Sliman, directeur d’Odoxa. Ainsi, dans des enquêtes d’intentions de vote réalisées par Ifop en avril avant son investiture, tant Huchon que Marie-Pierre de la Gontrie — sa rivale d’alors au sein du PS — enregistraient face à Pécresse des scores équivalents à ceux réalisés actuellement par le « sauveur » Bartolone. Plusieurs explications à ce patinage des socialistes. D’abord, l’effet de l’impopularité du pouvoir. Plus d’un électeur sur quatre (27 %), souligne notre sondage, votera en décembre pour sanctionner Hollande et le gouvernement. Deuxième facteur, la faiblesse du reste de la gauche. Si le communiste Pierre Laurent se maintient à un bon niveau, les écolos s’écroulent, alors qu’aux précédentes régionales de 2010 Cécile Duflot avait fait jeu égal avec Huchon au 1er tour. Avec un petit 6 %, Emmanuelle Cosse paye les querelles intestines qui déboussolent les Verts… e t leurs électeurs. Du coup, même si Bartolone peut compter sur un bon report de voix d’EELV et du Front de gauche au 2nd tour, cela risque de ne pas suffire.

Régionales : LR, un petit point devant le FN

Régionales : LR devant le FN

selon un sondage pour Marianne l’union les républicains et UDI se trouveraient en tête mais tout juste de front devant le front national. Quand on connaît la marge d’erreur des sondages rien ne paraît donc définitif. Selon cette étude, les listes LR-UDI sont créditées de 27% des intentions de vote, un point devant celles du Front national (26%).  Les listes estampillées Parti socialiste et alliés arrivent quant à elles en troisième position, avec 22,5% des intentions de vote. Suivent les listes EELV, créditées de 8,5% des intentions de vote, et les listes Front de gauche (6%).   »S’il devait se vérifier au soir du 6 décembre, et sans présager d’une évolution possible de l’offre électorale d’ici à la campagne officielle, ce rapport de force national s’avère annonciateur d’un entre-deux tours potentiellement douloureux pour la gauche », écrit dans un communiqué le directeur des études politiques d’Elabe. D’après ce sondage, la gauche totaliserait 38,5% des intentions de vote au premier tour des régionales (listes Front de gauche, PS, EELV et divers gauche), contre 31,5% pour la droite et le centre (listes LR-UDI, Modem et Debout la France).

Régionales : « Nadine Morano doit démissionner  » (Sarkozy)

Régionales :   »Nadine Morano doit démissionner  » (Sarkozy)

Sarkozy va saisir la Commission nationale d’Investiture « pour lui proposer de retirer l’investiture en Meurthe-et-Moselle à Nadine Morano.

« Ses derniers propos ne correspondent ni à la réalité de ce qu’est la France ni aux valeurs défendues par les Républicains. Que tous ceux qui cherchent par leur déclaration à s’assurer une publicité qui nuit à la crédibilité des Républicains comprennent que cela ne peut pas rester sans conséquence ».

Nadine Morano ne sera donc bientôt plus tête de liste en Meurthe-et-Moselle. Le patron a tranché. Un Nicolas Sarkozy d’autant plus mécontent peut-être qu’il était aujourd’hui sur tout autre chose : une grande interview au journal Les Echos mercredi matin pour expliquer son programme économique, une journée de travail de son parti pour relayer ses propositions en matière de droit du travail, et un vote des adhérents pour les adopter. Tout était prêt pour permettre au président des Républicains de peaufiner son profil de réformateur et de rééquilibrer son image, autoritaire, identitaire, sécuritaire véhiculée ces dernières semaines. Une séquence rééquilibrage qui vole en éclat sous les coups de boutoir de l’ex-groupie sarkozyste.   Sur France Info à la mi-journée, Philippe Richert a appuyé son propos en expliquant : « Nadine Morano essaie de s’organiser un créneau pour exister dans la campagne aux primaires du parti Les Républicains. C’est pas possible« . Et il indique avoir essayé de joindre l’intéressée à plusieurs reprises pour en discuter. Sans succès.

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