Archive pour le Tag 'réélu'

Le président tunisien réélu avec 89 % mais 27,7 % de participation

Le président tunisien réélu avec 89 % mais 27,7 % de participation

Le taux de participation lors du scrutin s’est établi à 27,7%, contre 45% au premier tour de l’élection de 2019. Il s’agit du taux le plus faible pour un premier tour de scrutin présidentiel depuis le renversement du dictateur Ben Ali en 2011.

 

L’autorité électorale Isie a annoncé une participation de 27,7% contre 45% il y a cinq ans au premier tour. Le président de l’Isie, Farouk Bouasker, a jugé ce taux «respectable», alors qu’il s’agit du taux le plus faible pour un premier tour de scrutin présidentiel depuis le renversement du dictateur Ben Ali en 2011 dans ce pays, qui fut le berceau des soulèvements démocratiques des Printemps arabes.

Dans le berceau des révoltes pro-démocratie du Printemps arabe en 2011, seuls deux candidats – considérés comme des seconds couteaux par les experts – avaient été autorisés à affronter Kais Saied, 66 ans, sur initialement 17 postulants, écartés pour des irrégularités présumées.

 

«La légitimité de l’élection est forcément entachée quand les candidats qui pouvaient faire de l’ombre à Kais Saied ont été systématiquement écartés», a commenté pour l’AFP l’analyste politique tunisien Hatem Nafti, soulignant aussi qu’il «s’agit de la pire participation depuis 2011».

 

Le président algérien réélu avec avec 84 % !!!

 Le président algérien réélu avec avec 84 % !!!

 

Le président algérien sortant Abdelmadjid Tebboune a été réélu le 7 septembre 2024 pour un deuxième mandat avec un score record de près de 84 % des voix, selon des résultats officiels définitifs publiés par la Cour constitutionnelle. Les premiers résultats dévoilés le 7 septembre annonçaient une victoire du président sortant avec près de 95 % des suffrages exprimés, lors d’un scrutin marqué par une désaffection persistante de l’électorat.Face au chef d’Etat sortant, seuls deux candidats étaient en lice: le chef du parti islamiste modéré Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelaali Hassani, qui s’est adjugé 9,56 % des voix, et Youcef Aouchiche, leader du Front des forces socialistes (FFS, plus vieux parti d’opposition) qui a obtenu 6,14 %. Les trois candidats, dont le président réélu, ont accusé l’Agence nationale indépendante des élections (ANIE, organisme chargé d’organiser les élections) d’ «irrégularités» et de «contradictions».

Lahouari Addi, auteur de plusieurs publications sur le système politique algérien, analyse les résultats de ce scrutin pour The Conversation Africa.

Quels sont les principaux enseignements que vous tirez de cette élection ?

L’un des principaux enseignements est que le régime ne veut pas changer, il ne veut pas s’ouvrir à la société civile et rendre effectif le pluralisme politique. Le premier mandat d’Abdelmadjid Tebboune (2019-2024) a été marqué par l’arrestation de dizaines d’activistes et de journalistes, et rien n’indique que cela va changer.

Il semble que le bilan de Tebboune en matière de droits humains et de libertés publiques soit pire que celui d’Abdel Aziz Boutéflika, son prédécesseur. Des promesses ont été faites durant la campagne électorale, notamment la construction de deux millions de logements et l’augmentation des salaires des travailleurs et des fonctionnaires, mais elles ressemblent à toutes les promesses électorales : demain, on rase gratis.

Comment ces résultats affecteront-ils la dynamique politique de l’Algérie ?

Il y a deux chiffres qu’il faut retenir : le taux d’abstention qui a été de 77 % et le score officiel de Tebboune : 84 %. D’un côté, l’abstention est forte, ce qui signifie que la population rejette le candidat du régime; de l’autre, le résultat obtenu par Tebboune est irréaliste. Il n’existe pas de candidats élus à 84 % si le vote n’est pas truqué. En démocratie, le candidat qui obtient 51 % est élu et il est légitime. Si le chiffre est gonflé, c’est qu’il ne correspond pas à la réalité.

Ce sont là des pratiques de régimes autoritaires qui n’acceptent pas l’idée qu’une opposition existe, même si elle est minoritaire. Le régime a donné aux deux autres candidats les chiffres de 9,56 % et 6,14 %, et il ne peut supporter l’idée que les concurrents de Tebboune aient obtenu des chiffres supérieurs à 10 %. Par conséquent, à travers ces chiffres le régime s’est discrédité à l’intérieur et à l’extérieur.

L’abstention des électeurs n’est pas de la résignation mais plutôt une forme de résistance passive. Sans violence, la majorité de la population exprime son rejet du régime.

En ce qui concerne le score dérisoire du Parti islamiste modéré, à mon avis, les chiffres publiés officiellement ne sont pas réels. Nous ne savons pas quel est l’ancrage électoral des islamistes car il n’y a pas de sondages et les chiffres officiels des élections ne sont pas crédibles. Mais selon les observateurs, les islamistes ont perdu de leur popularité qu’ils avaient il y a vingt ans, même s’ils demeurent un courant important.

Quels sont les défis et opportunités auxquels le pays sera confronté au cours de cinq prochaines années?

Ces défis seront notamment économiques. Tant que le prix du pétrole est relativement élevé, l’Etat aura les moyens d’acheter la paix sociale. Mais malgré cela, les jeunes continuent de traverser la Méditerranée au péril de leur vie. L’émigration clandestine vers l’Espagne est le signe que Tebboune ne trouve pas de solution aux problèmes auxquels sont confrontés les jeunes : le chômage et la drogue.

L’autre défi est régional. Les relations entre l’Algérie et les États du Sahel, qui étaient bonnes il y a quelques années, sont mauvaises. Le Mali accuse l’Algérie d’ingérence, et celle-ci ne voit pas d’un bon œil les mercenaires de Wagner à sa frontière. Ils sont accusés de tuer des touaregs maliens qui ont des cousins en Algérie.

Par ailleurs, le Maroc semble remporter des victoires diplomatiques sur la question du Sahara occidental, ce qui pose problème à Tebboune. Récemment, la France a reconnu la marocanité du Sahara, ce que l’Algérie a officiellement dénoncé. L’Algérie n’est plus la puissance diplomatique du tiers-monde qu’elle était dans les années 1960 et 1970. Visiblement, Tebboune n’a pas la stature internationale pour parler de la paix au Sahel, de la guerre à Gaza, de l’Ukraine, etc. Et cela ennuie beaucoup les militaires qui ont misé sur lui pour faire sortir l’Algérie de son isolement.

Maduro au Venezuela: Réélu comme un dictateur avec un décompte des voix bidon

Maduro au Venezuela: Réélu comme un dictateur avec un décompte des voix bidon
Des manifestations monstres au Venezuela pour protester contre la décision du conseil national électoral qui a déclaré élu le dictateur avec 51 % des voix ! Une élection qui a reçu les félicitations de la Russie et de la Chine notamment qui utilisent aussi le même mode électoral.

Selon les résultats du CNE, Maduro, 61 ans, l’héritier de l’ancien président Hugo Chavez (1999-2013), a été réélu pour un troisième mandat consécutif de six ans avec 5,15 millions de voix (51,2%). Le candidat de l’opposition, Edmundo Gonzalez Urrutia, 74 ans, qui avait remplacé au pied levé Maria Corina Machado, déclarée inéligible, en a recueilli un peu moins de 4,5 millions (44,2%). L’opposition, qui espérait mettre fin à 25 années de pouvoir chaviste, a aussitôt rejeté ce résultat. Maria Corina Machado, pour qui Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu 70% des suffrages, a dénoncé «la violation grossière de la volonté populaire». «Notre combat continue, nous ne nous reposerons pas tant que la volonté du peuple vénézuélien ne sera pas reflétée», a lancé Edmundo Gonzalez Urrutia, sans appeler à manifester pour le moment.

Si Maduro a reçu le soutien de la Russie et de la Chine ainsi que de ses autres alliés habituels – Cuba, Nicaragua, Honduras et Bolivie —, les réactions négatives ou sceptiques ont afflué de la communauté internationale.

Russie: surprise ! Poutine réélu

Russie: surprise ! Poutine réélu 

 

On connaît par avance les résultats de l’élection russe, un score sans doute encore sans précédent. Rien d’étonnant à cela le score est déjà fixé avant le  avant le dépouillement. En cause, évidemment l’interdiction aux vrais candidats de position de se présenter. Et des candidats fantoches pour donner l’impression d’une démocratie dans un pays devenu totalitaire depuis que le voyou criminel Poutine a pris le pouvoir.

Pour lui,  le résultat est aussi existentiel. En effet la stratégie du dictateur est de créer un climat de tension permanent avec l’extérieur pour entretenir le nationalisme récurrent en Russie quitte à faire accepter des conditions de vie encore plus dures.

C’est grâce à ce climat guerrier que Poutine peut maintenir un état d’exception et la loi martiale permanente. Sans parler évidemment des exactions de l’ancien KGB (FSB aujourd’hui) qui permet d’éliminer, d’empoisonner et de tuer les opposants présents en Russie et même à l’étranger.

De toute manière même si Poutine était élu avec 100 % des voix, personne ne s’en étonnerait tellement cette consultation est complètement bidon. Le pire évidemment c’est que cette posture illibérale inspire nombre de pays dits du sud global dont les responsables contestent en réalité la démocratie qui menace leur place.

Côte d’Ivoire : Ouattara réélu pour un troisième mandat

Côte d’Ivoire : Ouattara réélu pour un troisième mandat

Le président ivoirien Alassane Ouattara, 78 ans, a été réélu pour un troisième mandat controversé sur le score de 94,27% des voix au premier tour, l’opposition ayant boycotté le scrutin, selon les résultats proclamés par la Commission électorale indépendante (CEI) mardi à l’aube.

Selon les chiffres de la CEI, le taux de participation, un enjeu important de ce scrutin du fait du boycott de l’opposition, est de 53,90%.

Des militants de l’opposition, qui avait appelé à la « désobéissance civile », ayant saccagé ou bloqué environ 5.000 bureaux de vote, 17.601 bureaux des 22.381 bureaux ont pu ouvrir, et le nombre d’inscrits pouvant voter est donc passé de 7.495.082 à 6.066.441 inscrits, selon la CEI.

M. Ouattara a recueilli 3.031.483 de voix sur un total de 3.215.909 suffrages exprimés à ce scrutin marqué par des violences meurtrières.

Élection fédération Française de rugby : Laporte réélu

Élection fédération Française de rugby : Laporte réélu

 

 

Après une campagne très dure et une envolée réciproque de noms d’oiseaux, Laporte  est réélu comme président de la fédération de rugby avec un score très serré de. 51,47% des voix, contre 48,53% à son opposant, Florian Grill. Le tout avec une très forte mobilisation des clubs amateurs votants puisque le taux de participation s’est élevé à 95,21 % (représentant 96,77 % du total des voix). Bernard Laporte s’est félicité évidemment et a appelé à l’unité entre la fédération et la ligue des professionnels. Mais il y aura  quand même des règlements de compte car la ligue des professionnels pour réélire Paul Goze, opposant systématique lui aussi de Laporte devra changer ses statuts. Le problème c’est que le changement impose l’accord de la fédération qui s’y opposera.

De toute manière l’ambiance sera chaude aussi à l’intérieur de la ligue des professionnels car le rugby se situe avec la crise sanitaire dans un environnement économique de plus en plus fragile qui pourrait même conduire certains clubs professionnels à faire faillite.

 

À noter un grand rendez-vous : la coupe du monde 2023 en France. «Un événement extraordinaire derrière lequel tous les passionnés doivent se rassembler. La priorité, en plus de continuer nos réformes déjà mises en place, est de retrouver un XV de France, masculin et féminin, qui gagne. C’est la vitrine de notre sport. Ce sont eux qui donnent envie à un maximum de jeunes filles et de jeunes garçons de pratiquer notre sport.»

Un XV de France qui disputera bien six tests en octobre-novembre. « Il y aura six matches, oui», a confirmé Laporte. Peu importe si la billetterie se retrouve réduite à la jauge de 1.000 spectateurs. «Ce serait nuisible pour nos finances. Mais la FFR a les reins solides pour absorber ça. On n’est pas du tout dans l’ornière, contrairement à ce que certains ont affirmé. On a 70 M€ de trésorerie, 32 M€ de fonds propre et un actif, avec le CNR de Marcoussis, qui pèse 50 M€.» Il n’y aura donc aucune inflexion de la politique mise en place depuis quatre ans. Reste que l’ensemble des trésoreries de tous les clubs présente une grande fragilité.

Sondage : Macron réélu devant Le Pen…le cauchemar !

Sondage : Macron réélu devant Le Pen…le cauchemar !

 

Rebelote, on prend les mêmes et on recommence pour les élections présidentielles. De quoi décourager les meilleures volontés démocratiques ! Si ces élections présidentielles devaient avoir lieu dimanche Macron finiraient en tête avec 56 % des voix devant Marine Le Pen avec 44 % des voix d’après un sondage IFOP pour Marianne. Finalement les rapports de force ont très peu évolué Macron serait un peu moins bien élu au deuxième tour mais il réunirait davantage au premier tour (autour de 30 %). Jean-Luc Mélenchon obtiendrait 12 %, Wauquiez 8 %. , Benoît Hamon et Nicolas Dupont-Aignan à 6% tous les deux. Olivier Faure (PS) obtiendrait 3% et Yannick Jadot (Europe Ecologie-Les Verts) 2%. On ose espérer qu’aucun de ses responsables ne sera  présent en 2022 et qu’un renouvellement aura lieu. Notons au passage que tous les candidats testés sont tous des pros de la politique et que leur crédibilité est usée jusqu’à la corde.

 

L’enquête a été réalisée en ligne auprès d’un échantillon de 912 personnes inscrites sur les listes électorales représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Valls réélu….De justesse

Valls réélu….De justesse  

 

De justesse mais réélu quand même. De quoi redonner du baume au cœur à celui qui va sans doute tenter de refonder la gauche socialiste sur une base réformiste. Il faudra en effet un leader aux progressistes pour tout reconstruire. Mais cela implique de nettoyer l’ancien PS de ses frondeurs et crypto marxistes y compris les ambigües Aubry et Hidalgo.  L’ancien Premier ministre Manuel Valls a donc été réélu dimanche dans la première circonscription de l’Essonne, mais ses opposants de La France insoumise ont immédiatement annoncé qu’ils allaient déposer un recours à la préfecture. « Pour nous, il est difficile de constater la victoire de l’ex-Premier ministre. Donc nous, on la revendique aussi et on fait un recours très rapidement », a annoncé Farida Amrani, la candidate du mouvement de Jean-Luc Mélenchon. La candidate a dit avoir constaté des « irrégularités sur certains bureaux, notamment un en particulier », précisant qu’elle déposerait son recours « dès demain à la première heure ». Quelques minutes plus tôt, Manuel Valls avait revendiqué sa victoire. « Les résultats ont été donnés commune par commune et, avec la prudence qui s’impose, ce soir je suis élu avec 50,30% des voix, et pour être précis avec 139 voix d’avance », avait annoncé Manuel Valls à la mairie d’Evry. L’ancien Premier ministre était opposé à une candidate de La France insoumise, Farida Amrani. La République en marche n’avait pas présenté de candidat face à lui. Lors du discours de l’ancien maire d’Evry, plusieurs opposants criaient « annulez! », dans une ambiance de confusion. Sur Twitter, la directrice de la communication du leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, Sophia Chirikou, a écrit : « Cet homme est un tricheur ! Recompter dans sa mairie et passer à 100 voix ! »

Côte d’Ivoire: Ouattara réélu

Côte d’Ivoire:  Ouattara réélu

 

 

 

 

Le président de la Côte d’Ivoire Alassane Ouattara, 73 ans, a été réélu dès le premier tour de l’élection présidentielle du 25 octobre pour un mandat de 5 ans, a annoncé mercredi matin la Commission électorale indépendante (CEI). Selon les résultats communiqués, M. Ouattara obtient 83,66% des suffrages lors d’un scrutin dont le taux de participation a été de 54,63% alors qu’une partie de l’opposition avait appelé au boycott. Ces résultats doivent être transmis au Conseil Constitutionnel. Donné grandissime favori, M. Ouattara, qui s’appuyait sur un bon bilan économique, devance Pascal Affi N’Guessan, le représentant du Front Populaire Ivoirien (FPI) fondé par l’ex-président Laurent Gbagbo, qui obtient 9,29% des suffrages. Le taux de participation (54,63%, 3.330.000 votants sur une liste électorale de 6.301.000) était un des principaux enjeux de cette élection alors que trois candidats et une partie de l’opposition avaient appelé au boycott, qualifiant le scrutin de « mascarade électorale ».

 

Blatter la magouille brillamment réélu

Blatter la magouille brillamment réélu

 

Tout ça pour rien, Blatter  a été brillamment réélu et tous de le féliciter après son élection. Tous, c’est à dire ceux qui bouffent dans la gamelle de la FIFA depuis longtemps. D’abord ces dirigeants qui entourent Blatter et qui n’ont qu’une  connaissance très approximative du foot mais qui encaissent,  se baladent aux frais de la princesse toute l’année, décident en douce de la coupe du monde. On objectera que cela fonctionne ainsi dans nombre de fédérations internationales  ou au CIO. Dans des fédérations nationales aussi. Il y avait 15 salariés à la FIFA il y a 40 ans il y en a 1500 maintenant, il n’y avait pas un sou, il y a maintenant des milliards. C’est le sport business grâce en particulier aux sponsors, aux droits télé, aux retombées politiques aussi. Loin du foot du terrain où des millions de bénévoles dans le monde consacrent plusieurs fois par semaine leur temps, leur énergie  leur argent à entrainer seniors et gamins.  Blatter, lui,  c’est le Mitterrand du foot, il tient tout le mode dans sa Maan puisque la plupart bouffent au râtelier. Via la corruption via aussi les subventions redistribuées par la FIFA aux pays et qui ne vont pas toutes au football. Tout le monde le sait mais c’est ce qui permet à Blatter de tenir son monde et d’être  été réélu à la tête de la Fifa.  La vague du scandale n’a donc pas submergé Blatter. 48 heures après l’arrestation de membres de la Fifa, soupçonnés dans des affaires de corruption qui rongeraient la puissance fédération depuis 20 ans au moins, Joseph « Sepp » Blatter a été réélu pour quatre ans de plus à la tête du foot mondial. Le Suisse de 79 ans avait recueilli au premier tour 133 voix contre 73 à son rival jordanien, qui bénéficiait notamment du soutien de l’Union des associations européennes de football (UEFA). Il n’avait pas atteint la majorité requise des deux tiers des suffrages exprimés (140).

Sondage 2017 : Hollande réélu mais…. s’il y a baisse du chômage

Sondage 2017 : Hollande réélu mais…. s’il y a baisse du chômage

 

 

Apriori Hollande n’a aujourd’hui aucune chance pour 2017 mais en cas de baisse très importante du chômage sa candidature pourrait être recredibilisée d’après un sondage IFOP pour le JDD. Un scénario cependant assez hypothétique quand on sait que la croissance de 1% en 2015 ne pourra pas créer d’emploi et que celle de 2016 sera de 1.5%. Il faut que le PIB soit au moins de 1.5% pour obtenir à nouveau un solde positif d’emplois pour  commencer à inverser la tendance  Interrogés par l’IFOP pour le JDD afin de savoir ce qui pourrait les amener à réviser à la hausse d’ici 2017 leur jugement sur François Hollande, les Français ont choisi de mentionner en premier le scénario d’une « baisse significative du chômage » : c’est le cas de 91% des sympathisants du PS mais aussi de 55% de ceux de l’UMP et de 49% de ceux du Front national.  François Hollande –que ses proches décrivent, à son retour de Moscou où il vient de rencontrer Vladimir Poutine, comme plus que jamais déterminé et persuadé que la présidentielle 2017 n’est pas jouée- est convaincu lui-même que la situation du chômage en France sera le facteur décisif. Il en est si convaincu d’ailleurs qu’il a récemment laissé entendre que la seule chose qui pourrait le décourager d’être candidat à un nouveau mandat en 2017, ce serait que le chômage, aujourd’hui massif, ne recule pas d’ici là. Mais le chef de l’État -qui a toujours cru à sa bonne étoile- n’est plus pessimiste : au fond de lui, il est décidé à briguer un second quinquennat (surtout si Nicolas Sarkozy se retrouve sur sa route) puisque, dit-on dans son entourage, plusieurs clignotants économiques passent actuellement au vert. Et peuvent lui laisser croire que la conjoncture globale, dans les mois qui viennent, va se retourner en sa faveur. « Il s’en sort, dit de François Hollande le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis. Petit à petit, les réformes passent. Il a beaucoup semé, on a beaucoup glosé sur la récolte mais elle viendra à point nommé ».

Cahuzac pourrait être réélu

Cahuzac pourrait être réélu

 

Pour l’instant pas de décision encore, donc une possibilité pour Cahuzac de se représenter, voire d’être réélu. La preuve en tout cas que Cahuzac n’a pas vraiment d’état d’âme sur sa dissimulation fiscale ;  une posture de nanti qui ne l’a pas empêché d’imposer  l’austérité aux français. Finalement un état d’esprit assez partagé au sein du gouvernement de bobos qui se gavent des ressources publiques (20 0000 euros en moyenne plus les avantagea pour un parlementaire) mais parlent sans cesse  de rigueur pour les autres .   »Aucune décision prise. Certains parlent pour moi sans mandat pour cela. Et je constate une forme d’attente ou d’espérance chez certains », a indiqué M. Cahuzac au Figaro.fr, en réponse à une interrogation du site.  Selon le Journal du Dimanche, Jérôme Cahuzac, qui avait remporté la troisième circonscription du Lot-et-Garonne avec 61,48% des suffrages en 2012, a laissé entendre à un proche qu’il n’écartait pas de se représenter comme indépendant à la législative partielle des 16 et 23 juin à Villeneuve-sur-Lot.  Aucune confirmation sur ces réflexions n’a pu être obtenue depuis dimanche par l’AFP dans l’entourage de M. Cahuzac.  Le premier secrétaire du PS Harlem Désir a estimé auparavant mardi, que M. Cahuzac serait « deux fois parjure » et « en totale contradiction avec des déclarations qu’il a pu faire », s’il venait à se représenter à l’élection partielle, qu’il a provoquée en ne reprenant pas son siège de député après sa démission du gouvernement suite à sa mise en examen pour blanchiment de fraude fiscale.  La porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem, lors de son point-presse, a pour sa part jugé une candidature Cahuzac « totalement inenvisageable », la qualifiant de « supputation ».  Le PS a désigné lundi comme candidat à cette élection dans la 3ème circonscription du Lot-et-Garonne Bernard Barral, un chef d’entreprise à la retraite de 66 ans, à l’issue d’un vote des militants locaux.  La date limite pour le dépôt des candidatures en préfecture a été fixée au 24 mai à 18h00.   »On a notre candidat, nous sommes rassemblés derrière lui et on fera campagne derrière lui », a déclaré à l’AFP mardi Matthias Fekl, premier secrétaire fédéral du PS pour le Lot-et-Garonne.  Il a précisé « qu’au premier tour de la primaire, il y a eu 42 bulletins blancs ou nuls, et que certains exprimaient un vote pour Cahuzac, qui a obtenu en gros le même score que le troisième prétendant, Eric Congé ».  Au second tour de la primaire, Bernard Barral a obtenu 127 voix (63,8%) face à une avocate de 42 ans, Catherine Joffroy (72 voix), lors d’une consultation à laquelle ont participé 204 militants.  Mais concernant une éventuelle candidature Cahuzac, M. Fekl n’a pas souhaité commenter « des hypothèses qui ne semblent pas crédibles ». « Ce n’est pas cohérent avec ce qu’il (Cahuzac) a dit lors de son interview télévisée, et avec la décision qu’il avait prise », a-t-il ajouté.  Bernard Barral a de son côté estimé qu’une éventuelle candidature de Jérôme Cahuzac serait pour ce dernier « suicidaire ». « Trois-quarts des militants ont sollicité ma candidature. Je suis le candidat du PS et nous avons un nombre croissant de sympathisants qui comprendraient mal » une telle initiative, a-t-il déclaré. « Je suis une personnalité atypique et j’apporte autre chose », a-t-il ajouté en soulignant que c’est ce qui est recherché par les électeurs.

 




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