Archive pour le Tag 'recul'

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Automobiles : ventes en recul

Automobiles : ventes en recul

 

Moins 11% pour Renault, moins 3% pour Peugeot et globalement des immatriculations en régression. Le signe de l’attentisme des consommateurs surtout au moment de régler les impôts et le dépenses contraintes de rentrée. Evidemment encore une mauvaise nouvelle pour la croissance et l’emploi. Les ventes de voitures neuves en France ont reculé de 3% au mois d’août 2014, par rapport à août 2013, selon les données publiées lundi par le comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Au mois d’août, 83.340 véhicules neufs ont été immatriculés en France, mais à nombre de journées ouvrables comparable, le marché affiche une hausse de 1,8%, souligne le CCFA. Les constructeurs français connaissent également une baisse de leurs ventes en août: -3,1% pour PSA Peugeot Citroën, -10,7% pour le groupe Renault.

Immobilier : nouveau recul du logement

Immobilier : nouveau  recul du logement

 

Les mises en chantier ont reculé de 13,3% sur un an, pour s’établir à 73.468, selon les chiffres du Logement publiés ce mardi 26 août.  Sur les douze mois écoulés entre août 2013 et juillet 2014, le nombre de logements neufs mis en chantier affiche un recul également notable de 10,8% à 305.079 unités. La tendance s’aggrave cette fois: le repli n’était encore que de 8,5% au mois de mai.  Le président François Hollande, qui a fait de la relance de la construction une de ses priorités de la rentrée, a promis la semaine dernière un nouveau « plan de relance » pour le secteur, alors que les efforts du gouvernement n’ont pas permis jusqu’ici d’enrayer l’effondrement de la construction.  Petite lueur à l’horizon tout de même, le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs, qui renseigne sur les futures mises en chantier, a de son côté diminué de 1,1% de mai à juillet, à 101.885. Il s’agit malgré tout d’une nette amélioration, car à fin mai les permis de construire des trois mois écoulés étaient en repli de 16,1%, et à fin avril ils avaient chuté de 22,8%.  Sur douze mois, la baisse se réduit un peu pour les permis de construire, avec un repli cumulé de 17% à fin juillet (contre 20,7% à fin mai) à 391.474 unités.  En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France, un chiffre en repli de 4,2% sur un an, bien en deçà de l’objectif gouvernemental – encore jamais atteint dans l’Hexagone – d’un demi-million de logements construits par an.

 

Presse : nouveau recul des ventes

Presse : nouveau recul des ventes

 

La presse recule encore, pas étonnant les grands médias offrent très peu d’originalité dans leurs infos et leurs analyses. Pire, comme la plupart des français pendant environ deux mois, les journalistes sont en vacances. (Cela vaut pour la presse, comme pour les radios, les télés ou les grands sites internet). D’une certaine manière, la presse souffre de la pensée unique et de l’info congelée en provenance des agences de presse, du gouvernement ou des grandes organisations. Il faut d’ailleurs noter un décalage d’analyse d’un jour ou deux entre la pensée ambiante et les sites indépendants. Des sites de plus en plus plus et analysés qui nourrissent ensuite la ligne éditoriale des grands médias, une petite révolution culturelle peu évoquée. !  .  Le chiffre d’affaires global de la presse écrite française (quotidiens et magazines) s’est replié de 5,3 % l’an dernier, s’établissant à 8,25 milliards d’euros. C’est la sixième année consécutive de baisse pour le secteur, installé «de façon durable dans une phase négative», note la DGMIC. Dans le détail, les ventes de diffusion (ventes au numéro et abonnements) ont baissé de 3,5 % et les recettes publicitaires ont chuté de 8,5 %. Au niveau de la diffusion, la baisse de la vente au numéro (kiosques et maisons de la presse) s’est accélérée entre 2012 et 2013, passant de -2 % à -6 %.  Le contexte général ainsi que la fermeture de points de vente expliquent cette aggravation. Quant aux abonnements, ils montrent pour la première fois depuis plusieurs années des signes de faiblesse, alors même que de nombreux éditeurs en ont fait souvent leur priorité commerciale. Alors que les recettes d’abonnements avaient progressé en 2012, elles ont légèrement reculé l’année dernière, sans doute sous l’effet d’une pression sur les prix, les éditeurs étant prêts à accorder de grosses remises pour conquérir des clients réguliers. Mais c’est sur le terrain publicitaire que la dégringolade a été la plus violente: les recettes liées à la vente d’encarts et aux petites annonces, en baisse de respectivement 8,2 % et 9,5 %, souffrent particulièrement de la mauvaise conjoncture. «Les annonceurs reportent voire annulent des campagnes, mais ils font surtout pression sur les prix», observe un éditeur de magazines. La presse gratuite d’annonce (PGM) est le segment le plus touché avec des ressources au global en recul de 23,6 % en 2013. À cela s’ajoute le phénomène de migration de l’achat d’espace du papier vers le numérique qui se poursuit, mais les recettes sur le Web sont encore loin de compenser les baisses de recettes tirées du papier. La forte dégradation des recettes publicitaires depuis 2008, parallèle à une érosion plus mesurée du chiffre d’affaires de diffusion, fait évoluer le modèle économique des éditeurs. Comme le rappelle la DGMIC, la part des ventes s’est fortement renforcée dans le chiffre d’affaires global: elle est passée de 52,5 % en 1990 à 64 % en 2013. Dans ces revenus, la part de la vente au numéro a reculé, de 36,7 % à 32,5 % du chiffre d’affaires global, tandis que la part des abonnements a doublé, passant de 15,8 % à 31,5 %. Le diagnostic de la DGMIC est sans appel. «L’organisation fonctionnelle de la presse est en désordre et le modèle économique qui la caractérise va devoir se transformer en profondeur», note la direction du ministère, pour qui «le secteur doit se préparer à des évolutions plus radicales encore». La DGMIC constate par ailleurs que les recettes numériques restent une source de revenus «mineure» pour la plupart des éditeurs. Elles ont tout juste franchi la barre en 2013 des 5 % du chiffre d’affaires des 300 plus grands acteurs de la presse en France.

 

Emplois : un recul de dix ans

Emplois : un recul de dix ans

 

Certes le pays ce dernières années a créé  des emplois mais il en a détruit davantage notamment dans l’industrie.  Un bilan toutefois en partie dissimulé par les emplois aidés dont on sait qu’à terme pour un grand nombre ils se termineront par le chômage surtout en ces périodes de réduction des dépenses publiques locales. En dépit de ce cataplasme, les inscriptions à Pôle emploi ont triplé depuis le début de l’année (autour de 15000 par mois au lieu de 5000). . Un niveau absolu qui ramène l’Hexagone 9 ans en arrière ; officiellement la France compte 5 millions de chômeurs mais si on ajoute des bénéficiaires du RSA ,  de l’allocation handicapé et ceux qui ne sont pas inscrit c’est près de 8 millions de chômeurs que compte la France. Un record historique.  A part les timide rebonds (+21.000) du dernier trimestre 2013 et donc du deuxième trimestre 2014, le nombre de postes dans le secteur privé diminue continûment depuis le printemps 2012. Les entreprises ont même perdu plus d’un demi-million d’emplois (570.100) depuis le début de 2008, dernière période faste avant le plongeon dans la crise, et près de 120.000 sous l’ère Hollande. Une purge dans l’économie qui a provoqué une dramatique montée du chômage.  François Hollande a totalement manqué son pari d’inverser la courbe à la fin de 2013. Un échec qu’il a fini par admettre lors de son interview du 14 juillet. Bug SFR d’août 2013 mis à part, le nombre de chômeurs n’a diminué qu’une fois depuis son élection: en octobre 2013! Soit un triplement de la progression mensuelle en quelques mois. Résultat, à la fin juin, près de 3,4 millions de Français pointaient à Pôle Emploi en catégorie A (sans aucune activité). En ajoutant les personnes exerçant des petits boulots, le nombre de demandeurs d’emploi toutes catégories confondues dépasse dorénavant les 5 millions, un niveau jamais atteint dans l’histoire de France. Le gouvernement a décidé en juin d’une rallonge pour 2014 de 45.000 emplois d’avenir, destinés aux jeunes décrocheurs, et de 20.000 contrats aidés classiques Face à ce désastre, le gouvernement semble assez démuni. L’exécutif a certes mis le paquet pour aider les entreprises à reconstituer leurs marges, en programmant sur trois ans une baisse de leurs prélèvements de 41 milliards d’euros dans le cadre du pacte de responsabilité. Mais les autres mesures prises par la majorité -sur la pénibilité, les sites rentables, les stages, etc.…- ont miné la confiance des chefs d’entreprise, compromettant ainsi la reprise. Difficile donc d’imaginer que les patrons de PME ou de groupe réembauchent avant d’avoir concrètement bénéficié des baisses de charges, en 2015 puis 2016.

 

Immobilier: recul de 4% des prix en 2014

Immobilier: recul de 4% des prix en 2014

 

En France les prix de l’immobilier devraient baisser de 4% cette année estime Standard and Poor’s. Dans une étude européenne publiée lundi 28 juillet, l’agence de notation souligne le caractère « résistant » du marché immobilier français, où les prix ne baissent que très modérément — de 1,3% à fin mars, sur douze mois glissants –, en dépit de la faiblesse de l’économie et de la croissance du chômage, et ce en raison d’un « déficit structurel de biens disponibles ». Le marché immobilier français s’avère « chroniquement » incapable de répondre aux besoins liés à une « démographie dynamique », de l’ordre de 400.000 logements par an selon l’Insee, alors que les constructions de logements neufs sont tombées aux alentours de 330.000 l’an dernier, leur plus bas niveau depuis l’année 2000, commente SP. Un autre facteur de soutien des prix est lié aux conditions de crédit particulièrement favorables avec un taux d’intérêt des crédits immobiliers tombés à 2,85% en juin, soit un plus bas historique, note SP. Ces taux très bas soutiennent la demande, « principalement celle des acheteurs les plus solvables ». La demande devrait continuer à soutenir le marché immobilier, puisque seuls 57% des ménages étaient propriétaires de leur logement en France en 2011 contre une moyenne de 67% en Europe. Mais si les taux de crédit immobiliers devaient remonter rapidement en raison « d’un choc externe », dit SP, qui juge cette éventualité « peu probable mais pas impossible »,

Immobilier : encore en recul fin juin

Immobilier : encore en recul  fin juin

Les mises en chantier de logements neufs en France ont continué à régresser d’avril à juin, diminuant de 19,3% sur un an, pour s’établir à 69.531 unités, selon les statistiques du ministère du Logement publiées mardi. Déjà rur les trois mois allant de mars à mai, les mises en chantier de logements ordinaires sont ressorties en baisse de 21,4% à 64.428 unités, contre un recul de 20,5% à fin avril. En revanche, le segment des logements en résidence (seniors, étudiants…), plus restreint, a progressé de 9,7% à 5.149 unités (contre un bond de 35,6% un mois plus tôt). Sur les douze mois écoulés entre juin 2013 et mai 2014, le nombre de logements neufs mis en chantier affiche un recul plus modéré de 8,5% à 312.066 unités. Celui-ci s’accentue toutefois: il n’était encore que de 6,5% un mois plus tôt. Le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs, qui renseigne sur les futures mises en chantier, a de son côté diminué de 16,1% de mars à mai, à 94.155, selon la même source. Les permis de construire accordés aux logements ordinaires ont reculé davantage (-18,8%) à 85.981 unités, ce qui contraste toujours avec le rebond de 28,2% affiché par les logements en résidence, à 8.174 unités. Sur douze mois, la baisse est légèrement moindre qu’un mois plus tôt pour les permis de construire, avec un repli cumulé de 20,7% à fin mai (contre -21,5% à fin avril) à 389.444 unités. En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France, un chiffre en repli de 4,2% sur un an, bien en deçà de l’objectif gouvernemental — encore jamais atteint dans l’Hexagone — d’un demi-million de logements construits par an.

 

Commerce-artisanat : nouveau recul de l’activité

Commerce-artisanat : nouveau recul de l’activité

Nouveau recul de l’activité  selon une enquête de conjoncture de l’institut I+C pour le compte de l’UPA (Union des professions artisanales) publiée lundi. Le chiffre d’affaires global du secteur a reculé de 1,5% en valeur sur le deuxième trimestre, après -2,0% au premier, les plus fortes baisses étant enregistrées dans les travaux publics (-3,0%), l’hôtellerie-restauration, les services et la fabrication (-2,5% pour chacun de ces secteurs). Le recul a été moins marqué dans le bâtiment (-1%) et l’alimentation (-0,5%). Seules 19% des entreprises de proximité ont procédé à des embauches au premier semestre, soit une proportion identique aux six premiers mois de 2013. S’agissant du trimestre en cours, 30% des chefs d’entreprise interrogés anticipent une baisse de leur chiffre d’affaires, alors qu’ils n’étaient que 23% trois mois plus tôt, contre 18% (-2 points) seulement qui prévoient une hausse de leur activité. La proportion d’entreprises qui prévoient d’embaucher au second semestre varie peu d’un an sur l’autre, s’élevait à 12% contre 11% en 2013. Dans un communiqué, l’UPA déclare que ces chiffres montrent que « le Pacte de responsabilité n’a encore aucune réalité dans les entreprises » et que l’accélération du calendrier de baisse du coût du travail réclamée par l’organisation est « totalement justifiée. »

Allemagne : recul de la production industrielle

Allemagne : recul de la production industrielle

La production industrielle de la première économie d’Europe a reculé de 1,8% alors que les économistes anticipaient une statistique stable, montrent les chiffres publiés lundi par le ministère. Le chiffre d’avril, annoncé dans un premier temps en hausse de 0,2% a finalement été revu à -0,3%. « Après un premier trimestre robuste, la production industrielle a décliné sur les derniers mois », lit-on dans un communiqué du ministère de l’Economie. « En plus des ponts du mois de mai et de la faiblesse de la construction, qui était prévisible après un hiver clément, des facteurs géopolitiques ont pu jouer un rôle ». Le ministère ne précise pas de quels facteurs il s’agit mais l’institut munichois Ifo est plus précis, évoquant les inquiétudes liées au conflit ukrainien et la hausse des cours du pétrole liée aux combats en Irak. Les Bourses européennes étaient orientées légèrement à la baisse dans la foulée de cet indicateur, qui suggère un ralentissement de la croissance allemande au deuxième trimestre après le chiffre encourageant de +0,8% enregistré sur les trois premiers mois de l’année. « Le deuxième trimestre se révèle progressivement comme une grosse déception », commente Andreas Scheuerle, économiste chez Dekabank. « En mai, nous avons enregistré successivement des ventes au détail décevantes, une baisse des commandes à l’industrie et maintenant un recul significatif de la production industrielle. » Comme le gouvernement, qui maintient sa prévision de croissance de 1,8% sur l’année en s’appuyant notamment sur une forte demande intérieure et la bonne santé du marché du travail, cet économiste s’attend à voir la croissance allemande rebondir au troisième trimestre.

 

Immobilier-logement : recul du neuf

Immobilier-logement : recul du neuf

 

Elle est loin la promesse de Hollande de construire 500 000 logements par an. Aujourd’hui le secteur recule et ce ne sont pas les décsion de Valls qui vont inverser la tendance car la question centrale est celle de la solvabilité des candidats acquéreurs et le coût exorbitant des coutes de construction en France. Le secteur de la construction continue donc son déclin, alors que le gouvernement s’apprête à annoncer des mesures pour le relancer. Les mises en chantier de logements neufs en France ont reculé de mars à mai de 19,7% sur un an, pour s’établir à 69.577, selon les statistiques du ministère du Logement publiées mardi 24 juin. Sur les trois mois allant de mars à mai, les mises en chantier de logements ordinaires sont ressorties en baisse de 21,4%, à 64.428 unités, contre un recul de 20,5% à fin avril. En revanche le segment des logements en résidence (seniors, étudiants…), plus restreint, a progressé de 9,7% à 5.149 unités (contre un bond de 35,6% un mois plus tôt). Sur les douze mois écoulés entre juin 2013 et mai 2014, le nombre des logements neufs mis en chantier affiche un recul plus modéré, de 8,5%, à 312.066 unités. Celui-ci s’accentue toutefois: il n’était encore que de 6,5% un mois plus tôt. Le ministère du Logement, qui a fait de la relance de la construction sa priorité cette année, doit annoncer des mesures mercredi en Conseil des ministres, en faveur de la simplification des normes qui alourdissent les coûts de construction, de la mobilisation du foncier public et de l’accession à la propriété, notamment. Le nombre des permis de construire accordés pour des logements neufs, qui renseigne sur les futures mises en chantier, a de son côté diminué de 16,1% sur cette période, à 94.155, selon la même source. C’est là un léger mieux, car à fin avril les permis de construire des trois mois écoulés étaient en repli de 22,8%, et à fin mars ils avaient chuté de 25%.  Les permis de construire accordés aux logements ordinaires ont reculé davantage (-18,8%), à 85.981 unités, contrastant toujours avec le rebond de 28,2% affiché par les logements en résidence, à 8.174 unités. Sur douze mois, la baisse est légèrement moindre qu’un mois plus tôt pour les permis de construire, avec un repli cumulé de 20,7% à fin mai (contre -21,5% à fin avril), à 389.444 unités. En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France, un chiffre en repli de 4,2% sur un an, bien en deçà de l’objectif gouvernemental – encore jamais atteint dans l’Hexagone – d’un demi-million de logements construits par an.

 

Croissance Allemagne : nouveau recul du moral

Croissance Allemagne : nouveau recul du moral

 

 Le moral des investisseurs et des analystes financiers en Allemagne a subi en juin une nouvelle baisse inattendue qui l’a ramené à son plus bas niveau depuis un an et demi environ, montre mardi l’enquête mensuelle de l’institut ZEW, signe que la croissance de la première économie d’Europe pourrait avoir ralenti au deuxième trimestre. L’institut de Mannheim note cependant que les mesures d’assouplissement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) annoncées le 5 juin semblent modérer les inquiétudes sur la solidité de la reprise, en Allemagne comme dans l’ensemble de la zone euro. L’indice ZEW du sentiment économique est revenu à 29,8 en juin après 33,1 en mai, alors que les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 35,0.   »La baisse récente de cet indice, conjuguée au ton plus modéré des enquêtes récentes auprès des entreprises, suggère que la reprise allemande pourrait ne pas accélérer beaucoup à partir de maintenant », a commenté Jennifer McKeown, économiste senior de Capital Economics. Elle note néanmoins que l’indice ZEW reste au-dessus de sa moyenne de long terme. L’économie allemande a crû de 0,8% au premier trimestre, sa meilleure performance d’un trimestre sur l’autre en trois ans, la douceur inhabituelle de l’hiver ayant avancé le rebond de l’activité généralement observé au printemps. Des indicateurs récents ont montré que les exportations, les commandes à l’industrie et la production industrielle continuaient de croître mais la dernière enquête Ifo sur le moral des chefs d’entreprise a traduit une dégradation.

SONDAGE popularité : recul de Valls et Sarkozy, Hollande stable mais très bas

SONDAGE popularité : recul de Valls et Sarkozy, Hollande stable mais très bas  

François Hollande a stagné à 21% de bonnes opinions en mai comparé au mois précédent, tandis que Manuel Valls a reculé de trois points à 49%, selon l’Observatoire de la politique nationale BVA-Orange pour « L’Express », la presse régionale et France Inter publié lundi 2 juin. Interrogés sur leur opinion de François Hollande en tant que président de la République, 2% des sondés ont répondu « très bonne », 19% « plutôt bonne », 33% « plutôt mauvaise » et 45% « très mauvaise ». 1% ne s’est pas prononcé dans cette enquête réalisée après les élections européennes. Quant à Manuel Valls  comme Premier ministre, ce sondage montre un déclin de sa popularité, même si elle reste deux fois plus élevée que celle du chef de l’Etat. Dans les personnes interrogées, 5% ont exprimé une « très bonne » opinion, 44% une « plutôt bonne », contre 35% une « plutôt mauvaise » et 15% une « très mauvaise ». 1% ne s’est pas prononcé. Priés de dire si la politique menée par François Hollande  et le gouvernement est juste, près des trois quarts des Français (74% globalement en additionnant « non, pas du tout » et « non, pas vraiment ») ont répondu par la négative (-2 points en un mois) et un quart par l’affirmative (+2 points). Seuls 11% des Français globalement l’ont considérée comme efficace, niveau stable, contre 88% convaincus du contraire (+2 points en un mois). 1% ne s’est pas prononcé. Pour la cote d’influence des personnalités auprès de l’ensemble des sondés, Alain Juppé est resté en tête du classement, stable à 56%, devant François Bayrou  (+5 points en un mois), François Baroin (+1 point), François Fillon (+3 point), Laurent Wauquiez (-2 points), Martine Aubry (stable). En sixième position, Nicolas Sarkozy a nettement reculé (-6 points à 31%). Dernier du classement, le président démissionnaire de l’UMP Jean-François Copé a lui chuté (-8 points à 8%). Dans les personnalités de gauche dont les sympathisants de gauche souhaiteraient qu’elles aient davantage d’influence, Martine Aubry est demeurée numéro un en mai (stable à 66%), devant Najat Vallaud-Belkacem (stable à 60%), Christiane Taubira (+1 point à 57%), Anne Hidalgo (+2 points à 54%), Arnaud Montebourg (-3 points à 53%). Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis est dernier au classement, mais en hausse (+3 points à 32%). Auprès des militants de droite, Alain Juppé, toujours premier, a nettement baissé (-8 points à 69%), tandis que Nicolas Sarkozy , deuxième, a chuté (-12 points sur un mois à 58%). Quatrième au classement, François Fillon a progressé (+5 points à 54%).  En cinquième place, la présidente du FN Marine Le Pen a connu la plus forte hausse (+7 points à 49%). Là aussi dernier, Jean-François Copé a dégringolé (-14 points à 16%). Enquête réalisée par internet les 27 et 28 mai auprès d’un échantillon de 1.093 personnes recrutées par téléphone, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).

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Moral des ménages : recul qui met en cause la croissance

Moral des ménages : recul qui met en cause la croissance

 

 Nouveau recul du moral des ménages en avril alors qu’il progresse en Europe. Du coup c’est la croissance qui est en cause puisque la consommation représente environ les 2 /3 du PIB. C’est une conséquence directe du plan d’austérité de Valls qui déstabilise les français qui préfèrent épargner dans la perspective des coupes sombres dans tous les domaines.  L’indice de l’Insee a régressé de 3 points par rapport à mars, à 85 points, largement en dessous de sa moyenne de long terme (100). « Ce qui est troublant, c’est le plongeon de l’indicateur qui concerne la situation financière personnelle future », pointe Philippe Waechter, économiste chez Natixis Asset Management. Il a chuté de 11 points, atteignant son plus bas niveau depuis décembre 2011. Manuel Valls s’en est d’ailleurs inquiété hier, dans son discours à l’Assemblée. « C’est la plus forte baisse de ce solde depuis mai 1993 », le mois qui avait suivi une sévère défaite du gouvernement socialiste de l’époque, remarque pour sa part l’Insee.  Pour Philippe Waechter, « ce recul est probablement lié aux annonces de Manuel Valls . Pour la première fois peut-être, les ménages français ont l’impression que l’ajustement ne peut plus être retardé en France et qu’ils vont être touchés. Cette inquiétude ne va pas les inciter à  consommer  et ne permettra donc pas un rebond fort de la croissance », poursuit l’économiste. D’autant que le chômage reste élevé. Le moral des ménages reste d’ailleurs inférieur à celui de la zone euro. Les Français prennent conscience que l’ajustement, qui a déjà eu lieu dans les pays du sud de l’Europe, est à venir dans l’Hexagone.  Pour Christopher Dembik, économiste chez Saxobank, « le scénario macroéconomique du gouvernement est fragilisé puisqu’il table sur un recul de l’épargne au cours des deux prochaines années au profit de la consommation ». Les Français ont mis ces dernières années beaucoup d’argent de côté par peur de l’avenir. La semaine dernière, lors de la présentation du programme de stabilité, le gouvernement estimait que « le retour de la confiance, en lien avec l’amélioration progressive de la situation sur le marché du travail, entraînerait [...] une diminution progressive du taux d’épargne ». Un scénario qui paraît aujourd’hui très optimiste.

 

Emploi à domicile : nouveau recul

Emploi à domicile : nouveau recul

L’emploi à domicile, la fameuse « filière d’avenir », recule encore ; En cause le matraquage fiscal, la baisse du pouvoir d’achat de certains ménages, l’attentisme et le développement du travail au noir. Des conséquences largement prévisibles mais non prise en compte par le gouvernement.  L’emploi à domicile perd donc encore du terrain et la Fédération des particuliers-employeurs (Fepem) s’en alarme, ce mercredi 2 avril. Selon les chiffres qu’elle a compilés, la baisse du nombre de particuliers employeurs, entamée en 2012 (-1,8%), s’est accentuée en 2013, à 3%. Les nounous, employés de ménages, jardiniers et autres auxiliaires de vie ont non seulement été moins nombreux (-6%), mais ils ont également travaillé moins longtemps (-5% d’heures travaillées). Même les assistantes maternelles, profession traditionnellement moins sujette aux fluctuations, ont vu leur masse stagner sur l’année écoulée. Peut-être même reculer. Ce serait une première. Le secteur de l’emploi à domicile connaissait une belle croissance depuis le début des années 2000. Il a commencé à stagner en 2010-2011 avant de reculer, depuis 2012. En cause: la crise, bien sûr, qui pèse sur les budgets des ménages. Mais aussi, l’alourdissement des charges sur l’emploi à domicile. Ce secteur connaît depuis 2012 un détricotage de ses avantages fiscaux: suppression de l’abattement sur les cotisations des employeurs particuliers, de la possibilité de déclarer le salarié « au forfait », et hausse de la TVA…La réintroduction d’un abattement de 75 centimes par heure travaillée, en janvier 2013, n’a pas permis de relancer la machine. L’Acoss publiera ses statistiques officielles ce vendredi. Elles devraient confirmer cette tendance. La Fepem dénonce, elle, une généralisation du travail au noir et réclame des mesures pour relancer l’emploi déclaré. La Fédération estime que 50.000 postes pourraient être créés.

 

Recul de l’âge moyen de départ à la retraite à 62 ans

Recul de l’âge moyen de départ à la retraite à 62 ans

 

L’âge moyen de départ à la retraite est revenu à 62,1 ans en France en 2013, contre 62,2 en 2012, l’assouplissement des conditions de départ anticipé pour les carrières longues décidé par le gouvernement ayant pour conséquence d’interrompre la hausse constatée depuis la réforme de 2010. Par comparaison, il se situait à 61,9 ans en 2011, première année d’application de la réforme votée sous Nicolas Sarkozy, et 61,4 ans en 2010. Selon les données publiées vendredi par la Cnav (Caisse nationale d’assurance-vieillesse), 847.484 salariés affiliés au régime général (secteur privé) sont partis en retraite l’an passé, soit 13,3% de plus qu’en 2012. Les seules retraites anticipées longue carrière ont représenté 147.208 personnes, contre 86.975 un an plus tôt. La réforme de 2010 avait relevé à 62 ans l’âge légal de départ à la retraite. Dès son arrivée au pouvoir à l’été 2012, le gouvernement de François Hollande a assoupli par décret les conditions dans lesquelles les salariés ayant commencé à travailler jeunes peuvent faire valoir leurs droits à taux plein dès 60 ans.

Sondage- Popularité : Hollande en recul

Sondage- Popularité : Hollande en recul

Toujours 80% qui jugent que la politique de Hollande est inefficace et un léger recul de popularité. La cote de popularité de François Hollande a reculé de deux points en janvier avec 31% de bonnes opinions, celle de Jean-Marc Ayrault restant stable à 28%, selon le baromètre mensuel BVA publié lundi 20 janvier. Le plus bas avait été atteint en octobre par le président de la République (26%) et le Premier ministre (25%). Interrogés sur l’action de François Hollande en tant que président de la République, 68% des sondés (+2 points en un mois) ont répondu mi-janvier avoir une mauvaise opinion (36% « très mauvaise », 32% plutôt « mauvaise »), tandis que 25% ont déclaré en avoir une « plutôt bonne », 6% une « très bonne ». 1% ne s’est pas prononcé, selon cette étude commandée par Orange, L’Express, la presse régionale et France Inter. L’institut de sondage considère cependant qu’avec sa conférence de presse François Hollande a gagné 4 points par rapport à un sondage réalisé les 2 et 3 janvier avec une question légèrement différente (« Avez-vous une très bonne, plutôt bonne, plutôt mauvaise ou très mauvaise opinion de François Hollande? »). Néanmoins, 80% des sondés estiment toujours que la politique menée par François Hollande et le gouvernement n’est pas « efficace » et 70% qu’elle n’est pas « juste ». Priés de donner leur avis personnel sur la politique économique menée actuellement par François Hollande, 26% des Français la jugent « trop favorable aux entreprises » (+7 points comparé à un sondage BVA-Itélé-Le Parisien des 9-10 janvier), 29% « bien équilibrée » (+2 points) et 42% « pas assez favorable » (-9 points).

 

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