Archive pour le Tag 'recevoir'

La dernière hypocrisie de Macron : promulguer la loi avant de recevoir les syndicats

La dernière hypocrisie de Macron : promulguer la loi avant de recevoir les syndicats


C’est évidemment un nouveau pied de nez adressé aux syndicats par Macron qui en urgence veut promulguer la loi de réforme des retraites durant le week-end. Et qui deux jours après proposait de rencontrer les syndicats pour leur parler social.

Une manière évidemment pour lui de tenter de fermer de manière radicale et définitive le dossier des retraites en signifiant aux syndicatx le peu de considération qu’il leur porte.

D’une certaine manière, les syndicats renvoient la balle au président de la république lorsqu’ils avaient demandé à être reçus et que le président leur avait opposé un refus.

Reste que cette invitation de Macron prévue mardi constitue une véritable hypocrisie et une provocation supplémentaire. Malheureusement pour lui, l’affaire de la réforme des retraites est loin d’être enterrée d’une part parce qu’il y a la perspective d’un référendum d’initiative partagée et surtout parce que cela ouvre aussi la perspective de maintenir à l’agenda politique la priorité au dossier des retraites qui restent donc complètement ouvert.

Un dossier qui pourrait par ailleurs- tant qu’il n’est pas complètement bouclé et accepté par les parties- bloquer toutes avancées dans d’autres domaines d’autant que Macron n’a pas résolu le fait qu’il demeure sans majorité politique à l’Assemblée nationale en plus de son discrédit dans l’opinion.

Macron prêt à recevoir les syndicats ! Ou La suprême hypocrisie

Macron prêt à recevoir les syndicats ! Ou La suprême hypocrisie

Il y a quelque chose de surréaliste dans les propos toujours contradictoires du chef de l’État qui pratique « le même temps », c’est-à-dire la politique de slalom dont on ne sait pas où elle va sinon dans le mur. Il y a encore quelques jours alors que l’intersyndicale avait demandé un rendez-vous à l’Élysée, Macon très dédaigneux avait opposé un refus. Cette fois c’est lui qui laisse entendre qu’il serait prêt à recevoir les syndicats après avoir craché dessus notamment sur la CFDT.

Le président de la république et même contraint de faire son mea culpa auprès de Laurent Berger. Un exercice un peu contre nature. Emmanuel Macron a en effet adressé un message à l’attention des représentants syndicaux. Deux jours après avoir déploré que ces derniers – et notamment Laurent Berger – n’aient pas proposé de «compromis», le chef de l’État a «remercié» le patron de la CFDT «de son esprit de responsabilité et de sa volonté d’apaisement que je partage».

Le problème est que la pseudo bonne volonté affichée par ma Macon est une hypocrisie de plus. En effet dans l’hypothèse d’une réception des syndicats, il n’est pas question pour lui qu’on traite de la question centrale de la réforme des retraites mais d’autres sujets sociaux.

Emmanuel Macron se dit ouvert à des sujets précis mais surtout pas à la réforme des retraites. Macon a affirmé être «totalement disponible ainsi que le gouvernement pour avancer» sur une liste de sujets bien précis, à savoir «l’usure professionnelle, les fins de carrière, les reconversions, les conditions de travail, la rémunération dans certaines branches…» Pour ce qui est de la réforme des retraites, celle-ci est «devant le Conseil constitutionnel, et il est évident que nous attendrons la décision du conseil constitutionnel».

Retraite–Borne Refuse de recevoir les syndicats

Retraite–Borne Refuse de recevoir les syndicats

Macron a fait la sourde oreille et Élisabeth Borne refuse tout bonnement de recevoir les syndicats. Bref, sinon l’installation d’une république bananière, la confirmation d’une monarchie qui méprise l’opinion.

La Première ministre, méprisante comme Macron, a aussi souligné que la journée de mobilisation de mardi s’était tenue « avec sensiblement le même nombre de personnes que fin janvier », suscitant un brouhaha sur les bancs de la gauche. Une manière pour Elisabeth Borne de signifier que cette journée, certes importante, n’avait pas été le raz-de-marée annoncé. Une tentative, aussi, de décourager les prochaines, prévues ce samedi puis le jour de la commission mixte paritaire, cette réunion de 7 députés et 7 sénateurs censés essayer de trouver un accord sur un texte commun le mercredi 15 mars.

La stratégie de l’exécutif reste la même : obtenir, outre le vote sur l’article 7 au Sénat, un vote sur l’ensemble du texte, en même temps qu’un essoufflement de la mobilisation et des grèves, que l’inflation rend plus difficiles. En attendant, l’exécutif surveille de près l’appel à la mobilisation ce jeudi des organisations de jeunesse et aussi la grève dans le secteur du pétrole avec des pompes qui commencent à manquer de carburant.

Convention Climat : «Je n’ai de leçons à recevoir de personne» ( Macron)

Convention Climat : «Je n’ai de leçons à recevoir de personne» ( Macron)

La fameuse convention citoyenne composée au hasard  n’a guère apprécié que le chef de l’État n’ait retenu que deux ou trois propositions sur la centaine proposée. Des membres de cette convention se sont même érigés en structure d’opposition pour contester les choix du président de la république. Rappelons qu’avant même le début des travaux de cette commission, le président avait dit qu’ il prendrait en compte la totalité des propositions et sans filtre! À l’occasion de sa dernière intervention Macron a mis les choses au point « J’ai 150 citoyens, je les respecte, mais je vais pas dire, ce qu’ils proposent, c’est la Bible ou le Coran« , s’énerve le président quand on lui explique que la convention sur le climat n’a pas été respectée.

Europe : « Pas de leçon à recevoir de Trump » ( Hollande)

Europe : « Pas de leçon à recevoir de Trump » ( Hollande)

 

 

François Hollande a recadré Trump  après les propos très critiques du nouveau président américain concernant l’union européenne. Un président des États-Unis qui avaient souligné le manque d’implication de certains membres dans la politique de défense de l’OTAN. Un reproche qui  n’est pas totalement faux dans la mesure où l’Europe n’a encore pas pris en main sa propre défense. Mais Trump avait aussi en quelque sorte encouragée l’éclatement de l’union européenne en se félicitant du brexit et en souhaitant que d’autres pays quittent l’union. Par ailleurs Trump avait mis en cause la politique d’immigration de Merkel « l’Europe n’a pas besoin de conseils extérieurs pour lui dire ce qu’elle a à faire », a déclaré Hollande lors de la remise de la Légion d’honneur à l’ambassadrice américaine à Paris, Jane Hartley. Donald Trump a vivement critiqué la politique européenne dans une interview au Bild allemand et au Times britannique dans laquelle il qualifie l’Otan d’ »obsolète » et juge que la politique d’accueil des migrants en Allemagne a été une « erreur catastrophique ». Les relations entre l’Europe et les États Unis « ont toujours été fondées sur des principes et des valeurs » qui s’appellent « le respect, le soutien mutuel en cas de péril, mais aussi l’attachement à la démocratie et la dignité de l’être humain », lui a répondu le président français.François Hollande a également contredit le président élu américain sur l’Otan en estimant que l’Alliance atlantique « ne sera obsolète que lorsque les menaces le seront devenues elles aussi ». « Nous avons aussi à faire comprendre que nous sommes attachés à nos alliances, et que nous sommes aussi capables d’être autonomes sur le plan stratégique, en pleine complémentarité avec l’Otan », a-t-il ajouté. La chancelière allemande Angela Merkel avait auparavant déclaré que l’Europe avait son destin entre « ses propres mains » en réponse à Donald Trump, qui a notamment prédit que des pays européens suivraient l’exemple du Brexit. John Kerry n’a pas hésité à désapprouver les propos de Donald Trump sur la politique migratoire de la chancelière allemande. A rebours du président élu, le secrétaire d’Etat américain a jugé « extrêmement courageuse » la politique d’accueil des migrants et des réfugiés sur le sol allemand mise en oeuvre par Angela Merkel. Ceci étend s’il faut reconnaître que l’imprévisible Trump n’a pas fait dans la dentelle diplomatique, il n’en reste pas moins que sa critique de l’union européenne en particulier en matière de défense n’est pas incomplètement infondée. D’une certaine façon Trump  pourrait cependant rendre service à l’union européenne qui devra nécessairement réagir face aux menaces que laisse planer Trump sur les relations commerciales entre l’Europe et les États-Unis,  aussi en prévision des discussions d’après brexit .

Loi Travail : «Je n’ai de leçon à recevoir de personne» (El Khomri) ….Bah si !

Loi Travail : «Je n’ai de leçon à recevoir de personne» (El Khomri) ….Bah si !  

Sur RTL , la ministre du travail affirme n’avoir DE LEÇON À RECEVOIR DE PERSONNE CONSIDÉRANT QU’ELLE PEUT S’APPUYER SUR LA VISION QU’ELLE A DE LA SOCIÉTÉ. UNE DÉCLARATION SANS DOUTE UN PEU PRÉTENTIEUSE CAR QUELLE PEUT-ÊTRE LA PERTINENCE DE CETTE VISION QUAND ON A FAIT SA CARRIÈRE UNIQUEMENT DANS DES ORGANISMES ADMINISTRATIFS PROCHES DES MILIEUX POLITIQUES ? QUELLE CONNAISSANCE PEUT-ELLE AVOIR DE LA PRODUCTION ? QUELLE CONNAISSANCE DU PRIVÉ QU’Elle  ENTEND RÉGuler ? QUELLE CONNAISSANCE DES RÉALITÉS SOCIAUX ÉCONOMIQUES QUAND ON EST ASSURÉ DE RECEVOIR SON SALAIRE MENSUEL DE LA PART DE L’ÉTAT ? IL N’A ÉCHAPPÉ À PERSONNE QUE LA MINISTRE DU TRAVAIL ÉTAIT BIEN NE INEXPÉRIMENTÉE POUR GÉRER UN TEL DOSSIER, RIEN DANS SON PASSÉ NE LA PRÉDESTINAIT À GÉRER UN PORTEFEUILLE MINISTÉRIEL AUSSI DÉLICAT ;  DU COUP SA DÉCLARATION PARAÎT UN PEU PÉREMPTOIRE SANS DOUTE POUR TENTER D’EXISTER DANS UNE AFFAIRE OÙ ELLE FAIT ESSENTIELLEMENT DE LA FIGURATION PUISQUE LA NÉGOCIATION EST ENTIÈREMENT GÉRÉE PAR MANUEL VALLS.

 

À tout le moins on aurait espéré que la ministre du travail fasse le travail de concertation sur un dossier complexe qui doit évoluer, ce qui au passage lui aurait aussi permis DE FAIRE SA FORMATION. Faut-il rappeler que la même ministre du travail ne savait pas encore il y a QUELQUES SEMAINES COMBIEN DE FOIS ON POUVAIT RENOUVELER UN CDD ! A la veille d’une première mobilisation contre la loi Travail, Myriam El Khomri a soutenu, comme Manuel Valls la semaine dernière, qu’elle « irait jusqu’au bout ». « Mon projet n’est pas mort-né, assure la ministre du Travail ce matin sur RTL. Mon pays a besoin de cette réforme. Le chômage n’a pas bougé depuis vingt ans. Il nous faut désormais trouver un point d’équilibre ».  Quant à la confrontation avec Martine Aubry hier au bureau national du PS, la ministre décrit « trois heures de débats constructifs. Ce n’était pas intimidant. Je n’ai de leçon à recevoir de personne. J’arrive avec ma vision de la société ».  Enfin, Myriam El Khomri a reconnu que les discussions avec les syndicats portent sur deux mesures autour du licenciement. « Les artisans et les commerçants sont réticents à embaucher des CDI parce que les procédures sont trop lourdes et incertaines ».

ArcelorMittal : va recevoir 19 millions pour fermer le site Florange ; motif : non pollution !

ArcelorMittal : va recevoir 19 millions pour fermer le site Florange ; motif : non pollution !

 

 

On monétarisé la pollution, du coup ArcelorMittal va recevoir 19 millions pour non pollution du site de Florange. Une aberration évidemment car l’acier sera fabriqué ailleurs en Asie par exemple où on est moins regardant sur les atteintes à l’environnement.Le site Notre planète.info révèle que le géant franco-indien pourrait continuer à engranger des millions d’euros grâce à la fermeture définitive des hauts-fourneaux lorrains. Pendant que les métallos de Florange remuent ciel et terre pour sauver leur emploi et que l’Etat indemnise leurs périodes de chômage partiel, ArcelorMittal, qui a prévu de fermer les hauts-fourneaux du site en mars 2013, devrait tout de même percevoir ses quotas de permis à polluer. « Lorsqu’une installation a cessé ses activités, l’État membre concerné ne lui délivre plus de quotas d’émission à compter de l’année suivant la cessation des activités », précise en effet la Commission européenne, citée par le site d’informations. Le nouveau plan d’allocation français, pour la période 2013-2020, prévoit ainsi, selon Notre planète.info, un quota gratuit de 3,8 millions de tonnes de CO2 de permis à polluer pour le site de Florange. A environ 5 euros la tonne sur le marché des droits à polluer, cela représente un joli pactole de 19 millions d’euros ! Florange fait en effet partie, explique le site, des quelque 10.000 sites industriels européens qui ont été intégrés au système d’échange de quotas d’émissions de CO2 mis en place en 2005. En fin d’année, si le site industriel dépasse son quota, il doit acheter des « droits à polluer » sur le marché carbone pour compenser ses émissions. Si, à l’inverse, il n’utilise pas tout son quota, il peut engranger et accumuler ses permis d’émissions pour ensuite les revendre à des entreprises qui ont dépassé leurs propres quotas. D’après Notre planète.info, ArcelorMittal n’a pas dépassé son quota annuel en 2009, 2010 et 2011, économisant plusieurs millions de tonnes de CO2. Et ce, en partie grâce à la mise en sommeil de ses hauts-fourneaux de Florange ! Au niveau mondial, ArcelorMittal serait même la compagnie qui a accumulé le plus grand excédent de quotas.

 

 

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