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Croissance économique France : Risques de récession

Croissance économique France : Risques de récession


Alors que l’INSEE et la Banque de France ont encore révisé en baisse leurs prévisions économiques (entre 0,6 et 0,7 % pour le PIB en 2023, pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Croissance: Risques de récession

Croissance: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Perspective économique: Risques de récession

Perspective économique: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Croissance économique: Risques de récession

Croissance économique: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Croissance: Risques de récession

Croissance: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Risques de récession

Croissance Allemagne : en récession

Croissance Allemagne : en récession

Selon l’institut Destatis, la plus première économie d’Europe est entrée en récession technique au premier trimestre 2023, avec une deuxième baisse consécutive de son produit intérieur brut (PIB), plombé par son industrie qui souffre d’une baisse de sa demande, sur fond d’inflation et de hausse des taux d’intérêt. Le PIB de l’Allemagne a chuté de 0,3% entre janvier et mars sur un trimestre, après avoir reculé de 0,5% entre octobre et décembre, en données corrigées des variables de saison et de calendrier.

L’industrie allemande, longtemps dépendante du gaz russe bon marché, a été durement touchée l’an dernier après l’invasion de l’Ukraine par Moscou.

En dépit, de ce ralentissement, le gouvernement allemand reste optimiste, avec une prévision de croissance de 0,4% en 2023. « L’économie a connu une faiblesse hivernale. Mais nous continuons à nous attendre à une nette amélioration au cours de l’année », a assuré à l’AFP le ministère de l’Economie.

Après plusieurs mois de hausse, la production du secteur manufacturier, centrale pour le modèle économique allemand, est repartie à la baisse, chutant de 3,4% sur un mois. La production de véhicules automobiles a notamment diminué de 6,5% et la construction de 4,6%. Les commandes industrielles ont elles aussi rechuté lourdement en mars, de 10,7% sur un mois, du jamais vu depuis le creux de la pandémie. Et les exportations, essentielles pour ce secteur, ont fortement reculé à 5,2%.

La raison de ce retournement est la baisse de la demande, liée à l’inflation, qui reste très élevée à plus de 7% dans le pays malgré une diminution progressive.

« L’effet positif de l’assouplissement des perturbations de la chaîne d’approvisionnement et de la baisse des prix sur les marchés de l’énergie est moins important que la perte de pouvoir d’achat et la politique monétaire restrictive », résumait récemment l’économiste Fritzi Koehler-Geib.

Le moral des entrepreneurs est reparti à la baisse en mai après six mois de hausse, selon le baromètre IFO publié ce mercredi. L’indicateur, réalisé via un sondage mensuel auprès de 9.000 entreprises allemandes, chute de 1,7 point, à 91,7 points.

Croissance mondiale : risque de récession ( Banque Mondiale)

Croissance mondiale : risque de récession ( Banque Mondiale)

 

La  Banque mondiale (BM) a révisé encore fortement mardi ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 ( d’autres révisions en baisse  sont à craindre!).  Elle projette désormais une progression de 1,7% contre 3% en juin dernier, du fait de l’inflation persistante, de la hausse des taux et des effets de la guerre en Ukraine. Par ailluers, elle n’exclut pas un risque de récession mondiale.

En cas de hausse des taux d’un point de pourcentage par les banques centrales au niveau mondial, « la croissance mondiale serait 0,6% moins élevée, ce qui signifie un recul de 0,3% du PIB par habitant », et donc « une récession technique mondiale », a détaillé pour l’AFP Ayhan Kose, directeur du groupe de recherche de la Banque mondiale. Dans ce cas, la décennie 2020 serait la première depuis la Seconde guerre mondiale à être confrontée à deux récessions.

C’est dans les pays développés que le ralentissement sera le plus sensible. L’institution ne prévoit plus que 0,5% de croissance aux Etats-Unis (contre 1,9% en juin dernier) et une croissance nulle dans la zone euro (contre 1,9% également).

Mais les pays émergents ne sont pas non plus épargnés, la croissance chinoise est désormais attendue à 4,3% (0,9 point de pourcentage de moins) et à 2,7% dans les autres pays émergents et développés.

 

Economie-Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

Economie-Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

 

En à peine 6 mois, la Banque mondiale (BM) a révisé fortement mardi ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 ( d’autres révisions en baisse  sont à craindre!).  Elle projette désormais une progression de 1,7% contre 3% en juin dernier, du fait de l’inflation persistante, de la hausse des taux et des effets de la guerre en Ukraine.par ailuers, elle n’exclut pas un risque de récession mondiale.

En cas de hausse des taux d’un point de pourcentage par les banques centrales au niveau mondial, « la croissance mondiale serait 0,6% moins élevée, ce qui signifie un recul de 0,3% du PIB par habitant », et donc « une récession technique mondiale », a détaillé pour l’AFP Ayhan Kose, directeur du groupe de recherche de la Banque mondiale. Dans ce cas, la décennie 2020 serait la première depuis la Seconde guerre mondiale à être confrontée à deux récessions.

C’est dans les pays développés que le ralentissement sera le plus sensible. L’institution ne prévoit plus que 0,5% de croissance aux Etats-Unis (contre 1,9% en juin dernier) et une croissance nulle dans la zone euro (contre 1,9% également).

Mais les pays émergents ne sont pas non plus épargnés, la croissance chinoise est désormais attendue à 4,3% (0,9 point de pourcentage de moins) et à 2,7% dans les autres pays émergents et développés.

 

Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

 

En à peine 6 mois, la Banque mondiale (BM) a révisé fortement mardi ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 ( d’autres révisions en baisse  sont à craindre!).  Elle projette désormais une progression de 1,7% contre 3% en juin dernier, du fait de l’inflation persistante, de la hausse des taux et des effets de la guerre en Ukraine.par ailuers, elle n’exclut pas un risque de récession mondiale.

En cas de hausse des taux d’un point de pourcentage par les banques centrales au niveau mondial, « la croissance mondiale serait 0,6% moins élevée, ce qui signifie un recul de 0,3% du PIB par habitant », et donc « une récession technique mondiale », a détaillé pour l’AFP Ayhan Kose, directeur du groupe de recherche de la Banque mondiale. Dans ce cas, la décennie 2020 serait la première depuis la Seconde guerre mondiale à être confrontée à deux récessions.

C’est dans les pays développés que le ralentissement sera le plus sensible. L’institution ne prévoit plus que 0,5% de croissance aux Etats-Unis (contre 1,9% en juin dernier) et une croissance nulle dans la zone euro (contre 1,9% également).

Mais les pays émergents ne sont pas non plus épargnés, la croissance chinoise est désormais attendue à 4,3% (0,9 point de pourcentage de moins) et à 2,7% dans les autres pays émergents et développés.

Prix de l’électricité en baisse: : récession et climat en cause

Prix de l’électricité en baisse: : récession et climat en cause

Lundi, le prix du gaz a chuté au plus bas depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, avec un mégawattheure (MWh) vendu pour le lendemain à 73 euros après à 300 euros le MWh après l’annonce d’une réduction des livraisons par Moscou.

Pour l’électricité : alors que, le 12 décembre dernier, le MWh de courant s’échangeait à 750 euros pour une moyenne lundi à 170 euros en moyenne.

En cause, la consommation en baisse de l’ordre de 15% cours des six derniers mois . Le résultat d’une baisse de l’activité économique et d’une certaine sobriété
Il faut aussi prendre en compte la météo particulièrement clémente.

Difficile de prévoir l’avenir soumise aux fluctuations météorologiques, à la situation géo politique et à l’énorme spéculation de certains acteurs en particulier sur l’électricité.

La France pourrait se libérer largement des contraintes de cette spéculation si elle parvenait à remettre en marche la totalité du parc nucléaire y compris de Fessenheim. Encore faudrait-il aussi abandonner le système de marché des prix de l’électricité complètement incohérent. Un système imposé par l’Allemagne la commission européenne et qui se fondait sur un pétrole russe bon marché.

Forte baisse des prix de l’énergie : récession et climat en cause

Forte baisse des prix de l’énergie : récession et climat en cause

Lundi, le prix du gaz a chuté au plus bas depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, avec un mégawattheure (MWh) vendu pour le lendemain à 73 euros après à 300 euros le MWh après l’annonce d’une réduction des livraisons par Moscou.

Pour l’électricité : alors que, le 12 décembre dernier, le MWh de courant s’échangeait à 750 euros pour une moyenne lundi à 170 euros en moyenne.

En cause, la consommation en baisse de l’ordre de 15% cours des six derniers mois . Le résultat d’une baisse de l’activité économique et d’une certaine sobriété
Il faut aussi prendre en compte la météo particulièrement clémente.

Difficile de prévoir l’avenir soumise aux fluctuations météorologiques, à la situation géo politique et à l’énorme spéculation de certains acteurs en particulier sur l’électricité.

La France pourrait se libérer largement des contraintes de cette spéculation si elle parvenait à remettre en marche la totalité du parc nucléaire y compris de Fessenheim. Encore faudrait-il aussi abandonner le système de marché des prix de l’électricité complètement incohérent. Un système imposé par l’Allemagne la commission européenne et qui se fondait sur un pétrole russe bon marché.

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation !


C’est un peu la spécialité de la Banque de France à savoir d’une part de se montrer plus optimiste que le pouvoir en matière économique mais le lendemain de corriger à la baisse ses propres prévisions. Ainsi hier la Banque de France n’excluait plus une récession et au mieux une augmentation de la croissance de 0,3 %, un degré de prévision douteux ! Et de prévoir aussi une aggravation du chômage et une inflation aussi forte en 2023 qu’en 2022. Le lendemain c’est-à-dire mardi le gouverneur rééquilibre encore ses pronostics.
Il n’exclut pas une éventuelle récession mais indique sans aucune démonstration que cette récession serait faible et courte.

Exactement les mêmes propos qu’il a tenus, lui et d’autres experts, à propos de l’inflation qui, elle aussi, devait être mesurée mais surtout temporaire et qui en fait continue et s’amplifie.
François Villeroy de Galhau se veut optimiste sur la situation de l’économie française dans les prochains mois. Invité sur BFMTV mardi 20 décembre, le gouverneur de la Banque de France a indiqué que le pays « devrait probablement échapper à la récession ».

Dans ses dernières projections macroéconomiques rendues publiques samedi, la Banque de France estime que l’économie française devrait connaître une croissance faible de 0,3 % l’an prochain du fait de la flambée des prix de l’énergie, avant un rebond modéré de 1,2 % en 2024 et plus soutenu de 1,8 % en 2025.Bref des prévisions type marc de café.

François Villeroy de Galhau voit trois « ères » concernant l’économie française : « Résilience en 2022, ralentissement pour cette année qui va commencer, et puis reprise à partir de 2024 ». « La France devrait probablement échapper à la récession. Je ne peux pas complètement l’exclure, parce qu’il y a beaucoup d’incertitudes », a néanmoins ajouté prudent et contradictoire le gouverneur de la Banque de France.

Le site fib.fr rappelle à juste titre l’illusoire prétention de penser que les discours de politique monétaire peuvent modifier l’évolution de l’économie: Comment, cependant, ne pas se poser la question du risque d’erreur de politique monétaire ? En effet, Christine Lagarde a avancé que « la récession serait courte et modérée » (le rebond des indices préliminaires PMI de décembre en zone euro semble, certes, confirmer cette tendance confortée par une rechute des prix de l’énergie et les mesures budgétaires de soutien ; il en va de même de l’amélioration du climat des affaires en Allemagne selon l’indice IFO sorti ce jour pour le mois de décembre : 88,6 pour le mois en cours, contre 86,4 en novembre et 87,4 pour les anticipations). Or, les tours de vis répétés des banquiers centraux risquent bien de créer une récession plus forte que souhaité et il est permis de douter de leur capacité d’anticipation. Souvenons-nous de la dialectique de Madame Lagarde avec une inflation temporaire, qui dure, puis que l’on annonce comment venant de nulle part. Comment, par ailleurs, croire les yeux fermés au scénario de soft landing ressortant des projections économiques actualisées de la FED lors du dernier FOMC (croissance du PIB réel certes révisée en baisse mais avec un rythme d’activité inchangé de 0,5% ; inflation en voie d’être jugulée avec un indice PCE anticipé à 3,1% fin 2023).

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation !

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation !


C’est un peu la spécialité de la Banque de France à savoir d’une part de se montrer plus optimiste que le pouvoir en matière économique mais le lendemain de corriger à la baisse ses propres prévisions. Ainsi hier la Banque de France n’excluait plus une récession et au mieux une augmentation de la croissance de 0,3 %, un degré de prévision douteux ! Et de prévoir aussi une aggravation du chômage et une inflation aussi forte en 2023 qu’en 2022. Le lendemain c’est-à-dire mardi le gouverneur rééquilibre encore ses pronostics.
Il n’exclut pas une éventuelle récession mais indique sans aucune démonstration que cette récession serait faible et courte.

Exactement les mêmes propos qu’il a tenus, lui et d’autres experts, à propos de l’inflation qui, elle aussi, devait être mesurée mais surtout temporaire et qui en fait continue et s’amplifie.
François Villeroy de Galhau se veut optimiste sur la situation de l’économie française dans les prochains mois. Invité sur BFMTV mardi 20 décembre, le gouverneur de la Banque de France a indiqué que le pays « devrait probablement échapper à la récession ».

Dans ses dernières projections macroéconomiques rendues publiques samedi, la Banque de France estime que l’économie française devrait connaître une croissance faible de 0,3 % l’an prochain du fait de la flambée des prix de l’énergie, avant un rebond modéré de 1,2 % en 2024 et plus soutenu de 1,8 % en 2025.Bref des prévisions type marc de café.

François Villeroy de Galhau voit trois « ères » concernant l’économie française : « Résilience en 2022, ralentissement pour cette année qui va commencer, et puis reprise à partir de 2024 ». « La France devrait probablement échapper à la récession. Je ne peux pas complètement l’exclure, parce qu’il y a beaucoup d’incertitudes », a néanmoins ajouté prudent et contradictoire le gouverneur de la Banque de France.

Une éventuelle récession faible et courte ( BDF)…… comme l’inflation !

Une éventuelle récession faible et courte ( BDF)…… comme l’inflation !


C’est un peu la spécialité de la banque de France à savoir d’une part de se montrer plus optimiste que le pouvoir en matière économique mais le lendemain de corriger à la baisse ses propres prévisions. Ainsi hier la Banque de France n’excluait plus une récession et au mieux une augmentation de la croissance de 0,3 %, un degré de prévision douteux ! Et de prévoir aussi une aggravation du chômage et une inflation aussi forte en 2023 qu’en 2022. Le lendemain c’est-à-dire mardi le gouverneur rééquilibre encore ses pronostics
.
Il n’exclut pas une éventuelle récession mais indique sans aucune démonstration que cette récession serait faible et courte.

Exactement les mêmes propos qu’il a tenus lui et d’autres experts à propos de l’inflation qui elle aussi devait être mesurée mais surtout temporaire et qui en fait continue et s’amplifie.
François Villeroy de Galhau se veut optimiste sur la situation de l’économie française dans les prochains mois. Invité sur BFMTV mardi 20 décembre, le gouverneur de la Banque de France a indiqué que le pays « devrait probablement échapper à la récession ».

Dans ses dernières projections macroéconomiques rendues publiques samedi, la Banque de France estime que l’économie française devrait connaître une croissance faible de 0,3 % l’an prochain du fait de la flambée des prix de l’énergie, avant un rebond modéré de 1,2 % en 2024 et plus soutenu de 1,8 % en 2025.Bref des prévisions type marc de café.

».
François Villeroy de Galhau voit trois « ères » concernant l’économie française : « Résilience en 2022, ralentissement pour cette année qui va commencer, et puis reprise à partir de 2024 ». « La France devrait probablement échapper à la récession. Je ne peux pas complètement l’exclure, parce qu’il y a beaucoup d’incertitudes », a néanmoins ajouté prudent et contradictoire le gouverneur de la Banque de France.

« Si récession il devait y avoir, elle serait en tout état de cause temporaire et limitée », a-t-il ensuite tempéré. Exactement les mêmes termes employés à propos de l’inflation dont on se prévoyait la fin vers la mi 2022 et qui en fait au contraire a encore gonflé et va continuer d’amplifier en 2023. Pour parler clair pourrait subir une inflation de près de 15 % en 2023 par rapport à 2020. Conséquence une dégradation considérable de pouvoir d’achat qui ressemble à une dévaluation

Croissance France : risque de récession

Croissance France : risque de récession

Ça ira sans doute mieux demain pense le ministre de l’économie . Pourtant, la France pourrait connaître la récession d’ici la fin d’année et de début 2023 d’après l’INSEE. En outre l’inflation risquerait de croître après de 7 % sur 2022 et va continuer à hauteur au moins de 5 % en 2023.

L’INSEE constate qu’près un fort rebond en 2021 (+6,8%), la croissance se tasse fortement en cette fin d’année 2022. Dans sa dernière note de conjoncture dévoilée ce jeudi 15 décembre, l’Insee table sur une croissance du PIB négative à -0,2% au dernier trimestre 2022, un très léger rebond au premier trimestre 2023 (0,1%) et une accélération au second trimestre (0,3%).
L’institut de statistiques a révisé à la baisse ses prévisions pour la fin de l’année de 0,2 point.

Sur l’ensemble de l’année, les statisticiens tablent désormais sur une croissance de 2,5% contre 2,6% auparavant. De son côté, le gouvernement projette dans le budget 2023 toujours une croissance de 1% l’année prochaine. Mais cette prévision semble de moins en moins crédible aux yeux de nombreux économistes. En outre, de nombreuses incertitudes compliquent la tâche des économistes. Entre le prolongement du conflit en Ukraine, les conséquences du resserrement monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) et l’évolution de la situation sanitaire en Chine, les conjoncturistes sont plongés dans le brouillard.

En cause, une chute de la production dans l’industrie. « En France, les climats des affaires se sont effrités mais sans chuter. En revanche, le moral est en berne dans les entreprises les plus énergivores », a ajouté le statisticien. En octobre, la production d’électricité est restée « très dégradée ». Résultat, les moteurs du tissu productif ont tourné au ralenti.
Les industries les plus énergivores exposées aux soubresauts de la production électrique ont flanché en octobre et novembre. «

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