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Réconcilier démocratie et efficacité de l’action !!!

 Réconcilier démocratie et efficacité de l’action !!!

 

65 parlementaires, élus locaux, citoyens engagés en faveur d’un second mandat d’Emmanuel Macron, emmenés par le député LRM Gilles Le Gendre, détaillent dans une tribune au « Monde », leurs propositions pour « ramener les Français aux urnes», reposant notamment sur la participation citoyenne et une « clarification des responsabilités » entre les acteurs publics.

 

Un article qu’on peut soutenir sur le fond. On peut cependant douter de la légitimité des auteurs  qui n’ont même pas été capables de construire un vrai parti démocratique e n le remplaçant par un cercle parisien d’oligarques. Des responsables qui au contraire ont chaque fois que c’était possible shunté les organisations intermédiaires représentatives. Une curieuse conception de la participation. NDLR

 

Tribune. «

 

 Nous sommes arrivés à un point extrême où il faudra mettre fin aux spéculations et recréer un ordre social. Quelqu’un tranchera le nœud gordien. La question est de savoir si ce sera en imposant une discipline démocratique garante des libertés ou si quelque homme fort et casqué tirera l’épée comme Alexandre. » Ainsi s’exprimait Georges Pompidou, dans Le Nœud gordien (1974). Après huit mois de travaux et près de quarante auditions, c’est le même sentiment d’urgence qui anime les membres du Défi démocratique, le cercle de réflexion de la majorité présidentielle que nous représentons ici : au cours de son second mandat, Emmanuel Macron devra trancher le nœud gordien démocratique.

Il n’en va pas uniquement de la réinvention d’une démocratie ébranlée, en Europe et dans le monde, par ses difficultés à défendre ses valeurs fondamentales face aux bouleversements mondiaux. Ne serait-ce que cette mission, elle justifierait le « pacte de refondation démocratique » que nous proposons de passer avec les Françaises et les Français en 2022, et que le président de la République est le plus crédible pour incarner. Ce pacte prolongera, sur une plus grande échelle, les actions déjà réalisées (confiance dans la vie politique, évolution du Conseil économique, social et environnemental, réforme de la haute fonction publique, baromètres de l’action publique…). Avec une ambition : ramener aux urnes nos concitoyens qui s’en sont éloignés et stopper l’inquiétante spirale de défiance qui rend caduc tout projet collectif.

Car l’enjeu est encore plus décisif. Les trois grandes crises qu’a traversées notre pays – « gilets jaunes », retraites, Covid-19 – ont souligné que l’essoufflement démocratique privait aussi de leur oxygène vital ses nécessaires transformations. Si notre majorité veut continuer de réarmer la confiance du peuple dans le progrès et en lui-même, elle ne pourra faire seulement vibrer la corde économique et sociale qui est sa marque de fabrique. Les succès enregistrés dans ce domaine ne suffisent pas. Nous devons y ajouter une réponse plus strictement politique et de vaste ampleur.

 

Réconcilier « légitimité du pouvoir » et « efficacité de l’action ». C’est sur ces deux piliers qu’il nous faut construire ce « pacte ». Tâche tout indiquée d’une campagne électorale. Chaque Français devrait être un citoyen (acteur responsable de la démocratie) avant d’être un client (usager exigeant des services publics). Or cette hiérarchie est en train de s’inverser, sapant les fondements traditionnels de la citoyenneté au profit d’un dangereux fractionnement de la nation et d’un droit permanent à l’objection de conscience.

Réconcilier jeunesse et vie politique ?

Réconcilier jeunesse et vie politique ?

 

Outre une modernisation indispensable du système électoral, les membres du cercle de réflexion Le Défi démocratique, qui réunit experts et élus ,très proches de Macron , détaille, dans une tribune au « Monde », quatre axes (les institutions, la relation entre l’Etat et les territoires, l’action des administrations et le contrat social) sur lesquels travailler pour reconnecter la jeunesse à la vie politique.

 

Tribune.

Sonner l’alerte ! Si les résultats des élections régionales et départementales n’avaient qu’un seul mérite, il serait de mettre fin aux ritournelles éplorées mais stériles qui accompagnent la montée de l’abstention, pour forcer l’ensemble de la classe politique de notre pays à reconquérir, dans l’action, le cœur de nos concitoyens.

Le Défi démocratique, le cercle de réflexion que nous représentons, a été créé à cette fin : engager un travail sur la crise de la démocratie, loin des préjugés, fondé sur l’audition de responsables politiques et d’experts et sur la comparaison avec les Etats étrangers, fidèle à l’esprit de progrès qui anime le macronisme.

 

Nous saluons aussi l’initiative de Richard Ferrand d’installer, au sein de l’Assemblée nationale qu’il préside, une mission d’information sur l’abstention. Elle a été précédée par la décision de confier à l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information un rapport sur la généralisation des machines à voter, qui sera disponible à la fin de l’année 2021. Le mal est si profond qu’il n’y aura jamais trop de docteurs au chevet de notre démocratie.

 

Seuls les professionnels du déni auront été surpris de l’abstention des récents dimanches du 20 et 27 juin. Tous les scrutins locaux annonçaient ce nouveau record, autour de 66 %. Mais la désertion quasi totale des urnes par les jeunes, neuf sur dix des 18-24 ans n’ayant pas pris part au vote, confère au phénomène général un surcroît de violence. La démocratie pas plus que le peuple ne se saucissonne.

Il n’est pourtant pas inintéressant de faire des générations dont nous avons la responsabilité de construire l’avenir, le groupe témoin de la crise de défiance qui, lentement mais sûrement, s’attaque aux fondations de notre pays. Les jeunes sont aux avant-postes de ce qui est tout sauf un accident, mais la manifestation d’une sécession silencieuse, un dernier avertissement sans frais.


Il n’y a rien de plus faux de prétendre que, parce qu’ils votent de moins en moins, ils ne s’intéresseraient plus à la politique. La réalité est plus inquiétante : un abîme s’est creusé entre les valeurs qui les animent, très affirmées notamment en termes de justice, de solidarité, d’engagement concret dans la vie de la cité, d’environnement, et l’offre politique que nous leur proposons.

 

Cette déconnexion les incite à chercher d’autres manières de s’impliquer dans le débat public, plus en phase avec leur quête de sens : associations, comités de quartier… Sans oublier le service national universel (SNU), inventé par le président Macron, dont le succès inflige un démenti cinglant à la thèse d’une génération perdue pour la cause publique.

 

Une appréciation sur le service national universel qui discrédite malheureusement une grande partie de la réflexion  précédente NDLR

 

 

Programme PS : Réconcilier l’écologie et le social avec des taxes !

 Programme PS : Réconcilier l’écologie et le social avec des taxes !

 

 

Le philosophe Raphaël Glucksmann, la tête de liste du Parti socialiste et de Place Publique se propose de réconcilier l’écologie et le social avec des taxes. Finalement il reprend les thèses des écolos et des socialistes concernant leur transition écologique mise en place d’ailleurs par François Hollande et repris à son compte avec les déboires que l’on sait  par Emmanuel Macron.  On voit mal comment la réconciliation pourrait avoir lieu entre les couches sociales défavorisées qui subissent principalement les effets d’une hausse de la fiscalité et la gestion d’une transformation environnementale. On sait en effet que l’impôt ne résout rien, qu’il va rejoindre le puits sans fond du budget. À peine 20 % des nouvelles taxes dites environnementales vont effectivement en direction des actions écologiques. L’axe majeur de la transition doit passer par une politique de l’offre et de normes. Pour parler clair, par exemple en transport il faut imposer des normes qui réduisent de manière drastique les émissions polluantes et parallèlement offrir des solutions de transport alternatives. Et ce n’est pas parce que la taxe aura une dimension européenne qu’elle sera pour autant plus pertinente.  En vue des élections européennes, le candidat socialiste a détaillé  son programme dans le JDD et défend, entre autres, l’idée d’une fiscalité européenne au service de la transition écologique. Un impôt européen sur les bénéfices des sociétés et une taxe sur le kérosène sur les vols intra-européens doivent ainsi permettre de dégager « 1.000 milliards d’euros sur cinq ans ». « Assumons d’augmenter largement le budget de l’Europe, nous sommes les seuls à le faire, martèle le candidat. Tant pis si c’est impopulaire. » En gros toujours la philosophie socialiste des impôts, encore des impôts. Certes élargir certaines problématiques au plan européen peut être utile voire indispensable mais le transfert de gestion à l’Europe peut aussi traduire en vérité l’incapacité des dirigeants de ce pays à gérer les réformes. Pour preuve la déclaration du candidat du PS aussi générale que confuse, Raphaël Glucksmann propose en effet   »donner à l’Europe les moyens de faire ». Sur la question démocratique, il plaide ainsi pour « un budget conséquent et un service public européen élargi ». Tout cela sent l’approximation et les vieilles recettes qui ont tué les socialistes pour s’être coupé des couches populaires qui subissent les folies de l’emballement fiscal. Notons que ces propositions sont faites au moment où le carburant retrouve les niveaux les plus hauts qui ont déclenché le mouvement des gilets jaunes. Et le PS propose d’y ajouter encore des taxes !

PS : Réconcilier l’écologique et le social avec des taxes !

PS : Réconcilier l’écologique et le social avec des taxes !

 

 

Le philosophe Raphaël Glucksmann, la tête de liste du Parti socialiste et de Place Publique se propose de réconcilier l’écologie et le social avec des taxes. Finalement il reprend les thèses des écolos et des socialistes concernant leur transition écologique mise en place d’ailleurs par François Hollande et repris à son compte avec les déboires que l’on sait  par Emmanuel Macron.  On voit mal comment la réconciliation pourrait avoir lieu entre les couches sociales défavorisées qui subissent principalement les effets d’une hausse de la fiscalité et la gestion d’une transformation environnementale. On sait en effet que l’impôt ne résout rien, qu’il va rejoindre le puits sans fond du budget. À peine 20 % des nouvelles taxes dites environnementales vont effectivement en direction des actions écologiques. L’axe majeur de la transition doit passer par une politique de l’offre et de normes. Pour parler clair, par exemple en transport il faut imposer des normes qui réduisent de manière drastique les émissions polluantes et parallèlement offrir des solutions de transport alternatives. Et ce n’est pas parce que la taxe aura une dimension européenne qu’elle sera pour autant plus pertinente.  En vue des élections européennes, le candidat socialiste détaille son programme dans le JDD et défend, entre autres, l’idée d’une fiscalité européenne au service de la transition écologique. Un impôt européen sur les bénéfices des sociétés et une taxe sur le kérosène sur les vols intra-européens doivent ainsi permettre de dégager « 1.000 milliards d’euros sur cinq ans ». « Assumons d’augmenter largement le budget de l’Europe, nous sommes les seuls à le faire, martèle le candidat. Tant pis si c’est impopulaire. » En gros toujours la philosophie socialiste des impôts, encore des impôts. Certes élargir certaines problématiques au plan européen peut être utile voire indispensable mais le transfert de gestion à l’Europe peut aussi traduire en vérité l’incapacité des dirigeants de ce pays à gérer les réformes. Pour preuve la déclaration du candidat du PE aussi générale que confuse, Raphaël Glucksmann propose

Souhaite en effet   »donner à l’Europe les moyens de faire ». Sur la question démocratique, il plaide ainsi pour « un budget conséquent et un service public européen élargi ». Tout cela sent l’approximation et les vieilles recettes qui ont tué les socialistes pour s’être coupé des couches populaires qui subissent les folies de l’emballement fiscal.

Réconcilier l’écologique et le social » (PS)…… avec des taxes !

Réconcilier l’écologique et le social »  (PS)…… avec des taxes !

 

 

Le philosophe Raphaël Glucksmann, la tête de liste du Parti socialiste et de Place Publique se propose de réconcilier l’écologie et le social avec des taxes. Finalement il reprend les thèses des écolos et des socialistes concernant leur transition écologique mise en place d’ailleurs par François Hollande et repris à son compte avec les déboires que l’on sait  par Emmanuel Macron.  on voit mal comment la réconciliation pourrait avoir lieu entre les couches sociales défavorisées qui subissent principalement les effets d’une hausse de la fiscalité et la gestion d’une transformation environnementale. On sait en effet que l’impôt ne résout rien, qu’il va rejoindre le puits sans fond du budget. À peine 20 % des nouvelles taxes dites environnementales vont effectivement en direction des actions écologiques. L’axe majeur de la transition doit passer par une politique de l’offre et de normes. Pour parler clair, par exemple en transport il faut imposer des normes qui réduisent de manière drastique les émissions polluantes et parallèlement offrir des solutions de transport alternatives. Et ce n’est pas parce que la taxe aura une dimension européenne qu’elle sera pour autant plus pertinente.  En vue des élections européennes, le candidat socialiste détaille son programme dans le JDD et défend, entre autres, l’idée d’une fiscalité européenne au service de la transition écologique. Un impôt européen sur les bénéfices des sociétés et une taxe sur le kérosène sur les vols intra-européens doivent ainsi permettre de dégager « 1.000 milliards d’euros sur cinq ans ». « Assumons d’augmenter largement le budget de l’Europe, nous sommes les seuls à le faire, martèle le candidat. Tant pis si c’est impopulaire. » En gros toujours la philosophie socialiste des impôts, encore des impôts. Certes élargir certaines problématiques au plan européen peut être utile voire indispensable mais le transfert de gestion à l’Europe peut aussi traduire en vérité l’incapacité des dirigeants de ce pays à gérer les réformes. Pour preuve la déclaration du candidat du PE aussi générale que confuse, Raphaël Glucksmann propose

Souhaite en effet   »donner à l’Europe les moyens de faire ». Sur la question démocratique, il plaide ainsi pour « un budget conséquent et un service public européen élargi ». Tout cela sent l’approximation et les vieilles recettes qui ont tué les socialistes pour s’être coupés des couches populaires qui subissent les folies de l’emballement fiscal.

Réconcilier « deux France »(Montebourg) …comme Macron !

Réconcilier « deux France »(Montebourg) …comme Macron !

 

 

 

D’une certaine manière Montebourg tente de marcher dans les pas de Macron en affirmant qu’il veut réconcilier les deux France celle qui perd et celles qui gagnent. Finalement comme Macron qui  déclare « ni droite, ni gauche » pour la modernité pour la modernité. Montebourg a sans doute pris conscience de l’impact médiatique de la démarche de macro, qui incarne à la fois la jeunesse et la modernité. Seul détail Montebourg s’affirme clairement de gauche, en tout cas nettement plus nettement que Macron. Pour le reste Montebourg demeure relativement flou quant à ses orientations, Il annonce seulement qu’il « proposera dans les mois qui viennent de construire un grand projet alternatif pour la France ». Il s’est adressé aux « économistes, aux entrepreneurs et aux syndicalistes, (…) aux citoyens engagés et tout simplement aux Français qui souhaitent peser sur le destin de notre nation et de notre continent ». Des propos déjà entendus et qui ne brille pas par leurs originalités. Montebourg parle de projet alternatif mais sans grande indication sur son contenu. Ce « projet alternatif » vise à réconcilier « les deux France: la France qui va bien et la France qui va mal ». « Chacune de ces deux France devra être entendue, mais aucune des deux ne devra éviter des concessions à l’autre. Il s’agit de construire des compromis gagnants pour tous (…) Ce projet devra s’inspirer de certaines valeurs. Il ne niera certainement pas ce que nous sommes, nous qui sommes des hommes et des femmes de gauche », a-t-il déclaré. Arnaud Montebourg s’est également amusé à attaquer le gouvernement de Manuel Valls en rappelant ce qu’est « être de gauche ». « Etre de gauche », c’est « considérer que le pouvoir politique doit être parfois supérieur au pouvoir économique, (…) être de gauche, c’est avoir à cœur de défendre sans relâche nos libertés ».z sur ses orientations Montebourg l’est aussi sur sa candidature. Ceux qui attendaient une déclaration de candidature ont été pour leurs frais, Arnaud Montebourg n’a rien dit de tel. Il n’empêche, l’ancien trublion des gouvernements de Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls s’est une nouvelle fois démarqué de la ligne politique de François Hollande. Mais, le Président de la République n’ayant toujours pas annoncé officiellement son intention de se présenter à sa succession en 2017, Arnaud Montebourg ne peut pas se déclarer officiellement candidat sans prendre le risque d’être accusé de diviser le parti. Toutefois, le 8 mai dernier sur France 2, Arnaud Montebourg a ainsi déclaré qu’il serait attentif « s’il y a des responsabilités à prendre », tout en estimant que « le moment n’était pas venu ».

 

(Avec avec Reuters et AFP)




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