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Japon : Croissance en recul de 0,5%

Japon  : Croissance en recul de 0,5% 

Le PIB de l’archipel a reculé de 0,5% au premier trimestre comparé au précédent, selon une nouvelle estimation publiée lundi 10 juin. Les exportations ont chuté au premier trimestre de 5,1% (-5% lors de la première estimation), tandis que ses importations ont reculé de 3,3% (contre -3,4% précédemment), selon les chiffres du gouvernement. La consommation privée a, quant à elle, baissé de 0,7%.
(chiffre inchangé).

 

La consommation des ménages a, quant à elle, reculé de 0,8% (contre -0,7% lors de la première estimation) sur l’ensemble du premier trimestre. Cet indicateur a diminué sans discontinuer entre mars 2023 et mars 2024, alors que l’inflation continue à progresser plus vite que les salaires dans le pays, et que la faiblesse du yen, accentuée par la politique monétaire accommodante de la Banque du Japon (BoJ), fragilise aussi leur pouvoir d’achat.

L’archipel « évite de justesse la ‘récession technique’ définie par deux baisses consécutives » du PIB, avait déjà souligné mi-mai, lors d’une première estimation, Stefan Angrick dans une note de Moody’s Analytics. Mais « la nouvelle chute au premier trimestre 2024 montre que le Japon n’est pas non plus très loin de la récession, l’économie japonaise est en mauvaise forme ».

 

La consommation a cependant augmenté de 0,5% en avril sur un an en termes réels (corrigés de l’inflation), marquant la première hausse de cet indicateur économique clé depuis février 2023, selon des données officielles publiées vendredi 7 juin.

(Avec AFP)

Le recul de l’épidémie dans le monde ?

Le recul de l’épidémie dans le monde ?

Au plan hexagonal on se félicite d’avoir atteint un plateau contamination légèrement en baisse qu’on impute directement aux mesures de protection sanitaire du gouvernement. Des mesures qui sans doute influencent l’évolution de la pandémie mais le recul de l’épidémie s’observe partout dans le monde avec parfois même des baisses très spectaculaires. De sorte qu’il faut relativiser le succès de la politique sanitaire française.

Les courbes marquent un léger infléchissement en France depuis quelques jours, mais moins que chez nos voisins. La France avait mieux résisté en novembre et en décembre, mais le virus recule moins en janvier et février. Deux pays européens avaient été violemment touchés au moment des fêtes de fin d’année: le Portugal et la Grande-Bretagne. Ces deux pays respirent aujourd’hui beaucoup mieux.

Le Portugal peut être grâce à un confinement très strict. Le nombre de nouveaux cas quotidiens vient d’être divisé par quatre en 15 jours. Et puis surtout soulagement en Grande-Bretagne. Malgré la prévalence du nouveau variant plus contagieux, on est passé en un mois, de 60.000 nouveaux cas par jour en moyenne sur une semaine à 16.000. C’est quatre fois moins. C’est très spectaculaire. Les épidémiologistes anglais n’attribuent pas ce recul du virus à la campagne de vaccination, mais plutôt au confinement général très respecté. En Allemagne, les restaurants, les commerces, les musées et les écoles resteront fermés jusqu’au 7 mars. Alors que les chiffres sont à la baisse. Baisse régulière depuis Noël. Angela Merkel joue la prudence absolue et dit se méfier des nouveaux variants Brésilien et sud-africain.

Depuis début janvier les contaminations ont baissé de presque 50 % au plan mondial.  Une baisse par ailleurs assez inexpliqué même si il y a sans doute des liens évidents avec les mesures de politique sanitaire. Les experts médicaux demeurent prudents vis-à-vis des facteurs explicatifs par ailleurs ils craignent que les variants deviennent majoritaires et est inverse la tendance content tenu de la vitesse de contamination de ces nouveaux virus..Les Etats-Unis où l’on est passé de 250.000 nouveaux cas par jour à 100.000. Et l’Inde et ses 1,4 milliard d’habitants. En Inde, le pic remonte au mois de septembre dernier. Depuis, la baisse est constante et le nombre de nouveaux cas et le nombre de morts par jour ont été divisés par dix. On est passé de 1000 à 100 morts par jour en moyenne.  Baisse encore plus spectaculaire en Afrique du Sud, malgré l’inquiétant nouveau variant. Le nombre de cas divisé par six en un mois.

Croissance Chine :nouveau recul de l’industrie manufacturière

Croissance Chine :nouveau recul de l’industrie manufacturière

L’usine du monde est en panne car la demande mondiale stagne. La preuve que l’économie mondiale est loin d’être sortie de la crise. Ce recul de l’industrie manufacturière s’accompagne d’un recul de l’emploi. Le secteur manufacturier chinois a connu en mai un troisième mois consécutif de contraction en raison notamment du plus fort recul en près de deux ans des commandes à l’exportation, selon l’enquête auprès des directeurs d’achat de HSBC/Markit rendue publique lundi. L’indice PMI de HSBC/Markit a été en mai de 49,2 en version définitive, soit à peine mieux que sa version préliminaire de 49,1 et que son niveau d’avril à 48,9. Il demeure ainsi sous la barre des 50 séparant contraction et croissance de l’activité. Le sous-indice des nouvelles exportations s’est effondré à 46,7, un plus bas depuis juin 2013, ce qui est nettement moins que le 50,3 enregistré en avril. La production industrielle s’est contractée pour la première fois de l’année avec un sous-indice inférieur à 50. L’emploi a reculé pour le 18e mois consécutif mais à un rythme moins fort qu’en mars et avril. La croissance du secteur des services a légèrement fléchi en mai en Chine, montre l’indice officiel des directeurs d’achat (PMI) publié lundi, qui renforce le scénario d’un ralentissement général de la deuxième économie mondiale. L’indice PMI non-manufacturier a reculé à 53,2 en mai, après 53,4 en avril et 53,7 en mars, a annoncé le Bureau national des statistiques. Il reste néanmoins nettement au-dessus de la barre des 50, ce qui témoigne d’un développement de l’activité. Les entreprises de services ont globalement mieux résisté au ralentissement économique que le secteur manufacturier en Chine mais elles semblent tout de même en ressentir les effets depuis quelques mois. L’activité industrielle en Chine a comme prévu à peine accéléré en mai, selon l’indice officiel des directeurs d’achat du secteur. L’indice PMI manufacturier publié lundi par le Bureau national des statistiques a atteint 50,2 en mai après 50,1 en avril et en mars et 49,9 en février. Ce niveau est conforme à la prévision des analystes interrogés par Reuters.

 

La conférence de Hollande plombée par le recul de la France dans l’Europe et l’affaire Gayet

La conférence de Hollande plombée par le recul  de la France dans l’Europe et l’affaire Gayet

 

 

On  attendait une forte reprise en France pour la fin de l’année 2013, elle n’aura pas lieu. Pire la France piétine tandis que le reste de l’Europe frémit. Les enquêtes Markit montrent en effet un rebond en Europe tandis que la production et les commandes régressent en France ; exit donc la pseudo reprise de Hollande et sa fameuse inversion du chômage. Une conférence largement plombée par cette conjoncture très décevante. Avec en plus cette frasque du président  avec une comédienne. D’après les sondages cela ne modifie pas l’opinion des français sur Hollande mais l’opinion en fait est déjà tellement mauvaise que ce fait ne justifie pas d’en changer. La priorité pour 75% reste le chômage et le bilan est dramatique comme la popularité de Hollande.  L’Europe qui redémarre alors que la France piétine: c’est donc  la conclusion de l’enquête de décembre de la société Markit auprès des industriels, qui montre des Français paralysés alors que les Allemands, mais aussi les Espagnols vont de l’avant. « Les fabricants français signalent une nouvelle détérioration de la conjoncture dans le secteur manufacturier français en décembre. L’indice des acheteurs PMI se replie de 48,4 en novembre à 47,0″ le mois dernier, soit le plus bas niveau depuis 7 mois, a indiqué Markit, qui souligne que « les replis de la production et des nouvelles commandes se renforcent », tandis que « le recul de l’emploi s’accélère ». Lorsque l’indice dépasse les 50 points, cela signifie que l’activité progresse, tandis qu’elle se replie s’il est en dessous de ce seuil, comme en France. Selon Jack Kennedy, économiste chez Markit, « le secteur manufacturier français termine l’année 2013 sur une note décevante », et « les entreprises interrogées mentionnent un climat d’incertitude persistant ». Selon lui, un « retournement de situation ne se profile pas encore à l’horizon ». Les données françaises contrastent avec les enquêtes menées par Markit dans le reste de la zone euro, et qui ont également été publiées jeudi. L’indice PMI d’activité dans l’industrie de l’ensemble de la zone euro atteint ainsi en décembre son plus haut niveau depuis 31 mois, et affiche sa plus forte progression en plus de deux ans et demi, à 52,7 points contre 51,6 en novembre. Cette embellie européenne généralisée est portée en particulier par l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie, trois pays qui selon Markit ont enregistré en décembre leur plus forte croissance d’activité dans l’industrie depuis le premier semestre 2011.La Grèce, qui part d’une situation économique particulièrement dégradée, retrouve elle un niveau de PMI qu’elle n’avait plus atteint depuis quatre ans. Du côté des économistes, le retard pris par la France sur le reste des Européens, mais aussi les bonnes performances de l’Espagne ne surprennent pas. Le PMI « n’est pas une bonne nouvelle » et montre « qu’au minimum, la France est à la traîne », indique ainsi Frederik Ducrozet chez Crédit Agricole CIB, qui discerne en particulier un « réel écart entre l’Espagne et la France », deux pays dont les structures industrielles sont selon lui assez similaires pour autoriser une comparaison pertinente. « L’Espagne est en avance dans le rebond », juge l’économiste, qui rappelle toutefois que le pays, soumis à de dures réformes, a souffert d’une récession plus prononcée que la France. Pour M. Ducrozet, « le salut de la France ne pourra venir que des autres », c’est-à-dire des pays en meilleure forme économique et dont la demande va tirer l’industrie française. L’économiste relativise toutefois l’enquête Markit, qui semble condamner la France et en particulier son industrie à la récession. Pour lui, le scénario le plus probable reste celui d’une petite reprise dans les prochains mois, conformément à d’autres baromètres de l’industrie publiés par l’Insee ou la Banque de France, qu’il juge « plus solides ». Même opinion de la part de Jean-Luc Proutat, chez BNP Paribas, selon qui l’indice Markit en décembre « ne donne pas la bonne indication » dans sa composante française.

 




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