Archive pour le Tag 'réduire'

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Députés : réduire de moitié le nombre (Juppé)

Députés : réduire de moitié le nombre (Juppé)

 

Ça avance, ça avance, cette fois c’est Juppé qui le dit. A noter qu’il y a 100 sénateurs par exemple aux Etats Unis et 343 en France !.  Réduire de moitié le nombre de parlementaires serait « un bon signal » dans un contexte de recherche d’économies budgétaires, estime Alain Juppé dans un entretien au Parisien/Aujourd’hui en France de jeudi 23 octobre. L’ancien Premier ministre et candidat à la primaire UMP pour la présidentielle de 2017 précise que « ce n’est pas ce qui va nous permettre de rééquilibrer les comptes publics » mais « il faut le faire. C’est un bon signal ». « Il y a 577 députés et 348 sénateurs, plus de 900 au total. C’est évidemment beaucoup trop », juge le maire de Bordeaux qui « pense qu’une diminution de moitié ne serait pas absurde, autant pour une raison d’efficacité démocratique que pour une raison d’économies ».

 

Transport aérien : accord chez Lufthansa avec les syndicats pour réduire les coûts

Transport aérien : accord chez Lufthansa  avec les syndicats pour réduire les coûts

 

Lufthansa a confirmé mardi avoir conclu un accord avec le syndicat du personnel navigant UFO pour réduire de 20% les coûts de ses futurs vols long-courriers à petits prix. La compagnie allemande, en pleine restructuration, négocie des réductions de coûts avec plusieurs organisations représentatives du personnel. Les plus délicates portent sur le régime de retraite des pilotes, qui ont observé plusieurs grèves pour faire pression sur la direction. En juillet, le président du directoire de Lufthansa Carsten Spohr avait annoncé son intention de lancer des vols long-courriers à bas tarifs sous une marque distincte pour contrer l’offensive des compagnies aériennes du Golfe et des transporteurs « low cost ». L’accord conclu avec le syndicat UFO permettra à l’entreprise de reconfigurer 14 avions A340-300 où la première classe sera supprimée et la classe affaires réduite, ce qui permettra de desservir des destinations populaires, par exemple dans les Caraïbes, avec moins de personnel à bord. « Cet accord nous permettra de rester concurrentiel sur des liaisons particulièrement sensibles aux tarifs avec un fort pourcentage de voyages privés », déclare dans un communiqué la directrice des ressources humaines Bettina Volkens.

 

 

 

 

 

Hollande veut « réduire les impôts des Français »… en 2018 ?

Hollande veut « réduire les impôts des Français »… en 2018 ?

 

Hollande veut réduire les impôts ! Évidemment  on tremble ; Il avait déjà promis la pause fiscale en 2013 mais avait reporté l’échéance en 2015. Du coup on peut craindre que la nouvelle promesse ne prenne effet qu’en 2018 ou peut-être juste avant les élections présidentielles. Une vraie baisse devrait affecter le taux de relèvement obligatoire qui lui dépend non seulement de la fiscalité mais aussi de la richesse nationale (rapport taux d’impôt sur PIB). Une richesse stagnante depuis 5 ans tandis que que le poids fiscal augmente. Il faudrait pour cela qu’il s’attaque sérieusement enfin aux dépenses de l’Etat et à son train de vie. Comment Hollande pourrait-il réduire le dépenses chez ceux qui constituent l’essentiel des électeurs et qui le soutiennent encore ? Il est lui même (et son équipe) le produit de cette superstructure étatique qui étouffe le pays. Ce qu’il propose comme démarche ne semble pas aller dans le sens d’une véritable réforme structurelle.  le président de la République a déclaré, en présentant ses vœux au gouvernement, ce vendredi 3 janvier, que « la réduction des déficits doit passer par des économies dans les dépenses de l’Etat, des collectivités locales et de la Sécurité Sociale ». « Ces économies permettront de réduire les impôts des Français », a-t-il poursuivi lors du premier Conseil des ministres de 2014. Un moyen de rebondir sur « la pause fiscale » promise par l’exécutif dès l’automne dernier mais finalement repoussée à 2015.  Le président de la République a également mentionné « le pacte de responsabilité » avec les entreprises qu’il avait évoqué lors de la présentation de ses vœux aux Français, le 31 décembre dernier. Selon les propos rapportés par Najat Vallaud-Belkacem, François Hollande a réaffirmé que le pacte de responsabilité serait « une offre faite aux entreprises pour qu’elles puissent embaucher plus facilement et innover davantage ». En contrepartie d’un possible allègement de charges. « Ce pacte précis va être défini en trois moments », a-t-elle ajouté. Le premier sera les Assises de la fiscalité, que Pierre Moscovici « construit » actuellement. Le deuxième viendra de la « saisine du Haut conseil de financement de la protection sociale, qui réfléchit à la fiscalité de la protection sociale pour que le financement pèse moins sur le travail ». Le troisième moment est celui du crédit impôt compétitivité pour l’emploi (CICE), entré en plein régime depuis le 1er janvier dernier.

Hollande : » il faut réduire la dépense publique » une menace inacceptable !

Hollande : «  il faut  réduire la dépense publique »  une menace inacceptable

 

 

L a posture d’Hollande n’est pas seulement royale mais aussi dictatoriale. Il  veut en effet imposer d’économiser l’argent public. Un menace évidemment inadmissible qui met en péril les fondements même de notre société traditionnelle fondée sur la dépense avant l’espérance de la recette. Un changement de valeur qui s’apparente en fait à la remise en cause du pacte républicain cher à la gauche comme à la droite. Il faut espérer que les milliers de fonctionnaires concernés, les élus, les institutions etc. vont arborer le bonnet rouge de la révolte pour s’opposer à cet objectif insensé qui viole tous les principes de gestion habituels en France. François Hollande a en effet affirmé mardi soir vouloir réduire la dépense publique, en ajoutant qu’il « assumera la responsabilité » du programme d’économies. « Nous devons faire des économies partout où elles sont possibles », avec notamment les collectivités locales qui doivent voir leurs compétences clarifiées, afin de pouvoir « à terme baisser les impôts », a dit, lors de ses vœux aux Français le président de la République, qui a reconnu que les « impôts » étaient « devenus trop lourds ». « J’assumerai, moi-même, la responsabilité et le suivi de ce programme d’économies durant tout le quinquennat », a promis M. Hollande.

 

 

 

 

L a posture d’Hollande n’est pas seulement royale mais aussi dictatoriale. Il  veut en effet imposer d’économiser l’argent public. Un menace évidemment inadmissible qui met en péril les fondements même de notre société traditionnelle fondée sur la dépenses avant l’espérance de la recette. Un changement de valeur qui s’apparente en fait à la remise en cause du pacte républicain cher à la gauche comme à la droite. Il faut espérer que les milliers de fonctionnaires concernés, les élus, les institutions etc. vont arborer le bonnet rouge de la révolte pour s’opposer à cet objectif insensé qui viole tous les principes de gestion habituels en France. François Hollande a en effet affirmé mardi soir vouloir réduire la dépense publique, en ajoutant qu’il « assumera la responsabilité » du programme d’économies. « Nous devons faire des économies partout où elles sont possibles », avec notamment les collectivités locales qui doivent voir leurs compétences clarifiées, afin de pouvoir « à terme baisser les impôts », a dit, lors de ses vœux aux Français le président de la République, qui a reconnu que les « impôts » étaient « devenus trop lourds ». « J’assumerai, moi-même, la responsabilité et le suivi de ce programme d’économies durant tout le quinquennat », a promis M. Hollande.

 

 

 

 

 

L a posture d’Hollande n’est pas seulement royale mais aussi dictatoriale. Il  veut en effet imposer d’économiser l’argent public. Un menace évidemment inadmissible qui met en péril les fondements même de notre société traditionnelle fondée sur la dépenses avant l’espérance de la recette. Un changement de valeur qui s’apparente en fait à la remise en cause du pacte républicain cher à la gauche comme à la droite. Il faut espérer que les milliers de fonctionnaires concernés, les élus, les institutions etc. vont arborer le bonnet rouge de la révolte pour s’opposer à cet objectif insensé qui viole tous les principes de gestion habituels en France. François Hollande a en effet affirmé mardi soir vouloir réduire la dépense publique, en ajoutant qu’il « assumera la responsabilité » du programme d’économies. « Nous devons faire des économies partout où elles sont possibles », avec notamment les collectivités locales qui doivent voir leurs compétences clarifiées, afin de pouvoir « à terme baisser les impôts », a dit, lors de ses vœux aux Français le président de la République, qui a reconnu que les « impôts » étaient « devenus trop lourds ». « J’assumerai, moi-même, la responsabilité et le suivi de ce programme d’économies durant tout le quinquennat », a promis M. Hollande.

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La France doit réduire le coût du travail

La France doit réduire le coût du travail

Réduire la cotisation sur le travail, c’est un objectif conseillé par le FMI pour redonner compétitivité et croissance à la France. Le nouveau diagnostic établi par les experts internationaux, dont l’équipe d’économistes a passé deux semaines en France, ne fait que confirmer les chiffres déjà publiés le 9 juillet dernier: le PIB français reculera de 0,2% en 2013 et pourrait progresser à nouveau de 0,8% en 2014. De même, le déficit public devrait s’établir à 3,9% et 3,5% respectivement sur ces deux années. Par ailleurs le FMI considère que l’importance de la dette publique rapportée au PIB pourrait commencer à refluer très légèrement à compter de 2015, après avoir atteint un pic de 95% du PIB. Au-delà de ce tableau de bord conjoncturel, le FMI est formel, «la confiance et la compétitivité seront les clés d’un redémarrage de la croissance en France». Compte tenu des faibles taux d’investissement, les perspectives de croissance potentielle liées aux capacités de production restent actuellement très faibles, d’à peine 0,9% pour l’ensemble de l’économie et donc de 0,4% pour chaque Français, du fait des évolutions démographiques de la population (+0,5 % par an). Les perspectives de croissance à moyen terme nécessitent des réformes de fond, que le FMI regroupe en trois chapitres: «réduire les cotisations sur les salaires, donner aux entreprises plus de flexibilité pour ajuster les salaires et les effectifs, améliorer la formation professionnelle et simplifier les réglementations administratives». Sans nier les réformes mises en place, dont le CICE et l’accord entre les partenaires sociaux du 11 janvier dernier sur l’emploi, les experts du FMI demandent au gouvernement d’infléchir le cap. D’un côté ils reconnaissent que l’assainissement des finances publiques est important, représentant un effort équivalent à 1,8% du PIB en 2013. Mais ils estiment qu’à hauteur «d’environ 90%» cet assainissement a porté sur des augmentations de recettes publiques et non pas des diminutions de dépenses. Or, comme l’explique Edward Gardner, qui a dirigé la mission du FMI en France, «la stabilisation de la politique fiscale sera un élément crucial pour un retour de la confiance: il faut augurer que l’ajustement budgétaire portera à l’avenir sur les dépenses et non sur la fiscalité. C’est particulièrement important pour les entreprises».

Gaz : nouveaux compteurs pour réduire la consommation !!

Gaz : nouveaux compteurs pour réduire la consommation !!

 

 La Commission de régulation de l’énergie (CRE) a annoncé jeudi qu’elle proposait au gouvernement d’approuver le déploiement généralisé en France d’un nouveau compteur à gaz qui devrait permettre aux clients de réduire leur consommation. Développé depuis 2007 par GrDF la filiale de distribution de GDF Suez, le projet doit aboutir au remplacement des compteurs de 11 millions de clients par des appareils « évolués », baptisés « Gazpar », permettant la transmission à distance des index de consommation réelle. Le déploiement généralisé des nouveaux compteurs, qui dépend désormais d’une décision des ministres chargés de l’énergie et de la consommation, est prévu entre fin 2015 et 2022. Le projet « Gazpar », « maillon nécessaire à une politique d’efficacité et de transition énergétique », « dynamisera les relations entre les clients et les fournisseurs au bénéfice des clients finals », a jugé la CRE dans une délibération publiée jeudi. Le régulateur estime en particulier que le nouveau compteur, bien qu’entraînent dans un premier temps un surcoût annuel de 2 euros pour un client se chauffant au gaz, permettra une baisse de 1,5% de la consommation domestique correspondant à des gains de plus d’un milliard d’euros. Ces gains compenseraient à eux seuls l’impact du coût du projet, Gazpar représentant pour GrDF un investissement total de 1,05 milliard d’euros. Selon la CRE, Gazpar permettra à l’opérateur d’éviter un investissement de 371 millions d’euros pour remplacer les anciens compteurs et réduira ses coûts de fonctionnement de 500 millions, dont 390 millions liés à la réduction progressive du nombre de relèves sur sites. Au Royaume-Uni et en Irlande, où des projets similaires ont été expérimentés, les réductions de consommation ont atteint 2% à 3%. L’installation au sein de 35 millions de foyers français de nouveaux compteurs électriques communicants (Linky) est par ailleurs prévue d’ici à 2020.

Hollande : « comment réduire le chômage sans croissance » ; bonne question !

Hollande : «  comment réduire le chômage sans croissance » ; bonne question !

 

Hollande de toute évidence ne sait pas quoi faire mais il sait au moins poser les bonnes questions. Pas sûr que cela suffise pour faire un bon Président de la république. Il aurait pu se poser la question avant quand il a décrété l’inversion de la courbe du chômage en 2013 ; comme souvent chez les socialistes on parle social en oubliant la dimension économique. En déplacement dans le Doubs, ce vendredi 3 mai, le président de la République a salué les deux années supplémentaires que Bruxelles, est désormais prêt à accorder à la France pour ramener son déficit sous les 3% du PIB: « C’est une nouvelle importante parce qu’elle vient consacrer ce que la France a demandé depuis un an, c’est-à-dire que l’on mette la croissance au premier rang de nos priorités », a-t-il déclaré.  Mais, très vite, le chef de l’Etat a évoqué  la prévision de croissance de Bruxelles: « Je sais le scepticisme et la question qui se pose: comment réduire le chômage alors qu’il n’y a pas de croissance », a-t-il reconnu, citant l’estimation de la Commission européenne (-0,1% de hausse du PIB pour 2013). « Nous prenons ces prévisions pour ce qu’elles sont » et « nous préparons la reprise de la croissance », a-t-il poursuivi. « Un pays comme le notre ne peut pas vivre avec une croissance zéro, car nous avons une forte démographie. Les jeunes arrivent sur le marché de l’emploi, nous devons créer de la croissance ».  Pour lui, il s’agit d’une condition sine qua non pour « faire sortir le pays de la crise, et gagner la bataille de l’emploi ».  Sur ce sujet, Bruxelles a beau ne pas y croire, François Hollande maintient son engagement: inverser la courbe du chômage avant la fin 2013. « C’est un engagement que j’ai pris. Ce n’est pas une parole que j’ai prononcée en l’air. Je sais qu’il y a beaucoup de doutes, de scepticisme, même des prévisions qui ne vont pas dans ce sens », a déclaré le président de la République à la presse, en référence aux prévisions de la Commission européenne, publiée ce même jour.  La Commission table, en effet sur une hausse du chômage français, qui devrait culminer à 10,9% en 2014, selon ses estimations.

 

La Fed va réduire ses achats de Treasuries en 2013

La Fed  va réduire ses achats de Treasuries en 2013

la Réserve fédérale américaine devrait interrompe d’ici la fin de cette année son programme d’achats d’obligations d’Etat destiné à soutenir l’ économie, montre une enquête de Reuters vendredi. Les économistes de huit « primary dealers » (spécialistes en valeurs du Trésor) sur 15 ont dit anticiper l’arrêt en 2013 du programme d’ »assouplissement quantitatif » dans le cadre duquel la Fed achète pour 45 milliards de dollars de Treasuries par mois. Sur ces huit économistes, sept prévoient un arrêt de ce programme au quatrième trimestre alors que le huitième l’anticipe dès juin. Six des 15 économistes interrogés ont jugé que l’arrêt des achats d’obligations du Trésor ne devrait intervenir qu’en 2014 et le dernier a déclaré s’attendre à ce qu’il soit maintenu jusqu’au premier semestre 2016. Le compte-rendu de la dernière réunion de la Fed, publié jeudi, a montré que « plusieurs » hauts responsables de la banque centrale prévoyaient un ralentissement ou un arrêt des achats de Treasuries « bien avant » la fin 2013. La Fed a commencé cette semaine à acheter des obligations à long terme dans le cadre du programme illimité d’achats lancé en remplacement de l’ »Operation Twist » qui consistait à vendre des titres à court terme tout en rachetant des titres à plus long terme. L’Operation Twist a pris fin en décembre. Parallèlement, la Fed achète chaque mois pour 40 milliards de dollars de prêts titrisés dans le but de soutenir l’activité économique. Huit des 15 « primary dealers » prévoient que le taux de chômage aux Etats-Unis sera ramené à 6,5% en 2015 et six autres s’attendent à ce qu’il revienne à ce niveau dès 2014, le dernier anticipant un retour à 6,5% en 2016 seulement. Le mois dernier, la Fed a déclaré qu’elle ne relèverait pas ses taux d’intérêt tant que le taux de chômage resterait supérieur à ce seuil de 6,5%. L’enquête a été réalisée vendredi après la publication des chiffres mensuels du marché du travail, qui font ressortir une stabilité du taux de chômage à 7,8% en décembre.

 

Sondage crise : réduire les coûts pour 73% des entreprises ; le contraire de ce que fait le gouvernement !

Sondage crise : réduire les coûts pour 73% des entreprises ; le contraire de ce que fait le gouvernement !

Selon cette enquête réalisée fin novembre-début décembre auprès de plus de 500 entreprises de tous secteurs, 73% des professionnels « affirment que leur priorité numéro 1 reste la réduction des coûts pour 2013″, un niveau lié au « contexte de crise », mais qui ressort toutefois en baisse de 9 points par rapport à 2012. Cette focalisation sur les coûts varie selon les secteurs. Elle est la première préoccupation de 93% des acheteurs dans les industries manufacturières, que l’on sait soumises à une rude concurrence, juste devant la banque (88%), un secteur où les plans d’économies se sont multipliés dernièrement. Mais le niveau tombe à 47% dans l’énergie, l’eau et les déchets.  AgileBuyer et HEC Alumni relève également que pour les donneurs d’ordre publics ou parapublics, « acheter mieux et acheter moins prend le pas sur acheter moins cher ».  Enfin, la relance du « made in France », chère au ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, ne semble guère mobiliser les acheteurs. Seuls 19% disent avoir un objectif d’achats de biens et services produits en France, à peine plus que pour le « made in Europe » (17%).   »Le tablier bavarois, le chapeau tyrolien ou le kilt écossais n’a pas plus de succès que la marinière », résument ainsi les auteurs de l’étude, pour qui « les objectifs de coûts semblent donc prendre le dessus sur cette volonté affichée par certains médias ou certains politiques de privilégier les achats en France ».  Pour autant, les achats dans les pays à bas coûts ont moins la cote : 32% des acheteurs disent vouloir augmenter leur part d’achats dans ces pays en 2013, contre 40% en 2012. A l’inverse, 55% disent que ce n’est pas un axe de travail pour eux, contre 48% un an plus tôt.  Une baisse d’intérêt qui témoignerait notamment de « mauvaises expériences d’achats dans les pays à bas coûts », et d’une prise en compte grandissante du coût global d’acquisition (intégrant notamment les frais de transport, de change et de maintenance) dans les critères d’achat.

 

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

 

L’union européenne faiat encore semblant se croire aux perspectives de rééquilibrage budgétaire en Grèce. Elle accorder 2 ans de plus là où elle aurait pu accorder 20 ans. De toute manière, la Grèce ne s’en sortira pas ; les saignées imposées tuent sa croissance et ses rentrées fiscales. Responsables, ceux qui ont fait entrer la Grèce dans l’Euro: Draghi en premier en tripatouillant les comptes (avec Goldman Sachs), l’Allemagne contente de vendre ses produits, les autres pays, la Grèce elle-même. Tout cela finira soit par une faillite, soit par une annulation de la dette ( qu’envisage maintenant Merkel). « Les ministres ont approuvé les mesures donnant à la Grèce deux ans de plus pour corriger son déficit excessif, suite à un accord entre le gouvernement grec et la troïka des créanciers », ont-ils indiqué dans un communiqué.  Athènes aura donc jusqu’en 2016, et non plus 2014, pour ramener son déficit budgétaire sous la barre des 3% du PIB, soit dans les clous européens.  Les ministres ont fondé leur décision sur les efforts entrepris par la Grèce en termes de réformes et d’ajustement budgétaire. Le pays a adopté un programme musclé comprenant des économies de 18 milliards d’ici 2016, et un budget pour 2013 imposant 9 milliards d’euros d’économies.  Conscients de ces efforts, la zone euro, le FMI et la BCE avaient décidé le 12 novembre d’accorder deux ans de plus à la Grèce pour ramener ses finances publiques à l’équilibre. Mais ce délai avait un coût d’environ 32 milliards d’euros. Une solution pour le financer a finalement été trouvée la semaine dernière.  La zone euro et le FMI se sont mis d’accord la semaine dernière sur les moyens de réduire nettement la dette grecque, avec l’objectif de la ramener à 124% du PIB d’ici 2020.  Parmi ces mesures, figurent en premier lieu une très complexe opération de rachat de la dette grecque par Athènes, une réduction significative des taux d’intérêt des prêts bilatéraux déjà consentis à la Grèce, un allongement de la durée de remboursement des prêts et un report pour le paiement des intérêts.

 

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