Archive pour le Tag 'Reflux'

Covid Afrique du Sud : reflux de la pandémie

Covid Afrique du Sud : reflux de la pandémie

 

En Afrique du Sud, le gouvernement vient de lever le couvre-feu après avoir constaté un reflux de l’épidémie.

« Tous les indicateurs suggèrent que le pays pourrait avoir surmonté le pic de la quatrième vague au niveau national », est-il écrit dans un communiqué publié plus tôt dans la journée à l’issue d’un conseil des ministres extraordinaire.

Le niveau d’alerte sanitaire dans le pays a été abaissé au seuil le plus bas.

D’après les données du ministère de la Santé, la moyenne hebdomadaire du nombre de contaminations au coronavirus a reculé de 29,7% lors de la semaine se terminant le 25 décembre.

 

Covid-19 : Toujours le reflux

Covid-19 : Toujours le reflux

L’épidémie continue sa décrue en France, où 34 personnes sont mortes du Covid-19 ce mercredi, selon Santé publique France. 7038 malades sont actuellement hospitalisés, dont 202 arrivés ces dernières 24 heures. Ils étaient 7096 mardi. 1242 patients sont traités en services de soins intensifs, 40 d’entre eux l’étant depuis la veille. 4946 nouveaux cas ont été détectés.

 

 

 

Covid France : toujours le reflux

Covid France : toujours le reflux

 

L’épidémie continue de refluer en France, où 7726 malades sont toujours hospitalisés ce mercredi – ils étaient 7801 mardi. 1466 personnes sont actuellement traitées en soins critiques, contre 1524 la veille. 42 personnes sont, par ailleurs, mortes du Covid-19 ce mercredi à l’hôpital, portant le bilan à 116.657 morts depuis le début de la pandémie en France. 5835 nouveau cas ont également été détectés en 24 heures, contre 6765 la veille, et 6794 mercredi dernier. Le taux de positivité des tests s’élève, lui, à 1,2%.

Sur le front des vaccinations, 50.472.072 personnes ont reçu au moins une injection (soit 74,9% de la population totale) et 48.516.596 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 72% de la population totale), depuis le début de la campagne vaccinale en France.

À noter que le gouvernement envisage la possibilité de maintenir l’obligation du path sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022. La décision sera prise en conseil des ministres en octobre

Covid France : le reflux continue

Covid France : le reflux continue

L’épidémie continue de refluer en France, où 74 personnes sont mortes du Covid-19 ce lundi, selon Santé publique France. 7980 malades sont toujours hospitalisés, dont 343 depuis la veille. Ils étaient 7994 dimanche. 1571 patients sont actuellement traités en services de soins critiques – 94 d’entre eux y ont été accueillis ces dernières 24 heures. Côté contaminations, 1309 cas ont été détectés en 24 heures (contre 1515 lundi dernier) pour un taux de positivité d’1,2%, inférieur à celui de la veille (1,3%). Cet indicateur est généralement plus bas les lundis compte tenue du nombre de tests réduits le week-end.

Covid France : toujours le reflux

Covid France : toujours le reflux

L’épidémie continue de refluer ce vendredi en France, où 66 personnes sont mortes du Covid selon le bilan de Santé publique France. 371 nouveaux patients ont été accueillis à l’hôpital en 24 heures. Au total, 9070 malades y sont toujours soignés, contre 9297 jeudi. 1891 personnes sont actuellement traitées en soins critiques, dont 81 arrivées depuis la veille, contre 1952 la veille. 7373 nouveaux cas de Covid-19 ont également été détectés en 24 heures, contre 8128 la veille et 9966 vendredi dernier. Le taux de positivité des tests s’élève, lui, à 1,7%.

Le cap symbolique des 50 millions de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le Covid-19 a été atteint, a annoncé vendredi Emmanuel Macron . 

Covid France : toujours le reflux

Covid France : toujours le reflux

Les indicateurs de l’épidémie sont au vert, en France, alors que le variant Delta suscite l’inquiétude dans le reste du monde. 33 malades du Covid sont morts ce vendredi 25 juin, selon le dernier bilan de Santé Publique France. 9190 personnes sont actuellement hospitalisées (-202 par rapport à la veille) dont 1389 en soins critiques (-50). 148 patients sont entrés à l’hôpital ces dernières 24 heures, et 39 en services de réanimation. 1986 nouveaux cas ont été détectés.

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 33.139.912 personnes ont reçu au moins une injection (soit 49,2% de la population totale) et 20.678.609 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 30,7% de la population totale).

 

Covid France : toujours le reflux-

Covid France : toujours le reflux-

 

2472 patients sont actuellement en soins critiques, dont 97 arrivés depuis la veille. 14.323 malades sont toujours hospitalisés, un nombre en baisse constante depuis plusieurs semaines. Dimanche, l’organisme en dénombrait 14.525.

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 28.271.153 personnes ont reçu au moins une injection (soit 42,2% de la population totale et 53,8% de la population majeure) et 12.517.222 personnes ont reçu deux injections (soit 18,7% de la population totale et 23,8% de la population majeure). 13.997.549 de personnes ont un schéma vaccinal complet.

Covid France : toujours le reflux

  • Covid France : toujours le reflux
  • L’épidémie continue de refluer en France, où 18.593 malades sont hospitalisés, soit un nombre en baisse de 837 patients en 24 heures. 144 nouveaux morts sont toujours à déplorer ce mercredi. 3330 personnes sont actuellement en soins critiques, dont 181 arrivées depuis la veille. 12.646 cas ont été détectés en 24 heures.

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 24.098.326 personnes ont reçu au moins une injection (soit 36,0% de la population totale et 45,9% de la population majeure) et 10.102.350 personnes ont reçu deux injections (soit 15,1% de la population totale et 19,2% de la population majeure).

Reflux du chômage en 2021, (Élisabeth Borne)

Reflux du chômage en 2021,  (Élisabeth Borne)

Élisabeth Borne emploie la méthode Coué pour tracer des perspectives positives concernant l’emploi “J’espère que sur 2021 le chômage va pouvoir décroître, évidemment”, a-t-elle déclaré sur France Inter.

C’est plutôt l’inverse qui devrait se produire après les annonces régulières de plans de licenciement assez massifs dans nombre de secteurs économiques et d’une façon générale après le processus engagé un peu partout de réduction des effectifs pour s’adapter au niveau de la demande.

On voit mal comment le chômage pourrait s’améliorer au dernier trimestre alors que la croissance sera dans le rouge et qu’au total sur l’année 2020 le produit intérieur brut aura perdu 10 %. Même chose concernant les perspectives de 2021 qui seront largement affectés si par les résultats économiques, financiers et sociaux très détériorés de fin 2020. Notons aussi la très nette baisse du moral des chefs d’entreprise en cette fin d’année. Ce qui n’empêche pas Élisabeth Borne d’être optimiste

“Notre économie a des fondamentaux solides et (…) peut rebondir, et évidemment sur 2021 elle va rebondir, on a tous ces dispositifs exceptionnels pour amener les jeunes dans l’emploi (…) et vers des formations.”

Mais Elisabetjh Borne a néanmoins lancé un appel à la responsabilité aux sociétés qui ont décidé d’importantes suppressions d’emplois, comme Danone et Total.

“Ça n’est vraiment pas le moment d’envoyer des salariés sur un marché du travail où on moins de chances de retrouver rapidement un emploi qu’en temps normal”, a-t-elle dit. Un jugement moral qu’on peut comprendre mais qui n’obéit pas à  la logique économique.

Reflux du chômage, quel reflux ?

Reflux du chômage, quel reflux ?  

 

Non seulement il n’y a pas reflux mais structurellement le chômage est encore à la hausse. Avec 42 000 chômeurs en plus en octobre et 15 000 en moins en novembre on ne peut pas dire vraiment qu’il s’agit d’un reflux ; sur 2 mois  il y a 27 000 chômeurs en plus. En outre il s’agit seulement de la catégorie A, celle qui concerne ceux qui  n’occupaient aucun emploi. Si on prend en compte les petits boulots le chômage global est de même niveau que le mois précédent. Ce qui est intéressant c’est la tendance sur un an qui se traduit par une augmentation de leur de 3,5 %. Globalement il n’y a donc pas d’inversion de la courbe du chômage cette année et encore moins si on prend en compte le nombre de chômeurs qui existaient au moment de l’élection de François Hollande (le bilan de François Hollande devrait se traduire par une attention du nombre de chômeurs de 600 000 à 700 000). Le chômage a diminué en apparence le mois dernier en France, mais pas suffisamment pour annuler les effets de la forte hausse d’octobre qui l’avait porté à des records, selon les chiffres publiés jeudi par le ministère du Travail. De plus, la baisse de novembre n’a profité qu’aux demandeurs d’emploi de catégorie A (sans aucune activité) et n’a pas concerné les seniors. Le nombre de demandeurs de catégorie A a ainsi diminué de 0,4%, à 3.574,800. Quinze mille ont quitté les listes de Pôle emploi le mois dernier, alors qu’en octobre ils avaient été 42.000, un plus haut depuis début 2013, à les rejoindre. Sur un an, leur nombre affiche une hausse de 2,5%. En ajoutant les catégories B et C (personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a encore progressé de 0,1% en novembre à 5.442.500 (5.743.600 en incluant les départements d’Outre-mer), soit 6.700 de plus qu’un mois plus tôt. Novembre a été marqué par une reprise du mouvement de baisse, interrompu en octobre, chez les moins de 25 ans (-1,1% sur le mois en catégorie A). Le chômage a également reflué chez les 25-49 ans (-0,5%) mais a poursuivi sa hausse chez les 50 ans et plus (+0,2%).  Sur un an, le nombre des demandeurs d’emploi les plus âgés augmente de 8,4%, alors que celui des jeunes diminue de 4,5%. Celui des 25-49 ans s’accroît de 2,1%. Le nombre de chômeurs inscrits depuis plus d’un an à Pôle emploi, considérés comme chômeurs de longue durée, progresse de 0,4% sur le mois et de 9,7% sur un an. Leur part dans le nombre total de chômeurs est en hausse de 0,2 point à 45,0% et l’ancienneté moyenne de leur inscription s’allonge de deux jours, à 570. Les entrées à Pôle emploi, qui avaient augmenté de 5,1% en octobre, régressent de 1,4%. Dans le même temps, l’évolution des sorties est restée positive (+0,4% après +3,3%). Le nombre d’offres d’emploi collectées par Pôle emploi en métropole s’est accru de 1,4% sur un mois et de 10% sur un an, le mouvement de hausse étant surtout tiré par les emplois temporaires (1 à 6 mois) et occasionnels (moins d’un mois).




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