Archive pour le Tag 'rebond'

Pétrole: Rebond du Brent à 75 $

Pétrole: Rebond du Brent à 75 $

 

 Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a clôturé en hausse de 1,72%, à 75,17 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain de même échéance a lui glané 1,69%, à 71,56 dollars. En cause surtout les intentions de reprise en Chine avec notamment la baisse d’un de ses taux directeurs. Toutefois la diffusion dans l’économie réelle demandera plusieurs mois surtout avec les mesures protectionnistes prises contre la Chine un peu partout. En outre les scénarios économiques ne permettent pas d’envisager une très nette reprise de l’activité économique mondiale en 2025 surtout avec les risques géopolitiques

 

Rebond du pétrole ?

Rebond du pétrole ?

 

Le pétrole a enregistré un léger rebond de nature technique. En fait il s’agit d’un réajustement. Le baril de Brent de la mer du Nord se situe encore sous les 80 $ à 77 $ le 22 août 2024 ;  ( 79 $ au 24 août 2024). Les opérateurs avaient sans doute trop hypothéquer la baisse du pétrole. Certes la tendance économique est à la baisse de la demande du fait du tassement de la croissance notamment en Chine mais d’un autre côté il y a les mesures de restriction de production des pays producteurs et les menaces géo politiques. Tout laisse à penser que le pétrole devrait retrouver un niveau moyen de 80 $ environ.

 

Un rebond du pétrole ?

Un rebond du pétrole ?

 

Le pétrole a enregistré un léger rebond de nature technique. En fait il s’agit d’un réajustement. Le baril de Brent de la mer du Nord se situe encore sous les 80 $ à 77 $ hier 22 août 2024. Les opérateurs avaient sans doute trop hypothéquer la baisse du pétrole. Certes la tendance économique est à la baisse de la demande du fait du tassement de la croissance notamment en Chine mais d’un autre côté il y a les mesures de restriction de production des pays producteurs et les menaces géo politiques. Tout laisse à penser que le pétrole devrait retrouver un niveau moyen de 80 $ environ.

 

Législatives : rebond de la gauche avec une majorité relative

Législatives : rebond de la gauche avec une majorité relative

Une surprise monumentale et un véritable saut dans l’inconnu. Dimanche soir, à l’issue du second tour des législatives, les estimations de l’Ifop donnaient, à 22h00, une majorité relative au Nouveau Front populaire à l’Assemblée. L’alliance des gauches (Insoumis, écologistes, socialistes et communistes) obtiendrait, selon ces derniers chiffres, entre 187 et 198 sièges au Palais Bourbon. En nette progression par rapport à son ancêtre de la Nupes, qui était parvenu à obtenir 151 députés en 2022. En dépit de ce résultat, la gauche pourrait être, si elle ne trouve pas d’autres alliés, dans l’incapacité de construire une majorité solide capable d’éviter les motions de censure à l’Assemblée.

En seconde position, les macronistes tireraient également leur épingle du jeu, en obtenant entre 161 et 169 députés à la Chambre basse. Une baisse très significative par rapport à il y a deux ans, mais un chiffre largement supérieur à ceux évoqués dans les dernières enquêtes d’opinion. Contre toute attente…

 

Croissance Allemagne : un tout petit rebond

Croissance Allemagne : un tout petit rebond

 

Un tout petit rebond, mieux que prévu. Deux instituts économiques allemands ont relevé leurs prévisions de croissance pour la première économie européenne cette année.

Deux instituts économiques allemands ont relevé leurs prévisions de croissance pour la première économie européenne cette année. L’institut IFO table désormais sur une hausse de 0,4% du produit intérieur brut (PIB), soit 0,2 point de plus que lors de sa prévision précédente, selon son rapport estival de conjoncture publié ce jeudi.

 

Désormais, la reprise de la demande sur de nombreux marchés internationaux redonne un peu d’oxygène à l’industrie. Preuve en est, les exportations allemandes ont continué à croître en avril, l’indicateur a gagné 1,6% sur un mois en avril, après avoir pris 2% en mars, atteignant 136,5 milliards d’euros, d’après les derniers chiffres de l’institut de statistique Destatis, publiés en juin.

Lire aussi
Prix de l’électricité : pourquoi l’écart se creuse entre la France et l’Allemagne

Et le net ralentissement de l’inflation en Allemagne soutient également la consommation intérieure. « Le pouvoir d’achat des ménages devrait continuer à se renforcer au cours de l’année et (…) le commerce mondial de marchandises et la production industrielle mondiale continuer à se redresser » a ainsi rassuré l’IFO dans son communiqué.

Le desserrement monétaire des banques centrales, notamment la BCE, redonne également de l’espoir, selon l’IFO, qui table sur « deux nouvelles baisses de taux dans l’année par la BCE ». La BCE a en effet décidé en juin de baisser pour la première fois en près de cinq ans ses taux directeurs. Servant de référence en zone euro, le taux sur les dépôts de 4%, son plus haut niveau atteint en septembre dernier, a été ramené à 3,75%.

« Alors que l’économie allemande continue de subir des vents contraires, les lueurs d’espoir se multiplient », a ainsi estimé de son côté la banque centrale allemande dans son bulletin mensuel publié jeudi. Elle a en revanche pointé du doigt le « recul » persistant du secteur de la construction, toujours freiné par les taux d’intérêt trop élevés pour le secteur.

Reste que la hausse du niveau générale des prix n’est pas encore redescendue à des niveaux acceptables pour la BCE qui a assorti sa baisse des taux d’un discours très prudent pour la suite car l’inflation devrait « rester supérieure à l’objectif » de 2% et ce, « pendant une grande partie de l’année prochaine », selon la banque centrale.

Par ailleurs, le rebond attendu outre-Rhin est très faible par rapport à celui de ses voisins européens, avec une croissance moyenne de la zone euro attendue à 0,8%, selon les prévisions de Bruxelles. « Il faudra faire preuve de patience jusqu’en 2025 avant que la croissance ne dépasse à nouveau les 1% en Allemagne », a commenté lors d’une conférence de presse jeudi Ulrich Kater, chef économiste de la banque Deka.

Le DIW et l’IFO tablent respectivement sur une croissance de 1,4% et 1,5% l’an prochain. Le gouvernement a, lui, légèrement relevé sa prévision de croissance pour 2024, portée de 0,2% à 0,3%.

 

Croissance Royaume-Uni : enfin un rebond

Croissance Royaume-Uni : enfin un rebond

Enfin un rebond de la croissance, de 0,6% au premier trimestre mais les effets de la crise de l’inflation pèsent encore .

Après une légère contraction au second semestre 2023, l’économie britannique a repris des couleurs en début d’année. Les chiffres publiés vendredi montrent que le PIB a crû de 0,6%, grâce à un regain d’activité du commerce de détail, des transports et du secteur des soins de santé privés.

Cette croissance dépasse les prévisions des économistes. Elle s’explique par le ralentissement de l’inflation (+3,2% en mars, sur un an) et la poursuite de la hausse des salaires. Ces deux tendances ont conduit à une très légère augmentation du pouvoir d’achat des Britanniques qui a surtout dopé le secteur des services (+0,7%). La production industrielle britannique a elle aussi progressé (+0,8 %) alors que le secteur de la construction a chuté de 0,9 %.

 

Production industrielle : léger rebond en mai et inquiétudes pour la suite

production industrielle : léger rebond en mai et inquiétudes pour la suite

La production manufacturière a augmenté de +1,4% en mai. Elle a été tirée par une très forte hausse de +45,1% de la production dans le secteur cokéfaction-raffinage « avec la fin des mouvements de grève dans les raffineries », a détaillé l’Institut national de la statistique. Les grèves dans les raffineries avaient provoqué une chute de -25,8% de la production en avril et de -13,3% au cours des trois derniers mois, par rapport à la même période de l’année dernière. Par contre pour la suite à partir de juin, des inquiétudes émergents au point qu’on pourrait tutoyer la récession.

Sur les trois derniers mois (mars à mai) comparé à la même période de l’an passé, la production industrielle est en hausse de 1,5%, et de 2,1% pour la production manufacturière.

En mai sur un mois, la grande majorité des secteurs sont orientés à la hausse. Notamment l’automobile avec une augmentation de +5,8%, après -1,7% en avril. Ce secteur a progressé de +25,4% sur les trois derniers mois, comparés à la même période de l’an dernier. L’industrie automobile est « moins affectée qu’il y a un an par les difficultés d’approvisionnement en composants électroniques », explique l’Insee.

La fabrication de biens d’équipement augmente de +1,5% sur un mois et de +8% sur les trois derniers mois comparés à la même période de 2022. Celle de la production dans les industries agro-alimentaires grimpe de +1,6%, après -0,5% un mois plus tôt.

En revanche, la catégorie « autres matériels de transport » qui comprend l’aéronautique, est en recul de -2,1% sur un mois, tout comme le secteur textile-habillement, qui baisse de -2,9%, et la pharmacie qui subit un tassement de -1,8%.

Mais l’inquiétude concerne surtout « la production de certaines branches intensives en énergie [qui] baisse fortement », relève l’Insee. C’est notamment le cas pour la sidérurgie, qui voit sa production chuter de -19,1% sur les trois derniers mois, comparés à la même période de 2022. Idem pour la fabrication de pâte à papier, de papier et de carton qui diminue de -24,2% et celle de produits chimiques de base, en recul de -13,1% sur la même période.

Chine : rebond temporaire des exportations ?

Chine : rebond temporaire des exportations ?


Les exportations de la Chine ont rebondi en mars dans un contexte de reprise technique de l’activité économique dans le pays. Le risque de récession à l’étranger menace néanmoins la demande en produits chinois.

Les ventes l’étranger, qui étaient constamment dans le rouge depuis octobre, ont progressé en mars de 14,8% sur un an en dollars, selon des chiffres publiés ce jeudi 13 avril, par les douanes chinoises.

Des analystes interrogés par l’agence Bloomberg s’attendaient pourtant à un nouveau repli (-7,1%), après celui en janvier-février cumulés (-6,8%), seule donnée alors publiée.

Le rebond est « une surprise », souligne l’économiste Zhiwei Zhang, du cabinet Pinpoint Asset Management.
« Il s’explique en partie par un faible effet de base avec l’an dernier quand de nombreuses usines avaient été contraintes de fermer » à cause du Covid, avance-t-il.

Il y a un an en mars, le confinement de Shanghai en pleine pandémie avait lourdement pénalisé l’activité en Chine et fait chuter les exportations (-0,1%). Le pays a finalement levé en décembre l’essentiel de ses restrictions sanitaires, ouvrant la voie à une reprise progressive de l’activité.

Toutefois un répit de courte durée car la menace de récession aux Etats-Unis et en Europe, combinée à une inflation galopante, contribue en effet à affaiblir la demande internationale en produits chinois.

Les importations de la Chine ont, quant à elles, poursuivi leur repli en mars (-1,4% sur un an), mais à un rythme plus modéré, signe d’une reprise de l’activité qui peine encore à se stabiliser. En janvier-février, les achats de la Chine de produits étrangers avaient reculé de 10,2% sur un an.

La Chine devrait néanmoins représenter cette année environ un tiers de la croissance mondiale, avait indiqué le mois dernier à Pékin la directrice générale du FMI.

Covid France 23 novembre 2022: Rebond avec 64 772 cas supplémentaires en 24 heures

Covid France 23 novembre 2022: Rebond avec 64 772 cas supplémentaires en 24 heures

On enregistre mardi 22 novembre 2022 : 64 772 cas supplémentaires en 24 heures, 158.427 morts au total, +89 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.335 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 129.092 (+89 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,19 le taux d’incidence à 325,71 et la tension hospitalière à 19,2 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.
La France compte actuellement 18.186 (+51) personnes hospitalisées et 971 (-7) malades en réanimation.

Bilan des régions:

• Ile-de-France : 5.094 (+38) hospitalisées, 299 (+1) en réanimation et +9 décès en 24h
• Grand Est : 1.588 (+1) hospitalisés, 81 (-6) en réanimation et +8 décès en 24h
• Hauts de France : 1.558 (+8) hospitalisés, 81 (+1) en réanimation et +11 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 1.839 (-38) hospitalisés, 86 (-10) en réanimation et +8 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.582 (+69) hospitalisé, 82 (+1) en réanimation et +11 décès en 24h
• Bretagne: 490 (-14) hospitalisés, 35 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
• Normandie : 1.083 (-10) hospitalisés, 30 (+1) en réanimation et +6 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.341 (-10) hospitalisés, 82 (+2) en réanimation et +8 décès en 24h
• Pays de la Loire : 395 (+17) hospitalisés, 17 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h
• Occitanie: 1.197 (-9) hospitalisés, , 66 (-7) en réanimation et +9 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 875 (+12) hospitalisés, 38 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 831 (-11) hospitalisés, 61 (+6) en réanimation et +8 décès en 24h

Ventes Automobile en Europe : Léger rebond sur tendance nettement baissière

Ventes Automobile en Europe :Léger rebond sur tendance baissière

Un léger rebond de 9,6% au mois de septembre Surtout du aux progressions du groupe Volkswagen . Globalement cependant les immatriculations s’inscrivent dans une tendance baissière retrait même de 2021 est sans doute en retrait de 25 % par rapport à 2019.

Ce mois de septembre a été marqué par un fort rebond du numéro un européen, Volkswagen (+25,7%). Cela s’explique par des ventes en forte hausse notamment chez Skoda, Audi et Porsche. Une performance qui améliore ses chiffres sur les neuf premiers mois de l’année (-13,9% et 1,7 million de véhicules vendus).
Quant à son concurrent direct, Stellantis affiche un mois de septembre stable (+0,3%). Il est, par contre, le grand groupe le plus touché depuis début 2022 : -17,2% et 1,4 million de véhicules vendus. Il enregistre de forts reculs de ses marques Jeep, Fiat et Citroën.
Quant à Renault, le français se défend bien. Avec une légère baisse de ses ventes en septembre (-1,2%) et une plus modérée sur les neuf premiers mois de l’année (-6,4%), après de fortes chutes les années précédentes. Le groupe au losange est porté par les performances de sa marque économique Dacia.

En cause les difficultés d’approvisionnement d’équipements en prenant surtout de la Chine mais sans doute encore davantage des interrogations des automobilistes quant aux perspectives de la voiture du futur surtout compte tenu du prix de la voiture électrique

Covid : Un rebond épidémique oublié

Covid : Un rebond épidémique oublié

 

La campagne électorale actuelle revêt un caractère relativement surréaliste car  complètement coupée des réalités d’une conjoncture économique qui nous conduit vers la stagflation (inflation mais sans croissance), qui oublie la situation géopolitique particulièrement dangereuse en même temps que la crise du climat et la possible famine mondiale.

Plus personne ou presque ne parle de la covid  pourtant Les chiffres sont particulièrement inquiétants ( sauf vendredi ou les autorités n’ont trouvé aucune contamination nouvelle. !!!).Les chiffres de contamination du Covid-19 repartent pourtant  nettement à la hausse : de 20 000 cas par jour en moyenne la semaine dernière, à 40 000 cas, le jeudi 9 juin ( Avec des pointes jusqu’à 50 000).

Après une baisse ininterrompue de trois mois, les contaminations reprennent. En sept jours, 40 151 nouveaux cas ont été répertoriés, soit une hausse de 58 % de cas positifs. 2 364 personnes ont été hospitalisées pour Covid-19 en une semaine, marquant une légère progression. Le Pr Karine Lacombe, infectiologue et cheffe de service des maladies infectieuses à l’Hôpital Saint-Antoine (AP-HP), appelle à la surveillance et rappelle que l’hôpital est « en tension » en raison d’un « manque de personnel flagrant« .

Selon les autorités sanitaires, les nouveaux variants, BA.4 et BA.5, sont moins dangereux – sauf pour les personnes immunodéprimées ou atteintes de maladies chroniques.

Le problème cependant pourrait être l’apparition à la fin de l’été d’un nouveau variant qui lui serait plus dangereux que les récents BA4 et BA5.

On notera d’ailleurs que cette problématique est à peu près absente dans la plupart des argumentaires des candidats aux législatives.

Covid: Rebond des contaminations et des hospitalisations

Covid: Rebond des contamination et des hospitalisations

 

Bien que moins dangereux que BA 1, le nouveau variant BA2  est encore plus contaminant. Il représentait 52% des contaminations la semaine du 28 février.Hier mardi 15 février, non encore constatée 117 000 contaminations, soit une nette hausse.
« Les régions où l’incidence est repartie à la hausse sont celles qui sont revenues de vacances le 21 février », a détaillé Arnaud Fontanet sur France Inter. La zone B, comprenant notamment les Hauts-de-France, le Grand Est, Paca ou la Bretagne, connaît effectivement une augmentation de l’incidence depuis cette date. De même, dans les régions de la zone C (Ile-de-France et Occitanie), on constate une hausse des contaminations à partir du 7 mars, date de la fin des vacances scolaires.Le nombre de nouveaux cas de Covid-19 avait atteint un record fin janvier, avec plus de 366 000 contaminations par jour en moyenne. Ce chiffre a ensuite connu une baisse continue, jusqu’au début du mois de mars, où il n’a pas réussi à descendre en dessous des 50 000 en moyenne glissante. Depuis maintenant une dizaine de jours, on constate même une augmentation des nouveaux cas : on en dénombrait 65 000 par jour le 13 mars.

Du côté des nouvelles hospitalisations, les indicateurs ont cessé de diminuer. Après un pic à plus de 2 900 entrées à l’hôpital début février, ce chiffre est redescendu à 950 en moyenne début mars, mais cela fait plus d’une semaine qu’on observe un plateau. Voire une légère augmentation : en moyenne au 13 mars, on comptait 973 nouvelles hospitalisations par jour.

 

Covid : un rebond de l’épidémie ( ministre de la santé)

Covid : un rebond de l’épidémie ( ministre de la santé)

«La Covid ne baisse plus, elle  augmente même», a dit le ministre de la santé.

Le nombre de nouveaux cas positifs s’élevait jeudi soir à 74.818 et à  72 399 vendredi selon Santé publique France, contre 60.225 il y a une semaine.

L’Allemagne a enregistré vendredi plus de 250.000 nouveaux cas de Covid-19 et le taux d’incidence sur sept jours dépasse les 1400. «Le nombre de cas et l’incidence augmentent à nouveau (…). Dans de nombreux districts, l’incidence est toujours supérieure à 2000, voire à 2500», a abondé Lothar Wieler, directeur de l’institut de veille sanitaire Robert Koch.

La Chine, elle,  a dû se résoudre vendredi à confiner la grande ville de Changchun, dans le nord-est du pays.

Covid 15 nov 2021 France: rebond

Covid  15 nov 2021 France: rebond 

 

3241 cas supplémentaires dans le bilan de ce lundi 15 novembre 2021. Le taux d’incidence repasse au-dessus des 100 cas pour 100 000 habitants…

Dans les hôpitaux, on dénombre actuellement 7361 patients hospitalisés pour Covid-19 (en hausse de 250 par rapport à hier) tandis que 1257 personnes sont en réanimation (+47). Sur les dernières 24 heures, 631 malades ont été admis à l’hôpital soit 506 de plus que la veille et 148 de plus comparé à lundi dernier. 144 admissions en réanimation ont été enregistrées, soit 118 de plus qu’hier et 23 de plus que lundi dernier.

Covid France : rebond

Covid France  : rebond

Ces dernières semaines la moyenne était autour de 5000 pour les contaminer. Désormais l’épidémie connaît un léger rebond en France où 6541 malades sont toujours hospitalisés ce jeudi, dont 271 depuis la veille. Ils étaient 6489 mercredi. 1037 personnes sont traitées dans les services de soins critiques – 58 y ont été accueillies ces dernières 24 heures – contre 1038 la veille. 33 personnes sont également mortes du Covid dans les hôpitaux français ce jeudi, selon Santé publique France, portant le bilan à 90.739 morts à l’hôpital depuis le début de la pandémie.

6461 nouveaux cas ont par ailleurs été détectés lors des dernières 24 heures, contre 6528 la veille et 6127 jeudi dernier. Le taux de positivité des tests s’élève, lui, à 1,8%. Sur le front des vaccinations, 51.167.424 personnes ont reçu au moins une injection (soit 75,9% de la population totale) et 49.963.139 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 74,1% de la population totale), depuis le début de la campagne vaccinale en France

123456



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol