Archive pour le Tag 'régimes'

Géopolitique-Sud global : un groupement de régimes douteux

Géopolitique-Sud global : un groupement de régimes douteux

Ce concept de « sud global » qui regroupe des pays en développement ne sert sans doute pas la démocratie libérale; en vérité le sud global la combat si l’on en juge par les pays qui la composent. Y a-t-il en effet de véritablement démocratique en Chine, en Russie, en Inde, en Iran, au Brésil, ou encore en Afrique du Sud. Des pays qui se sont plutôt mis du côté de la Russie contre l’Ukraine. En fait pour la plupart, l’occasion d’instrumentaliser le néocolonialisme ou l’impérialisme occidental pour justifier des régimes à la démocratie fragile, douteuse ou carrément autoritaire.

La plupart de ces pays ont en commun de justifier les atteintes à la démocratie pour maintenir leur propre unité nationale et leur régime autocratique voire leur dictature.

D’un point de vue idéologique, c’est l’illusion que la démocratie est néfaste au progrès et justifie ainsi des régimes autoritaires. Bref finalement la philosophie marxiste classique avec la dictature du prolétariat confisquée en réalité par des bandes claniques.( L’exemple de la Chine en particulier). Une philosophie également partagée par des courants religieux et dictatoriaux ( l’exemple plus caractéristique dans ce dernier domaine étant sans doute la Corée du Nord ou la Russie).La légitimité de la dictature s’appuie sur le fait que les masses ne sont pas prêtes à exercer la démocratie et que le progrès est mieux servi par une élite avancée !

Un front anti démocratique uni seulement par sa lutte contre l’impérialisme anti occidental qui permet de justifier les atteintes à la démocratie et le maintien dans une situation sociale délétère

 

 

Politique-Sud global : un groupement de régimes douteux contre la démocratie

Politique-Sud global : un groupement de régimes douteux  contre la démocratie

Ce concept de « sud global » qui regroupe des pays en développement ne sert sans doute pas la démocratie libérale; en vérité le sud global la combat si l’on en juge par les pays qui la composent. Y a-t-il en effet de véritablement démocratique en Chine, en Russie, en Inde, en Iran, au Brésil, ou encore en Afrique du Sud. Des pays qui se sont plutôt mis du côté de la Russie contre l’Ukraine. En fait pour la plupart, l’occasion d’instrumentaliser le néocolonialisme ou l’impérialisme occidental pour justifier des régimes à la démocratie fragile, douteuse ou carrément autoritaire.

La plupart de ces pays ont en commun de justifier les atteintes à la démocratie pour maintenir leur propre unité nationale et leur régime autocratique voire leur dictature.

D’un point de vue idéologique, c’est l’illusion que la démocratie est néfaste au progrès et justifie ainsi des régimes autoritaires. Bref finalement la philosophie marxiste classique avec la dictature du prolétariat confisquée en réalité par des bandes claniques.( L’exemple de la Chine en particulier). Une philosophie également partagée par des courants religieux et dictatoriaux ( l’exemple plus caractéristique dans ce dernier domaine étant sans doute la Corée du Nord ou la Russie).La légitimité de la dictature s’appuie sur le fait que les masses ne sont pas prêtes à exercer la démocratie et que le progrès est mieux servi par une élite avancée !

Un front anti démocratique uni seulement par sa lutte contre l’impérialisme anti occidental qui permet de justifier les atteintes à la démocratie et le maintien dans une situation sociale délétère

 

 

Sud global : un groupement de régimes douteux contre la démocratie occidentale

Sud global : un groupement de régimes douteux  contre la démocratie occidentale

Ce concept de « sud global »qui regroupe des pays en développement ne sert sans doute pas la démocratie libérale; en vérité le sud global la combat si l’on en juge par les pays qui la composent. Y a-t-il en effet de véritablement démocratique en Chine, en Russie, en Inde, en Iran, au Brésil, ou encore en Afrique du Sud. Des pays qui se sont plutôt mis du côté de la Russie contre l’Ukraine. En fait pour la plupart, l’occasion d’instrumentaliser le néocolonialisme ou l’impérialisme occidental pour justifier des régimes à la démocratie fragile, douteuse ou carrément autoritaire.

La plupart de ces pays ont en commun de justifier les atteintes à la démocratie pour maintenir leur propre unité nationale et leur régime autocratique voire leur dictature.

D’un point de vue idéologique, c’est l’illusion que la démocratie est néfaste au progrès et justifie ainsi des régimes autoritaires. Bref finalement la philosophie marxiste classique avec la dictature du prolétariat confisquée en réalité par des bandes claniques.( L’exemple de la Chine en particulier). Une philosophie également partagée par des courants religieux et dictatoriaux ( l’exemple plus caractéristique dans ce dernier domaine étant sans doute la Corée du Nord ou la Russie).La légitimité de la dictature s’appuie sur le fait que les masses ne sont pas prêtes à exercer la démocratie et que le progrès est mieux servi par une élite avancée !

Un front anti démocratique uni seulement par sa lutte contre l’impérialisme anti occidental qui permet de justifier les atteintes à la démocratie et le maintien dans une situation sociale délétère

 

 

Politique–Sud global : un groupement de régimes douteux et-ou illibéraux contre la démocratie occidentale

Politique–Sud global : un groupement de régimes douteux et-ou illibéraux contre la démocratie occidentale

Ce concept de « sud global »qui regroupe des pays en développement ne sert sans doute pas la démocratie libérale; en vérité le sud global la combat si l’on en juge par les pays qui la composent. Y a-t-il en effet de véritablement démocratique en Chine, en Russie, en Inde, en Iran, au Brésil, ou encore en Afrique du Sud. Des pays qui se sont plutôt mis du côté de la Russie contre l’Ukraine. En fait pour la plupart l’occasion d’instrumentaliser le néocolonialisme ou l’impérialisme occidental pour justifier des régimes à la démocratie fragile, douteuse ou carrément autoritaire.

La plupart de ces pays ont en commun de justifier les atteintes à la démocratie pour maintenir leur propre unité nationale et leur régime autocratique voire leur dictature.

D’un point de vue idéologique, c’est l’illusion que la démocratie est néfaste au progrès et justifie ainsi des régimes autoritaires. Bref finalement la philosophie marxiste classique avec la dictature du prolétariat confisquée en réalité par des bandes claniques.( L’exemple de la Chine en particulier). Une philosophie également partagée par des courants religieux et dictatoriaux ( l’exemple plus caractéristique dans ce dernier domaine étant sans doute la Corée du Nord ou la Russie).La légitimité de la dictature s’appuie sur le fait que les masses ne sont pas prêtes à exercer la démocratie et que le progrès est mieux servi par une élite avancée !

Un front anti démocratique uni seulement par sa lutte contre l’impérialisme anti occidental qui permet de justifier les atteintes à la démocratie et le maintien dans une situation sociale délétère

 

 

« Sud global » : un groupement de régimes douteux illibéraux contre la démocratie occidentale

Sud global : un groupement de régimes douteux illibéraux contre la démocratie occidentale

Ce concept de « sud global »qui regroupe des pays en développement ne sert sans doute pas la démocratie libérale; en vérité le sud global la  combat si l’on en juge par les pays qui la composent. Y a-t-il en effet de véritablement démocratique en Chine, en Russie, en Inde, en Iran, au Brésil, ou encore en Afrique du Sud. Des pays qui se sont plutôt mis du côté de la Russie contre l’Ukraine. En fait pour la plupart l’occasion d’instrumentaliser le néocolonialisme ou l’impérialisme occidental pour justifier des régimes à la démocratie fragile, douteuse ou carrément autoritaire.

La plupart de ces pays ont en commun de justifier les atteintes à la démocratie pour maintenir leur propre unité nationale et leur régime autocratique voire leur dictature.

D’un point de vue idéologique, c’est l’illusion que la démocratie est néfaste au progrès et justifie ainsi des régimes autoritaires. Bref finalement la philosophie marxiste classique avec la dictature du prolétariat confisquée en réalité par des bandes claniques.( L’exemple de la Chine en particulier). Une philosophie également partagée par des courants religieux et dictatoriaux ( l’exemple plus caractéristique dans ce dernier domaine étant sans doute la Corée du Nord ou la Russie).

Un front anti démocratique uni seulement par sa lutte contre l’impérialisme anti occidental qui permet de justifier les atteintes à la démocratie et le maintien dans une situation sociale délétère

 

 

Sud global : un groupement de régimes douteux illibéraux contre la démocratie occidentale

Sud global : un groupement de régimes douteux illibéraux contre la démocratie occidentale

Ce concept de « sud global »qui regroupe des pays en développement ne sert sans doute pas la démocratie libérale; en vérité le sud global la  combat si l’on en juge par les pays qui la composent. Y a-t-il en effet de véritablement démocratique en Chine, en Russie, en Inde, en Iran, au Brésil, ou encore en Afrique du Sud. Des pays qui se sont plutôt mis du côté de la Russie contre l’Ukraine. En fait pour la plupart l’occasion d’instrumentaliser le néocolonialisme ou l’impérialisme occidental pour justifier des régimes à la démocratie fragile, douteuse ou carrément autoritaire.

La plupart de ces pays ont en commun de justifier les atteintes à la démocratie pour maintenir leur propre unité nationale et leur régime autocratique voire leur dictature.

D’un point de vue idéologique, c’est l’illusion que la démocratie est néfaste au progrès et justifie ainsi des régimes autoritaires. Bref finalement la philosophie marxiste classique avec la dictature du prolétariat confisquée en réalité par des bandes claniques.( L’exemple de la Chine en particulier). Une philosophie également partagée par des courants religieux et dictatoriaux ( l’exemple plus caractéristique dans ce dernier domaine étant sans doute la Corée du Nord ou la Russie).

Un front anti démocratique uni seulement par sa lutte contre l’impérialisme anti occidental qui permet de justifier les atteintes à la démocratie et le maintien dans une situation sociale délétère

 

 

Les palestiniens véritables victimes du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Les palestiniens véritables otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes


Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le Hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Politique-Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Politique-Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Les palestiniens véritable otages du Hamas, de l’Iran et des régimes théocratiques arabes

Le conflit entre Israël et les palestiniens suscitent évidemment la plus grande compassion dans le monde entier en raison de ses conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Et chacun y va de son couplet pour souhaiter la paix et l’aide humanitaire aux palestiniens.

Toutefois ce soutien aux palestiniens et particulièrement hypocrites de la part de nombre de pays. En particulier et principalement de l’Iran qui organise l’instabilité permanente grâce à son bras armé : le hamas et le Hezbollah.

La vérité c’est que les palestiniens sont aussi les otages du Hamas qui se montre particulièrement incompétent pour gérer le pays et l’aide internationale dont une grande partie va dans les poches de l’organisation politique et militaire. On objectera que c’est aussi sans doute le cas du côté du Fatah. Ce qui ne constitue pas une explication très convaincante.

L’objectif de l’Iran et de déstabiliser la plupart des régimes politiques arabes pour leur substituer des républiques islamiques à la main de fer. Pour cela l’Iran manœuvre le Hamas, se sert des catastrophes humaines pour mobiliser la rue arabe. Du coup les régimes théocratiques arabes en rajoutent une couche pour garder le pouvoir et font semblant de soutenir les palestiniens. Mais la vérité c’est que ces pays arabes craignent surtout l’extrémisme palestinien et ne veulent surtout pas l’émancipation d’un nouveau pays susceptible de stabiliser les autres.

La plupart des pays arabes sont comme Iran les responsables de ce drame et permettent au Hamas de tenir la population en otage. Pour preuve juste avant la guerre des manifestations importantes s’était déroulée à Gaza pour protester contre la mauvaise gestion du hamas et sa corruption.

Soutenir le Hamas n’a aucun sens, c’est au contraire enfoncer un peu plus une population sous tutelle des intérêts les plus contradictoires et les plus détestables.

En soutenant bêtement le Hamas, nombre de personnalités et de pays font l’économie d’une analyse complexe de la situation géopolitique et finalement contribue à enfoncer les palestiniens eux-mêmes dans la plus grande misère.

Ultimatum au Niger : la CEDEAO partagée entre les démocrates et les régimes militaires

Ultimatum au Niger : la CEDEAO partagée entre les démocrates et les régimes militaires


La situation au Niger donne sans doute l’occasion de faire émerger clairement les clivages politiques et idéologiques entre les partisans de la démocratie et les régimes autoritaires dirigés par des militaires.

Ainsi dans le camp des pays en faveur de l’intervention de la CEDEAO on trouve notamment la Côte d’Ivoire, le Sénégal et le Nigéria où les démocraties sont bien ancrées. À l’inverse, le Burkina Faso, le Mali, le Niger bien sûr mais aussi l’Algérie s’oppose à toute intervention. Ces derniers pays sont tous dans les mains des militaires et évidemment ne souhaitent pas le retour d’un fonctionnement constitutionnel démocratique. Ce clivage est très profond. Il y a d’un côté les pays qui même avec quelques difficultés veulent sortir des démocraties à l’ancienne caractérisée par le maintien au pouvoir de présidents à vie ou de la vie politique sous tutelle de militaires.

De l’autre côté, il y a ceux qui considèrent la force militaire comme le meilleur moyen de la régulation de la vie politique. Finalement qui sont partisans d’un régime de type russe avec dictature, répression et corruption. Soit le retour au mythe des régimes communistes durs qui avaient séduit nombre de pays africains à un moment donné après l’indépendance. Le problème c’est que ces régimes sous prétexte de souveraineté sont encore plus inégalitaires que précédemment, plus pauvres mais aussi finalement davantage sous tutelle extérieure comme celle de la Russie et la Chine.

Retraites: décrets pour la fin des régimes spéciaux… pour les nouveaux embauchés

Retraites: décrets pour la fin des régimes spéciaux… pour les nouveaux embauchés

Grâce à la clause dite du grand-père, la fin des régimes spéciaux qui vient d’être actée dans des décrets ne concernera que les nouveaux embauchés. Autant dire que les effets financiers significatifs de la réforme se feront ressentir à très long terme d’ici 25 à 30 ans.

Dimanche, la publication des décrets d’application au Journal officiel a acté la fin des régimes spéciaux pour les agents de la RATP, des industries électriques et gazières (EDF, Engie, ERDF…), des clercs de notaire et de la Banque de France. À compter du 1er septembre 2023, les nouveaux entrants seront ainsi affiliés au régime général des retraites, adopté à l’issue de plusieurs mois de conflit social. Comme le prévoit la fameuse « clause du grand-père », déjà retenue pour la réforme de la SNCF en 2018, les salariés actuels de ces branches continueront de bénéficier de leurs avantages, mais seront eux aussi concernés par le décalage progressif de deux ans de l’âge légal de départ en retraite (à partir du 1er janvier 2025) et l’accélération de la réforme Touraine de 2014.

Ukraine : Pour des sanctions contre les régimes africains fantoches manœuvrés par la Russie

Ukraine : Pour des sanctions contre les régimes africains fantoches manœuvrés par la Russie

Certains « Etats criminels » du continent sont utilisés par Moscou comme « réservoirs de ressources naturelles et humaines pour soutenir son effort de guerre », analyse Nathalia Dukhan, de l’organisation The Sentry.

 

Tribune.

 

Pour contrer l’invasion russe de l’Ukraine, les pays membres de l’OTAN ont choisi de livrer une guerre économique agressive à la Russie. Ils devraient également appliquer des sanctions ciblées contre les kleptocraties africaines alliées du Kremlin et sous influence de l’armée de l’ombre de Vladimir Poutine, le Groupe Wagner. Ces mesures viseraient à combattre la montée en puissance d’Etats criminels, satellites de la Russie, utilisés comme des réservoirs de ressources naturelles et humaines pour soutenir, à long terme, l’effort de guerre russe.

En retrait depuis la chute de l’empire soviétique, le Kremlin a renforcé son activité diplomatique sur le continent africain à partir de 2017, en promouvant un discours très anti-occidental et des accords de type « armes et protection contre ressources minières et stratégiques ». Ce rapprochement, confirmé par le premier sommet Russie-Afrique, qui s’est tenu à Sotchi en octobre 2019, n’a rien d’anodin.

Historiquement, l’Afrique a surtout été considérée pour ses réserves de ressources stratégiques. Sur fond de pillage colonial exercé par les puissances européennes, le continent a joué un rôle essentiel au cours de la seconde guerre mondiale en participant à l’effort de guerre aux côtés des pays alliés. Avec la menace d’une troisième guerre mondiale, le Kremlin entend lui aussi s’assurer d’une contribution africaine.

C’est ainsi que la Centrafrique, longtemps considérée comme un pré-carré français, a fait son entrée en 2018 dans la sphère d’influence russe. Ce pays riche en ressources naturelles, classé 188 sur 189 selon l’indice de développement humain et décimé par deux décennies de conflits armés meurtriers, est devenu en quatre ans un modèle que Moscou entend exporter à d’autres pays africains. Estimée à quelque 2 000 hommes, la présence du Groupe Wagner y a profondément modifié le paysage politico-sécuritaire et économique.

The Sentry, l’organisation pour laquelle je travaille, a confirmé le financement par le groupe russe de vastes campagnes de propagande anti-françaises, anti-ONU et anti-occidentaux. Au cours de l’année 2020, un véritable hold-up électoral s’est joué, sur fond de guerre d’influences, forçant le second mandat du président Faustin-Archange Touadéra et une quasi-mise sous tutelle du pays par le Groupe Wagner.

I

La croissance: Enjeu pour tous les régimes politiques

 La croissance:  Enjeu pour tous les régimes politiques 

 

 

L’économiste Thomas Philippon, ancien conseiller de Pierre Moscovici à Bercy, professeur à la New York University, explique que les deux tiers de la croissance aujourd’hui proviennent des services, de la santé et de l’éducation, qui polluent moins que l’industrie. Mais la croissance est, à ses yeux, un enjeu de survie pour tous les régimes politiques.(Interview dans Le Monde , l extrait)

Les démocraties ont-elles absolument besoin de croissance économique pour survivre ?

Oui, les démocraties ont besoin de croissance, car la croissance et le pouvoir d’achat, c’est la même chose, surtout en France, où les inégalités n’ont pas augmenté. Mais la croissance est un enjeu pour tous les régimes politiques. En Chine, le gouvernement de Xi [Jinping] a les yeux rivés sur la croissance, il sait très bien que si elle n’est pas au rendez-vous il sera remplacé, tout comme Vladimir Poutine en Russie. C’est l’absence de croissance qui a provoqué l’effondrement de l’Union soviétique.

Les démocraties n’ont pas moins bien résisté à la croissance faible que les régimes autoritaires. Simplement, la contestation s’y voit plus – les régimes autoritaires n’ont pas de « gilets jaunes ». Par ailleurs, la polarisation politique à laquelle nous assistons en France, et ailleurs en Occident, n’est pas seulement liée à la baisse de la croissance, mais aussi à un sentiment de déclassement culturel.

La crise climatique menace-t-elle la croissance de nos économies ?

Attention à ne pas mélanger la croissance et la consommation d’énergie. Depuis les années 1980, la croissance du PIB et celle de la consommation d’énergie sont découplées alors qu’elles évoluaient parallèlement sur longue période, à la fois parce qu’on consomme plus de services et parce qu’on a fait des économies d’énergies.

Le débat est mal posé. D’un côté, il y a ceux qui taisent le fait que la transition va coûter cher, et qui prétendent qu’elle va créer des emplois. Elle va en créer mais aussi en détruire, et le solde sera sans doute proche de zéro. De l’autre, les partisans de la décroissance confondent le but et les moyens. Le but n’est pas la décroissance, mais de réduire la consommation des énergies fossiles et de protéger les ressources naturelles. L’objectif doit être de minimiser l’impact de cet objectif sur la croissance, tout en reconnaissant qu’il y aura un impact négatif sur cette dernière, c’est-à-dire sur le pouvoir d’achat. Si on fixait un prix du carbone à 150 euros la tonne, cela aurait un impact sur la croissance à court terme, mais on pourrait avancer et investir massivement sur les renouvelables et chercher des alternatives.

Retraites : Macron aurait l’intention de supprimer les régimes spéciaux

Retraites : Macron aurait l’intention de supprimer les régimes spéciaux

 

Nouveau changement de stratégie pour le président de la république qui laisse percer son intention de supprimer les régimes spéciaux de retraite. La réforme très compliquée de la retraite à. points paraît oubliée, de même que le régime universel. Par contre, le président de la république se focaliserait sur la quarantaine de régimes spéciaux ( il en existe bien d’autres mais qui ne seront pas touchés, militaires, polices, élus etc.).

 

Du fait de la crise sanitaire, le président de la république avait récemment évoqué la possibilité du report de cette réforme après l’élection présidentielle de 2022. Nouveau changement de stratégie aujourd’hui avec la nécessité pour le chef de l’État de montrer sa volonté réformatrice qui en a pris un coup depuis la  Covid.

 

Tous les syndicats ont fait savoir qu’il ne souhaitait pas participer actuellement à une concertation qui servirait notamment les programmes politiques des candidats à la présidentielle de 2022.

 

La réforme éventuelle devra donc passer en force. En même temps, il faudra prévoir une forte réplique sociale qui pourrait être de nature à changer le climat social et économique dans le pays voire à peser sur le redressement économique.

 

La réforme est sans doute nécessaire mais la période n’est sans doute pas très opportune.

Pour éviter de mécontenter une grande partie de l’électorat, le président de la république ne parlerait plus pour l’instant d’un report de l’âge  de la retraite.

Retraites: Jean Castex veut se limiter à la suppression des régimes spéciaux

Retraites: Jean Castex veut se limiter à la suppression des régimes spéciaux

 

On sait que Macon tient par-dessus tout à sa réforme des retraites pour satisfaire sa clientèle de droite. Peu importe même maintenant le contenu même de cet réforme car il s’agit surtout d’une question d’affichage dans la perspective des élections présidentielles. Le gouvernement serait prêt à abandonner beaucoup de choses dans cette réforme et finalement pourrait se contenter de la suppression des régimes spéciaux. Les questions financières d’équilibre qualifié de paramétriques seraient renvoyées à plus tard..

Fin des régimes spéciaux

«Cela implique clairement la disparition à terme des régimes spéciaux tout en prenant pleinement en considération la situation des bénéficiaires actuels de ces régimes», a-t-il poursuivi.  En gros la clause du grand-père sauvé une réforme bien mal en point. Pas sûr que cela soit suffisant et pertinent pour réussir le sauvetage.

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