Archive pour le Tag 'réduction'

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Etats-Unis : réduction de la politique monétaire accommandante

Etats-Unis : réduction de la politique monétaire accommandante

Les économistes sont toujours d’avis que la Réserve fédérale américaine ne diminuera pas l’ampleur de son programme de soutien à l’économie avant le mois de mars, même s’ils sont plus nombreux que précédemment à ne pas exclure cette possibilité dès janvier, voire ce mois-ci, montre une enquête Reuters publiée lundi. Après les chiffres de l’emploi pour le mois de novembre, publiés vendredi, meilleurs que prévu, nombre d’intervenants de marché ont dit que cela augmentait le risque de voir la Fed réduire plus rapidement que prévu son programme d’assouplissement quantitatif troisième du nom (« QE3″). Sur 63 économistes interrogés, 29 pensent qu’une première baisse du QE3 pourrait intervenir d’ici moins de 10 jours, après la réunion des 17 et 18 décembre, ou en janvier, soit avant que Janet Yellen, plutôt partisane du QE3, ne prenne la tête de la Fed à la place de Ben Bernanke. Lors d’une enquête similaire menée il y a deux semaines, ils n’étaient que 19 sur 62 à évoquer une telle possibilité. Ceci étant dit, une courte majorité des économistes sondés – 33 – pensent qu’il faudra attendre mars avant un début de dénouement du « QE3″. Ce programme, qui passe actuellement par 85 milliards de dollars de rachats d’actifs obligataires par mois, est le principal facteur de hausse de Wall Street depuis le début de l’année. L’élan du marché boursier américain avait été interrompu en mai lorsque Ben Bernanke avait dit qu’une diminution du « QE3″ pouvait intervenir avant la fin de l’année. Les intervenants de marché, qui ne cessent depuis de spéculer sur le calendrier de la Fed, avaient alors estimé qu’une première réduction du « QE3″ serait annoncée en septembre. Mais la Fed avait surpris les investisseurs en maintenant en l’état sa politique monétaire ce mois-là, décision qui a propulsé Wall Street vers de nouveaux sommets dans les semaines qui ont suivi.

PSA : réduction de capacité de production en France

PSA :  réduction de capacité de production en France

La direction de PSA Peugeot Citroën va annoncer la fermeture -ou tout au moins la « mise sous cocon » selon la terminologie qui sera employée- de l’une des deux lignes de production des usines de Mulhouse et, peut-être, de Poissy, afin de redevenir rentable, rapporte jeudi Le Figaro. Un porte-parole de PSA a reconnu que la question se posait, ajoutant que les décisions dépendraient des discussions avec les syndicats et de l’évolution des volumes de ventes en Europe. « Il y a un seuil de production de 250.000 unités par an en deçà duquel conserver deux lignes n’est pas viable », a-t-il dit. « Sur Mulhouse, il y a un sujet. » Le porte-parole a ajouté qu’à Poissy, la production tournait autour de ce seuil de 250.000 véhicules par an. PSA a signé en octobre avec quatre des six syndicats du groupe un accord de compétitivité pour ses sites français, le groupe ayant pour objectif un taux d’utilisation de 100% pour ses usines européennes. Le groupe, lors de la présentation fin septembre de ses engagements dans le cadre de ce « pacte social », avait indiqué que la question du passage à une seule ligne de production, qu’il soit temporaire ou définitif, pouvait se poser en deçà de 250.000 véhicules -Mulhouse, avec une estimation de 190.000 à 230.000 véhicules par an, étant donc concerné. L’usine du Haut-Rhin, dont le directeur a changé lundi, est un test grandeur nature de cet accord, et bénéficie actuellement d’une augmentation des cadences de production sur la ligne d’assemblage du nouveau Peugeot 2008. En Europe, indique Le Figaro, les usines de PSA ont un taux d’utilisation de 73%, qui montera à 80% avec la fermeture programmée du site d’Aulnay-sous-Bois fin 2014. Le quotidien précise que la modeste reprise du marché automobile européen permettra de gagner 5 à 6 points supplémentaires sur les trois prochaines années, ajoutant que « le reste proviendra de cette mise en sommeil de lignes de production ».

Assemblée: menaces réduction de salaires pour les députés-maires

Assemblée: menaces de réductions de primes pour les  députés-maires  

 

La déontologue de l’Assemblée nationale, Noëlle Lenoir, a proposé mercredi de réduire de 40% l’indemnité de frais de mandat (IRFM) des députés cumulant leur mandat avec une fonction exécutive importante, comme maire d’une grande ville. Dans le rapport annuel qu’elle vient de rendre public, elle souhaite aussi que les députés lui fassent la déclaration – non publique – de leur appartenance à un club parlementaire, et de la source de financement de celui-ci. Mme Lenoir émet par ailleurs des réserves sur la moralité de tout club « visant à défendre les industries du tabac », pointant sans le nommer le club parlementaire des amateurs de havanes.

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Ambassades : réduction des frais ; il y a de la marge

Ambassades : réduction des frais ; il y a de la marge

Réduction des frais pour nos ambassades qui confondent souvent tourisme et diplomatie (ne parlons pas de l’économie qu’elles ignorent). Le Quai d’Orsay a engagé une vaste opération de réorganisation du réseau diplomatique français (France diplomatie)

Ce qu’il faut retenir

Les moyens diplomatiques français :

> 163 ambassades bilatérales et 16 représentations multilatérales

> 5.500 agents en 2011

> 340 millions d’euros de charges de personnels en 2011

> un agent présent à l’étranger coûtait 66.000 euros en 2011

> Le réseau diplomatique a eu un coût de 520 millions d’euros en 2011, soit 20% de plus que le coût du réseau britannique

600 postes supprimés d’ici à 2015, fermeture de nouvelles ambassades et consulats, ventes de bâtiments diplomatiques: le troisième réseau diplomatique au monde, celui de la France, est en pleine cure d’amaigrissement. Le sujet a été l’un de ceux évoqués la semaine dernière par les diplomates réunis comme chaque année à l’Elysée. Dans une lettre du 15 avril adressée à François Hollande et citée par Le Monde du 30 août, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, évoque « la réduction du train de vie de l’Etat dans le respect de l’exigence de modernisation de l’action publique ». Il faut dire qu’il y a de la marge au sein des affaires étrangères. Le patrimoine immobilier détenu par le ministère en dehors de nos frontières représente 1,9 million de m2. Ces biens pèsent lourdement sur les finances du Quai d’Orsay : 523 millions d’euros par an sont consacrés à l’entretien de ce patrimoine.  Dans un référé adressée le 2 mai à Laurent Fabius, la Cour des comptes estimait que la démarche de modernisation entreprise par le ministère des Affaires étrangère est « inaboutie ». Aussi, elle recommande de « mieux ajuster les moyens des postes à leurs besoins en fondant les allocations sur une définition plus rigoureuse de leurs missions. » La Cour estime aussi que les objectifs de réorganisations en fonction de l’évolution des enjeux stratégiques n’a pas été tenu. Les effectifs des « les ambassades d’exceptions comme Washington ou Londres » n’ont guère diminué, déplore-t-elle. Dans le même temps, le recentrage vers les pays émergents, comme la Chine, l’Inde ou encore le Brésil, n’ont pas été suffisants. Le Quai d’Orsay orchestre pourtant depuis plusieurs années un vaste programme de cession. Il y trouve largement son intérêt car il bénéficie d’un régime spécial : depuis 2006, il perçoit la totalité du prix des ventes de ses biens situés à l’étranger, et non pas la moitié comme pour les autres ministères. Mais en échange, il ne reçoit aucun crédit pour couvrir ses dépenses liées à l’entretien de son patrimoine à l’étranger. Ainsi, entre la vente d’un appartement à Berlin (150.000 euros), celle la résidence consulaire de Chine à Hong Kong (52 millions d’euros) ou encore d’une parcelle de terrain à Koweit City (675.000 euros), le Quai a pu récolter 122,2 millions d’euros en 2011. Une année record puisque en 2012, le montant 23,8 millions. Pour 2013, les prévisions du ministère tablent sur près de 93 millions d’euros issus de ces diverses cessions. Autre source d’allégement des charges pas assez exploitée : la « colocalisation ». La Cour déplore que c’est « sans grand succès que le ministère des Affaires étrangères a recherché la mutualisation de certaines de ses implantations immobilières avec l’Allemagne, et dans une moindre mesure, avec le Royaume-Uni ». Pour l’heure, aucune n’a été concrétisée.

Aides aux entreprises : réduction de 3 milliards

Aides aux entreprises : réduction de 3 milliards

Le rapport commandé par le gouvernement sur les aides publiques aux entreprises propose de réaliser trois milliards d’euros d’économies, au-delà des deux milliards visés pour 2014 et 2015, selon Les Echos, à paraître vendredi. Ce document, qui sera remis mardi, propose de raboter les aides aux buralistes, les taxes affectées aux chambres de commerce ou au centre du cinéma, la taxation réduite des carburants des taxis, routiers et agriculteurs. Seraient également visés les niches sociales bénéficiant à l’outre-mer et la fiscalité du livret de développement durable, précise la quotidien. Selon le rapport, la dépense de l’Etat pourrait être également réduite en réformant l’organisation du dispositif de distribution des nombreuses aides accordées par les collectivités locales. En février, Jean-Jack Queyranne, président (PS) de la région Rhône-Alpes, s’est vu confier par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault une mission pour rénover un système d’aides impénétrable dont le coût est estimé 55 milliards d’euros par an. Ces aides proviennent à la fois de l’Etat et des collectivités territoriales. Au total, « nous proposons de supprimer environ 170 dispositifs d’Etat, soit le quart de ceux qui existent », a déclare Jean-Jack Queyranne au Monde.fr. L’objectif de la mission sera « de dégager des économies d’un milliard d’euros en 2014 et d’un milliard supplémentaire en 2015, tout en suggérant des simplifications et des actions de coordination », écrivait le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, en installant la mission

L’utopie de la réduction des déficits publics

L’utopie de la réduction des déficits publics

 Concrètement, sur un an, pour les comptes arrêtés en avril, le déficit de l’Etat s’est creusé de 7 milliards d’euros pour atteindre 67 milliards en cumulé. Outre le fruit de la vente de la quatrième licence de télephonie mobile qui avait boosté les caisses publiques l’an dernier et que l’on ne retrouve pas cette année, le ministère des Finances invoque cette fois des contributions exceptionnelles au budget européen et de moindres rentrées fiscales dues à la crise. Pour prendre le cas de la TVA (qui représente à elle seule la moitié des recettes fiscales), elle a rapporté 5 milliards et demi d’euros de moins que prévu… parallèlement, les dépenses de l’Etat ont augmenté de 5% à 140 milliards. Inutile de faire un dessin sur l’effet de ciseaux. Tous les économistes le disent. Ce n’est pas parce que Bruxelles nous a donné un peu de mou pour rentrer dans les clous budgétaires qu’il faut baisser la garde. Bien au contraire. Malheureusement, le gouvernement aura beau s’agiter comme un diable pour écoper le navire qui prend l’eau de toutes parts, à défaut de s’engager vraiment vers les économies publiques, le respect des objectifs s’éloignera mois après mois. Moins de recettes fiscales car moins de consommation en période de crise combinée à une perspective de hausses d’impôts… l’Etat s’est mis dans une impasse dont il sera bien difficile de sortir. L’équation est en train de se vérifier. Nous ressentons les effets de l’économie dite « comportementale ». S’ils sont optimistes, les ménages épargnent moins pour consommer, s’ils sont pessimistes ou, au mieux, attentistes, ils épargnent plus au dépend de la consommation. Nous sommes au cœur de cette problématique. Refiscalisation des heures supplémentaires, incertitudes sur l’avenir des auto-entrepreneurs, réforme des retraites à venir, réforme du quotient familial qui n’est en rien une économie pour l’Etat mais en réalité une augmentation nette d’impôt. Selon les prévisions, l’Etat pourrait en retirer 900 millions d’euros… au total entre 1 milliard 7 et 1 milliard 8 si l’on ajoute les réductions d’impôts pour frais de scolarité qui bénéficiaient jusqu’à présent aux familles ayant des enfants au collège et au lycée. Au total, cela représenterait une ponction supplémentaire de 0.1 à 0.2% du PIB, la richesse nationale. On pourrait s’arrêter là, sauf que la TVA doit augmenter au 1er janvier 2014. Coup de grâce ou pas, on demande beaucoup aux Français. Attention que trop d’efforts ne tuent l’effort.

 

BNP : croissance et plans réduction d’effectifs d’ici 2016

BNP : croissance et plans réduction d’effectifs d’ici 2016

 

BNP, fera come la société générale, une réorganisation de ses services et une réduction d’effectifs. BNP Paribas entend travailler cette année à un programme de développement sur la période 2014-2016 avec l’Asie comme tête de pont, et veut poursuivre ses économies pour résister à un environnement toujours jugé difficile en Europe. La première banque de la zone euro a fait état jeudi de résultats en baisse au titre du quatrième trimestre 2012, touchée comme ses concurrentes par des charges exceptionnelles, mais sa performance annuelle dépasse de très loin celle de sa grande rivale française Société générale. « Nous estimons qu’une mise œuvre réussie des annonces pourrait améliorer les résultats avant provisions de 14% par rapport à ceux de 2012″, écrit Goldman Sachs dans une note de recherche. BNP Paribas, dans un communiqué, souligne que « le groupe préparera en 2013 un plan de développement 2014-2016 (…) avec un objectif de présentation d’ensemble début 2014″. La banque entend mettre en place un nouveau programme d’économies baptisé « simple and efficient » et déployer parallèlement des plans de croissance par métier et par zone géographique, l’Asie-Pacifique étant la première région concernée. Le programme « simple and efficient » prévoit des investissements de 1,5 milliard d’euros sur trois ans à compter de 2013, notamment dans l’informatique, pour simplifier les opérations de la BNP. La banque espère que ces dépenses permettront de dégager en retour des économies structurelles de deux milliards d’euros par an à partir de 2015.  

 

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Budget européen: Hollande prévoit la réduction de la PAC

Budget européen: Hollande prévoit la réduction de la PAC

Hollande a assuré qu’il venait à Bruxelles « chercher un accord » sur ce budget de l’UE pour la période 2014-2020, lors du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement qui s’ouvre jeudi pour deux jours à Bruxelles. « Je n’y vais pas pour exprimer d’avance un refus ou espérer un échec », a-t-il ajouté.  Il faut « éviter que les coupes budgétaires finissent par mettre en cause la croissance », a plaidé M. Hollande, qui avait déjà obtenu en juin dernier la mise en place d’un pacte de croissance comme pendant du pacte renforçant la discipline budgétaire.  Paris défend un budget européen qui permette la préservation des politiques communes, une « politique de cohésion pas seulement pour les pays bénéficiaires mais pour l’ensemble de l’Europe » et surtout la politique agricole commune, dont il est l’un des principaux bénéficiaires.  Après un premier sommet en novembre qui s’était soldé par un échec, les Européens continuent de se déchirer entre partisans d’une politique privilégiant croissance et solidarité, comme la France, et partisans de coupes franches dans les dépenses, comme la Grande-Bretagne, l’Allemagne, les pays nordiques et le Pays-Bas.   »Mon devoir c’est de chercher un compromis », a promis le président français. A ceux qui estiment qu’il est « difficile, voire impossible » en raison de la position intransigeante du Premier ministre britannique David Cameron, M. Hollande a lancé: « Pourquoi un pays pourrait-il décider à la place des 26 autres »?  Il a reconnu que la Politique agricole commune (PAC), dont la France est le principal bénéficiaire, allait « voir ses crédits diminuer par rapport aux propositions de la Commission européenne ». « Cela engendrera nécessairement des restructurations difficiles dans un secteur essentiel pour nos territoires », a-t-il souligné.  Le chef de l’Etat français doit retrouver mercredi soir la chancelière allemande Angela Merkel, pour tenter de rapprocher leurs vues avant le sommet.  En cas de nouvel échec, les Européens devraient se contenter d’un budget annualisé et plusieurs pays, dont l’Allemagne, se verraient privés de leur rabais. Londres en revanche pourrait garder le sien, obtenu en 1984 et inscrit dans les traités.  Plus généralement, le président français a estimé que « l’intérêt national est en train de prendre le pas sur l’intérêt européen ». « Ce qui nous menace n’est plus la défiance des marchés, mais c’est celle des peuples », a-t-il lancé. « L’Europe ne peut pas être une addition de nations, chacune venant chercher dans l’Union ce qui lui serait utile pour elle et elle seule ».  Trois jours après son déplacement au Mali, où il a été accueilli en « libérateur », le chef de l’Etat a été salué pour son engagement dans le pays. Présent dans l’hémicycle, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso est intervenu pour lui rendre « hommage ».  Paris est engagée militairement depuis trois semaines dans le pays, mais avec un soutien européen qui était jugé timide par nombre d’observateurs.   »C’était notre responsabilité. Nous pouvions apporter immédiatement l’aide que le président malien attendait de nous. Décision prise aussi au nom de l’Europe, de la Communauté internationale ». Il attend désormais que l’Europe se mobiliser « pour participer au développement du Sahel », a justifié le président français.

Médicaments : 30% de réduction chez Leclerc ?

Médicaments : 30% de réduction chez Leclerc ?

 

La libéralisation de la vente de médicaments non remboursés (OTC) est l’un des chevaux de bataille du groupe Leclerc. Ce lundi 4 février, sur Canal+, Michel-Edouard Leclerc a repris l’offensive.  Le dirigeant a expliqué être en mesure d’appliquer des rabais de 25 à 30% par rapport aux prix pratiqués dans les officines. » Aujourd’hui, il n’y a pas vraiment beaucoup de concurrence entre les officines (…), il y a un écart de un à deux dans le prix des produits de pharmacie. Donc, on va essayer de mettre un peu de concurrence dans ce secteur« , a-t-il détaillé. Malgré les difficultés que connaissent les grands acteurs comme Virgin, et dans une moindre mesure la Fnac, le groupe Leclerc veut s’ investir dans la distribution de biens culturels.   »On va continuer à développer des espaces culturels où la part du livre restera prépondérante, nous croyons que c’est l’offre qui fait la demande. Il y aura de la musique, toujours de la musique, plus de musique montrée« , a-t-il précisé. Ces produits seront par ailleurs vendus en ligne à partir du mois d’avril.  Pour lui, la vente de médicaments s’inscrit dans une logique, puisqu’il dispose déjà des professionnels capables d’encadrer leurs ventes : « Pour vendre de la dermo-cosmétique et du lait pour nourrissons, nous avons le pharmacien donc, à partir du moment où ils sont chez nous, nous ambitionnons de vendre des médicaments, notamment les médicaments qui ne sont plus remboursés, qui ne sont plus remboursables« , a-t-il indiqué, soulignant qu’il s’agit d’un « coup dur pour le pouvoir d’achat des patients, des consommateurs ». Michel-Edouard Leclerc s’offre même une petit pointe d’ironie : « Nous avons des pharmaciens (…). Les laboratoires, qui ont exigé cela, finalement nous ont rendu service puisque nous garantissons tous les problèmes de santé« .

 

 

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Réduction des retraites complémentaires

Réduction des retraites complémentaires

 

À cause du chômage, qui érode les rentrées de cotisations, et du vieillissement de la population, les régimes Agirc (pour les cadres) et Arrco (tous salariés du privé) affichent chacun un lourd déficit: 1,77 milliard d’euros pour le premier en 2011 et 1,69 pour le second. À ce rythme, les deux devraient avoir épuisé leurs réserves d’ici à 2015-2017 pour l’Agirc et entre 2020 et 2023 pour l’Arrco. «Tout le monde a conscience de la gravité de la situation», reconnaît d’ailleurs Philippe Pihet, de FO. Dans l’immédiat, les partenaires sociaux doivent trouver des solutions d’urgence. Ces mesures, que certains qualifient déjà de «rustines», devront toutefois s’accompagner de mesures plus structu­relles. «Il faut des mesures de court terme pour dépasser l’effet négatif dû à la crise, et en trouver d’autres à moyen terme, équitables, pour équilibrer les comptes», a résumé Patrick Poizat (CFTC). Différentes solutions élaborées par l’Agirc et l’Arrco ont été soumises aux partenaires sociaux. «Aucune ne se suffit à elle-même ou est facile à adopter», observe Jean-Louis Malys. Les partenaires sociaux vont devoir jouer sur les trois leviers classiques disponibles pour redresser le système: le niveau des prestations, les cotisations et enfin la durée d’assurance et l’âge de la retraite. Une dernière piste que la CFTC rejette déjà «catégoriquement» pour préserver la cohérence avec le régime général. Le Medef suggère de regarder du côté des dépenses. Le patronat propose, entre autres, de geler, à partir du 1er avril et sur trois ans, les prestations versées aux retraités. Cette proposition permettrait d’économiser 4,2 milliards sur trois ans. Une alternative consisterait à les revaloriser légèrement, mais moins que l’inflation, pendant cinq ans. Dans les deux cas, les syndicats grincent des dents. «Nous ne pouvons pas accepter les mesures patronales qui auront pour conséquence un effondrement du taux de remplacement», a condamné Éric Aubin, le représentant de la CGT. Il a claqué la porte au bout de deux heures de débat. Pour les veufs et veuves, les pensions de réversion Arrco pourraient aussi être moins généreuses. Mais c’est une autre proposition patronale qui a le plus fait bondir les représentants des salariés: amputer de 10% des pensions des futurs retarités qui partiront avant l’âge du taux plein automatique, jusqu’à ce qu’ils aient atteint cet âge. Actuellement fixé à 65 ans, l’âge du taux plein doit progressivement atteindre 67 ans en 2022.  En échange d’éventuelles mesures sur les pensions, FO réclame une hausse des cotisations employeurs. Le Medef ne veut pas en entendre parler à court terme. «La question des ressources est pertinente dès lors qu’elles sont affectées à une réforme durable», avait justifié Jean-François Pilliard, le chef de file de la délégation patronale, il y a un mois.

 

Espagne: réduction dans les aéroports ; en France on construit à Nantes !

Espagne: réduction dans les  aéroports ; en France on construit à Nantes !

L’Espagne devrait exporter ses aéroports vers la France ; Madrid supprime les siens, nous on construit ! L’organisme de gestion des aéroports espagnols Aena a annoncé mercredi qu’il avait décidé de procéder à 1.600 licenciements volontaires ce qui pourrait entraîner la réduction de plus d’un dixième de ses effectifs d’ici à la fin de l’année et sans doute la fermeture d’aéroports.   L’entreprise publique a indiqué dans un communiqué qu’elle était arrivée à un accord avec les syndicats pour proposer un plan de départ pour 1.600 de ses 15.000 salariés. Les partants ne seraient pas remplacés.   »Cette mesure est une des différentes actions du plan d’efficacité des aéroports pour garantir l’avenir d’Aena, qui comporte une réduction substantielle des coûts d’exploitation », a-t-elle déclaré. Aena, qui gère 47 aéroports en Espagne et 26 à l’extérieur, a précisé que sa dette s’élevait à 14 milliards d’euros. Elle affirme qu’elle financera les licenciements sans aide supplémentaire de l’Etat.   Le gouvernement espagnol coupe dans ses dépenses et réorganise ses entreprises publiques pour réduire son déficit alors que la récession a fait monter le taux de chômage à plus de 25%. En France tout va bien, le trafic intérieur baisse (double effet du TGV et de la crise) mais on construit des aéroports comme  Notre-Dame-des-Landes: une broutille, 500 millions pour une infra inutile  Pour légitimer ce projet des évaluations très approximatives, on connaît la méthode : surestimer les retombées économiques pour parvenir à un taux de rentabilité satisfaisant. Pour cet aéroport, on a aussi oublié la crise et l’évolution du trafic aérien ; un détail sans doute.

 

 

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