Archive pour le Tag 'régimes'

Les palestiniens véritables victimes du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Les palestiniens véritables otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes


Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le Hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Politique-Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Politique-Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Ultimatum au Niger : la CEDEAO partagée entre les démocrates et les régimes militaires

Ultimatum au Niger : la CEDEAO partagée entre les démocrates et les régimes militaires


La situation au Niger donne sans doute l’occasion de faire émerger clairement les clivages politiques et idéologiques entre les partisans de la démocratie et les régimes autoritaires dirigés par des militaires.

Ainsi dans le camp des pays en faveur de l’intervention de la CEDEAO on trouve notamment la Côte d’Ivoire, le Sénégal et le Nigéria où les démocraties sont bien ancrées. À l’inverse, le Burkina Faso, le Mali, le Niger bien sûr mais aussi l’Algérie s’oppose à toute intervention. Ces derniers pays sont tous dans les mains des militaires et évidemment ne souhaitent pas le retour d’un fonctionnement constitutionnel démocratique. Ce clivage est très profond. Il y a d’un côté les pays qui même avec quelques difficultés veulent sortir des démocraties à l’ancienne caractérisée par le maintien au pouvoir de présidents à vie ou de la vie politique sous tutelle de militaires.

De l’autre côté, il y a ceux qui considèrent la force militaire comme le meilleur moyen de la régulation de la vie politique. Finalement qui sont partisans d’un régime de type russe avec dictature, répression et corruption. Soit le retour au mythe des régimes communistes durs qui avaient séduit nombre de pays africains à un moment donné après l’indépendance. Le problème c’est que ces régimes sous prétexte de souveraineté sont encore plus inégalitaires que précédemment, plus pauvres mais aussi finalement davantage sous tutelle extérieure comme celle de la Russie et la Chine.

Retraites: décrets pour la fin des régimes spéciaux… pour les nouveaux embauchés

Retraites: décrets pour la fin des régimes spéciaux… pour les nouveaux embauchés

Grâce à la clause dite du grand-père, la fin des régimes spéciaux qui vient d’être actée dans des décrets ne concernera que les nouveaux embauchés. Autant dire que les effets financiers significatifs de la réforme se feront ressentir à très long terme d’ici 25 à 30 ans.

Dimanche, la publication des décrets d’application au Journal officiel a acté la fin des régimes spéciaux pour les agents de la RATP, des industries électriques et gazières (EDF, Engie, ERDF…), des clercs de notaire et de la Banque de France. À compter du 1er septembre 2023, les nouveaux entrants seront ainsi affiliés au régime général des retraites, adopté à l’issue de plusieurs mois de conflit social. Comme le prévoit la fameuse « clause du grand-père », déjà retenue pour la réforme de la SNCF en 2018, les salariés actuels de ces branches continueront de bénéficier de leurs avantages, mais seront eux aussi concernés par le décalage progressif de deux ans de l’âge légal de départ en retraite (à partir du 1er janvier 2025) et l’accélération de la réforme Touraine de 2014.

Ukraine : Pour des sanctions contre les régimes africains fantoches manœuvrés par la Russie

Ukraine : Pour des sanctions contre les régimes africains fantoches manœuvrés par la Russie

Certains « Etats criminels » du continent sont utilisés par Moscou comme « réservoirs de ressources naturelles et humaines pour soutenir son effort de guerre », analyse Nathalia Dukhan, de l’organisation The Sentry.

 

Tribune.

 

Pour contrer l’invasion russe de l’Ukraine, les pays membres de l’OTAN ont choisi de livrer une guerre économique agressive à la Russie. Ils devraient également appliquer des sanctions ciblées contre les kleptocraties africaines alliées du Kremlin et sous influence de l’armée de l’ombre de Vladimir Poutine, le Groupe Wagner. Ces mesures viseraient à combattre la montée en puissance d’Etats criminels, satellites de la Russie, utilisés comme des réservoirs de ressources naturelles et humaines pour soutenir, à long terme, l’effort de guerre russe.

En retrait depuis la chute de l’empire soviétique, le Kremlin a renforcé son activité diplomatique sur le continent africain à partir de 2017, en promouvant un discours très anti-occidental et des accords de type « armes et protection contre ressources minières et stratégiques ». Ce rapprochement, confirmé par le premier sommet Russie-Afrique, qui s’est tenu à Sotchi en octobre 2019, n’a rien d’anodin.

Historiquement, l’Afrique a surtout été considérée pour ses réserves de ressources stratégiques. Sur fond de pillage colonial exercé par les puissances européennes, le continent a joué un rôle essentiel au cours de la seconde guerre mondiale en participant à l’effort de guerre aux côtés des pays alliés. Avec la menace d’une troisième guerre mondiale, le Kremlin entend lui aussi s’assurer d’une contribution africaine.

C’est ainsi que la Centrafrique, longtemps considérée comme un pré-carré français, a fait son entrée en 2018 dans la sphère d’influence russe. Ce pays riche en ressources naturelles, classé 188 sur 189 selon l’indice de développement humain et décimé par deux décennies de conflits armés meurtriers, est devenu en quatre ans un modèle que Moscou entend exporter à d’autres pays africains. Estimée à quelque 2 000 hommes, la présence du Groupe Wagner y a profondément modifié le paysage politico-sécuritaire et économique.

The Sentry, l’organisation pour laquelle je travaille, a confirmé le financement par le groupe russe de vastes campagnes de propagande anti-françaises, anti-ONU et anti-occidentaux. Au cours de l’année 2020, un véritable hold-up électoral s’est joué, sur fond de guerre d’influences, forçant le second mandat du président Faustin-Archange Touadéra et une quasi-mise sous tutelle du pays par le Groupe Wagner.

I

La croissance: Enjeu pour tous les régimes politiques

 La croissance:  Enjeu pour tous les régimes politiques 

 

 

L’économiste Thomas Philippon, ancien conseiller de Pierre Moscovici à Bercy, professeur à la New York University, explique que les deux tiers de la croissance aujourd’hui proviennent des services, de la santé et de l’éducation, qui polluent moins que l’industrie. Mais la croissance est, à ses yeux, un enjeu de survie pour tous les régimes politiques.(Interview dans Le Monde , l extrait)

Les démocraties ont-elles absolument besoin de croissance économique pour survivre ?

Oui, les démocraties ont besoin de croissance, car la croissance et le pouvoir d’achat, c’est la même chose, surtout en France, où les inégalités n’ont pas augmenté. Mais la croissance est un enjeu pour tous les régimes politiques. En Chine, le gouvernement de Xi [Jinping] a les yeux rivés sur la croissance, il sait très bien que si elle n’est pas au rendez-vous il sera remplacé, tout comme Vladimir Poutine en Russie. C’est l’absence de croissance qui a provoqué l’effondrement de l’Union soviétique.

Les démocraties n’ont pas moins bien résisté à la croissance faible que les régimes autoritaires. Simplement, la contestation s’y voit plus – les régimes autoritaires n’ont pas de « gilets jaunes ». Par ailleurs, la polarisation politique à laquelle nous assistons en France, et ailleurs en Occident, n’est pas seulement liée à la baisse de la croissance, mais aussi à un sentiment de déclassement culturel.

La crise climatique menace-t-elle la croissance de nos économies ?

Attention à ne pas mélanger la croissance et la consommation d’énergie. Depuis les années 1980, la croissance du PIB et celle de la consommation d’énergie sont découplées alors qu’elles évoluaient parallèlement sur longue période, à la fois parce qu’on consomme plus de services et parce qu’on a fait des économies d’énergies.

Le débat est mal posé. D’un côté, il y a ceux qui taisent le fait que la transition va coûter cher, et qui prétendent qu’elle va créer des emplois. Elle va en créer mais aussi en détruire, et le solde sera sans doute proche de zéro. De l’autre, les partisans de la décroissance confondent le but et les moyens. Le but n’est pas la décroissance, mais de réduire la consommation des énergies fossiles et de protéger les ressources naturelles. L’objectif doit être de minimiser l’impact de cet objectif sur la croissance, tout en reconnaissant qu’il y aura un impact négatif sur cette dernière, c’est-à-dire sur le pouvoir d’achat. Si on fixait un prix du carbone à 150 euros la tonne, cela aurait un impact sur la croissance à court terme, mais on pourrait avancer et investir massivement sur les renouvelables et chercher des alternatives.

Retraites : Macron aurait l’intention de supprimer les régimes spéciaux

Retraites : Macron aurait l’intention de supprimer les régimes spéciaux

 

Nouveau changement de stratégie pour le président de la république qui laisse percer son intention de supprimer les régimes spéciaux de retraite. La réforme très compliquée de la retraite à. points paraît oubliée, de même que le régime universel. Par contre, le président de la république se focaliserait sur la quarantaine de régimes spéciaux ( il en existe bien d’autres mais qui ne seront pas touchés, militaires, polices, élus etc.).

 

Du fait de la crise sanitaire, le président de la république avait récemment évoqué la possibilité du report de cette réforme après l’élection présidentielle de 2022. Nouveau changement de stratégie aujourd’hui avec la nécessité pour le chef de l’État de montrer sa volonté réformatrice qui en a pris un coup depuis la  Covid.

 

Tous les syndicats ont fait savoir qu’il ne souhaitait pas participer actuellement à une concertation qui servirait notamment les programmes politiques des candidats à la présidentielle de 2022.

 

La réforme éventuelle devra donc passer en force. En même temps, il faudra prévoir une forte réplique sociale qui pourrait être de nature à changer le climat social et économique dans le pays voire à peser sur le redressement économique.

 

La réforme est sans doute nécessaire mais la période n’est sans doute pas très opportune.

Pour éviter de mécontenter une grande partie de l’électorat, le président de la république ne parlerait plus pour l’instant d’un report de l’âge  de la retraite.

Retraites: Jean Castex veut se limiter à la suppression des régimes spéciaux

Retraites: Jean Castex veut se limiter à la suppression des régimes spéciaux

 

On sait que Macon tient par-dessus tout à sa réforme des retraites pour satisfaire sa clientèle de droite. Peu importe même maintenant le contenu même de cet réforme car il s’agit surtout d’une question d’affichage dans la perspective des élections présidentielles. Le gouvernement serait prêt à abandonner beaucoup de choses dans cette réforme et finalement pourrait se contenter de la suppression des régimes spéciaux. Les questions financières d’équilibre qualifié de paramétriques seraient renvoyées à plus tard..

Fin des régimes spéciaux

«Cela implique clairement la disparition à terme des régimes spéciaux tout en prenant pleinement en considération la situation des bénéficiaires actuels de ces régimes», a-t-il poursuivi.  En gros la clause du grand-père sauvé une réforme bien mal en point. Pas sûr que cela soit suffisant et pertinent pour réussir le sauvetage.

Pour Darmanin, les régimes spéciaux de retraite coûtent trop cher et le régime des parlementaires ?

Pour Darmanin, les régimes spéciaux de retraite coûtent trop cher  et le régime des parlementaires  ?

 

 

 

 

Darmanin, le ministre du budget condamne les régimes spéciaux :  »On a du mal à comprendre pourquoi l’État verse chaque année 8 milliards d’euros – sur nos impôts! – pour les équilibrer », dit-il, notant qu’à la RATP, « 49.000 salariés cotisent pour 42.000 retraités », contraignant l’État à « verser 750 millions d’euros par an pour équilibrer le système ». Pour la SNCF, qui devrait, comme la RATP, connaître une grève d’ampleur le 5, appelée à se poursuivre les jours suivants, « c’est plus de 3 milliards d’euros ! En économisant ces 8 milliards d’euros, on pourra financer les mesures d’égalité sociale que prévoit notre réforme », explique le ministre.

Darmanin oublie cependant une chose, c’est que la réduction des effectifs a été important dans ces entreprises ( il y a eu jusqu’à 500 000 cheminots pour 150 000 aujourd’hui et forcément le régime de retraites est déséquilibré. Ce qui n’interdit pas de revoir ce régime mais pas avec des arguments populistes et simplistes;

Les députés, eux, ont bien un régime de retraite spécifique. Un député cotise à hauteur de 10,58% sur son indemnité parlementaire de 7 239,91 euros bruts mensuels, comme l’explique l’Assemblée nationale. Ce taux de cotisation sera porté à 10,85% en janvier 2020. Un député peut faire valoir ses droits à la retraite à partir de 62 ans. Avant la dernière réforme en date, l’Assemblée indiquait que la pension moyenne des élus ayant fait valoir leur droit à la retraite en 2016 était de 2 675 euros net. Et au bout d’un seul mandat, un député était alors assuré de toucher une retraite d’environ 1 200 euros. Soit à peine moins que la pension brute moyenne d’un Français en 2017 : 1 496 euros, selon la Drees . En 2018, la retraite moyenne nette d’un sénateur était de 3 856 euros, indique le Sénat.

 

Retraites: Macron va capituler sur les régimes spéciaux

Retraites: Macron va capituler sur les  régimes spéciaux

En dépit de ses les effets de manches, Macron est bien en train de capituler concernant la réforme des régimes spéciaux. Normalement la réforme des retraites devait prendre un caractère universel  et  s’appliquer à tout le monde sur les mêmes bases. mais  devant la grogne, Macron ne cesse d’ajouter des reculs et des contradictions au principe d’universalité .  Sur BFMTV, le chef de l’État a dit vouloir que les nouveaux embauchés ne dépendent plus des régimes spéciaux dès le vote de la réforme prévu l’été prochain. S’il s’est dit opposé à la clause du « grand-père », il n’a toutefois pas exclu de reporter la transition entre les deux régimes au-delà de la génération née en 1963 pour ceux actuellement sur le marché du travail. Autant dire que la réforme s’appliquera à partir de 2025 uniquement aux nouveaux entrants mais que les bénéficiaires de régimes spéciaux bénéficieront d’un très long délai voir même ne seront pas concernés par la réforme. Il y a une différence de taille car selon les hypothèses la réforme pourrait s’appliquer en 2025 …ou en 2070 ( la d’entrée sur le marché du travail est actuellement de 23 ans auquel il faudra ajouter 45 ans de cotisation et non pas 43 ans comme on le prétend ). Reporter la réforme des régimes spéciaux revient en fait à remettre en cause la philosophie universelle envisagée pour les futures retraites. En réalité, macro, tiendra compte  surtout qu’on du rapport de force. En creux, il avoue même qu’on ne connaît pas les termes de cette réforme, ce qui lui laisse toute latitude pour reculer en rase campagne ou pour s’adapter au niveau de la mobilisation.

“Vous constaterez avec moi que le 5 décembre est quelque chose d’étrange (…), il va y avoir une mobilisation massive contre une réforme dont on ne connaît pas les termes exacts”, a déclaré le chef de l’Etat français lors d’une conférence de presse à Nesle, dans la Somme.

“Cette mobilisation est avant tout la mobilisation de salariés d’entreprises qui relèvent des régimes spéciaux”, a-t-il ajouté. “Le gouvernement va mener ses travaux, les rencontres bilatérales, les rencontres multilatérales et le Premier ministre à l’issue de ce processus aura à annoncer les termes de la réforme dans son ensemble dans les semaines qui viennent”, a-t-il précisé. “C’est une réforme de responsabilité parce qu’elle sera lancée en mettant le système à l’équilibre”, a ajouté Emmanuel Macron, alors que la CFDT a mis en garde jeudi contre une réforme purement “paramétrique”. A l’origine de l’appel à une grève “illimitée”, les syndicats de la RATP (Unsa, CGT et CFE-CGC) et de la SNCF (CGT-Cheminots, Unsa ferroviaire, SUD-Rail, FO-Cheminots) ont été rejoints jeudi par la CFDT-Cheminots, et des organisations d’EDF (CGT, FO, Sud et la CFE-CGC). La CFE-CGC a aussi annoncé s’associer à la journée de mobilisation interprofessionnelle organisée par la CGT, FO, FSU, Solidaires et les syndicats étudiants UNEF, Fidl, MNL et UNL.

« Il faut trouver le bon rythme de transition, mais pour tout le monde. Peut-être que par rapport à la copie initialement proposée qui était la génération 1963 -tous ceux qui sont nés après 1963 rentrent dans le nouveau régime – peut-être qu’il faut adapter les choses, lisser un petit peu, trouver des modalités, réussir à avoir des mécanismes d’accompagnement », a déclaré Emmanuel Macron. 

Et de conclure: « Parce que ce que je respecte, c’est que quelqu’un qui a 50 ans dans une entreprise, 45 ans… Il faut voir à quel âge on bascule. Il y a une forme de pacte. Il ne faut pas qu’on trahisse ce pacte ». Plus flou tu meurs ! 

Grève RATP: un avertissement pour les régimes spéciaux de retraite

Grève RATP: un avertissement pour les régimes spéciaux de retraite

 Le réseau RATP sera pratiquement à l’arrêt vendredi du fait de la protestation des agents contre la perspective de suppression du régime spécifique de retraite. Il est probable qu’il s’agit là d’un avertissement et que ce type d’action risque de se multiplier dans les différents secteurs bénéficiant d’un régime particulier de retraite. L’ensemble des syndicats  ( à remarquer toutefois l’absence de la CFDT) de la Régie Autonome des Transports Parisiens, UNSA, CGT, FO, CFE-CGC et SUD, ont appelé les agents à rejoindre le mouvement qui s’annonce déjà très suivi, avec en ligne de mire le rapport Delevoye, qui prévoit notamment la suppression des régimes spéciaux, dont celui de la RATP.

«L’intérêt d’avoir un régime spécial est d’abord la prise en compte de la pénibilité au travail. Les agents sont confrontés à des horaires de nuit et au travail dans les souterrains», explique Bertrand Hammache, secrétaire général de la CGT RATP, à France 3. Selon lui, le système de retraite par points «mettra à mal non seulement l’allongement de la durée du travail mais aussi le montant de la cotisation».

 

Depuis quelques jours déjà, les usagers des transports en commun d’île de France ont été prévenus des perturbations à venir. «En raison d’un mouvement social, le trafic sera très fortement perturbé sur les réseaux RATP le vendredi 13 septembre. La RATP vous invite à limiter au maximum vos déplacements», indiquent des messages écrits et sonores. Les voyageurs doivent s’attendre à des perturbations importantes dès ce jeudi 12 septembre à 18h dans les métros, bus et tramways, ainsi que sur le RER A et RER B, tous deux coexploités par la RATP et la SNCF. La grève devrait s’achever le samedi à 7 heures du matin.

SNCF, RATP, EDF : mesures contre les régimes spéciaux de retraite

SNCF, RATP, EDF : mesures contre  les régimes spéciaux de retraite……. et les fonctionnaire de la cour des comptes ?

 

La Cour des Comptes qui le plus souvent procède à des évaluations économiques et financières très pertinentes. Cette foi, elle s’attaque de front aux régimes spéciaux de retraite de la SNCF, de la RATP, et d’EDF. La Cour des Comptes propose simplement la suppression. Certes on conviendra qu’une réforme du régime des retraites est nécessaire pour des motifs d’équité et des raisons démographiques. Par contre, on aurait aimé que la Cour des Comptes, composée  de fonctionnaires propose aussi la suppression de leur régime de retraite. D’après la Cour des Comptes, les régimes de retraite des cheminots et des industries électriques et gazières doivent être absorbés par le futur régime universel. Mais leurs avantages, s’ils subsistent, ne doivent pas être financés par l’ensemble des assurés, estime la Cour des comptes dans un rapport publié ce mardi. Les magistrats financiers proposent de créer des régimes supplémentaires par capitalisation et de ne pas garantir l’ensemble des droits acquis. Les régimes spéciaux de retraites sont appelés à disparaître. Ou du moins à devenir invisibles, en 2025, lorsque le nouveau régime universel de retraite par points verra le jour. En réalité, il y a fort à parier que les avantages spécifiques dont bénéficient leurs assurés survivent, au moins en partie, à la « réforme systémique » portée par le haut-commissaire  Jean-Paul Delevoye – qui doit présenter ses préconisations ce jeudi .

Les retraités de plus en plus nombreux menacent les régimes de retraites

Les retraités de plus en plus nombreux menacent les régimes de retraites

 

 

Les retraités du régime général (salariés) décédés en 2016 ont perçu leur pension pendant 19 ans pour les hommes et 22 ans pour les femmes. C’est 8 ans de plus qu’il y a cinquante ans. Socialement cet une bonne nouvelle il y a de plus en plus de retraités en France ce qu’indique la caisse nationale d’assurance vieillesse du régime général. » On est  «passé d’environ 300.000 en 1966 à 800.000 en 2016», indique la Cnav. La première raison, ceste que les retraités vivent de plus en plus vieux et bénéficient donc plus longtemps de leur pension. (20 ans en moyenne en 2016 pour seulement 12 ans il y a 50 ans). En cause l’amélioration des conditions de vie mais aussi les progrès de la médecine. Le second élément est lié  à l’âge de départ en retraite (en 2016 (62,4 ans en 2016) qu’en 1966 (64 ans qu’en 1966).   Le comité d’orientation des retraites qui prévoyait pendant la mandature de François Hollande une perspective d’équilibre financier d’ici 2020 s’est soudainement aperçu qu’un équilibre éventuel ne serait pas possible avant 2040. Dernier élément  la France dispose du meilleur système de retraites mais pour l’avenir il est largement hypothéqué par son financement. C’est la conclusion  de l’indice Mercer Melbourne qui évalue les systèmes de retraite de 30 pays, Par rapport à 2016, la France recule de trois places, à la 16ème place, même si son indice global (59,6) s’améliore grâce à de meilleures perspectives économiques. Mais le pays affiche des résultats contrastés. Avec un indice de 80,4, la France occupe en effet la première place de l’indice « performance », c’est-à-dire que son système offre le meilleur niveau de vie à ses retraités. En revanche, sa pérennité semble inquiéter les analystes de Mercer. Avec un indice de 38,6, le pays pointe à la 24ème place, juste derrière l’Allemagne (40,9). « Le problème est que tout repose sur les régimes obligatoires, qui fonctionnent par répartition (les cotisations des actifs financent immédiatement les pensions de retraite, NDLR). Il n’y a donc aucun préfinancement. Et la dette de ces régimes est équivalente à une part très importante du PIB », indique Christel Bonnet, consultante retraite chez Mercer. En termes de transparence et de simplicité, la France semble également pouvoir largement s’améliorer, puisqu’elle se classe 25ème sur 30. Enfin l’avenir des retraites n’est pas aussi largement du rapport entre actifs et retraités, c’est-à-dire de la croissance qui génère les emplois. Des emplois dont les cotisations financent les retraites.  Emmanuel Macron a promis une grande refonte des retraites avec un système universel par points – les discussions doivent démarrer début 2018 -, il s’est engagé à ne pas revenir sur l’âge de départ. «Il y aura toujours un âge légal de la retraite à partir duquel on pourra liquider ses droits. Il restera à 62 ans», a-t-il promis durant la campagne.  Mais compte tenu des éléments de problématique évoqués  précédemment, la discussion risque-t-elle difficile. Et de toute façon toute réforme ne pourra donner des faits financiers qu’à moyen et long terme.

Equilibre des Régimes des retraites encore différé

Equilibre des Régimes des retraites encore différé

Théoriquement le gouvernement prévoyait l’équilibre des régimes de retraite pour 2016 un objectifs qui ne sera pas encore atteint cette année puisqu’il faudra prendre en compte un déficit de l’ordre de 4 milliards d’euros. Le comité d’orientation des retraites, lui, avait  envisagé un équilibre pour 2020. Des prévisions tout à fait aléatoires puisque les Français eux pensent que le régime des retraites éclatera d’ici 10 ans. Selon l‘enquête  IFOP 2016 réalisée pour le Cercle de l’Epargne,   70% de nos concitoyens croient en effet que notre régime obligatoire de retraite de base et de retraite complémentaire sera en faillite d’ici 10 ans. Une estimation qui paraît pertinente puisque chaque année le déficit de l’ensemble des systèmes de retraite et de l’ordre  de 10 milliards. D’après le comité d’orientation des retraites (COR) l’équilibre devrait cependant être retrouvé d’ici 2030. Malheureusement le COR prévoyait encore récemment que cet équilibre serait atteint en 2020. Alors 2020, 2030 2050, en fait  personne n’en sait rien car tout dépendra du rapport entre actifs et retraités, de la croissance donc aussi du chômage.  L’année dernière, le rapport du COR rappelait que selon les dernières données disponibles (), le déficit annuel de l’ensemble des régimes de retraite représentait 0,5% du PIB français, soit environ 10 milliards d’euros. « En 2012, les ressources de l’ensemble des régimes de retraite français légalement obligatoires (y compris le Fonds de solidarité vieillesse) représentaient 13,4 % du produit intérieur brut (PIB), et les dépenses 13,9 % du PIB ». Le COR poursuivait : « La hausse des dépenses […] correspond quasi intégralement à l’augmentation de la masse des prestations de droit direct, en lien avec l’augmentation régulière du nombre de retraités – portée notamment par l’arrivée aux âges de la retraite des générations du baby-boom au cours de la décennie – et avec l’augmentation de la pension moyenne des retraités – sous « l’effet de noria » traduisant l’amélioration régulière des carrières au fil des générations ». Parmi les différents scénarios envisagés, le COR entrevoit dans son dernier rapport un scénario central, dans lequel les régimes de retraites n’épongeraient pas leur déficit global avant 2030, révèle Le Figaro. Dans ce scénario, après 2030, les projections financières aboutissent à une hausse très progressive de l’excédent des régimes de retraites jusqu’à atteindre environ +0,4% du PIB en 2060 (selon Les Echos). Le scénario le plus optimiste, quant à lui, représente une situation où le chômage diminuerait drastiquement, et se stabiliserait à un niveau faible. Grâce à davantage de cotisations, le déficit actuel des régimes de retraites parviendrait à disparaître dès 2025, avant de laisser place à une augmentation progressive de l’excédent annuel des régimes de retraites jusqu’à +1,8% du PIB français en 2060 selon Les Echos. Pour Le Figaro, les prévisions du rapport 2015 du COR « confirme, surtout, que la réforme Touraine des retraites, baptisée « loi garantissant l’avenir et la justice du système de retraites », ne suffit pas ». Une situation effectivement catastrophique.  Pourtant ils sont  à 65% à être opposés à un report de l’âge de départ de 62 à 65 ans.  Estimant pour la plupart d’entre eux que leur pension sera insuffisante pour vivre correctement, nos concitoyens épargnent régulièrement et se tournent vers des solutions individuelles. Leurs placements préférés restent sans surprise l’assurance vie –pour la disponibilité de l’épargne et l’immobilier- pour la sécurité et la possibilité de rester chez soi autant que possible pour ses vieux jours. C’est ainsi qu’une grande majorité plébiscite le fait d’être propriétaire de sa résidence principale pour bien préparer sa retraite et pour près de 30% d’entre eux cette préparation passe également par la réalisation d’investissements immobiliers.

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