Archive pour le Tag 'récompensé'

Rugby : Antoine Dupont, encore récompensé, veut encore gagner des challenges

Rugby :  Antoine Dupont, encore récompensé, veut encore gagner des challenges

Antoine Dupont : «Je n’ai que 27 ans et il me reste encore des choses à gagner» ( dans le Figaro)

Pour la 3e fois en quatre ans, vos pairs vous ont désigné Meilleur joueur de la saison de Top 14 et, pour la 4e fois, Meilleur international français. C’est devenu une habitude ?
Antoine Dupont : C’est le quatrième ? Je ne sais pas, je n’ai pas compté mais oui, je sais que ça commence à faire beaucoup. On peut dire que c’est redondant, mais il faut mesurer la chance que l’on a de remporter des trophées, que ce soit individuels ou collectifs. On sait la difficulté de remporter le fameux bouclier de Brennus. On s’entraîne au quotidien pour y arriver mais d’autres le font aussi et n’ont pas l’occasion de soulever un trophée à la fin de la saison. Il faut donc mesurer cela, être conscient du travail qu’il faut continuer à effectuer pour continuer à gagner. On sait que c’est le plus dur, on l’a expérimenté ces dernières saisons. Mais c’est toujours plaisant de se passer des soirées comme celle-là.

 

Champion d’Europe et de France avec le Stade Toulousain ; champion olympique avec l’équipe de France à 7. Vous rendez-vous compte de ce que vous avez accompli la saison dernière ?


C’est toujours dur de se rendre compte, de mesurer les choses qu’on fait. On s’entraîne au quotidien pour vivre des moments comme ça. On a eu la chance de vivre des émotions incroyables avec Toulouse, et cette médaille olympique, je n’en parle même pas. Après, je pense qu’il vaut mieux continuer de regarder devant. On a une génération encore jeune et ambitieuse et on a tout intérêt à regarder devant plutôt que derrière, que ce qu’on a accompli. Ça n’aurait pas trop d’intérêt dans notre quotidien…. Donc, oui, on s’est rendu compte qu’on a fait quelque chose de grand cette année. Mais, comme je disais, je n’ai que 27 ans et il me reste encore des années de carrière et des choses à gagner.

 

On peut dire que j’ai pris un risque. Mais je pense qu’un des plus grands risques, c’est de ne jamais en prendre. Je pense que c’est lié à l’ADN du rugby français et, surtout, du Stade toulousain… Pendant ces Jeux, des joueurs de France 7 que personne ne connaissait se sont révélés être des athlètes et des joueurs incroyables. Ils ont eu un coup de projecteur et une lumière sur eux qu’ils méritaient mais qu’ils n’avaient pas depuis plusieurs saisons. Si j’ai pu permettre ça, tant mieux. Mais c’est aussi grâce à eux.

On vous a récemment aperçu à l’entraînement avec le Stade Toulousain alors que vous êtes encore en vacances. Ça vous démange de revenir sur le terrain ?


Je commence à repointer le bout de mon nez pour ne pas trop perdre non plus. Ça me donne envie de revenir avec les copains. J’étais hypercontent de retrouver le groupe, l’ambiance, la vie de groupe au quotidien. C’est aussi pour cela qu’on fait ce sport. Cet esprit d’équipe qu’on a à Toulouse, c’est ce qui nous motive à venir nous entraîner chaque jour.

À quelle date votre retour est-il prévu ?
Là, dans les prochaines semaines. Je devrais être de retour début octobre pour la compétition.

 

Foot Lens: Un résultat heureux qui récompense le méritoire public

Foot Lens: Un résultat heureux qui récompense le méritoire public

Un résultat sans doute un peu heureux en regard de la prestation des joueurs de Lens en ligue des champions. Ce qui leur permettra de continuer une aventure européenne. Un résultat qui récompense surtout l’enthousiasme et la fidélité d’un public tout à fait exceptionnel qui a toujours suivi son équipe même lorsqu’elle se trouvait en ligue 2.

Pendant l’intégralité du match, les Lensois ont subi. Dans le sillage du match à Arsenal, ils ont été dominés, territorialement, techniquement et dans l’engagement.( Et ce qui traduit aussi la différence entre certains championnats européens au-dessus et la ligue française) . Le club artésien n’avait besoin que d’un nul pour être reversé en Ligue Europa, le Séville FC avait besoin d’une victoire pour dépasser Lens à la 3e place, et pendant près d’une heure, cela a sauté aux yeux. Il a fallu la claquette de Brice Samba sur la frappe lointaine d’Ivan Rakitic pour que le score ne reflète pas cette domination andalouse (29e).

Nobel d’économie: la récompense à Claudia Goldin pour ses travaux sur les inégalités au travail hommes femmes

Nobel d’économie: la récompense à Claudia Goldin pour ses travaux sur les inégalités au travail hommes femmes

Cette professeure à Harvard, âgée de 77 ans, et spécialiste du travail et de l’histoire économique a « fait progresser notre compréhension de la situation des femmes sur le marché du travail », a annoncé le jury Nobel.

La nomination de cette économiste porte aussi un fort message politique du jury Nobel sur la considération des femmes dans l’économie.

« Les recherches de Claudia Goldin nous ont donné un aperçu nouveau et souvent surprenant du rôle historique et contemporain des femmes sur le marché du travail », a précisé le jury, soulignant qu’« elle a mis en évidence les principaux facteurs de différences entre les hommes et les femmes » et comment ils ont évolué lors des deux derniers siècles au fur et à mesure de l’industrialisation, avec un déclin du travail des femmes au cours du XIXème siècle.

« Les grands sujets (pour les droits des femmes) diffèrent entre les pays », a-t-elle expliqué. « Aux Etats-Unis, par exemple, nous nous demandons pourquoi nous stagnons, pourquoi la participation des femmes au marché du travail reste constante depuis les années 1990 et ne commence à progresser que maintenant ». « Le niveau d’éducation des femmes a tellement augmenté, mais à beaucoup d’endroits, leur paye et leur grade (hiérarchique) n’a pas progressé », a-t-elle encore relevé.

Bezos récompensé en Allemagne : pour ses bas salaires ?

Bezos récompensé en Allemagne : pour ses bas salaires ?

 

 

Il faut quand même être gonflé pour récompenser Jeef Bezos, patron d’Amazon, qui d’une part colonise l’économie européenne, d’autre part est aussi le champion des bas salaires, en moyenne autour de 700 euros. Il faut dire que le patron Amazon possède aussi l’un des journaux les plus influents en Allemagne !   »Nous avons un problème international, nous avons un patron qui veut dans le monde entier américaniser les conditions de travail. Cela signifie un retour (aux conditions du travail) du XIXe siècle », a dénoncé Frank Bsirske, le dirigeant de Verdi, principal syndicat allemand des services, lors du rassemblement devant le siège du puissant groupe de presse allemand Axel Springer. C’est une « provocation » de la part d’Axel Springer de lui remettre ce prix, a-t-il encore estimé. Munis de sifflets, de tambours et de pancartes proclamant « Make Amazon pay » (« Faites payer Amazon »), les salariés – entre 750 et 800 selon Verdi- ont bruyamment manifesté alors que le dirigeant du géant américain, Jeff Bezos, l’homme le plus riche du monde, devait recevoir le Prix 2018 Axel Springer. Cette récompense est décernée à des personnalités qui font montre d’innovation par le groupe qui détient notamment le quotidien le plus lu en Allemagne, Bild. Les manifestants sont venus de six sites du groupe en Allemagne, selon le syndicat des services allemand Verdi, ainsi que de Pologne et d’Italie où la grogne parmi les salariés qui dénoncent leurs conditions de travail ne cesse de monter.La dirigeante du Parti social-démocrate (SPD, partenaire de coalition d’Angela Merkel), Andreas Nahles, a jugé que M. Bezos « ne méritait aucun prix » en raison notamment des mauvaises conditions de travail sur les sites du groupe en Allemagne. Le syndicat français CFDT a fait savoir que ce rassemblement berlinois visait notamment à « dénoncer les pratiques hors-la-loi et les conditions de travail désastreuses » des salariés du groupe.

 

Prix de l’Humour politique : Nicolas Sarkozy récompensé , c’est de l’humour ?

Prix de l’Humour politique : Nicolas Sarkozy récompensé , c’est de l’humour ?

On se demande si ce n’est pas de l’humour de la part d’un  jury un peu nécrosé. . Sarko prix de l’humour ! Pas vraiment sa caractéristique. Un seul exmple sa dernière déclaration «  je souhaite que la France sorte de la médiocrité » , ça c’est du deuxième ou troisième degré. Nicolas Sarkozy a en tout cas remporté mardi le prix de l’Humour politique 2015 pour sa petite phrase prononcée à l’encontre de François Bayrou dans une interview au Journal du Dimanche en avril.  L’ancien président Nicolas Sarkozy a remporté mardi le Grand Prix 2015 du « Press Club, Humour et Politique » pour sa petite phrase prononcée dans une interview au JDD : « Pour désespérer de François Bayrou, encore faudrait-il que j’aie un jour placé de l’espoir en lui ». Ce prix, créé en 1988 et décerné par un jury de journalistes et d’humoristes présidé par Jean Miot, ancien PDG de l’AFP, devait être remis mardi soir au Press Club de France à Paris. Le président du parti Les Républicains succède au palmarès à l’ex-Premier ministre Alain Juppé qu’il affrontera aux primaires de la droite pour la présidentielle de 2017 et qui avait remporté le prix en 2014 pour avoir dit : « En politique, on n’est jamais fini. Regardez-moi! » Un Prix exceptionnel est décerné au président François Hollande pour l’ensemble de ses « hollanderies », parmi lesquelles le jury a retenu : « Il n’y a rien de plus terrible pour un soldat déjà anonyme que de mourir inconnu », « Je demande aux Français de ne pas aller dans les zones à risques parce que c’est dangereux », « Il y a ceux qui n’attendent plus rien ; je fais en sorte de leur apporter ce qu’ils attendent », « Il y a aussi le défi de la mondialisation, parce que le monde n’est pas facile, et parfois, il n’est pas gentil ». Le Prix spécial du jury a été décerné à l’ancien Premier ministre François Fillon pour avoir dit: « Avant de juger les propositions d’Emmanuel Macron, je vais attendre qu’elles soient abandonnées ». Autres prix attribués : celui de l’encouragement à Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication, pour sa boutade liée à la primaire socialiste de 2011 (« Avec 5% on finit Premier Ministre, avec 17% on finit chez Habitat », allusion aux scores respectifs de Manuel Valls et d’Arnaud Montebourg), celui des internautes au député PS Patrick Mennucci pour « Guerini dit qu’il n’est ni de droite ni de gauche ; alors il est forcément du Milieu » et celui de la presse hebdomadaire régionale au leader du Parti de gauche Jean-Luc Mélenchon pour « Ils peuvent toujours nommer Donald (Tusk ndlr) à l’Europe ; c’est quand même Picsou qui commande ». Enfin un prix spécial « para-politique » revient à Dodo La Saumure pour: « Certes, DSK ternit un peu ma réputation ». Dans la catégorie tweet politique, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis a obtenu le Grand prix pour son message: « Compte#pénibilité : Simplifier sans reculer, c’est avancer ! ». Le Prix de l’encouragement est revenu à François Bayrou (MoDem), maire de Pau, pour son tweet: « Si on n’a pas compris que Pau est une capitale, on n’a rien compris ».

 

Le « pain au chocolat » Copé récompensé

Le «  pain au chocolat » Copé récompensé

Enfin un prix pour Copé justement récompensé  pas pour ses performances en matière de fraude électorale à l’ UPM , ni par l’académie de la patisserie mais  pour sa fable du pain au chocolat volé à la sortie de l’école (alors que l’école était fermée) par un musulman (un jour de ramadan).  Jean-François Copé a ainsi reçu le prix « Territoires perdus de la République » pour avoir évoqué des « quartiers » où, selon lui, un collégien peut se faire arracher un « pain au chocolat par des voyous qui lui explique qu’on ne mange pas pendant le ramadan ». Véronique Genest a pour sa part écopé de la banane d’or « Super patriote » pour s’être déclarée « islamophobe » et avoir qualifié l’islam de « dangereux pour notre démocratie ». Autre lauréat: le député UMP du Var Jean-Sébastien Viallate qui avait estimé sur twitter: « Les casseurs sont sûrement des descendants d’esclaves, ils ont des excuses # Taubira va leur donner des compensations » après les violences sur le Trocadéro en marge du sacre du PSG.  Un prix revient à la philosophe Elisabeth Badinter, qui a déploré « l’entrisme de ces islamistes dans des crèches de quartier » après l’annulation par la Cour de cassation d’une employée voilée de la crèche Baby Loup. Franck Tanguy, chroniqueur sur RMC, est épinglé pour avoir déclaré lors des Grandes Gueules: « Très franchement, quand je vois un barbu en djellaba qui traverse au feu rouge, j’ai envie d’accélérer. » Enfin, une banane d’or échoit à l’éditorialiste Elisabeth Levy « pour l’ensemble de son œuvre » qui « cumule toutes les tares », selon Bader Lejmi. Pour lui, la cérémonie de cette année se distingue des précédentes car « pour la première fois, le gouvernement est de gauche ». Mais « le racisme est toujours aussi normal sous une présidence normale », a-t-il dit. Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls s’est donc retrouvé nommé à deux reprises pour une banane d’or. Mais le jury, parmi lequel figuraient le géopolitologue Pascal Boniface, le journaliste Nadir Dendoune ou encore la championne de boxe et écrivaine Aya Cissoko, ne l’ont pas retenu. Lauréat l’an dernier, le directeur de la rédaction de l’Express, Christophe Barbier, était venu lundi recevoir son prix. « Je pense que cette récompense était un peu injuste mais je suis ravi d’avoir été invité pour exprimer mon point de vue », a-t-il expliqué, malgré les huées que lui a lancées l’assistance. « Les Indivisibles », une association d’une centaine de membres, a été fondée en janvier 2007 en référence au premier article de la Constitution affirmant le principe d’une République « une et indivisible ».

 

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol