Archive pour le Tag 'recul'

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Contrôle des chômeurs : recul du gouvernement

Contrôle des chômeurs : recul du gouvernement

 

Un coup à gauche, un coup à droite ( comme sur le compte pénibilité), c’est la ligne slalomée du gouvernement, cette fois pour le contrôle des chômeurs. On devait permettre à certains agents de Pôle emploi d’accéder aux données personnelles (comptes bancaires, factures de téléphone…) des chômeurs suspectés de fraudes, pour « favoriser la récupération des sommes détournées ».  On n’en fera rien, le gouvernement a reculé. Motif ne pas stigmatiser les chômeurs ! De fait la plupart des chômeurs préféreraient avoir un emploi et souffrent de leur situation ( financièrement tout autant que psychologiquement), à cet égard le chômage est uen véritable drame social et même sociétal.  Mais il est vain de cacher que Certaisn profitent des allocations chômage tant qu’ils peuvent. Er les 100 millions de fraude  ( sur 30 milliards d’allocations ) détectés par Pôle emploi sont ridicules. Comme est ridicule le reste de l’activité de Pôle emploi incapable tout autant de reclasser les chômeurs que de les contrôler efficacement. Sauf par des moyens bureaucratiques ( quand on annule l’inscription d’en chômeur pour uen question de date ou de convocation égarée ou  erronée). Mais la vraie question est celle de l’évaluation du nombre de fraudeurs réels, ceux qui perçoivent des allocations alors qu’ils travaillent ou pourraient le faire. Et là l’enjeu ne tourne pas autour des 100 millions ridicules de Pôle emploi mais concernerait environ 5 % des intéressés soit 1, 5 milliards. Le changement de postions du gouvernement est une véritable reculade , aussi la démonstration de l’inutilité totale de Pôle emploi.   Le gouvernement fait donc marche arrière en renonçant à octroyer le droit à certains agents de Pôle emploi d’avoir accès aux données personnelles des chômeurs. L’amendement au projet de loi sur le dialogue social déposé vendredi par le gouvernement « va être retiré », car « le ministre s’est rendu compte que ça n’avait pas été suffisamment concerté », a indiqué l’entourage du ministre du Travail, François Rebsamen, à l’AFP. « Il s’agissait de donner à Pôle emploi les mêmes moyens de contrôle que les Urssaf », a expliqué cette source, précisant que le ministre ne souhaitait pas que cet amendement soit « interprété comme une volonté de stigmatiser les chômeurs ». L’amendement avait « pour objet de prévoir un droit de communication similaire au profit des agents de Pôle emploi chargés de la prévention des fraudes, agréés et assermentés, qui permettra d’améliorer la détection des fraudes, de favoriser la récupération des sommes détournées et de renforcer la coopération des acteurs concernés de la lutte contre la fraude ». Concrètement, il prévoyait que certains agents puissent accéder notamment aux comptes bancaires et factures de téléphone des chômeurs suspectés de fraudes. Pôle emploi a détecté 89 millions d’euros de fraude sur les neuf premiers mois de 2014, selon le dernier bilan disponible. Sur cette somme, 31 millions d’euros de préjudice ont pu être évités, Pôle emploi ayant repéré la fraude avant versement. En 2013, 100 millions d’euros de fraude avaient été détectés, un montant qui reste faible par rapport aux 30 milliards d’euros d’allocations chômage versés cette année là.

 

Croissance Corée du Sud : recul des exportations

Croissance  Corée du Sud : recul des exportations

 

La Corée du sud  a fait état d’un recul de ses exportations de 8,1% en avril en glissement annuel, soit la plus forte contraction depuis février 2013. Les livraisons vers la Chine, les Etats-Unis et l’Union européenne ont toutes reculé. Les prix à la consommation y progressent en outre à leur rythme le plus lent depuis 16 ans, de seulement 0,4%. « Le gouvernement va assurément mettre l’accent sur le soutien à la consommation étant donné que les exportations ne sont plus aussi performantes que par le passé », pense Stephen Lee, économiste chez Samsung Securities.

Croissance Japon : recul de l’industrie

Croissance Japon : recul de l’industrie

 

Au Japon, l’activité manufacturière s’est contractée en avril pour la première fois depuis près d’un an, à en croire l’indice des directeurs d’achats (PMI) Markit/JMMA publié vendredi et descendu à 49,9.  Le pays sort difficilement de la récession. Ses entreprises renâclent à investir malgré des bénéfices records et les consommateurs continuent de tenir fermement serrés les cordons de la bourse. Dans ce contexte, la Banque du Japon (BoJ) peine à respecter son engagement de redresser l’inflation à 2% alors qu’elle fait massivement tourner la planche à billets. L’inflation de base a certes atteint 2,2% sur un an en avril mais elle devrait replonger vers zéro en mai lorsqu’aura disparu l’effet de la hausse de la TVA intervenue le 1er avril 2014. Contrairement aux espoirs de la BoJ, ses injections de liquidités n’entraînent pas non plus de revalorisation des salaires. Les statistiques publiées vendredi montrent que les salaires de base n’ont quasiment pas évolué en mars et que les salaires réels, ajustés de l’inflation, déclinent depuis désormais deux ans.

Recul des islamistes en Irak

Recul des islamistes en Irak

 

Les islamistes ont enregistré plusieurs échecs en Irak. Les forces armées irakiennes ont en effet repris le contrôle de la majeure partie du complexe de la raffinerie de Baïdji, la plus grande d’Irak, après l’offensive lancée cette semaine par les djihadistes de l’Etat islamique, ont déclaré des responsables des services de sécurité, samedi. Les combattants islamistes s’étaient emparés les jours précédents de plusieurs bâtiments, dont des cuves de stockage, mais ils en ont été délogés par la contre-offensive des forces de gouvernementales, ont dit ces responsables. « Nous pensons reprendre le contrôle total (de la raffinerie) dans les prochaines heures », a précisé à Reuters un porte-parole des forces antiterroristes irakiennes, Sabah al Noamani, en faisant état de quelques poches de résistance. Les djihadistes de l’EI ont lancé leur offensive contre Baïdji après avoir perdu la bataille de Tikrit, la ville natale de l’ancien dictateur Saddam Hussein, reconquise par l’armée et les milices chiites. Les combattants islamistes sunnites ont aussi tenté de prendre le contrôle de la capitale de la province d’Anbar, Ramadi, mais des responsables locaux ont assuré samedi que la ville n’était plus directement menacée.

Recul sur le tiers payant ?

Recul sur le tiers payant ?

 

Le  gouvernement pourrait reculer sur le tiers payant d’abord parce que les professionnels sont très hostiles à cette mesure qui risque d’étatiser un peu plus le secteur sans parler de la complexité administrative. ( des dizaines de caisses primaires et des centaines de caisses complémentaires). Il semble bien par ailleurs que le système informatique n’est pas prêt d’être opérationnel. Autre élément, les conséquences sur le budget de la sécu. Dès lors que le patient n’aura plus à payer sa consultation, on craint  une  dérive des visites chez les généralistes.  Le tiers payant pour tous en 2017, c’est donc mal parti. Le gouvernement n’a pas encore officiellement battu en retraite sur cet article phare du projet de loi santé, mais un parfum de capitulation flotte dans l’air, à deux semaines de la date limite de dépôt des amendements. Le texte révisé doit être examiné par les députés en commission à partir du 17 mars. Mais, deux jours avant cette date, une grande manifestation unitaire est organisée à Paris contre le projet de loi. Les principaux syndicats de médecins, habituellement si désunis, vont défiler main dans la main avec les chefs de clinique et les internes des hôpitaux, entre autres. Le gouvernement devrait lâcher du lest pour désamorcer la colère des professionnels de santé, une semaine avant le premier tour des départementales ou tout au moins retarder l’application du projet.

 

Japon: recul de 20% des ventes automobiles

Japon: recul de 20% des  ventes automobiles

Les ventes de véhicules neufs au Japon ont chuté de quelque 19% en janvier sur un an, contrecoup d’une ruée dans les concessions durant les premiers mois de 2014 avant une pénalisante hausse de taxe en avril, selon les statistiques officielles publiées aujourd’hui. Le facteur « TVA » a joué sur les automobiles de particuliers qui avaient acheté l’an passé avant que le taux de cet impôt indirect n’augmente de 3 points à 8%.Dans le détail en janvier, parmi les modèles de divers types de cylindrées classiques, ont été vendus 207.635 voitures de tourisme (-21,4%), 28.799 poids lourds (+4,4%) et 736 bus (+26,7%). Comme au cours des derniers mois de 2014, les ventes d’automobiles classiques accusent une chute suffisamment forte pour plomber l’ensemble du marché, une faiblesse également imputable à la réticence des consommateurs à s’endetter dans une période économique incertaine. Les ventes de véhicules de catégories inférieures à 660 cm3 se sont établies pour leur part à 164.196 unités contre 203.659, d’après l’association des vendeurs de mini-véhicules.  En 2014, les ventes de véhicules neufs au Japon avaient dans leur ensemble augmenté de 3,5% sur un an, grâce aux achats plus importants de mini-véhicules et de poids lourds et malgré la hausse de TVA qui a concerné huit des douze mois de l’année.

Croissance- Chine: recul de la production manufacturière

Croissance- Chine: recul de la production manufacturière

Un mauvais indicateur pour l’économie mondiale, celui de la Chine dont la production manufacturière recule en Janvier. L’usine du monde tourne au ralenti du fait de l’atonie de la demande mondiale. Le ralentissement se faia même sentir aux Etats-Unis Après deux trimestres très dynamiques, la croissance américaine a déçu sur les trois derniers mois de 2014. Le Produit Intérieur Brut (PIB) a progressé sur un rythme annualisé de 2,6 % (soit une croissance réelle de 0,65 %) entre octobre et décembre, selon les statistiques publiées, vendredi 30 janvier, par le Département du commerce. La production manufacturière chinoise, elle,  s’est contractée en janvier, selon HSBC qui a publié aujourd’hui son indice PMI des directeurs d’achat pour la Chine, un jour après que le gouvernement eut aussi annoncé une contraction. L’activité de la deuxième économie mondiale reste confrontée à une « détérioration », a souligné la banque en commentant ce chiffre morose. L’indice PMI calculé par HSBC s’établit à 49,7, contre 49,6 en décembre. Avant décembre, il fallait remonter à mai pour trouver un niveau plus mauvais, à 49,4. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière, tandis qu’un indice inférieur à ce seuil signale une contraction.  Hier, le gouvernement avait déjà annoncé un indice PMI des directeurs d’achat de 49,8, contre 50,1 en décembre. Il s’agit de la première contraction en 27 mois rapportée par le Bureau national des statistiques (BNS).  »Nous estimons que la demande dans le secteur manufacturier reste faible », a souligné Qu Hongbin, économiste chez HSBC. La Chine a vu sa croissance économique ralentir fortement en 2014, à 7,4%, glissant à un niveau plus vu depuis près d’un quart de siècle, selon des chiffres gouvernementaux.

Loi Macron : premier recul du gouvernement

Loi Macron : premier recul du gouvernement

Les  greffiers ont réussi à faire reculer le ministre de l’Economie concernant leur  rémunération dans  les  tribunaux de commerce.  La loi Macron  prévoit désormais une ordonnance assez vague, « permettant de faciliter l’accès du public aux données contenues dans le RNCS, ainsi que la réutilisation de ces informations, en modifiant les conditions dans lesquelles l’INPI centralise le RNCS ». Bref, le mot gratuit a disparu du projet de loi -même s’il reste dans l’exposé des motifs et l’étude d’impact . Puis, la semaine dernière, le gouvernement a tenté un nouvel assaut. Le 8 janvier, il a déposé un amendement revenant à son texte initial: « l’INPI assure la mise à disposition libre et gratuite du public, à toutes fins de réutilisation, des informations techniques, commerciales et financières qui sont contenues dans le RNCS ». Mais, le gouvernement a ensuite retiré son propre amendement…  C’est d’autant plus regrettable que les prix des données sur les entreprises sont parmi les plus chers d’Europe. Ainsi, acheter les comptes annuels d’une entreprise coûte 9,36 euros chez Infogreffe, contre une livre en Grande-Bretagne (env 1,30 euro), 3 euros aux Pays-Bas, ou un euro au Luxembourg. Et c’est même totalement gratuit en Belgique!  Rappelons qu’Infogreffe est un groupement d’intérêt économique constitué par les différents greffiers, qui se partagent donc ses revenus. Ainsi, en 2013, Infogreffe leur a reversé 49,5 millions d’euros, soit 439.292 euros HT par greffe. Cette manne représente 23% des revenus des greffes.  Pire: les greffiers de tribunaux de commerce, grâce à leur monopole, ne sont pas à plaindre, avec des revenus astronomiques. Selon un rapport de l’Inspection des finances, leur rémunération s’élève en moyenne à 27.236 euros par mois lorsqu’ils sont en entreprise unipersonnelle, et à 43.740 euros par personne lorsqu’ils sont associés à plusieurs. « C’est 13,3 fois le revenu net annuel moyen d’un salarié en France », pointe l’Inspection des finances, qui « n’a pas identifié de justification économique à ce niveau de rémunération », et pointe « une rente non justifiée ».  Même son de cloche chez l’Autorité de la concurrence, qui, dans un avis publié mardi 13 janvier, dénonce: « la rentabilité de la profession (44% de marge nette) se situe à un niveau particulièrement élevé, notamment par rapport aux notaires (+10 points de rentabilité environ) ». Dans cet avis, le gendarme de la concurrence propose de réduire drastiquement les prix de vente par internet, et d’offrir « un accès plus ouvert aux données ».   Evidemment, un tel fromage est conservé jalousement: « la transmission des greffes est marquée par le poids des familles, qui organisent la transmission des structures entre parents et enfants, limitant la possibilité d’accès à de nouveaux entrants. Trois des quatre greffes de petite couronne de Paris, parmi les plus importants de France, sont caractérisés par l’association d’un greffier et de ses enfants. Et trois frères et leurs enfants contrôlent 4 greffes », relève le rapport de l’Inspection des finances.

Allemagne :croissance exportations en recul

Allemagne :croissance exportations en recul

L’excédent commercial de l’Allemagne s’est contracté en novembre, atteignant 17,6 milliards d’euros, en raison d’un recul des exportations et d’une hausse des importations, selon des chiffres publiés vendredi. En données corrigées des variations saisonnières, les exportations ont diminué de 2,1% en novembre à 95,2 milliards d’euros, alors que les importations ont augmenté de 1,5% à 77,6 milliards. En octobre, l’excédent commercial atteignait 20,8 milliards d’euros.

Age de la retraite : recul ?

Age de la retraite : recul ?

 

 

D’après le Comité d’orientation des retraites,  la situation financière devrait s’améliorer mais il faudrait un taux de chômage à moins de 5%. Pas évident car cela suppose  une croissance très forte ( au moins 3% par an) modifiant le rapport actifs-retraités ; Comme par ailleurs les retraites complémentaires sont en difficultés, il faut plutôt s’attendre à un allongement de l’âge de départ. L’âge moyen de départ à la retraite est revenu à 62,1 ans en France en 2013, contre 62,2 en 2012, l’assouplissement des conditions de départ anticipé pour les carrières longues décidé par le gouvernement ayant pour conséquence d’interrompre la hausse constatée depuis la réforme de 2010. Par comparaison, il se situait à 61,9 ans en 2011, première année d’application de la réforme votée sous Nicolas Sarkozy, et 61,4 ans en 2010. Selon les données publiées vendredi par la Cnav (Caisse nationale d’assurance-vieillesse), 847 484 salariés affiliés au régime général (secteur privé) sont partis en retraite l’an passé, soit 13,3 % de plus qu’en 2012. Les seules retraites anticipées longue carrière ont représenté 147 208 personnes, contre 86 975 un an plus tôt. La réforme de 2010 avait relevé à 62 ans l’âge légal de départ à la retraite. Dès son arrivée au pouvoir à l’été 2012, le gouvernement de François Hollande a assoupli par décret les conditions dans lesquelles les salariés ayant commencé à travailler jeunes peuvent faire valoir leurs droits à taux plein dès 60 ans.

Croissance Chine : recul

Croissance Chine : recul

 Preuve du ralentissement mondial, la Chine « usine du monde »  voit sa production manufacturière chinoise se  contracter en décembre, selon HSBC, à son plus bas niveau en sept mois. L’activité de la deuxième économie mondiale est confrontée à une « détérioration », a souligné la banque en commentant ce chiffre morose. « La demande intérieure a considérablement ralenti », a souligné Qu Hongbin, économiste chez HSBC. « Les prix ont aussi beaucoup chuté ». Cet expert a indiqué que la situation laissait présager de nouvelles mesures d’assouplissement monétaire en Chine dans les mois prochains. La production industrielle chinoise a par ailleurs enregistré en novembre un fort ralentissement, plus marqué qu’attendu.

Emploi : nouveau recul de l’intérim

Emploi : nouveau recul de l’intérim

L’intérim est considéré come un indicateur avancé de la conjoncture or cet indicateur recule en septembre. Un mauvais signe pour la croissance et l’emploi. Selon des informations livrées ce matin par Europe 1, les chiffres de l’intérim enregistrés pour le mois de septembre sont mauvais, notamment dans le secteur du bâtiment. Le nombre de contrats de travail temporaire a décroché de 2% au mois de septembre. Ces mauvais chiffres font suite à un fort recul enregistré entre janvier et mai 2014.   Le bâtiment, et plus particulièrement les travaux publics, traverse une zone de turbulences. L’emploi intérimaire a reculé de 20% dans ce secteur au mois de septembre, alors que ce mois est généralement propice pour le secteur du bâtiment en termes d’activités.  La raison invoquée par la Fédération des travaux publics d’Île-de-France pour justifier cette chute d’activité se trouve dans « l’effondrement des commandes ».  « C’est dû essentiellement à l’effondrement de la commande publique, des communes et des intercommunalités », selon Pierre Deniau de la Fédération des travaux publics d’Île-de-France. Il ajoute que le montant des appels d’offres était en chute « de l’ordre de 26% » à la fin du mois du septembre par rapport à septembre 2013. Les gros fournisseurs d’emploi, tel le commerce ou l’industrie, concèdent également une diminution de leur activité.  Europe 1 indique enfin que « la tendance ne s’arrangerait pas » pour le mois d’octobre.  Pour Pierre Deniau, l’intérim est le principal accélérateur de la reprise de l’emploi. « Dans un premier temps, les entreprises suppriment les emplois intérimaires avant de taper dans leurs emplois permanents », conclut, pessimiste, Pierre Deniau.

 

Emploi : recul aussi dans le commerce

Emploi : recul aussi dans le commerce

 

Après l’industrie c’est maintenant le commerce qui décline. Pas étonnant compte tenu d’une part de la baisse du pouvoir d’achat mais auusi du manque de confiance des consommateurs. « Depuis 2009, le commerce était en effet le premier créateur d’emplois, avec un solde positif de 89 000 postes », relève David Cousquer, le fondateur de Trendeo qui a rélisé l’étude . La fin de cette période constitue donc un « phénomène significatif et inquiétant », ajoute-t-il. Le mouvement est engagé depuis 2010. De trimestre en trimestre, les créations d’emplois se font plus rares, tandis que la courbe des suppressions monte régulièrement. Une évolution à relier à la crise, qui pèse de plus en plus sur le pouvoir d’achat des Français. Pour éviter de perdre trop de clients, les enseignes de la grande distribution se sont lancées depuis deux ans dans une guerre des prix. Elle comprime leurs marges. Un contexte qui ne les incite pas à embaucher massivement. De nombreuses sociétés intervenant dans le négoce et la distribution au sens large ont dû réduire la voilure. En 2013, Descours & Cabaud, un négociant lyonnais en produits pour le BTP et l’industrie, a ainsi allégé son effectif d’environ 400 personnes. Les repreneurs de La Redoute, ancienne filiale de Kering (ex-PPR), ont prévu de leur côté un plan social comportant la suppression de 1 178 postes en quatre ans. Les pertes dans le petit commerce sont moins spectaculaires mais pour cependant  importantes.

 

 

Sondage Sarkozy : nouveau recul

Sondage Sarkozy : nouveau recul

Selon un sondage IFOP pour Le Nouvel Observateur publié jeudi, les sympathisants UMP continuent à préferer l’ex-président, 59% d’entre eux souhaitent qu’il soit le candidat du parti pour la présidentielle de 2017, contre 28% qui lui préfèrent Alain Juppé.  Mais la tendance est à la baisse par rapport à une étude de l’IFOP effectuée lors de son retour: l’ancien chef d’État recule ainsi de six points dans son camp tandis que son principal adversaire (de 65% à 59%), l’ancien premier ministre en gagne cinq (de 23% à 28%). Nicolas Sarkozy semble avoir perdu sa capacité à créer le débat face à l’expérimenté maire de Bordeaux, au profil plus rassembleur. En ajoutant les sympathisants de l’UDI à ceux de l’UMP, Alain Juppé progresse encore plus: Sarkozy passe à 51% et Juppé à 34%. Enfin, l’ensemble des Français préfèrent Alain Juppé (29%), qui devance de sept points Nicolas Sarkozy (22%).  Dans un sondage Ipsos publié la veille, Alain Juppé à 76 % chez les sympathisants de l’UMP, devance l’ancien président à 71 %. Après s’être déclaré candidat mi-septembre, il devait apparaître comme la «capsule d’astronaute qui rentre dans l’atmosphère», s’amusait son porte-parole, le député UMP du Nord Gérald Darmanin. Même si son accession future à la tête du parti fin novembre est attendue, remporter les primaires ouvertes en 2016 semble compliqué. «En six mois, Juppé et Sarkozy ont inversé les rôles: Juppé a pris de la hauteur, Sarkozy est dans le marigot», commente un haut responsable FN, tandis qu’un dirigeant centriste constate que «ça ne marche pas du tout, techniquement le numéro est déjà vu».

Immobilier neuf : recul de 12%

Immobilier neuf : recul de 12%

On est loin des 500 000 logements annuels promis par Hollande il en manquera environ 200 000.  Les mises en chantier de logements neufs en France ont encore dévissé de juin à août, avec un recul de 11,3 % sur un an, s’établissant à 69.227  Par type de logement, de juin à août, les mises en chantier de logements ordinaires sont ressorties en baisse de 15 % à 63.726 unités (contre -16 % sur les trois mois achevés à fin juillet), selon ces statistiques publiées mardi. Celles des logements en résidence (pour seniors, étudiants…), un secteur plus restreint, ont bondi de 77 % à 5.501 unités. Sur les 12 mois écoulés entre septembre 2013 et août 2014, le nombre de logements neufs mis en chantier a affiché un recul de 11,6 %, à 303.218 unités En revanche, pour la première fois depuis le premier trimestre 2013, le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs , qui renseignent sur les futures mises en chantier, est en augmentation sur les trois derniers mois écoulés : il est repassé dans le vert avec une progression de 4,8 % sur cette période, à 103.505. Les permis accordés pour les logements ordinaires ont augmenté de 3,9 % à 94.208 unités de juin à août, tandis que ceux octroyés aux logements en résidence bondissaient de 14,6 % à 9.297. Sur 12 mois, les permis de construire affichent toutefois encore un repli de 13,9 % à 394.154 unités. En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France, un chiffre en repli de 4,2 % sur un an, bien en deçà de l’objectif gouvernemental, encore jamais atteint dans l’Hexagone, d’un demi-million de logements construits par an.

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