Archive pour le Tag 'récession'

Un choix entre la récession et l’inflation ?

Un choix entre la récession et l’inflation ?

Nombre d’experts patentés surtout néolibéraux considèrent que le choix du ralentissement de l’économie voire de la récession est préférable au maintien de l’inflation.

Ce qu’oublient cependant ces experts distingués c’est qu’aujourd’hui il n’y a pas le choix entre récession et inflation mais qu’on risque de subir les deux phénomènes en même temps. C’est encore le cas en 2023.

Il est de bon ton d’affirmer que l’inflation est intenable et que pour la contenir il faut sérieusement affaiblir la croissance, développer le chômage et empêcher la spirale salaire prix.

On oublie que la science économique est une science molle en tout cas qui ne peut prétendre à l’exactitude scientifique, elle est soumise à des réactions des acteurs économiques le plus souvent insuffisamment prises en compte. Ainsi par exemple face au phénomène de l’inflation, les ménages ont déjà réagi en réduisant le coût moyen du panier concernant l’alimentation. Le résultat sera une baisse de la consommation et derrière de la croissance.

Une partie de l’inflation sera combattue de cette manière mais l’inflation contrairement encore aux dires des mêmes experts n’est nullement uniquement conjoncturelle, elle est aussi structurelle et va donc s’installer dans le temps. En cause , la moindre dépendance vis-à-vis de la Chine qui renchérit les coûts de production, le réajustement des monnaies ( notamment la baisse de l’euro), les préoccupations environnementales et l’augmentation générale des matières premières et de l’énergie.

Il n’y aura donc pas à choisir entre récession et inflation. L’économie européenne ( et la moitié environ du monde d’après le FMI) va cumuler les deux. L’inflation en 2023 par exemple sera a du même ordre qu’en 2022 .

Ceux qui proposent la récession pour lutter contre l’inflation ont en fait un autre objectif : limiter à tout prix l’augmentation du pouvoir d’achat. Or il n’est pas démontré qu’une certaine inflation soit forcément contradictoire avec un développement économique de l’activité. Par contre, une fois la tendance baissière de la croissance installée personne ne sait quand le PIB peut se redresser. La crise peut alors durer plusieurs années .

Brefs certains économistes ont encore besoin de réviser leurs théories.

Politique économique : choisir entre la récession ou l’inflation ?

Politique économique : choisir entre la récession ou l’inflation ?

Nombre d’experts patentés surtout néolibéraux considèrent que le choix du ralentissement de l’économie voire de la récession est préférable au maintien de l’inflation.

Ce qu’oublient cependant ces experts distingués c’est qu’aujourd’hui il n’y a pas le choix entre récession et inflation mais qu’on risque de subir les deux phénomènes en même temps. C’est encore le cas en 2023.

Il est de bon ton d’affirmer que l’inflation est intenable et que pour la contenir il faut sérieusement affaiblir la croissance, développer le chômage et empêcher la spirale salaire prix.

On oublie que la science économique est une science molle en tout cas qui ne peut prétendre à l’exactitude scientifique, elle est soumise à des réactions des acteurs économiques le plus souvent insuffisamment prises en compte. Ainsi par exemple face au phénomène de l’inflation, les ménages ont déjà réagi en réduisant le coût moyen du panier concernant l’alimentation. Le résultat sera une baisse de la consommation et derrière de la croissance.

Une partie de l’inflation sera combattue de cette manière mais l’inflation contrairement encore aux dires des mêmes experts n’est nullement uniquement conjoncturelle, elle est aussi structurelle et va donc s’installer dans le temps. En cause , la moindre dépendance vis-à-vis de la Chine qui renchérit les coûts de production, le réajustement des monnaies ( notamment la baisse de l’euro), les préoccupations environnementales et l’augmentation générale des matières premières et de l’énergie.

Il n’y aura donc pas à choisir entre récession et inflation. L’économie européenne ( et la moitié environ du monde d’après le FMI) va cumuler les deux. L’inflation en 2023 par exemple sera a du même ordre qu’en 2022 .

Ceux qui proposent la récession pour lutter contre l’inflation ont en fait un autre objectif : limiter à tout prix l’augmentation du pouvoir d’achat. Or il n’est pas démontré qu’une certaine inflation soit forcément contradictoire avec un développement économique de l’activité. Par contre, une fois la tendance baissière de la croissance installée personne ne sait quand le PIB peut se redresser. La crise peut alors durer plusieurs années .

Brefs certains économistes ont encore besoin de réviser leurs théories.

Orientation économique: un choix entre la récession ou l’inflation ?

Orientation économique: un choix entre la récession ou l’inflation ?

Nombre d’experts patentés surtout néolibéraux considèrent que le choix du ralentissement de l’économie voire de la récession est préférable au maintien de l’inflation.

Ce qu’oublient cependant ces experts distingués c’est qu’aujourd’hui il n’y a pas le choix entre récession et inflation mais qu’on risque de subir les deux phénomènes en même temps. C’est encore le cas en 2023.

Il est de bon ton d’affirmer que l’inflation est intenable et que pour la contenir il faut sérieusement affaiblir la croissance, développer le chômage et empêcher la spirale salaire prix.

On oublie que la science économique est une science molle en tout cas qui ne peut prétendre à l’exactitude scientifique, elle est soumise à des réactions des acteurs économiques le plus souvent insuffisamment prises en compte. Ainsi par exemple face au phénomène de l’inflation, les ménages ont déjà réagi en réduisant le coût moyen du panier concernant l’alimentation. Le résultat sera une baisse de la consommation et derrière de la croissance.

Une partie de l’inflation sera combattue de cette manière mais l’inflation contrairement encore aux dires des mêmes experts n’est nullement uniquement conjoncturelle, elle est aussi structurelle et va donc s’installer dans le temps. En cause , la moindre dépendance vis-à-vis de la Chine qui renchérit les coûts de production, le réajustement des monnaies ( notamment la baisse de l’euro), les préoccupations environnementales et l’augmentation générale des matières premières et de l’énergie.

Il n’y aura donc pas à choisir entre récession et inflation. L’économie européenne ( et la moitié environ du monde d’après le FMI) va cumuler les deux. L’inflation en 2023 par exemple sera a du même ordre qu’en 2022 .

Ceux qui proposent la récession pour lutter contre l’inflation ont en fait un autre objectif : limiter à tout prix l’augmentation du pouvoir d’achat. Or il n’est pas démontré qu’une certaine inflation soit forcément contradictoire avec un développement économique de l’activité. Par contre, une fois la tendance baissière de la croissance installée personne ne sait quand le PIB peut se redresser. La crise peut alors durer plusieurs années .

Brefs certains économistes ont encore besoin de réviser leurs théories.

Economie: un choix entre la récession ou l’inflation ?

Economie: un choix entre la récession ou l’inflation ?

Nombre d’experts patentés surtout néolibéraux considèrent que le choix du ralentissement de l’économie voire de la récession est préférable au maintien de l’inflation.

Ce qu’oublient cependant ces experts distingués c’est qu’aujourd’hui il n’y a pas le choix entre récession et inflation mais qu’on risque de subir les deux phénomènes en même temps. C’est encore le cas en 2023.

Il est de bon ton d’affirmer que l’inflation est intenable et que pour la contenir il faut sérieusement affaiblir la croissance, développer le chômage et empêcher la spirale salaire prix.

On oublie que la science économique est une science molle en tout cas qui ne peut prétendre à l’exactitude scientifique, elle est soumise à des réactions des acteurs économiques le plus souvent insuffisamment prises en compte. Ainsi par exemple face au phénomène de l’inflation, les ménages ont déjà réagi en réduisant le coût moyen du panier concernant l’alimentation. Le résultat sera une baisse de la consommation et derrière de la croissance.

Une partie de l’inflation sera combattue de cette manière mais l’inflation contrairement encore aux dires des mêmes experts n’est nullement uniquement conjoncturelle, elle est aussi structurelle et va donc s’installer dans le temps. En cause , la moindre dépendance vis-à-vis de la Chine qui renchérit les coûts de production, le réajustement des monnaies ( notamment la baisse de l’euro), les préoccupations environnementales et l’augmentation générale des matières premières et de l’énergie.

Il n’y aura donc pas à choisir entre récession et inflation. L’économie européenne ( et la moitié environ du monde d’après le FMI) va cumuler les deux. L’inflation en 2023 par exemple sera a du même ordre qu’en 2022 .

Ceux qui proposent la récession pour lutter contre l’inflation ont en fait un autre objectif : limiter à tout prix l’augmentation du pouvoir d’achat. Or il n’est pas démontré qu’une certaine inflation soit forcément contradictoire avec un développement économique de l’activité. Par contre, une fois la tendance baissière de la croissance installée personne ne sait quand le PIB peut se redresser. La crise peut alors durer plusieurs années .

Brefs certains économistes ont encore besoin de réviser leurs théories.

Croissance économique France : Risques de récession

Croissance économique France : Risques de récession


Alors que l’INSEE et la Banque de France ont encore révisé en baisse leurs prévisions économiques (entre 0,6 et 0,7 % pour le PIB en 2023, pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Croissance: Risques de récession

Croissance: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Perspective économique: Risques de récession

Perspective économique: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Croissance économique: Risques de récession

Croissance économique: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Croissance: Risques de récession

Croissance: Risques de récession


Pour le patron du MEDEF, « Techniquement, la France ne sera pas en récession mais certains signaux montrent que l’on s’en approche. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises commencent à être rattrapées par les remboursements des prêts (PGE) contractés pour surmonter la période du COVID. Alors que j’ai toujours été plus optimiste que les prévisions durant les trois dernières années, j’ai des retours de terrain très différents en fonction de mes interlocuteurs. Ce qui m’incite à la prudence », a-t-il lâché dans un entretien accordé à La Tribune. L’activité du secteur privé en France s’est contractée au mois de juin, sur fond de détérioration de la conjoncture dans les services, a rapporté mercredi l’agence S&P Global. L’indice PMI, qui compare le volume d’activité à celui du mois précédent, a chuté de 51,2 en mai à 47,2 en juin, une valeur inférieure à 50 signalant une contraction et une valeur supérieure, une expansion.

Le secteur des services a enregistré la plus forte contraction de son activité depuis février 2021, l’indice passant de 52,5 en mai à 48 en juin, selon les données recueillies par S&P auprès d’un panel de 400 entreprises du secteur des services français.

« Le PIB (produit intérieur brut) pourrait ainsi diminuer au deuxième trimestre 2023, notre modèle de prévision immédiate suggérant en effet une baisse trimestrielle de 0,9%, reflétant un recul de l’activité dans le secteur manufacturier comme celui des services », selon Norman Liebke, économiste à la Hamburg Commercial Bank, cité par le communiqué de S&P Global.

Signe inquiétant, le volume global des nouvelles affaires a enregistré en juin son plus fort recul depuis novembre 2020 et « les perspectives d’activité se sont repliées à leur plus bas niveau depuis 32 mois », selon S&P Global. En revanche, la croissance de l’emploi s’est maintenue dans l’ensemble du secteur privé, « portée par une nouvelle hausse soutenue des effectifs dans le secteur des services ».

Risques de récession

Croissance Allemagne : en récession

Croissance Allemagne : en récession

Selon l’institut Destatis, la plus première économie d’Europe est entrée en récession technique au premier trimestre 2023, avec une deuxième baisse consécutive de son produit intérieur brut (PIB), plombé par son industrie qui souffre d’une baisse de sa demande, sur fond d’inflation et de hausse des taux d’intérêt. Le PIB de l’Allemagne a chuté de 0,3% entre janvier et mars sur un trimestre, après avoir reculé de 0,5% entre octobre et décembre, en données corrigées des variables de saison et de calendrier.

L’industrie allemande, longtemps dépendante du gaz russe bon marché, a été durement touchée l’an dernier après l’invasion de l’Ukraine par Moscou.

En dépit, de ce ralentissement, le gouvernement allemand reste optimiste, avec une prévision de croissance de 0,4% en 2023. « L’économie a connu une faiblesse hivernale. Mais nous continuons à nous attendre à une nette amélioration au cours de l’année », a assuré à l’AFP le ministère de l’Economie.

Après plusieurs mois de hausse, la production du secteur manufacturier, centrale pour le modèle économique allemand, est repartie à la baisse, chutant de 3,4% sur un mois. La production de véhicules automobiles a notamment diminué de 6,5% et la construction de 4,6%. Les commandes industrielles ont elles aussi rechuté lourdement en mars, de 10,7% sur un mois, du jamais vu depuis le creux de la pandémie. Et les exportations, essentielles pour ce secteur, ont fortement reculé à 5,2%.

La raison de ce retournement est la baisse de la demande, liée à l’inflation, qui reste très élevée à plus de 7% dans le pays malgré une diminution progressive.

« L’effet positif de l’assouplissement des perturbations de la chaîne d’approvisionnement et de la baisse des prix sur les marchés de l’énergie est moins important que la perte de pouvoir d’achat et la politique monétaire restrictive », résumait récemment l’économiste Fritzi Koehler-Geib.

Le moral des entrepreneurs est reparti à la baisse en mai après six mois de hausse, selon le baromètre IFO publié ce mercredi. L’indicateur, réalisé via un sondage mensuel auprès de 9.000 entreprises allemandes, chute de 1,7 point, à 91,7 points.

Croissance mondiale : risque de récession ( Banque Mondiale)

Croissance mondiale : risque de récession ( Banque Mondiale)

 

La  Banque mondiale (BM) a révisé encore fortement mardi ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 ( d’autres révisions en baisse  sont à craindre!).  Elle projette désormais une progression de 1,7% contre 3% en juin dernier, du fait de l’inflation persistante, de la hausse des taux et des effets de la guerre en Ukraine. Par ailluers, elle n’exclut pas un risque de récession mondiale.

En cas de hausse des taux d’un point de pourcentage par les banques centrales au niveau mondial, « la croissance mondiale serait 0,6% moins élevée, ce qui signifie un recul de 0,3% du PIB par habitant », et donc « une récession technique mondiale », a détaillé pour l’AFP Ayhan Kose, directeur du groupe de recherche de la Banque mondiale. Dans ce cas, la décennie 2020 serait la première depuis la Seconde guerre mondiale à être confrontée à deux récessions.

C’est dans les pays développés que le ralentissement sera le plus sensible. L’institution ne prévoit plus que 0,5% de croissance aux Etats-Unis (contre 1,9% en juin dernier) et une croissance nulle dans la zone euro (contre 1,9% également).

Mais les pays émergents ne sont pas non plus épargnés, la croissance chinoise est désormais attendue à 4,3% (0,9 point de pourcentage de moins) et à 2,7% dans les autres pays émergents et développés.

 

Economie-Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

Economie-Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

 

En à peine 6 mois, la Banque mondiale (BM) a révisé fortement mardi ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 ( d’autres révisions en baisse  sont à craindre!).  Elle projette désormais une progression de 1,7% contre 3% en juin dernier, du fait de l’inflation persistante, de la hausse des taux et des effets de la guerre en Ukraine.par ailuers, elle n’exclut pas un risque de récession mondiale.

En cas de hausse des taux d’un point de pourcentage par les banques centrales au niveau mondial, « la croissance mondiale serait 0,6% moins élevée, ce qui signifie un recul de 0,3% du PIB par habitant », et donc « une récession technique mondiale », a détaillé pour l’AFP Ayhan Kose, directeur du groupe de recherche de la Banque mondiale. Dans ce cas, la décennie 2020 serait la première depuis la Seconde guerre mondiale à être confrontée à deux récessions.

C’est dans les pays développés que le ralentissement sera le plus sensible. L’institution ne prévoit plus que 0,5% de croissance aux Etats-Unis (contre 1,9% en juin dernier) et une croissance nulle dans la zone euro (contre 1,9% également).

Mais les pays émergents ne sont pas non plus épargnés, la croissance chinoise est désormais attendue à 4,3% (0,9 point de pourcentage de moins) et à 2,7% dans les autres pays émergents et développés.

 

Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

Risque de récession mondiale ( Banque Mondiale)

 

En à peine 6 mois, la Banque mondiale (BM) a révisé fortement mardi ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 ( d’autres révisions en baisse  sont à craindre!).  Elle projette désormais une progression de 1,7% contre 3% en juin dernier, du fait de l’inflation persistante, de la hausse des taux et des effets de la guerre en Ukraine.par ailuers, elle n’exclut pas un risque de récession mondiale.

En cas de hausse des taux d’un point de pourcentage par les banques centrales au niveau mondial, « la croissance mondiale serait 0,6% moins élevée, ce qui signifie un recul de 0,3% du PIB par habitant », et donc « une récession technique mondiale », a détaillé pour l’AFP Ayhan Kose, directeur du groupe de recherche de la Banque mondiale. Dans ce cas, la décennie 2020 serait la première depuis la Seconde guerre mondiale à être confrontée à deux récessions.

C’est dans les pays développés que le ralentissement sera le plus sensible. L’institution ne prévoit plus que 0,5% de croissance aux Etats-Unis (contre 1,9% en juin dernier) et une croissance nulle dans la zone euro (contre 1,9% également).

Mais les pays émergents ne sont pas non plus épargnés, la croissance chinoise est désormais attendue à 4,3% (0,9 point de pourcentage de moins) et à 2,7% dans les autres pays émergents et développés.

Prix de l’électricité en baisse: : récession et climat en cause

Prix de l’électricité en baisse: : récession et climat en cause

Lundi, le prix du gaz a chuté au plus bas depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, avec un mégawattheure (MWh) vendu pour le lendemain à 73 euros après à 300 euros le MWh après l’annonce d’une réduction des livraisons par Moscou.

Pour l’électricité : alors que, le 12 décembre dernier, le MWh de courant s’échangeait à 750 euros pour une moyenne lundi à 170 euros en moyenne.

En cause, la consommation en baisse de l’ordre de 15% cours des six derniers mois . Le résultat d’une baisse de l’activité économique et d’une certaine sobriété
Il faut aussi prendre en compte la météo particulièrement clémente.

Difficile de prévoir l’avenir soumise aux fluctuations météorologiques, à la situation géo politique et à l’énorme spéculation de certains acteurs en particulier sur l’électricité.

La France pourrait se libérer largement des contraintes de cette spéculation si elle parvenait à remettre en marche la totalité du parc nucléaire y compris de Fessenheim. Encore faudrait-il aussi abandonner le système de marché des prix de l’électricité complètement incohérent. Un système imposé par l’Allemagne la commission européenne et qui se fondait sur un pétrole russe bon marché.

Forte baisse des prix de l’énergie : récession et climat en cause

Forte baisse des prix de l’énergie : récession et climat en cause

Lundi, le prix du gaz a chuté au plus bas depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, avec un mégawattheure (MWh) vendu pour le lendemain à 73 euros après à 300 euros le MWh après l’annonce d’une réduction des livraisons par Moscou.

Pour l’électricité : alors que, le 12 décembre dernier, le MWh de courant s’échangeait à 750 euros pour une moyenne lundi à 170 euros en moyenne.

En cause, la consommation en baisse de l’ordre de 15% cours des six derniers mois . Le résultat d’une baisse de l’activité économique et d’une certaine sobriété
Il faut aussi prendre en compte la météo particulièrement clémente.

Difficile de prévoir l’avenir soumise aux fluctuations météorologiques, à la situation géo politique et à l’énorme spéculation de certains acteurs en particulier sur l’électricité.

La France pourrait se libérer largement des contraintes de cette spéculation si elle parvenait à remettre en marche la totalité du parc nucléaire y compris de Fessenheim. Encore faudrait-il aussi abandonner le système de marché des prix de l’électricité complètement incohérent. Un système imposé par l’Allemagne la commission européenne et qui se fondait sur un pétrole russe bon marché.

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