Archive pour le Tag 'refus'

Retraite à 66 ans : refus des Suisses

Retraite à 66 ans : refus des Suisses

Dix-huit mois après avoir relevé l’âge de départ des femmes de 64 à 65 ans, nos voisins helvètes se sont par contre opposés par votation ce dimanche à décaler de 65 à 66 ans l’âge de la retraite pour l’ensemble des actifs. Selon les premières estimations de la consultation, les trois quarts des Suisses ont refusé cette mesure visant à assurer la pérennité du financement du système de l’assurance-vieillesse et survivants (AVS).

 

En revanche, ils ont voté à une nette majorité (58 %) pour l’instauration d’un treizième mois pour les retraités, la «treizième rente». Cette votation a été lancée à l’initiative de l’Union syndicale suisse (USS) qui dénonçait la forte hausse du coût de la vie dans la Confédération depuis deux ans.

Encore un policier blessé après refus d’obtempérer

Encore un policier blessé après refus d’obtempérer

Encore une agression depoliciers qui témoigne du rapport délétère de certains à la loi et à ceux qui la font respecter. Les faits se sont produits dans la nuit du samedi 11 novembre au dimanche 12 novembre, vers 00h40, sur un parking dans le quartier de Rosendaël à Dunkerque, a appris BFM Grand Lille, auprès d’une source municipale. Un véhicule, roulant de façon excessive, est repéré par les forces de l’ordre à plusieurs reprises. Les policiers décident donc d’intervenir pour contrôler le conducteur, ce dernier engage une manœuvre. Un policier municipal fait, à plusieurs reprises, usage de son arme en tirant sur le véhicule. Dans sa fuite, la voiture percute deux fois l’un des policiers municipaux. Il souffre de côtes cassées et de contusions, selon une source policière à BFMTV.

Le policier qui a fait usage de son arme a été soigné pour des acouphènes.

« Toutes mes pensées vont au policier municipal de Dunkerque grièvement blessé cette nuit, après un refus d’obtempérer. Les moyens de la police nationale sont mobilisés pour retrouver le chauffard », écrit-il, sur X (anciennement Twitter).

Le ministre de l’Intérieur indique que « les moyens de la police nationale sont mobilisés pour retrouver le chauffard ».

Ukraine: Un refus du régime kleptocratique russe

Ukraine: Un refus du régime kleptocratique russe

L’historienne et journaliste américaine Anne Applebaum ne croit pas que les sanctions suffiront à stopper Vladimir Poutine. Dans un entretien au « Monde », elle souligne que le combat des Ukrainiens est tout autant pour la défense de leur nation que pour la démocratie.

 

Anne Applebaum est une journaliste et historienne américaine, spécialiste de l’Europe centrale et orientale. Chercheuse en études internationales à l’université Johns-Hopkins (Maryland), elle est reporter au mensuel The Atlantic. Elle a travaillé pour de nombreux titres de la presse anglo-saxonne, dont The Economist en tant que correspondante à Varsovie. Anne Applebaum a ainsi couvert l’effondrement du communisme, puis l’essor de la société démocratique dans l’ancien bloc de l’Est. Historienne incontournable de l’ex-URSS, elle est notamment l’autrice de Rideau de fer, l’Europe de l’Est écrasée 1944-1956 (Grasset, 2014) et de Famine rouge (Grasset, 2019), qui revient sur la pénurie alimentaire organisée par Staline en Ukraine. Son ouvrage le plus récent est Démocraties en déclin (Grasset, 2021).

Comment expliquez-vous ce retour de la guerre en Europe, depuis l’invasion de l’Ukraine par les troupes envoyées par le président russe Vladimir Poutine ?

Pendant une dizaine d’années, nous n’avons pas voulu voir quel type de régime sévissait en Russie. Nous avons refusé d’admettre que Poutine était en guerre contre l’Occident. Nous voyons aujourd’hui où nous a conduits ce déni. Le président russe considère les démocraties occidentales comme une menace existentielle, non à cause des armes de l’OTAN, mais parce qu’il redoute les effets des idéaux de liberté sur son régime. Il a envahi l’Ukraine parce que ce pays ne veut pas de son modèle d’autocratie kleptocratique. Poutine ne peut pas accepter de voir un proche voisin, une ancienne colonie russe, devenir une démocratie. La volonté des Ukrainiens d’intégrer le monde occidental est pour lui un affront personnel.

Vous dites que l’Occident n’a pas voulu voir qu’une guerre était engagée. Pouvez-vous revenir sur les principaux moments de ce conflit ?

Dès les années 1990, nous n’avons pas pris conscience du risque qui s’installait. Nous avons, par exemple, autorisé les oligarques russes, c’est-à-dire des hommes qui ont volé l’Etat russe, à blanchir leur argent en Occident. Nos institutions financières les ont accueillis à bras ouverts. Nous avons, à ce titre, participé à la mise en place d’un régime kleptocratique en Russie. Nous n’avons pas pris au sérieux la volonté du Kremlin de subvertir nos démocraties, que ce soit par la désinformation ou par le soutien financier accordé à des partis d’extrême droite antiatlantistes et eurosceptiques. Moscou a pu également s’acheter de l’influence en nommant au conseil d’administration de sociétés proches du pouvoir d’anciens dirigeants politiques français ou allemands. En Grande-Bretagne, un milliardaire russe a fait son entrée à la Chambre des lords grâce au soutien de Boris Johnson.

Refus de vaccination : UN « GESTE POLITIQUE » ?

Refus de vaccination : UN « GESTE POLITIQUE » ?

Le professeur Éric Caumes conteste l’argumentation de certains personnels soignants contre la vaccination obligatoire. Un argumentation syndicale voire politique considère-t-il dans le JDD.

« L’argument principal utilisé c’est: « plutôt d’avoir des soignants vaccinés, on aimerait commencer par avoir des soignants ». Cela ne me parait pas être un argument recevable. Pour eux le problème ce n’est pas la vaccination des soignants, c’est qu’il faut plus de soignants, ce qui est absolument une évidence qu’on répète depuis un an et demi. Mais je pense qu’il ne faut pas mettre les deux en opposition, et qu’il faut comprendre que quand on a un métier de soignant, notre métier c’est aussi de prévenir la transmission de maladies ».

« C’est d’autant plus bizarre à comprendre que les soignants sont vaccinés contre l’hépatite B, c’est obligatoire sinon ils ne peuvent même pas démarrer des études d’infirmier » s’interroge Éric Caumes.

« Je n’arrive pas à le comprendre en tant que médecin. J’ai l’impression que les soignants en refusant la vaccination en font un geste politique. C’est mon impression, je ne peux pas vous dire que c’est une réalité, mais j’ai cette impression de clivages qui n’ont pas lieu d’être. Ce n’est pas un acte politique de se vacciner, c’est un acte altruiste. » estime-t-il.

Popularité Macron: une hausse due au refus du confinement

Popularité Macron: une hausse due au refus du confinement

 

Une hausse qui semble liée assez directement au refus de Macron de reconfirmer. On comprend mieux que la problématique sanitaire soit elle-même contaminée par la problématique politique et inversement. Ce qui peut nourrir des doutes tout autant vis-à-vis de la politique de santé que vis-à-vis de la cohérence des décisions politiques.

On pourrait conclure que les politiques naviguent en fête à vue  en tenant compte sans doute de l’avis  des experts par ailleurs pas toujours d’accord entre mais autant en tenant compte des sondages.

Les Français interrogés sont 42% à déclarer avoir une bonne opinion d’Emmanuel Macron. Il s’agit d’un résultat en hausse de cinq points par rapport au mois précédent et qui rejoint les niveaux d’octobre et novembre, selon cette étude réalisée pour Orange et RTL. Les opinions favorables progressent bien au-delà des sympathisants de son propre camp (96% ; +5 points), à gauche (LFI ; +10 points, EELV ; +10 points) comme à droite (LR ; +7 points) à l’exception des sympathisants du RN (17%, stable).

Castex bénéficie aussi de la même dynamique.

 

 «Le couple exécutif bénéficie directement et nettement de ses choix concernant la crise sanitaire», avance l’institut qui ajoute que «la dynamique est encore plus nette pour son Premier ministre qui, rappelons-le, avait porté l’annonce du non-reconfinement». Près des 2/3 des Français (63%) ont déclaré approuver cette décision de ne pas reconfiner, même localement, selon l’Institut. Incarnée par cette décision, la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement retrouve du crédit (39%; +9 points).

*Enquête réalisée le 17 et le 18 février par Internet auprès d’un échantillon représentatif de 1.003 personnes, âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.


Refus d’indemnisation de restaurant : le tribunal de commerce du côté d’Axa

Refus d’indemnisation de restaurant : le tribunal de commerce du côté d’Axa

 

Il est clair qu’un restaurant même étoilé ne pèse pas lourd par rapport à un assureur mondial comme Axa. Ce dont a tenu compte le tribunal de commerce de Toulouse qui a tranché du » côté du manche ». Le tribunal de commerce de Toulouse a en effet débouté ce mardi le chef toulousain Michel Sarran, qui demandait à son assureur Axa d’indemniser ses pertes d’exploitation, estimées à plus de 180.000 euros, dues au confinement à la suite de la pandémie de coronavirus.

 «Je suis débouté et dégouté, c’est dénué de bon sens, je vais faire appel», a réagi auprès de l’AFP le chef qui a un restaurant deux étoiles à Toulouse et est membre du jury de l’émission Top Chef sur M6. «Cette décision était attendue car il s’agit du premier jugement (en France) sur le fond rendu concernant notre contrat d’assurance standard, proposé par les agents généraux d’assurance», a pour sa part souligné Axa dans un communiqué transmis à l’AFP. «Nous avons donc été entendus par le tribunal qui reconnaît la validité de notre clause d’exclusion», ajoute l’assureur.

Il est clair qu’un restaurant même étoilé ne pèse pas lourd par rapport à un assureur mondial comme Axa. Ce dont a tenu compte le tribunal de commerce de Toulouse qui a tranché du » côté du manche ». Le tribunal de commerce de Toulouse a en effet débouté ce mardi le chef toulousain Michel Sarran, qui demandait à son assureur Axa d’indemniser ses pertes d’exploitation, estimées à plus de 180.000 euros, dues au confinement à la suite de la pandémie de coronavirus.

 «Je suis débouté et dégouté, c’est dénué de bon sens, je vais faire appel», a réagi auprès de l’AFP le chef qui a un restaurant deux étoiles à Toulouse et est membre du jury de l’émission Top Chef sur M6. «Cette décision était attendue car il s’agit du premier jugement (en France) sur le fond rendu concernant notre contrat d’assurance standard, proposé par les agents généraux d’assurance», a pour sa part souligné Axa dans un communiqué transmis à l’AFP. «Nous avons donc été entendus par le tribunal qui reconnaît la validité de notre clause d’exclusion», ajoute l’assureur.

Report du Brexit au 30 juin: refus de l’UE

Report du Brexit au 30 juin: refus de l’UE

 

 

Pas question de reporter le Brexit  jusqu’au 30 juin prochain comme le demande la première ministre britannique Theresa May. Le durcissement de la position européenne s’explique d’une part par la proximité des élections de l’union qui commence le 23 mai, aussi par l’agacement de l’Europe vis-à-vis des contradictions du Parlement britannique lequel ne veut pas de Brexit  dur mais ne veut pas non plus de Brexit doux  en refusant l’accord de transition négociée par Theresa May et l’union européenne. La grande question est de savoir si le Royaume-Uni est de savoir si le Royaume uni est en incapacité d’accepter ou non l’accord de transition qui ne pourra être modifiée de façon significative sur le fond. Sans doute serait-il possible de faire quelques aménagements de forme mais il n’est pas certain que le Parlement britannique vote en faveur de ce texte réaménagé. Du coup de perspectives sont soit  l’hypothèse d’un Brexit  dur auxquels cependant le Parlement britannique a renoncé au bien un nouveau report dans le temps de la date du Brexit. Bref l’horizon est particulièrement bouché  du fait des contradictions britanniques. Donald Tusk a répondu sèchement à la première ministre britannique en indiquant qu’il était possible d’accorder à la Grande-Bretagne un bref report de sa rupture avec l’Union à condition que la Chambre des communes approuve la semaine prochaine l’accord de sortie que Londres et Bruxelles ont conclu. Si tel est le cas, aucun sommet européen extraordinaire ne sera nécessaire la semaine prochaine, a-t-il poursuivi. Dans le cas contraire, il pourrait rappeler les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE à Bruxelles, où ils se réunissent déjà en sommet jeudi et vendredi de cette semaine.“A la lumière des consultations que j’ai menées au cours des derniers jours, je pense qu’une courte prolongation sera possible mais dépendra d’un vote positif sur l’accord de retrait à la Chambre des communes”, a déclaré Donald Tusk, s’adressant à la presse. La Commission européenne estime pour sa part qu’un report du Brexit ne doit pas dépasser le 23 mai, ou qu’il doit être plus long et impliquer alors une participation du Royaume-Uni au scrutin européen. En clair l’union économique pousse maintenant le Royaume-Uni vers un break site dur à moins qu’il accepte l’accord de transition passée entre Theresa May et la commission européenne.

Refus d’aller au sénat, Benalla soutenu par le gouvernement !

Refus d’aller au sénat, Benalla soutenu par le gouvernement !

 

Comme par hasard toute la journée d’hier, des membres du gouvernement ont soutenu le refus de Benalla de se présenter devant la commission du Sénat. Cela avec la même argumentation que l’avocat de Benalla qui considérait qu’il y avait double emploi entre l’enquête judiciaire et l’enquête parlementaire. On se demande bien pourquoi Benalla  la bénéficie d’un tel soutien des membres du gouvernement alors que l’enquête judiciaire porte sur des faits délictueux susceptibles de condamnation. La commission parlementaire du Sénat elle vise les défaillances du fonctionnement de l’État et non la responsabilité pénale ou civile de Benalla. Le gouvernement n’a pas à s’en mêler. Pourtant,  Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement qui considérait, mardi soir sur RTL, que Benalla n’a « pas à rendre compte à une commission parlementaire », ou Nicole Belloubet, ministre de la Justice, qui vient rappeler qu’il « ne doit pas à y avoir d’interférence entre les enquêtes »,

 

Donneurs d’organes automatiques (Pays bas), sauf refus explicite

Donneurs d’organes automatiques (Pays bas), sauf refus explicite

Le parlement néerlandais a définitivement approuvé mardi une loi prévoyant l’enregistrement de tous les citoyens âgés de plus de 18 ans en tant que donneurs d’organes, à moins qu’ils ne signifient explicitement leur refus. Lors d’un vote serré – 38 voix pour, 36 voix contre -, les sénateurs ont approuvé ce projet de loi, qui avait été présenté par un membre du parti social-libéral les Démocrates 66 (D66) et dont l’objectif est d’augmenter le nombre de donneurs d’organes dans ce pays de 17 millions d’habitants. «La loi a été acceptée», a déclaré la présidente du Sénat Ankie Broekers-Knol devant la chambre haute du parlement. Les citoyens néerlandais recevront deux courriers mail leur demandant d’indiquer s’ils acceptent ou non d’être des donneurs potentiels. S’ils ne réagissent pas à la réception du deuxième mail, ils seront automatiquement inscrits sur la liste des donneurs d’organes. En France  « Il y a un principe qui n’a pas changé depuis 1976, c’est celui du consentement présumé. Cela veut dire que nous sommes tous donneurs présumés, à moins d’avoir formulé de son vivant son refus d’être prélevé. Jusqu’à aujourd’hui, c’était les proches qui se chargeaient de formuler la volonté de la personne décédée. Ce qui change désormais, c’est que la personne qui refuse de donner ses organes doit l’avoir précisé elle-même, très clairement, en s’inscrivant sur le registre national des refus ». Sans trace écrite, le médecin pourra procéder au prélèvement. Cette évolution vise à augmenter le don d’organes, car le nombre de personnes en attente est toujours plus élevé ».

 

 

Taxation des Gafa : refus des potions françaises par les Etats-Unis

Taxation des Gafa : refus des potions françaises par les Etats-Unis

Le secrétaire américain au Trésor, Steven Mnuchin, s’est opposé samedi à la proposition française de taxer les géants du numérique sur leur chiffre d’affaires, estimant que cette mesure n’était pas pertinente. « Je pense qu’une taxe sur le chiffre d’affaires n’est pas logique et que cela ne va pas dans la bonne direction », a affirmé Steven Mnuchin lors d’une conférence de presse au terme de la réunion annuelle du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale à Washington.  Le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a défendu de son côté la proposition qu’il a présentée à la fin septembre et a grandement minimisé le différend avec Washington.  « En attendant d’avoir un dispositif idéal, nous pensons qu’il faut avoir un dispositif robuste et c’est notre proposition de taxation sur le chiffre d’affaires », a-t-il expliqué. « Ce n’est pas une proposition idéale, mais c’est une proposition et qui peut être mise en œuvre dans des délais rapides », a-t-il souligné. « Je reviens satisfait des avancées que nous avons obtenues à Washington sur ce sujet », a-t-il cependant assuré, soulignant la décision de Steven Mnuchin de créer un groupe de travail bilatéral avec la France sur ce sujet. « C’est la première fois que France et Etats-Unis s’entendent pour avancer sur les voies et moyens de la taxation des géants du numérique », a-t-il déclaré. Bruno Le Maire avait présenté sa proposition de taxation sur le chiffre d’affaires des géants du numérique à la fin septembre aux ministres de l’Economie et des Finances de l’UE à Tallinn (Estonie). Dans la foulée, la Commission européenne a annoncé son intention de proposer en 2018 de nouvelles règles pour mieux taxer dans l’UE les géants du numérique, comme Google ou Apple, malgré la résistance de certains Etats

Insoumis : le refus de Macron confirme la chienlit du gauchisme en France

Insoumis : le refus de Macron confirme la chienlit du gauchisme en France

Quand 65 % des insoumis de Mélenchon refusent de soutenir Macron, c’est le signe que la maladie du gauchisme est  largement répandue. Une maladie qui s’exprime, tout en restant minoritaire lors des conflits sociaux. Une philosophie politique qui fait du moyen la finalité et qui se moque finalement de l’objectif. Dit autrement qui privilégie l’opposition pour l’opposition, la révolution pour la révolution et qui finalement amalgame fascisme et capitalisme. Et même progressisme et extrême droite. Pas étonnant si l’on se fie aux propos de Mélenchon, souvent pertinent dans sa critique du système mais complètement incohérent dans ses propositions, ses ruptures et ses alliances. Ses propositions sont par ailleurs très proche économiquement de celles du FN avec un souverainisme teinté de nationalisme et le refus de toute évolution structurelles. Bref la défense des «  avantages acquis » et même davantage. Un vrai discours de fonctionnaire, séduisant pour  les naïfs mais complètement démagogique comme celui de Le Pen. En cause une méconnaissance totale des réalités économiques et sociales, des mutations actuelles de ce monde avec la nostalgie d’un retour à l’Eden des années 50. Bref face aux transformations fondamentales et à leur caractère anxiogène, la proposition d’une réassurance identitaire avec un modèle proche du communisme (d’où sans doute l’affection de Mélenchon pour le bolivarisme, Assad ou Poutine).  Près des deux tiers des soutiens de Jean-Luc Mélenchon qui ont participé à une consultation sur le second tour de l’élection présidentielle envisagent donc de voter blanc, nul ou de s’abstenir dans le duel qui opposera dimanche Marine Le Pen à Emmanuel Macron, selon les résultats du vote publiés mardi. Cette consultation, qui avait été annoncée par le candidat le 23 avril au soir de son élimination de la course à l’Elysée, a rassemblé sur internet 243.128 « insoumis » sur les quelque 440.000 internautes qui avaient soutenu la candidature de l’eurodéputé, précise La France insoumise dans un communiqué. Selon cette étude, 87.818 insoumis, soit 36,12%, se prononcent pour un vote blanc ou nul, 84.682, soit 34,83%, pour un vote Emmanuel Macron et 70.628, soit 29,05%, en faveur d’une abstention. Un résultat qui résulte directement du discours corpo gauchiste de Mélenchon qui sacrifie la démocratie en mettant Macron et Le Pen dans le même sac.

Refus de Mélenchon du front républicain : le choix de la lâcheté

Refus de Mélenchon  du front républicain : le choix de la lâcheté

 

 

Un faute politique grave et un choix de lâcheté chez celui qui s’était fait le champion des valeurs républicaine. Le gauchisme l’a emporté sur la clarté ; Une décision qui discrédite Mélenchon et son parti qui au moment des enjeux essentiels de démocratie se défilent comme d’ailleurs sur certains conflits  politiques internationaux ; Finalement l’anticapitalisme l’anti impérialisme préféré à l’urgence démocratique. Bref, les positions sulfureuses du gauchisme. Et Mélenchon qui devant l’épreuve qui perd le sens de la république ; Certes, sa progression est spectaculaire par rapport à 2012 mais en dépit de ses 19,6%, Jean-Luc Mélenchon reste cantonné à la quatrième place. La même qu’en 2012. Vers 22h, le candidat de la France insoumise est apparu amer, curieusement dubitatif devant les résultats, disant attendre les chiffres «officiels». Il a osé une comparaison des deux qualifiés qui pour lui «n’expriment aucune prise de conscience écologique ni sur le péril qui pèse sur la civilisation humaine et comptent s’en prendre une fois de plus aux acquis sociaux les plus élémentaires du pays». En 2012, il défendait la stratégie du Front (de gauche) contre Front (national) faisant de l’affrontement avec l’extrême droite le principal de ses combats. En 2017, il a refusé de déclencher une consigne de vote immédiate. Tandis qu’un Benoit Hamon appelait ses maigres troupes à voter Emmanuel Macron pour empêcher la victoire de Marine Le Pen, lui a déclaré n’avoir «aucun mandat des 450.000 personnes» qui ont décidé de soutenir sa candidature pour s’exprimer «à leur place». «Chacun, chacune d’entre vous sait en conscience quel est son devoir» a t-il décrété, déclenchant les applaudissements de ses partisans. Et les rugissements de ses collègues politiques qui disent ne pas comprendre cette réserve que certains assimilent à un non-choix voire à un laisser faire.

Refus de l’accord Canal+/beIN par l’Autorité de la concurrence

Refus de l’accord Canal+/beIN par l’Autorité de la concurrence

 

On s’attendait à ce que l’autorité de la concurrence impose des modalités pour autoriser l’accord entre Canal+ et beIN  notamment des modalités visant à revendre à d’autres chaînes certains droits sportifs. Mais en l’état du projet l’autorité de la concurrence a rejeté brutalement  l’accord entre Canal et BeIN (deux chaînes qui par ailleurs rencontrent des difficultés financières) L’Autorité de la concurrence s’oppose donc à l’accord de distribution exclusive entre la filiale de Vivendi Canal+ et beIN Sports, infligeant un revers cinglant à Vincent Bolloré qui avait présenté le projet comme essentiel pour redresser la chaîne cryptée. Le gendarme de la concurrence a refusé de lever l’interdiction faite en 2012 à la chaîne cryptée de distribuer une chaîne sportive payante, empêchant de facto la signature du partenariat annoncé en février. Le régulateur, qui aurait pu se contenter d’encadrer l’accord avec des conditions contraignantes, a finalement choisi la solution la plus radicale, donnant rendez-vous à Canal+ l’an prochain dans le cadre d’une remise à plat générale des règles encadrant la télévision payante. L’Autorité de la concurrence a une fois de plus marqué son indépendance alors que les dirigeants de Vivendi avaient multiplié les déclarations alarmistes ces dernières semaines sur l’état de santé de Canal+, « en situation de faillite » selon Vincent Bolloré qui a menacé d’ »arrêter le robinet » des chaînes françaises. « Je pense personnellement que ce n’est pas cet accord qui aurait restauré la rentabilité financière de Canal+ déplorée par son principal actionnaire. Cet accord aurait surtout beaucoup coûté au début », a expliqué le président de l’Autorité de la concurrence, Bruno Lasserre, lors d’une conférence de presse, évoquant un coût pour Canal+ compris entre 300 et 400 millions d’euros par an. Tout en reconnaissant la difficile équation financière de Canal+ qui doit faire face à l’inflation du coût des droits sportifs et à la baisse de ses revenus publicitaires, il a estimé que la chaîne, dont l’offre unique au prix élevé d’environ 40 euros est dépassée, avait du travail à faire pour séduire les petits budgets.

(Avec Reuters)

Air France: retour aux turbulences avec le refus du SNPL

Air France: retour aux turbulences  avec le refus du SNPL

 

 

Décidément Air France est loin d’être sorti de l’auberge du corporatisme avec le refus signifié par le premier syndicat de pilotes le SNPL qui s’oppose au  plan d’amélioration de la productivité. Autant dire que la compagnie risque de retrouver ses difficultés récurrentes à résister sur un marché très concurrentiel. En clair les pilotes refusent de travailler davantage alors qu’au plan mondial l’heure de durée de travail est l’une des plus faibles (surtout si l’on tient compte du niveau relativement satisfaisant des rémunérations). L’exemple même d’une grande entreprise française performante  techniquement mais gangrené le corporatisme, le gauchisme et l’indigence de la concertation.  Le projet Perform 2020, présenté par la direction et ouvert à la signature jusqu’au 2 mai, prévoit notamment une baisse de la rémunération à l’heure de vol.  Le projet, qui vise à «coller à la saisonnalité» de l’activité d’Air France, comprend une baisse de la rémunération à l’heure de vol, qui serait compensée, selon la direction, par l’augmentation du temps de travail. La part variable des pilotes repose en effet sur le nombre d’heures effectuées. Le texte fixe par ailleurs l’objectif d’atteindre «plus de 3.900 pilotes à fin 2020», contre près de 3.700 anticipés mi-2016, par le biais de «plus de 600 embauches» dans l’intervalle, dont «au moins 50» avant la fin d’année, selon le PDG d’Air France Frédéric Gagey.

Refus du front républicain : encore une erreur stratégique de Sarkozy

Refus du front républicain : encore une erreur stratégique de Sarkozy

Si les résultats des régionales constituent une véritable claque pour le PS,  c’est aussi un résultat décevant pour le parti de Sarkozy.  D’une certaine manière, c’est une défaite de Sarkozy lui-même qui n’est pas parvenu à s’imposer à nouveau sur la scène politique. Un retour raté qui a impacté de façon négative le score de la droite classique. En cause le flou qui caractérise les orientations politiques de Sarkozy depuis son retour. Des orientations avec de nombreuses contradictions et le grand écart permanent entre des positions libérales et les postures extrémistes proches du FN.  Bref un positionnement illisible pour nombre d’électeurs qui ont voté pour lui en 2007 et en 2012.le refus  du front républicain témoigne chez Sarkozy  de son manque de hauteur et même de son manque de vision stratégique y compris pour 2017. Pourtant ce front républicain est  indispensable en 2017 s’il veut battre Marine Le Pen. Refuser aujourd’hui ce front républicain qu’il appellera de ses vœux  en 2017 ajoute encore de la contradiction aux contradictions. En outre il risque de provoquer une crise avec les alliés des Républicains qui militent en faveur du front républicain. Au sein même du parti les Républicains il est vraisemblable que certains condamneront Sarkozy. Le patron du parti centriste, Jean-Christophe Lagarde, a exposé un point de vue très différent de son homologue LR. «Pour nous, c’est très simple: partout où le Front national peut gagner, nous souhaitons le retrait des listes qui arrivent en troisième position. Quelles que soient les listes, c’est un principe qui doit être respecté. Nous avons toujours combattu l’extrême droite et nous souhaitons ce retrait», a-t-il annoncé sur France 2. .  François Bayrou, le président du Modem, allié des Républicains dans 12 régions sur 13, a appelé « au retrait pur et simple » de toute liste arrivée en 3e position au premier tour, pour permettre un « ressaisissement démocratique » face au Front national. 

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