Archive pour le Tag 'récents'

Antiquités: des meubles anciens très récents !

Antiquités: des meubles anciens très récents !

Dans les antiquités, le passé ce nourrit parfois du présent ! Ou comment faire du vieux avec du neuf et de l’unique avec du tout-venant? Antiquaire de renom et faussaire présumé, Jean Lupu est l’un des plus grands spécialistes du mobilier du XVIIIe siècle. Il va devoir répondre à la justice de ses agissements pour une période où il aurait inondé le marché de l’art de meubles trafiqués.

Durant plusieurs semaines, cet ancien grand marchand de la capitale, dont la réputation faisait venir dans sa galerie de la rue du Faubourg-Saint-Honoré une clientèle issue du monde entier, va être jugé à Paris à partir de ce lundi. Il est soupçonné d’avoir dupé de riches acquéreurs avec des bureaux, des commodes et des guéridons signés des plus grands ébénistes de l’époque, et qui n’auraient eu de vrai que le prix. Près de 3 millions d’euros pour une création attribuée à Charles Cressent, ce talentueux représentant du style Régence, 1 million déboursé pour un meuble de Joseph Baumhauer, l’un des plus grands artisans parisiens du règne de Louis XV.

SNCF: la réforme des retraites que pour les récents embauchés ?

SNCF: la réforme des retraites  que pour les récents  embauchés ?

 

 

Pas tout à fait la clause du grand-père mais une clause intermédiaire qui ferait appliquer la réforme du régime spécial de retraite des cheminots qu’aux plus récents embauchés. RESTE 0  fixer le curseur. Pour l’ensemble des régimes spéciaux?  le premier ministre avait évoqué la possibilité de n’appliquer la réforme qu’à partir de la génération née en 1970 et évidemment après. C’est-à-dire ce qui auront 65 ans en 2035. Pour les cheminots, le curseur pourrait être mis encore plus tard par exemple ceux nés  en 1980 et après qui auront 55 ans en 2035. « Entre ceux qui pensent que la réforme doit s’appliquer à tous et ceux qui disent qu’elle ne doit concerner que les nouveaux entrants, il y a probablement un juste milieu à trouver, qui prend compte de la pénibilité, du travail de nuit et du « contrat moral passé avec les gens qui sont entrés à la SNCF », selon Jean-Baptiste Djebbari. Le secrétaire d’État aux Transports. a rencontré, dans la soirée d’hier mercredi 27 novembre, des agents de la SNCF en compagnie du nouveau patron du groupe Jean-Pierre Farandou, à la Gare Saint-Lazare à Paris, puis à Asnières.

« Ce n’est pas tout à fait pareil d’être entré (à la SNCF) il y a deux ans et d’être entré il y a vingt ans », a-t-il remarqué, estimant qu’on pourrait « converger vers un temps de transition assez long ».

 

Le secrétaire d’État déclinait ainsi les propos du Premier ministre Edouard Philippe qui a estimé mercredi midi qu’ »on doit pouvoir trouver le bon curseur » entre nouveaux arrivants et employés en fin de carrière pour l’application de cette réforme. « On a besoin de faire une réforme des retraites (…), mais je pense qu’on a le temps de faire la réforme », a affirmé Jean-Baptiste Djebbari.

L’essentiel globalement c’est qu’à la fin, les cheminots aient des bonnes garanties, que la SNCF soit debout et motivée pour la suite et (…) qu’on retrouve un peu un esprit de conquête collectif », a ajouté le secrétaire d’État aux Transports.




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