Archive pour le Tag 'recul'

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Emplois recul des embauches

Emplois recul des embauches

 

Le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois hors intérim a baissé de 1,1% en France au mois de mars, après -0,3% le mois précédent, selon les chiffres publiés mercredi par l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss). Le recul est de 0,6% sur trois mois et de 7,9% sur un an. Dans l’industrie, le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois a baissé de 1,8% en mars, soit -3,2% sur trois mois et -10,7% sur un an. L’Acoss publie parallèlement ses chiffres du premier trimestre 2013 qui montrent un recul de 3,3% du nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois hors intérim, après -2,4% au quatrième trimestre 2012. Cette baisse reflète une diminution de 6,0% des embauches en CDI et de 1,1% des embauches en CDD de plus d’un mois. Les déclarations d’embauche en CDD de moins d’un mois ont quant à elles progressé de 0,9% au premier trimestre, après +2,7% au quatrième trimestre de l’an dernier. Sur un an, la baisse des embauches de plus d’un mois se poursuit pour atteindre 7,2% au premier trimestre 2013 (-12,7% pour les CDI et -2,6% pour les CDD), après -6,6% et -6,3% les deux trimestres précédents.

 

France : recul de croissance de 0.5% en 2013 pour l’observatoire BFM Business

France : recul de croissance de 0.5% en 2013 pour l’observatoire BFM Business

Comment, hors de portée une progression de 1,2% du PIB l’an prochain ? Oui, sauf choc qui infléchirait fortement la trajectoire de croissance de la France vers le haut. D’abord, si l’on scrute tous les baromètres avancés de l’activité, aucun ne dessine les contours d’une reprise à l’horizon des six prochains mois, si bien que l’année 2013 risque plutôt de s’achever sur une baisse de 0,3% à 0,5% de l’activité que sur l’augmentation 0,1% annoncée officiellement.  Tirons ensuite les leçons de l’histoire : Après les deux dernières récessions de 1993 et 2009, les reprises se sont effectuées à des rythmes de 0,3% à 0,4% au cours des trois ou quatre trimestres suivant la fin de la contraction. C’est au moins à ces rythmes que devra croître le PIB pour atteindre l’objectif de croissance de 1,2% fixé par Bercy. Or de tels rythmes sont inatteignables aujourd’hui: l’environnement international, et particulièrement européen, est moins porteur qu’en 1994 et 2010. La politique budgétaire est beaucoup plus contraignante (elle était même fortement stimulante en 2010 !), le chômage est plus élevé, la situation financière des entreprises est plus dégradée et le levier du crédit ne peut plus être actionné aussi fortement comme à l’époque. Enfin, et c’est un problème qui passe trop souvent inaperçu, la crise a détruit une partie du potentiel de croissance du pays (fermetures d’usines, licenciement de travailleurs qualifiés donc pertes de savoir-faire…), qui ne se situerait plus, si l’on prend en compte l’évolution de la productivité et de la démographie, qu’à moins de 1%, contre un 1,5% au moins avant la crise. Donc si l’on tient compte, comme on l’a vu, du fait que le point de départ de l’activité pour 2014 sera plus bas que prévu, la trajectoire « naturelle » la plus optimiste pour la croissance française en 2014 se situerait plutôt autour de 0,5%.  Problème : à ce rythme, la France ne tiendra jamais l’objectif de déficit public affiché par le ministre de l’Economie Pierre Moscovici, soit moins de 3% du PIB. Déjà que sur la base de 1,2% de croissance, la Commission européenne prévoit presque 4% de déficit public à politique fiscale inchangée, soit presque 1 point d’écart avec Bercy, alors on peut penser qu’une croissance de 0,5% seulement du PIB amènerait automatiquement les déficits publics bien au-delà de 4% du PIB.  Un niveau quoi qu’il arrive inacceptable pour Bruxelles, Berlin et les marchés financiers. Admettons que Paris fasse tout pour revenir à ne serait que 3,5% du PIB de déficit, la croissance en sera impactée en retour à hauteur de quelques dizièmes de point, si bien qu’il semble au final difficile de prévoir plus de 0% de croissance l’an prochain.  Seul un choc de compétitivité et/ou de pouvoir pourrait déjouer ces pronostics et nous faire passer la barre des 1% de croissance l’an prochain. Mais d’où viendrait-il ? De la chute de l’euro ? Peu probable au moment où c’est le Japon qui décide de faire plonger son yen. D’une injection massive de liquidités? La BCE n’a pas l’audace (ou la folie !) de la Réserve fédérale américaine ni de la Banque du Japon. Une baisse massive des charges de 40 milliards au moins sur le travail en contrepartie d’une hausse de plusieurs points de TVA? La gauche, pour qui la TVA est un impôt injuste, ne s’y résoudra jamais. De nouvelles révolutions technologiques ? Celles-ci sont réelles, mais n’auront pas de véritable effet d’entraînement avant 3 à 5 ans. Reste la seule arme à disposition du gouvernement : la réforme de l’Etat pour moderniser le fonctionnement de l’administration et réduire massivement la dépense publique. Quoi ? Réduire la dépense publique encouragerait la croissance ? Impossible selon la tradition keynesienne, pour qui le lien entre déficits publics et croissance ne fait pas de doute : accroître la dépense publique ou baisser les impôts (dans les deux cas, le déficit augmente) ne peut que stimuler l’activité.

Production manufacturière en recul

Production manufacturière en recul

La production industrielle a redémarré en février, en hausse de 0,7% par rapport à janvier, tirée par une augmentation de la production manufacturière (+0,8%), a annoncé l’Insee mercredi.  En janvier, la production industrielle avait reculé de 0,8%, a précisé l’Institut national de la statistique et des études économiques. Entre décembre et février, la production industrielle est en léger retrait de 0,1%.  La production manufacturière avait reculé de 1,3% en janvier et au cours des trois derniers mois, elle reste en légère baisse (-0,3%).  Une baisse de la production sur les trois derniers mois a été observée « nettement » par l’Insee dans les équipements électriques, électroniques, informatiques, et les machines (-1,3%), ainsi que dans les matériels de transport (-1,3%).  La production est quasi stable dans les autres produits industriels (-0,1%) et dans les industries agricoles et alimentaires (+0,1%). Elle augmente en revanche « nettement » dans le raffinage (+3,6%).   »La production manufacturière des trois derniers mois est en repli par rapport aux trois mêmes mois d’il y a un an (-3,4%) », précise l’Insee.

consommation des ménages : recul en février

consommation des ménages :   recul en février

Recul de 0,2% en février par rapport au mois précédent, principalement du fait d’une baisse des achats de textile et cuir, a annoncé vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques. Les achats de textile, habillement et cuir ont chuté de 6,1%, après avoir augmenté de 3,5% en janvier, a précisé l’Insee dans un communiqué  La consommation en produits alimentaires, qui était restée quasi-stable en decembre (+0,1%) et avait légèrement augmenté en janvier (+0,3%), est de nouveau repartie à la baisse en février (-0,4%).  L’augmentation des dépenses de consommation des ménages en énergie, engagée en janvier (+1,6%), s’est poursuivie en février (+1,9%), « en raison de températures sensiblement en dessous des normales saisonnières ».  Après une forte baisse en janvier (-7,1%), les dépenses en biens durables ont augmenté de 0,9% en février.   »Les dépenses en automobiles, qui avaient chuté en janvier (-11,5%) après un mois de décembre très dynamique lié à l’anticipation du durcissement du malus au 1er janvier 2013, se redressent légèrement en février (+2,4 %) », détaille l’Insee. En revanche, les achats en équipement du logement ont à nouveau baissé en février (-0,9%, après -3,0%).  Les dépenses de consommation en autres biens fabriqués ont reculé légèrement en février (-0,2%, après -0,1% en janvier), avec notamment une forte baisse des dépenses en quincaillerie-bricolage. En revanche, les dépenses de produits de santé se sont stabilisées, précise l’institut.  L’Insee a révisé à la baisse l’évolution de la consommation de janvier, avec un recul de 0,9% par rapport à décembre, contre une baisse de 0,8% annoncée il y a un mois. « Ces révisions sont imputables à l’intégration de nouvelles informations connues depuis lors, notamment sur l’équipement du logement, ainsi qu’à l’actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières », explique l’Insee.  Les données de la consomation des ménages en biens sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables et calculées à prix constants.

 

Immobilier bureaux : recul

Immobilier bureaux : recul

Pas de croissance économique et des suppressions d’emplois. Rien que de mauvaises nouvelles pour les entreprises qui ont d’autres soucis à gérer que de déménager. Encore que le déménagement se traduit souvent par un gain de coût à moyen terme. Dès lors, pas étonnant que les transactions se ralentissent un peu partout. «Sur les neuf principaux marchés européens, le ralentissement des transactions est bel et bien là avec une demande placée de 6,1 millions de m², en repli de 7% par rapport à 2011. Mais également un recul de 7% par rapport à la moyenne des transactions européennes depuis dix ans», constate Thierry Laroue-Pont, directeur général délégué et président Advisory Europe chez BNP Paribas Real Estate.  Certaines places tirent mieux leur épingle du jeu que d’autres. Bon an mal an, Paris sauve la mise avec 2 millions de m² commercialisés (-3%). Moins bien que l’an dernier mais conforme à la moyenne de ces dix dernières années grâce à quelques très belles transactions. «Quelques mégadeals ont sauvé l’année 2012, comme les 135.000 m² pris par le ministère de la Défense dans le XVe ou les 85.000 m² de France Télécom à Châtillon», précise Magali Marton, responsable des études chez DTZ. Le marché allemand, atomisé entre Francfort, Munich, Berlin et Hambourg, et ses 2,3 millions de transactions, observe une baisse de 9% quand le marché londonien s’est rétracté d’environ 8% pour passer sous la barre du million de m² placés. Rien à voir avec les marchés de Madrid ou de Milan, où les transactions ont chuté de 24 à 29% pour se situer en deçà des 254.000 m². Contre toute attente, le marché de l’investissement des principaux marchés européens a progressé de 8%, s’établissant à 44,7 milliards d’euros. «Cette embellie est portée majoritairement par une hausse de 22% des investissements sur Central London totalisant ainsi 18,7 milliards d’euros, par Central Paris qui s’est maintenu à 11,5 milliards d’euros et par la bonne performance des métropoles allemandes portées par un très bon quatrième trimestre», note Thierry Laroue-Pont.  Dans chacun de ces cas, «ce sont des marchés matures qui présentent peu de risques et demeurent les plus liquides. Ils ont été portés par quelques belles transactions de plus de 100 millions d’euros qui ne sont plus des épiphénomènes», précise Magali Marton. En Allemagne, deux grandes transactions de portefeuille «TLG» et «Karstadt» se sont même concrétisées, chacune, à plus d’un milliard d’euros.  Les taux de rendement «prime» ont peu évolué: Paris offre un rendement de 4,5%, devançant Londres d’un demi-point. À l’inverse, Madrid et Milan voient leur taux de rendement augmenter pour se situer à 5,6% et 5,9%. Des trois grands marchés, le Royaume-Uni est le plus international. Mais, cette année, les investisseurs étrangers sont de retour en France avec 41% des volumes investis, contre 35% en 2011. Autre particularité du marché parisien, l’arrivée de nouveaux acteurs, les fonds asiatiques. «Ils franchissent pour la première fois la Manche. Les risques attachés à la zone euro ne les font pas fuir», rappelle Magali Marton avant d’ajouter: «Ils sont attirés par les marchés matures, les baux de neuf ans ferme, la solvabilité des locataires et la qualité de quelques opérations neuves ou restructurées.» Et à l’image des fonds qatariens qui ont réalisé quelques belles opérations l’an dernier, ils se positionnent sur les adresses prestigieuses de la capitale.

Croissance : fort recul en février

Croissance : fort recul en février

L’activité dans le secteur privé s’est contractée à un rythme très soutenu en février en France, selon les chiffres définitifs de l’indice Markit des directeurs d’achats publiés mardi. L’indice composite, qui combine services et secteur industriel, a augmenté à 43,1 contre 42,7 en janvier et 42,3 en estimation provisoire. Cet indice reste sous la barre de 50 qui sépare contraction et expansion pour le 12e mois consécutif. L’indice des services s’est établi à 43,7 contre 43,6 en janvier, un chiffre supérieur à l’estimation provisoire (« flash ») de 42,7. L’indice signale une contraction de l’activité pour le septième mois consécutif. « Les chiffres PMI composite pour les secteurs des services et de l’industrie pointent vers une nouvelle baisse du PIB au premier trimestre, ce qui mettrait la France officiellement en récession », a déclaré Jack Kennedy, économiste chez Markit.

 

Automobiles : recul ventes en Allemagne

Automobiles : recul ventes en Allemagne

 

Le marché automobile allemand débute l’année 2013 difficilement. Les ventes de voitures neuves en Allemagne ont reculé de 10,5% en février sur un an à 200.683, a annoncé ce lundi 4 mars l’agence fédérale allemande KBA. Les constructeurs Peugeot (-40,6%), Opel (-21,2%) et Ford (-19,4%) ont été parmi les plus touchés par la baisse des ventes, tandis que Renault et Hyundai ont connu un léger mieux avec +3,4% chacun. Volkswagen a reculé de 14,6%. Par rapport à janvier, les ventes de voitures ont progressé de 4,5% dans le pays.

Activité: recul en février

Activité en recul en février

 

 

La contraction de l’activité dans le secteur privé français s’est accentuée en février, montrent les premières estimations des résultats de l’enquête mensuelle auprès des directeurs d’achats (PMI) publiés jeudi par Markit. L’indice PMI composite flash, qui combine l’industrie et les services, a reculé à 42,3 après 42,7 en janvier, inscrivant un nouveau plus bas depuis mars 2009. Le seuil de 50 sépare croissance et contraction de l’activité. L’indice manufacturier a progressé, à 43,6 après 42,9 en janvier, mais moins qu’attendu: 19 économistes attendaient en moyenne un indice à 43,8, leurs estimations allant de 42,8 à 45,6.  L’indice flash des services a quant à lui reculé à 42,7 après 43,6 en janvier, tombant au plus bas depuis février 2009, alors que la moyenne des prévisions des économistes était de 44,5. « Il y a un tableau assez cohérent montrant que le secteur privé français subi sa pire situation depuis le pic de la crise financière », a déclaré Chris Williamson, chef économiste chez Markit.

 

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Renault-PSA: la production en recul de 16%

Renault-PSA: la production en recul de 16%

 

La production hexagonale des deux constructeurs automobiles français Renault et PSA a reculé de 16,4% sur l’année 2012, selon des chiffres du Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) cités par Les Echos jeudi. Le recul est d’un niveau équivalent à celui observé en 2009 (-15,3%), année de la crise financière, remarque le quotidien économique sur la base du Tableau de bord automobile 2012 mis en ligne sur le site du CCFA. La production en France des deux constructeurs a baissé de 16,4% en 2012 pour un total de 1.646.775 voitures. Renault est en recul de 17,6% avec 532.571 unités produites dans l’Hexagone et PSA de 15,9% (1.114.204 véhicules). La chute est encore plus prononcée au quatrième trimestre 2012 (-26,3%), principalement chez PSA (-31,5%), Renault accusant une baisse de 15,6% de sa production.  La production hors France est pour sa part en recul de 11,4% pour les deux constructeurs avec là encore de grosses disparités entre Renault pour qui la baisse à l’international est modérée (2,1% pour 2.132.330 unités produites) et PSA qui chute de 20,4% (1.797.203 véhicules). Les voitures sorties des usines françaises pèsent 20% des volumes produits par le groupe Renault. Elles représentent pratiquement deux fois plus (38%) chez PSA. Ces chiffres, ajoutés à l’effondrement des ventes de voitures neuves (-13,9%), confirment que 2012 a été une année noire pour l’automobile française dont les deux constructeurs sont visés par des restructurations.

 

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Etats-Unis: fort recul des mises en chantier

Etats-Unis: fort  recul des mises en chantier

Les mises en chantier de logements ont fortement reculé aux Etats-Unis en janvier, selon des chiffres publiés à Washington par le département du Commerce. Le ministère a recensé 890.000 départs de chantiers en rythme annualisé dans le pays, soit 8,5% de moins qu’en décembre, alors que la prévision médiane des analystes donnait cet indicateur à 914.000.

 

Italie : recul du PIB 2.2% en 2012

Italie : recul du PIB 2.2%  en 2012

 

Le Produit intérieur brut (PIB) de l’Italie s’est contracté de 0,9% au quatrième trimestre 2012 par rapport au précédent et de 2,7% sur un an, selon des chiffres provisoires publiés jeudi par l’Institut national des statistiques (Istat). Sur l’ensemble de l’année 2012, le PIB s’est contracté de 2,2% par rapport à 2011, selon cette estimation provisoire.

 

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PIB : croissance recul de 0,3% au 4e trimestre et croisance zéro en 2012

PIB : croissance recul de 0,3% au 4e trimestre et croisance zéro en 2012

-0.3% au quatrième trimestre et croissance zéro sur l’ensemble de l’année 2012 , alors que le gouvernement tablait sur +0,3%. Trente-deux économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un recul de 0,2% du produit intérieur brut de la France au quatrième trimestre, leurs estimations allant de -0,4% à 0,0%. La contribution de la demande intérieure finale (hors stocks) à la croissance du quatrième trimestre a été nulle. La variation des stocks y a contribué négativement à hauteur de -0,4 point et le commerce extérieur positivement à hauteur de 0,1 point, les importations ayant plus reculé que les exportations. Les dépenses de consommation des ménages ont progressé de 0,2% sur le dernier trimestre mais l’investissement s’est replié de 1,0%, le recul de l’investissement des entreprises non financières atteignant 1,2%.

 

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Déficit extérieur : léger recul

Déficit extérieur : léger recul

 

Le déficit c’est à peu le cout de la facture énergétique (autour de 70 milliards). Un déficit réduit par rapport au record de 2011 ; deux raisons : un peu plus d’exportations et la crise qui réduit la demande d’importations ( consommation atone). Le déficit commercial de la France, qui avait atteint en 2011 le record historique de 74 milliards d’euros, a reculé l’an dernier pour s’établir à 67 milliards d’euros, a annoncé jeudi la ministre du Commerce extérieur, Nicole Bricq.  Le déficit hors énergie, que le gouvernement s’est engagé à résorber entièrement d’ici 2017, s’est réduit quasiment de moitié, passant de 29 à 15 milliards d’euros, a-t-elle précisé lors d’une conférence de presse.   »C’est un premier signal encourageant qui doit nous permettre de reprendre confiance », a commenté la ministre.   »Ces chiffres, en nette amélioration pour la première fois depuis 2009, s’expliquent par une croissance des exportations françaises (+3,2%) couplée à une stabilité de nos importations (+1,3%) », explique le ministère.  La facture énergétique de la France s’est alourdie de 7 milliards d’euros l’an dernier, s’élevant à 69 milliards.  Le premier excédent est celui de l’aéronautique avec un record de 20 milliards d’euros, suivi des produits agroalimentaires (+11,5 milliards) « notamment grâce aux bonnes performances des vins et spiritueux ».  La part de l’Europe, principal marché de la France et zone où la conjoncture est morose, a légèrement reculé, comptant pour 59% de ses exportations contre 61% en 2011.   »En 2012, les entreprises françaises ont su aller chercher sur des marchés plus lointains la croissance qui a fait défaut sur leur marché de proximité », affirme le ministère. Pour la 3e année consécutive, l’Asie a été le marché en plus forte croissance pour la France, avec une progression de 13%.

 

Croissance-Allemagne: recul des ventes au détail

Croissance-Allemagne: recul  des ventes au détail

Comme c’était prévisible, l’Allemagne commence à être touchée par le ralentissement général en Europe. Les ventes au détail en Allemagne sont reparties à la baisse en décembre, reculant sur un mois de 1,7% à prix constants ajustés des variations calendaires, selon des chiffres provisoires publiés jeudi par l’Office fédéral des statistiques Destatis. Sur l’ensemble de l’année, elles ont reculé de 0,3% par rapport à 2011, se situant dans la partie basse d’une estimation de Destatis faite début janvier.

 

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Allemagne: recul des ventes de détail en 2012

Allemagne: recul des ventes de détail en 2012

Les ventes de détail en Allemagne ont légèrement reculé sur l’ensemble de l’année 2012, selon des chiffres provisoires publiés vendredi par l’Office fédéral des statistiques Destatis.  Sur un mois, à prix constants ajustés des variations saisonnières et calendaires, les ventes de détail ont augmenté de 1,2% en novembre, après un repli de 1,3% en octobre. Le chiffre d’octobre a été révisé à la hausse. Le mois dernier, Destatis avait annoncé une baisse de 2,8%.  Sur un an, les ventes de détail ont reculé de 0,9% en novembre à prix constants, c’est-à-dire corrigés de la hausse des prix, alors que ce mois comptait autant de jours de travail que novembre 2011.  Dans le détail, les ventes de denrées alimentaires, de boissons et de tabac ont progressé de 0,9% à prix constants sur un an, mais les ventes de produits non-comestibles ont reculé de 2,3%.  L’institut Destatis précise que le chiffre de novembre, basé sur des estimations, sera probablement revu à la hausse.  Sur l’ensemble de l’année 2012, le chiffre d’affaires des commerçants a reculé entre 0,1% et 0,3% par rapport à 2011, à prix constants, selon les estimations de Destatis.  En 2011, il avait crû de 1,2%. Depuis, l’Allemagne a été rattrapée par l’inquiétude, sur fond de récession en zone euro.  Selon le dernier baromètre GfK, le moral des consommateurs allemands devrait ainsi continuer de reculer en janvier, après déjà un repli en décembre, en raison de la crise de la dette

 

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