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Economie-Inflation France: un nouveau record qui repose la question du partage de la richesse

Economie-Inflation France: un nouveau record qui repose la question du partage de la richesse

Le nouveau record d’inflation constatée en France en octobre pourrait relancer le débat sur le partage de la richesse et notamment des superprofits. En effet,d’un côté les consommateurs sont affrontés à une augmentation générale des prix alors que leur pouvoir d’achat ne suit pas ( en moyenne le pouvoir d’achat aura sans doute augmenté de l’ordre de 3 % quand la hausse des prix, elle, est de 6%) .

Jusque-là le pouvoir a freiné des quatre fers pour mettre sur la table la question de l’éventuelle taxation des supers bénéfices car l’inflation qui handicape les ménages en général profite à certaines entreprises pour des raisons essentiellement spéculatives. Discrètement, ces entreprises profitent du climat inflationniste général pour ajouter quelques points de hausse qui viennent gonfler les profits sans vraies raisons économiques. Ces entreprises joue un rôle négatif en profitant d’abord de l’inflation, en alimentant ensuite.

La question de la montée de l’inflation va forcément être très discutée d’autant que la taxation n’est pas forcément le meilleur moyen de la gérer. En effet une nouvelle fiscalité dira se noyer dans le trou du budget général de l’État.

Fondamentalement ce qui est en cause, c’est le partage de la richesse produite entre profits, investissements et rémunérations.

L’inflation est repartie à la hausse au mois d’octobre, notamment à cause de la flambée des prix de l’énergie et de l’alimentation, les deux postes de dépenses qui augmentent le plus.

Après deux mois consécutifs de ralentissement, en août et en septembre, la hausse sur un an des prix à la consommation a donc repris son accélération en octobre. Les prix ont augmenté de 6,2% sur un an, d’après des calculs provisoires de l’Insee, publiés vendredi 28 octobre. Si ce taux est confirmé par les résultats définitifs, attendus mi-novembre, il s’agira d’un nouveau record pour l’année 2022, après les 6,1% de hausse des prix relevés en juillet, et d’un niveau inédit depuis 1985 (6,4% en juin cette année-là).

Dans le détail, l’inflation est portée par l’envolée des prix de l’alimentation (+11,8% sur un an) et un rebond des prix de l’énergie (+19,2%). Ce dernier poste de dépenses s’était replié tout au long de l’été ainsi qu’au mois de septembre. Une accalmie que l’Insee avait alors principalement imputé à l’augmentation des remises sur les carburants. Ce ralentissement n’aura donc été que temporaire pour un secteur qui reste le principal moteur de l’inflation.

Inflation France: un nouveau record inquiétant

Inflation France: un nouveau record inquiétant

Le nouveau record d’inflation constatée en France en octobre pourrait relancer le débat sur le partage de la richesse et notamment des superprofits. En effet d’un côté les consommateurs sont affrontés à une augmentation générale des prix alors que leur pouvoir d’achat ne suit pas ( en moyenne le pouvoir d’achat aura sans doute augmenté de l’ordre de 3 % quand la hausse des prix, elle, est de 6%) .

Jusque-là le pouvoir a freiné des quatre fers pour mettre sur la table la question de l’éventuelle taxation des supers bénéfices car l’inflation qui handicape les ménages en général profite à certaines entreprises pour des raisons essentiellement spéculatives. Discrètement, ces entreprises profitent du climat inflationniste général pour ajouter quelques points de hausse qui viennent gonfler les profits sans vraies raisons économiques. Ces entreprises joue un rôle négatif en profitant d’abord de l’inflation, en alimentant ensuite.

La question de la montée de l’inflation va forcément être très discutée d’autant que la taxation n’est pas forcément le meilleur moyen de la gérer. En effet une nouvelle fiscalité dira se noyer dans le trou du budget général de l’État.

Fondamentalement ce qui est en cause, c’est le partage de la richesse produite entre profits, investissements et rémunérations.
L’inflation est repartie à la hausse au mois d’octobre, notamment à cause de la flambée des prix de l’énergie et de l’alimentation, les deux postes de dépenses qui augmentent le plus.

Après deux mois consécutifs de ralentissement, en août et en septembre, la hausse sur un an des prix à la consommation a donc repris son accélération en octobre. Les prix ont augmenté de 6,2% sur un an, d’après des calculs provisoires de l’Insee, publiés vendredi 28 octobre. Si ce taux est confirmé par les résultats définitifs, attendus mi-novembre, il s’agira d’un nouveau record pour l’année 2022, après les 6,1% de hausse des prix relevés en juillet, et d’un niveau inédit depuis 1985 (6,4% en juin cette année-là).

Dans le détail, l’inflation est portée par l’envolée des prix de l’alimentation (+11,8% sur un an) et un rebond des prix de l’énergie (+19,2%). Ce dernier poste de dépenses s’était replié tout au long de l’été ainsi qu’au mois de septembre. Une accalmie que l’Insee avait alors principalement imputé à l’augmentation des remises sur les carburants. Ce ralentissement n’aura donc été que temporaire pour un secteur qui reste le principal moteur de l’inflation.

Economie-Déficit commercial de la France: Nouveau record dramatique

Economie-Déficit commercial de la France: Nouveau record dramatique

La balance des échanges extérieurs constitue l’instrument principal de mesure de la compétitivité française ; une compétitivité qui ne cesse de s’écrouler comme le démontre le nouveau déficit record de plus de 15 milliards en août.Sur un an, le trou se monte à 139 milliards d’euros contre 85 milliards sur l’ensemble de l’année 2021.

La balance commerciale française s’est de fait dégradée de 1 milliard d’euros par rapport à celle de juillet. En cumul sur douze mois, le déficit affiche aussi un record, à 139 milliards d’euros. A comparer aux 85 milliards de l’ensemble de l’année 2021. Bercy table sur un déficit de 156 milliards cette année et de 154 milliards en 2023.

Cette nouvelle dégradation s’explique avant tout et, sans grande surprise, par l’envolée des prix de l’énergie du fait de la guerre en Ukraine. En août, la facture énergétique de l’Hexagone a atteint 11 milliards d’euros, soit 800 millions de plus que le mois précédent.
« Les importations d’électricité et de gaz continuent de se renchérir sensiblement, alors que les exportations énergétiques restent stables depuis les quatre derniers mois », expliquent les Douanes.

Conséquence directe de cette situation sur les marchés de l’énergie, dans l’ensemble, les importations françaises ont vu leur coût croître de 1,1 milliard d’euros (à 65,6 milliards) tandis que les exportations progressaient d’à peine 100 millions d’euros (à 50,1 milliards d’euros).
. Si les importations augmentent légèrement, dans le même temps « les exportations sont quasi stables » en août. Les exportateurs français ont plus de mal à trouver des débouchés, alors que l’OMC anticipe une quasi-stagnation du commerce mondial en 2023.
Dans le détail tous les soldes d’échanges sont à la peine. Si celui des biens de consommation « baisse moins vite », par contre celui des biens intermédiaires « se dégrade à nouveau » du fait des exportations qui baissent « pour la première fois depuis 12 mois ».

Dette France : record d’emprunt… et de coût

Dette France : record d’emprunt… et de coût

 

La France va atteindre un record en matière d’emprunt avec presque 300 milliards l’année prochaine. Un record qui cumulé avec la hausse des taux va faire exploser la charge financière.

En 2023, l’Etat doit rassembler 305,5 milliards d’euros pour se financer et financer le coût de ces emprunts, contre 306 en 2022.

C’est un montant inédit. L’Etat français compte lever 270 milliards d’euros de dette sur les marchés financiers en 2023. La France dépasse son précédent record de 260 milliards d’euros en 2021 et 2022, d’après un communiqué de l’Agence France Trésor présenté ce lundi.

Or, la charge de la dette sur ces nouveaux emprunts s’alourdit, une tendance qui devrait aller en s’aggravant. Les taux d’intérêts, dits « taux souverains » que la France paie à ses créanciers pour leur emprunter de l’argent, sont de plus en plus élevés.

L’accroissement de la charge financière découle de l’endettement passé mais aussi d’un nouveau déficit budgétaire. Théoriquement le projet de loi prévoit de stabiliser le déficit à -5 % du PIB. Une perspective douteuse avec le ralentissement économique et l’accélération de dépenses mal évaluées.

Le recul de la dette est très hypothétique, il s’agit de faire passer la dette de 111,2 % du PIB en 2023 à 111,5 % en 2022, soit un endettement total qui passera au-dessus seuil de 3.000 milliards d’euros, ainsi que l’a reconnu Gabriel Attal, et une charge de la dette grimpant à plus de 50 milliards pour atteindre 51,7 milliards l’an .

Au final, les dépenses de l’Etat devraient progresser de 21,7 milliards l’an prochain par rapport à 2022. Dans le JDD, Gabriel Attal, ministre délégué aux Comptes publics, a promis de « réduire le poids de la dépense publique de 57,6 % à 53,8 % du PIB » sur le quinquennat, mais cette promesse est déjà moins ambitieuse que celle faite durant l’été à Bruxelles, signe que l’heure n’est pas encore à la rigueur.

Parallèlement les rentrées financières seront moins importantes compte tenues du tassement net de l’activité économique.

Bercy a finalement dû revoir en baisse ses prévisions de croissance pour l’an prochain de 1,4 % à 1 % – un niveau jugé encore optimiste par nombre d’économistes – tandis que l’inflation pourrait encore attendre 4,2 % l’an prochain après 5,3 % en 2022.

L’adoption du PLF par 49.3 paraît probable, mais les membres du gouvernement entendent montrer jusqu’au bout que le blocage ne viendra pas d’eux.

Le gouvernement a toutefois abordé pour le moment l’aspect le plus consensuel des discussions avec les oppositions. A gauche, on veut relancer le débat sur la taxation des « superprofits ». Et surtout le sort réservé aux collectivités locales – alors que Bercy veut geler leurs dotations – promet un débat électrique, avec de fortes pressions pour augmenter un peu plus les dépenses.

 

Climat–Sécheresse: un record depuis plus de 100 ans

Climat–Sécheresse: un record depuis plus de  100 ans

D’après une étude de meteo-paris.com, la France est sur le point de dépasser les records de sécheresse depuis  100 à 150 ans.

 

Sécheresse de 1976

 

C’est l’année à laquelle la plupart des gens pensent lorsqu’on parle de sécheresse de référence. La grande sécheresse de 1976 a marqué les esprits de toute une génération. Le déficit pluviométrique avait débuté dès la fin de l’année 1975 avec une recharge automnale trop limitée. S’en est suivi un premier semestre 1976 remarquablement sec en France avec un déficit historique au mois de juin 1976. Juillet fut marqué par quelques orages mais août fut de nouveau trop sec. La situation ne s’est améliorée qu’à l’automne avec le retour de véritables perturbations.

 

Les conséquences de la sécheresse de 1976 furent majeures dans de nombreuses régions françaises. Le débit de nombreux cours d’eau est devenu historiquement bas, forçant à d’importantes limitations de l’usage de l’eau. D’ailleurs, l’eau a été coupée dans certaines régions, forçant la mise en place de distributions d’eau aux habitants. Notons cependant que la gestion de l’eau a été considérablement améliorée après cette grande sécheresse. L’agriculture a grandement souffert de ce manque d’eau avec des rendements très diminués durant cette année 1976.

 

 

Sécheresse de 1921

 

Parmi les plus grandes sécheresses répertoriées dans l’histoire de France, celle de 1921 fut véritablement remarquable. Celle-ci avait duré durant l’ensemble de l’année avec des déficits pluviométriques remarquables de janvier à avril puis au cours des mois de juin et de juillet ainsi que durant l’ensemble de l’automne ! Dans certaines régions françaises, il n’est même pas tombé la moitié des pluies annuelles classiques !

 

La région parisienne fut l’une des plus concernées par cette sécheresse historique. Durant l’ensemble de l’année 1921, il n’était tombé que 267 mm de pluie sur la capitale, soit un déficit annuel record de 58% ! Une telle anomalie sèche sur une année entière ne s’est plus reproduite au cours des 100 années suivantes. Même en cette année 2022 anormalement calme et sèche, le cumul des sept premiers mois de l’année à Paris a déjà dépassé celui de toute l’année 1921 (273 mm de janvier à juillet 2022).

 

Les conséquences de cette sécheresse furent dramatiques, notamment pour l’agriculture. De nombreux incendies s’étaient déclenchés en France, concernant aussi les régions du nord. En Île-de-France, d’importants brasiers avaient notamment touché la forêt de Fontainebleau au cours de l’été 1921 !

 

D’après le site la.climatologie.free.fr/, les sécheresses en Europe ne sont pas nouvelles .

C’est en 1303 qu’on a connu la sécheresse la plus importante du millénaire. On pouvait traverser le Rhin sec à pied.

Les autres sécheresses furent en 1540, 1719, 1874, 1906, 1911, 1921, 1945, 1947, 1949, 1953, 1957, 1964, 1976, 1988, 1989, 1990, 1991, 1992 et 2003. C’est de 1922 à 1952, que la France a connu un très fort réchauffement en été à cause d’un flux de sud à répétition.

En 1788, la France a connu un printemps et un été terriblement secs, qui ont compromis les récoltes.

En 1911, ce fut la seule année du siècle où on a dépassé les 35°C durant les mois de juillet, août et septembre à Paris (32 jours au dessus de 30°C à Paris et 53 jours à Marseille !)

En 1921, il a été seulement relevées 200 mm de pluie à Nancy et 278 mm Paris. La sécheresse a duré toute l’année. Cet été a été véritablement encore plus sec que celui de 1976.

En 1949, l’été a commencé plus tôt. Il faisait déjà plus de 30°C en avril dans la moitié nord, et la sécheresse a duré tout l’été avec des températures extrêmement élevées.

En 1976, la sécheresse a été si importante que tout le monde s’en rappelle comme étant une des pires années de sécheresse de la fin du 20ème siècle en Europe (voir ci-dessous).

En 1994, juillet et août ont connu 56 jours de températures supérieures à 30°C à Marseille-Marignane et 60 jours de températures supérieures à 30°C au Luc dont 31 jours en juillet.

En juillet 1950, au Luc il y a eu 19 jours de températures supérieures à 35°C (un record toujours pas battu).

En juillet 1983, à Carpentras il y a eu 15 jours de températures supérieures à 35°C et 11 jours à Marseille.

En 2003 de mars à août, une sécheresse plus importante que celle de 1989 s’est installée sur l’Europe

Sécheresse: un record depuis plus de 100 ans

Sécheresse: un record depuis plus de  100 ans

D’après une étude de meteo-paris.com, la France est sur le point de dépasser les records de sécheresse depuis  100 à 150 ans.

 

Sécheresse de 1976

 

C’est l’année à laquelle la plupart des gens pensent lorsqu’on parle de sécheresse de référence. La grande sécheresse de 1976 a marqué les esprits de toute une génération. Le déficit pluviométrique avait débuté dès la fin de l’année 1975 avec une recharge automnale trop limitée. S’en est suivi un premier semestre 1976 remarquablement sec en France avec un déficit historique au mois de juin 1976. Juillet fut marqué par quelques orages mais août fut de nouveau trop sec. La situation ne s’est améliorée qu’à l’automne avec le retour de véritables perturbations.

 

Les conséquences de la sécheresse de 1976 furent majeures dans de nombreuses régions françaises. Le débit de nombreux cours d’eau est devenu historiquement bas, forçant à d’importantes limitations de l’usage de l’eau. D’ailleurs, l’eau a été coupée dans certaines régions, forçant la mise en place de distributions d’eau aux habitants. Notons cependant que la gestion de l’eau a été considérablement améliorée après cette grande sécheresse. L’agriculture a grandement souffert de ce manque d’eau avec des rendements très diminués durant cette année 1976.

 

 

Sécheresse de 1921

 

Parmi les plus grandes sécheresses répertoriées dans l’histoire de France, celle de 1921 fut véritablement remarquable. Celle-ci avait duré durant l’ensemble de l’année avec des déficits pluviométriques remarquables de janvier à avril puis au cours des mois de juin et de juillet ainsi que durant l’ensemble de l’automne ! Dans certaines régions françaises, il n’est même pas tombé la moitié des pluies annuelles classiques !

 

La région parisienne fut l’une des plus concernées par cette sécheresse historique. Durant l’ensemble de l’année 1921, il n’était tombé que 267 mm de pluie sur la capitale, soit un déficit annuel record de 58% ! Une telle anomalie sèche sur une année entière ne s’est plus reproduite au cours des 100 années suivantes. Même en cette année 2022 anormalement calme et sèche, le cumul des sept premiers mois de l’année à Paris a déjà dépassé celui de toute l’année 1921 (273 mm de janvier à juillet 2022).

 

Les conséquences de cette sécheresse furent dramatiques, notamment pour l’agriculture. De nombreux incendies s’étaient déclenchés en France, concernant aussi les régions du nord. En Île-de-France, d’importants brasiers avaient notamment touché la forêt de Fontainebleau au cours de l’été 1921 !

 

D’après le site la.climatologie.free.fr/, les sécheresses en Europe ne sont pas nouvelles .

C’est en 1303 qu’on a connu la sécheresse la plus importante du millénaire. On pouvait traverser le Rhin sec à pied.

Les autres sécheresses furent en 1540, 1719, 1874, 1906, 1911, 1921, 1945, 1947, 1949, 1953, 1957, 1964, 1976, 1988, 1989, 1990, 1991, 1992 et 2003. C’est de 1922 à 1952, que la France a connu un très fort réchauffement en été à cause d’un flux de sud à répétition.

En 1788, la France a connu un printemps et un été terriblement secs, qui ont compromis les récoltes.

En 1911, ce fut la seule année du siècle où on a dépassé les 35°C durant les mois de juillet, août et septembre à Paris (32 jours au dessus de 30°C à Paris et 53 jours à Marseille !)

En 1921, il a été seulement relevées 200 mm de pluie à Nancy et 278 mm Paris. La sécheresse a duré toute l’année. Cet été a été véritablement encore plus sec que celui de 1976.

En 1949, l’été a commencé plus tôt. Il faisait déjà plus de 30°C en avril dans la moitié nord, et la sécheresse a duré tout l’été avec des températures extrêmement élevées.

En 1976, la sécheresse a été si importante que tout le monde s’en rappelle comme étant une des pires années de sécheresse de la fin du 20ème siècle en Europe (voir ci-dessous).

En 1994, juillet et août ont connu 56 jours de températures supérieures à 30°C à Marseille-Marignane et 60 jours de températures supérieures à 30°C au Luc dont 31 jours en juillet.

En juillet 1950, au Luc il y a eu 19 jours de températures supérieures à 35°C (un record toujours pas battu).

En juillet 1983, à Carpentras il y a eu 15 jours de températures supérieures à 35°C et 11 jours à Marseille.

En 2003 de mars à août, une sécheresse plus importante que celle de 1989 s’est installée sur l’Europe

Sécheresse: un record depuis 100 à 150 ans

 

Sécheresse: un record depuis 100 à  150 ans

D’après une étude de meteo-paris.com, la France est sur le point de dépasser les records de sécheresse depuis  100 à 150 ans.

 

Sécheresse de 1976

 

C’est l’année à laquelle la plupart des gens pensent lorsqu’on parle de sécheresse de référence. La grande sécheresse de 1976 a marqué les esprits de toute une génération. Le déficit pluviométrique avait débuté dès la fin de l’année 1975 avec une recharge automnale trop limitée. S’en est suivi un premier semestre 1976 remarquablement sec en France avec un déficit historique au mois de juin 1976. Juillet fut marqué par quelques orages mais août fut de nouveau trop sec. La situation ne s’est améliorée qu’à l’automne avec le retour de véritables perturbations.

 

Les conséquences de la sécheresse de 1976 furent majeures dans de nombreuses régions françaises. Le débit de nombreux cours d’eau est devenu historiquement bas, forçant à d’importantes limitations de l’usage de l’eau. D’ailleurs, l’eau a été coupée dans certaines régions, forçant la mise en place de distributions d’eau aux habitants. Notons cependant que la gestion de l’eau a été considérablement améliorée après cette grande sécheresse. L’agriculture a grandement souffert de ce manque d’eau avec des rendements très diminués durant cette année 1976.

 

 

Sécheresse de 1921

 

Parmi les plus grandes sécheresses répertoriées dans l’histoire de France, celle de 1921 fut véritablement remarquable. Celle-ci avait duré durant l’ensemble de l’année avec des déficits pluviométriques remarquables de janvier à avril puis au cours des mois de juin et de juillet ainsi que durant l’ensemble de l’automne ! Dans certaines régions françaises, il n’est même pas tombé la moitié des pluies annuelles classiques !

 

 La région parisienne fut l’une des plus concernées par cette sécheresse historique. Durant l’ensemble de l’année 1921, il n’était tombé que 267 mm de pluie sur la capitale, soit un déficit annuel record de 58% ! Une telle anomalie sèche sur une année entière ne s’est plus reproduite au cours des 100 années suivantes. Même en cette année 2022 anormalement calme et sèche, le cumul des sept premiers mois de l’année à Paris a déjà dépassé celui de toute l’année 1921 (273 mm de janvier à juillet 2022).

 

Les conséquences de cette sécheresse furent dramatiques, notamment pour l’agriculture. De nombreux incendies s’étaient déclenchés en France, concernant aussi les régions du nord. En Île-de-France, d’importants brasiers avaient notamment touché la forêt de Fontainebleau au cours de l’été 1921 !

 

D’après le site la.climatologie.free.fr/, les sécheresses en Europe ne sont pas nouvelles .

C’est en 1303 qu’on a connu la sécheresse la plus importante du millénaire. On pouvait traverser le Rhin sec à pied.

Les autres sécheresses furent en 1540, 1719, 1874, 1906, 1911, 1921, 1945, 1947, 1949, 1953, 1957, 1964, 1976, 1988, 1989, 1990, 1991, 1992 et 2003. C’est de 1922 à 1952, que la France a connu un très fort réchauffement en été à cause d’un flux de sud à répétition.

En 1788, la France a connu un printemps et un été terriblement secs, qui ont compromis les récoltes.

En 1911, ce fut la seule année du siècle où on a dépassé les 35°C durant les mois de juillet, août et septembre à Paris (32 jours au dessus de 30°C à Paris et 53 jours à Marseille !)

En 1921, il a été seulement relevées 200 mm de pluie à Nancy et 278 mm Paris. La sécheresse a duré toute l’année. Cet été a été véritablement encore plus sec que celui de 1976.

En 1949, l’été a commencé plus tôt. Il faisait déjà plus de 30°C en avril dans la moitié nord, et la sécheresse a duré tout l’été avec des températures extrêmement élevées.

En 1976, la sécheresse a été si importante que tout le monde s’en rappelle comme étant une des pires années de sécheresse de la fin du 20ème siècle en Europe (voir ci-dessous).

En 1994, juillet et août ont connu 56 jours de températures supérieures à 30°C à Marseille-Marignane et 60 jours de températures supérieures à 30°C au Luc dont 31 jours en juillet.

En juillet 1950, au Luc il y a eu 19 jours de températures supérieures à 35°C (un record toujours pas battu).

En juillet 1983, à Carpentras il y a eu 15 jours de températures supérieures à 35°C et 11 jours à Marseille.

En 2003 de mars à août, une sécheresse plus importante que celle de 1989 s’est installée sur l’Europe

Sécheresse : Un record depuis 60 ans

Sécheresse : Un record  depuis 60 ans

 

Année après année, lentement mais sûrement le climat européen d’une certaine manière ça focalise avec une saison sèche pratiquement sans pluie significative en été et au contraire un excès d’eau via les inondations en hiver mais avec peu de températures très froides. Ainsi Lyon connaîtra bientôt le climat d’Alger et Paris celui de Marseille. La sécheresse a bien entendu des conséquences pour les populations et pour l’économie notamment l »agriculture. Ainsi Le mois de juillet 2022 aura été marqué par des conditions climatiques extrêmes dans l’Hexagone. Sans surprise, Météo France a révélé, mardi 26 juillet, qu’il serait « très probablement le mois de juillet le plus sec » jamais mesuré depuis le début des relevés concernant les sécheresses du sol, en 1959.

« En moyenne sur la France, il est tombé huit millimètres de précipitations du 1er au 25 juillet », soit « un déficit énorme de précipitations », explique à l’AFP Christian Veil, climatologue chez Météo France. « On devrait être au premier ou au deuxième rang des mois de juillet les plus secs », poursuit-il. Tout dépendra des derniers jours du mois, de légSécheresseères pluies étant attendues vendredi.

Ce manque de pluie aggrave la sécheresse qui touchait déjà la France au début de l’été. Mardi, 91 départements étaient concernés par des restrictions d’usage de l’eau, du jamais-vu. Les niveaux d’alerte sont recensés sur le site Propluvia.

Une situation qui a des conséquences sur tout l’environnement : « Les précipitations estivales servent à maintenir l’humidité des sols superficiels, à maintenir la végétation », explique Christian Veil, qui observe notamment « des arbres qui souffrent tellement de la chaleur qu’ils perdent leurs feuilles ».

Une autre conséquence concerne le fonctionnement de centrales nucléaires.

Plus généralement cela pose la question d’une autre politique de la gestion de l’eau et de son utilisation.

L’agriculture est la première activité consommatrice d’eau avec 45 % du total, devant le refroidissement des centrales électriques (31 %), l’eau potable (21 %) et les usages industriels (4 %).

Pour les usages domestiques, dans la cuisine, le lave-vaisselle consomme entre 10 et 20 litres par lavage alors que faire la vaisselle à la main demande en moyenne presque 50 litres.

Mais le vrai problème est l’utilisation de l’eau  potable tous les usages y compris non alimentaires. La question d’un double réseau l’un potable, l’autre potable se posera un jour ou l’autre

 

Déficit commercial : Nouveau record

Déficit commercial : Nouveau record

Le déficit commercial de la France, considéré comme le principal indicateur de compétitivité au plan international, s’est établi à 13,07 milliards d’euros fin juin

 

Selon les données publiées par les douanes françaises, ce vendredi 5 août, ce déficit s’est établi à 13,07 milliards d’euros fin juin, soit un nouveau record. Par ailleurs, les importations ont atteint en juin 62,8 milliards d’euros, et les exportations 49,7 milliards d’euros. Les douanes rapportent également un autre chiffre alarmant : sur les quatre derniers trimestres, le solde commercial a atteint -121,9 milliards d’euros. Sur le premier semestre, les Douanes constatent aussi « une forte dégradation du solde commercial des biens » à -71 milliards d’euros, contre -51 milliards d’euros au semestre précédent.

Concernant les exportations de biens, les douanes précisent que si elles ont continué de « croître en valeur » entre avril et juin, elles l’ont fait « à un rythme moindre » qu’au 1er trimestre 2022. Leur taux de croissance a en effet été divisé nettement sur le trimestre : il a augmenté de 3,5 % après une hausse de 5,8 %. S’agissant des importations, elles ont aussi augmenté, mais « à un rythme supérieur à celui du 1er trimestre 2022 (+6,9 % après +6,1 %) », soulignent les douanes.

« La croissance des importations en valeur est tirée pour plus de moitié par l’énergie, en raison principalement des achats d’hydrocarbures naturels, dont le prix reste très élevé dans un contexte de tensions géopolitiques », expliquent les douanes.

Le déficit commercial s’est ainsi creusé une nouvelle fois, et ce, pour le sixième trimestre consécutif : il s’est en effet détérioré de 7 milliards d’euros par rapport au précédent trimestre, pour atteindre 39 milliards d’euros contre 32 milliards d’euros sur les trois premiers mois de l’année. Cette chute est également largement visible si l’on compare ces chiffres à ceux enregistrés au second trimestre 2021 : le déficit commercial s’était alors établi à 18,5 milliards d’euros.

D’après les douanes françaises, le déficit commercial tricolore est « principalement tiré par l’énergie dont le solde se détériore de 5,1 milliards ce trimestre en raison de la facture des achats d’énergies fossiles ».

La direction générale des Douanes souligne néanmoins que les exportations confirment leur reprise à 285 milliards d’euros au premier semestre 2022, dépassant désormais leur niveau d’avant crise sanitaire.

Dans un communiqué publié vendredi, Olivier Becht, ministre délégué au Commerce extérieur, a admis que si la France a pu démontrer « d’excellents résultats dans les services » tout en maintenant « son attractivité », le pays « s’inscrit toutefois dans la tendance générale d’une dégradation du solde commercial en Europe ». « Cette dégradation tient essentiellement à l’alourdissement de la facture énergétique dans le contexte de l’agression russe en Ukraine et de l’impact de la pandémie sur les secteurs clés de l’aéronautique et du tourisme pour nos exportations », peut-on également lire dans le communiqué.

(Avec Reuters)

Climat et Température : Un record de sécheresse depuis 60 ans

Climat et Température : Un record de sécheresse depuis 60 ans

 

Année après année, lentement mais sûrement le climat européen d’une certaine manière ça focalise avec une saison sèche pratiquement sans pluie significative en été et au contraire un excès d’eau via les inondations en hiver mais avec peu de températures très froides. Ainsi Lyon connaîtra bientôt le climat d’Alger et Paris celui de Marseille. La sécheresse a bien entendu des conséquences pour les populations et pour l’économie notamment l »agriculture. Ainsi Le mois de juillet 2022 aura été marqué par des conditions climatiques extrêmes dans l’Hexagone. Sans surprise, Météo France a révélé, mardi 26 juillet, qu’il serait « très probablement le mois de juillet le plus sec » jamais mesuré depuis le début des relevés concernant les sécheresses du sol, en 1959.

« En moyenne sur la France, il est tombé huit millimètres de précipitations du 1er au 25 juillet », soit « un déficit énorme de précipitations », explique à l’AFP Christian Veil, climatologue chez Météo France. « On devrait être au premier ou au deuxième rang des mois de juillet les plus secs », poursuit-il. Tout dépendra des derniers jours du mois, de légères pluies étant attendues vendredi.

Ce manque de pluie aggrave la sécheresse qui touchait déjà la France au début de l’été. Mardi, 91 départements étaient concernés par des restrictions d’usage de l’eau, du jamais-vu. Les niveaux d’alerte sont recensés sur le site Propluvia.

Une situation qui a des conséquences sur tout l’environnement : « Les précipitations estivales servent à maintenir l’humidité des sols superficiels, à maintenir la végétation », explique Christian Veil, qui observe notamment « des arbres qui souffrent tellement de la chaleur qu’ils perdent leurs feuilles ».

Une autre conséquence concerne le fonctionnement de centrales nucléaires.

Plus généralement cela pose la question d’une autre politique de la gestion de l’eau et de son utilisation.

L’agriculture est la première activité consommatrice d’eau avec 45 % du total, devant le refroidissement des centrales électriques (31 %), l’eau potable (21 %) et les usages industriels (4 %).

Pour les usages domestiques, dans la cuisine, le lave-vaisselle consomme entre 10 et 20 litres par lavage alors que faire la vaisselle à la main demande en moyenne presque 50 litres.

Mais le vrai problème est l’utilisation de l’eau  potable tous les usages y compris non alimentaires. La question d’un double réseau l’un potable, l’autre potable se posera un jour ou l’autre

 

Température : Un record de sécheresse depuis 60 ans

Température : Un record de sécheresse depuis 60 ans

 

Année après année, lentement mais sûrement le climat européen d’une certaine manière ça focalise avec une saison sèche pratiquement sans pluie significative en été et au contraire un excès d’eau via les inondations en hiver mais avec peu de températures très froides. Ainsi Lyon connaîtra bientôt le climat d’Alger et Paris celui de Marseille. La sécheresse a bien entendu des conséquences pour les populations et pour l’économie notamment l »agriculture. Ainsi Le mois de juillet 2022 aura été marqué par des conditions climatiques extrêmes dans l’Hexagone. Sans surprise, Météo France a révélé, mardi 26 juillet, qu’il serait « très probablement le mois de juillet le plus sec » jamais mesuré depuis le début des relevés concernant les sécheresses du sol, en 1959.

« En moyenne sur la France, il est tombé huit millimètres de précipitations du 1er au 25 juillet », soit « un déficit énorme de précipitations », explique à l’AFP Christian Veil, climatologue chez Météo France. « On devrait être au premier ou au deuxième rang des mois de juillet les plus secs », poursuit-il. Tout dépendra des derniers jours du mois, de légères pluies étant attendues vendredi.

Ce manque de pluie aggrave la sécheresse qui touchait déjà la France au début de l’été. Mardi, 91 départements étaient concernés par des restrictions d’usage de l’eau, du jamais-vu. Les niveaux d’alerte sont recensés sur le site Propluvia.

Une situation qui a des conséquences sur tout l’environnement : « Les précipitations estivales servent à maintenir l’humidité des sols superficiels, à maintenir la végétation », explique Christian Veil, qui observe notamment « des arbres qui souffrent tellement de la chaleur qu’ils perdent leurs feuilles ».

Une autre conséquence concerne le fonctionnement de centrales nucléaires.

Plus généralement cela pose la question d’une autre politique de la gestion de l’eau et de son utilisation.

L’agriculture est la première activité consommatrice d’eau avec 45 % du total, devant le refroidissement des centrales électriques (31 %), l’eau potable (21 %) et les usages industriels (4 %).

Pour les usages domestiques, dans la cuisine, le lave-vaisselle consomme entre 10 et 20 litres par lavage alors que faire la vaisselle à la main demande en moyenne presque 50 litres.

Mais le vrai problème est l’utilisation de l’eau  potable tous les usages y compris non alimentaires. La question d’un double réseau l’un potable, l’autre potable se posera un jour ou l’autre

 

Climat : Un record de sécheresse depuis 60 ans

Climat : Un record de sécheresse depuis 60 ans

 

Année après année, lentement mais sûrement le climat européen d’une certaine manière ça focalise avec une saison sèche pratiquement sans pluie significative en été et au contraire un excès d’eau via les inondations en hiver mais avec peu de températures très froides. Ainsi Lyon connaîtra bientôt le climat d’Alger et Paris celui de Marseille. La sécheresse a bien entendu des conséquences pour les populations et pour l’économie notamment l »agriculture. Ainsi Le mois de juillet 2022 aura été marqué par des conditions climatiques extrêmes dans l’Hexagone. Sans surprise, Météo France a révélé, mardi 26 juillet, qu’il serait « très probablement le mois de juillet le plus sec » jamais mesuré depuis le début des relevés concernant les sécheresses du sol, en 1959.

« En moyenne sur la France, il est tombé huit millimètres de précipitations du 1er au 25 juillet », soit « un déficit énorme de précipitations », explique à l’AFP Christian Veil, climatologue chez Météo France. « On devrait être au premier ou au deuxième rang des mois de juillet les plus secs », poursuit-il. Tout dépendra des derniers jours du mois, de légères pluies étant attendues vendredi.

Ce manque de pluie aggrave la sécheresse qui touchait déjà la France au début de l’été. Mardi, 91 départements étaient concernés par des restrictions d’usage de l’eau, du jamais-vu. Les niveaux d’alerte sont recensés sur le site Propluvia.

Une situation qui a des conséquences sur tout l’environnement : « Les précipitations estivales servent à maintenir l’humidité des sols superficiels, à maintenir la végétation », explique Christian Veil, qui observe notamment « des arbres qui souffrent tellement de la chaleur qu’ils perdent leurs feuilles ».

Une autre conséquence concerne le fonctionnement de centrales nucléaires.

Plus généralement cela pose la question d’une autre politique de la gestion de l’eau et de son utilisation.

L’agriculture est la première activité consommatrice d’eau avec 45 % du total, devant le refroidissement des centrales électriques (31 %), l’eau potable (21 %) et les usages industriels (4 %).

Pour les usages domestiques, dans la cuisine, le lave-vaisselle consomme entre 10 et 20 litres par lavage alors que faire la vaisselle à la main demande en moyenne presque 50 litres.

Mais le vrai problème est l’utilisation de l’eau  potable tous les usages y compris non alimentaires. La question d’un double réseau l’un potable, l’autre potable se posera un jour ou l’autre

 

Déficit commercial record

 Déficit commercial record 

La balance commerciale française, véritable thermomètre de la compétitivité d’un pays, enregistre un déficit record en mai.Le déficit commercial atteint en mai 13,1 milliards d’euros, contre 12,4 milliards en avril. C’était, déjà, le pire déficit jamais atteint par le pays. Il s’élève à 113, 9 milliards d’euros en cumul sur douze mois glissants, indiquent les Douanes ce vendredi.

En cause,la progression des importations à un rythme « soutenu », jusqu’à 60,7 milliards d’euros, contre des exportations qui augmentent seulement au même rythme que le mois précédent, à 47,6 milliards d’euros. Et  flambée du coût de l’énergie atteint des sommets. Les importations énergétiques enregistrent une hausse de 0,50 milliard d’euros.

La France n’est pas la seule à payer les conséquences de la hausse des prix de l’énergie. En juin, l’Allemagne a ainsi connu son premier déficit commercial depuis des années. En Italie, il grimpe aussi, atteignant 3,66 milliards d’euros en avril.

Hors énergie, le solde extérieur des biens français est toutefois quasiment stable (+0,1 milliard), et les échanges de biens de consommation et de biens intermédiaires restent « très dynamiques » dans un contexte de hausse des prix des biens échangés, détaillent néanmoins les Douanes.

Du côté de la balance des paiements, qui inclut les échanges de services, le déficit des transactions courantes est ressorti à 3,9 milliards d’euros en mai contre 2,7 milliards d’euros le mois précédent.

 

Impôts fonciers :Augmentation record de 14% à Marseille

Impôts fonciers :Augmentation record de 14% à Marseille

 

Comme souvent la gauche radicale promet beaucoup avant les échéances électorales mais confrontées aux réalités de la gestion pratique la fuite en avant fiscale. C’est le cas à Marseille et sans doute bientôt dans d’autres villes.(La Tribune)

En avril dernier, le conseil municipal de Marseille a voté une augmentation record de 14% de la taxe foncière. La deuxième ville de France espère tirer de cette hausse fiscale 75 millions d’euros de recettes supplémentaires pour faire face, selon elle, au regain d’inflation et à la revalorisation des salaires. 238 propriétaires attaquent cette décision pour en demander l’annulation.

 

L’augmentation de la taxe foncière à Marseille peut-elle conduire des propriétaires dans une situation de précarité ? C’est bien ce que craignent plus de 200 d’entre eux. Selon les informations de La Provence, confirmée par l’AFP, 238 propriétaires ont déposé un recours en justice pour demander l’annulation de l’augmentation de 14% de la taxe foncière à Marseille. Cette hausse, qui concerne quelque 173.000 contribuables propriétaires de leur bien, a été votée lors du conseil municipal du 8 avril dernier.

Les 238 propriétaires attaquent cette décision du conseil municipal « parce qu’à des titres divers, ils sont menacés de précarité », a expliqué à l’AFP leur avocat, Jacques Gobert. Celui-ci s’appuie notamment sur les données de l’Insee, selon lesquelles 8% des propriétaires marseillais vivaient sous le seuil de pauvreté en 2019, c’est-à-dire qu’ils disposaient d’un revenu disponible de moins de 1.100 euros par mois pour une personne vivant seule.

« La hausse de 5,47 points de la taxe foncière sur les propriétés bâties (qui représente en pourcentage une hausse de 14%) », qui s’ajoute à une réévaluation légale forfaitaire de 3,4%,  »implique que les propriétaires disposant d’un bien, bailleurs ou non, auront 17,4% de taxe foncière à payer en plus en 2022 par rapport à 2021″, précise le texte du recours déposé auprès du tribunal administratif de Marseille.

75 millions d’euros de recettes supplémentaires

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L’adjoint à la ville de Marseille en charge des Finances, Joël Canicave, avait justifié cette hausse par des « dépenses nouvelles », notamment « l’augmentation du point d’indice » du traitement des fonctionnaires et  »le prix de l’énergie », lors d’une interview à La Provence le 4 avril.

« Fin 2021, la facture de chauffage et de carburant a déjà augmenté de 12 millions d’euros », expliquait l’adjoint en charge des Finances. Doit s’y greffer une hausse du point d’indice du traitement des fonctionnaires promise par l’actuel gouvernement et évaluée à 20 millions d’euros qui s’ajoute à une perte de 14 millions d’euros de revenus due à la suppression de la taxe d’habitation.

La municipalité de gauche, endettée à hauteur de 1,45 milliard d’euros, attend quelque 75 millions d’euros de recettes supplémentaires de cette hausse de la fiscalité.

Un « racket local »

« A quelques jours du vote, la municipalité parlait de tout sauf de la hausse de cette taxe » qui s’est faite  »en catimini » selon Jacques Gobert, alors qu’il s’agit d‘ »une hausse totalement inédite à Marseille ». C’est  »un racket local », dénonce-t-il encore.

Cette augmentation s’est faite  »de façon trop brutale »« tout le monde a été mis devant le fait accompli sans aucune concertation », estime de son côté Auguste Lafon, le président de la Chambre syndicale des propriétaires et copropriétaires des Bouches-du-Rhône et du Var, qui compte environ 5.000 adhérents directs et fait partie des requérants.

L’augmentation, qu’il aurait aimé voir étalée dans le temps,  »touche tout le monde de la même façon mais l’incidence est beaucoup plus forte sur les petits contribuables », notamment les retraités modestes,  »et les primo-accédants », a-t-il complété. Contactée par l’AFP, la mairie de Marseille n’a pas réagi pour le moment.

Législatives : vers une abstention record ?

 

Législatives : vers une abstention record ?

 

D’une manière générale , la plupart des Français sont assez indifférents à l’égard de la campagne électorale des législatives. Pire ils sont assez désabusés , plus de 60 % ne croient ps à une perspective de changement. Du coup,  les législatives prochaines pourraient enregistrer  un nouveau record d’abstention. C’est abstention pourrait peser lourdement sur les résultats et notamment menacer sérieusement la majorité absolue qu’espère Macron.Selon la dernière enquête d’Ipsos Sopra-Steria pour le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès et Le Monde publiée mercredi, l’abstention pourrait atteindre dimanche entre 52% et 56%, avec un point moyen à 54%, très au-delà des 51,3% du 11 juin 2017, précédent record pour un premier tour de législatives.

Une estimation convergente avec celle des autres instituts de sondage et qui confirme que, malgré les appels aux urnes des politiques, cette élection peine à intéresser les Français. Selon l’étude d’Ipsos, cet intérêt a même baissé de quatre points en trois semaines (70% contre 74%).

, Bernard Sananès, président de l’institut de sondage Elabe, confirme que « cette campagne ne passionne pas les Français » puisque « selon un sondage récent 4 personnes sur 10 qui disaient suivre cette campagne et 1 sur 2 qui déclaraient s’intéresser vraiment aux législatives. »

Selon lui, ce désamour peut s’expliquer plusieurs points: « la désaffection pour la politique que l’on enregistre maintenant à tous les scrutins », la date du scrutin, « les législatives suivent les présidentielles, les électeurs ont le sentiment que tout est joué », mais aussi « le fait que dans les grandes circonscriptions, on ne connaît pas son député. »

 

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