Archive pour le Tag 'rassure'

Coupures d’électricité : Changement de ton, RTE rassure

Coupures d’électricité : Changement de ton, RTE rassure

Après les alertes lancées par certains opérateurs de l’électricité, le gouvernement avait vigoureusement réagi pour indiquer que leur rôle n’était pas d’inquiéter la population. Enedis en particulier avait reçu un blâme du gouvernement pour avoir dit la vérité.

Ayant sans doute retenu la leçon RTE s’efforce maintenant de rassurer en indiquant que le risque de coupure d’électricité est maintenant surmonté.

«Nous avons écarté le scénario du pire», a déclaré le directeur de la stratégie de RTE, Thomas Veyrenc, devant les sénateurs mercredi. La tête pensante du gestionnaire du réseau électrique français s’est montrée particulièrement optimiste, tout en restant prudent. «Nous restons dans une situation de grande vigilance», a-t-il notifié aux parlementaires qui l’interrogeaient.

«La fin du mois de novembre constituait une période très risquée, parce que c’était le mois où l’écart avec la disponibilité nucléaire historique était vraiment très important. Cette période est derrière nous», s’est réjoui Thomas Veyrenc. Reste le mois de janvier, où un froid glacial pourrait provoquer des tensions insoutenables sur le réseau. «C’est le cas tous les ans», a désamorcé le spécialiste, avant d’insister sur le fait que «nous avons certainement les moyens d’éviter les coupures».

En cause, une baisse de 9,7% par rapport à la moyenne 2014-2019. «C’est très impressionnant et, honnêtement, ce n’était pas du tout gagné vu du mois de septembre», a-t-il poursuivi, avant de déclarer que «la situation aurait été toute autre» ces dernières semaines si une telle mobilisation n’avait pas eu lieu.

En cause également la disponibilité de réacteurs qui étaient sans production pour entretien. 41 réacteurs devraient désormais fonctionner sur 58 d’ici quelques jours. À noter cependant que la France importe encore d’importantes quantités d’électricité en particulier d’Allemagne qu’il est produit avec notamment du charbon. La France elle-même a réactivé une centrale à charbon.

Reste une question essentielle pourquoi a-t-on fermé Fessenheim et pourquoi une vingtaine de réacteurs ont-ils été immobilisé aussi longtemps ?
La réponse sans doute dans la politique contradictoire du gouvernement et EDF qui ressemble davantage à une administration qu’à une entreprise

Lubrizol : on ne sait toujours rien mais on rassure

Lubrizol :  on ne sait toujours rien mais on rassure 

, regrette dans une tribune au « Monde », Olivier Blond dénonce la manque de transparence démocratique de la catastrophe de Rouen. En fait on ne sait toujours pas grand chose des conséquences de l’incendie’ des produits chimiques mais on rassure quand même.

Tribune. Emmanuel Macron est donc finalement venu à Rouen le 30 octobre. Mais ni lui ni les ministres qui étaient passés avant lui ne sont parvenus à éteindre l’incendie de méfiance qui couve depuis la catastrophe de Lubrizol. Cette méfiance a été attribuée aux maladresses de la stratégie de communication officielle. Mais il ne s’agit pas d’un problème de communication : c’est un problème politique. Le discours officiel s’évertue ainsi à rassurer la population, mais les citoyens ne sont pas des enfants craintifs qu’il faut apaiser avec de fausses promesses, ce sont des adultes rationnels qui demandent la vérité. C’est le principe sur lequel s’est construit notre démocratie, le cœur des idées des Lumières, dont Kant expliquait qu’elles visaient à sortir l’humanité de sa minorité pour enfin oser penser par elle-même. « Sapere aude »« ose savoir », écrivait-il déjà en 1784.

On peut comprendre que le préfet ait cherché à éviter une panique. Mais minorer les risques et les incertitudes amènent à limiter la réponse publique. Comme le rappelait récemment devant la commission d’enquête sénatoriale Arnaud Brennetot, professeur à l’université de Rouen Normandie, l’information des populations sur les mesures de protections, la liste des communes concernées par les mesures d’urgence, les mesures de prévention dans les écoles ou les établissements sportifs… ont toutes été minorées. Ce qui a pour conséquence d’exposer les populations à un risque qui aurait pu être évité.

Même si le courage et l’efficacité des services d’urgence ont réussi à éviter le pire, il ne reste pas moins que presque 10 000 tonnes de produits chimiques sont parties en fumée – soit l’équivalent d’une marée noire au cœur de la ville. Quelles seront les conséquences pour la population ? Plus d’un mois après l’incendie, la quasi-totalité des questions que l’on se posait au lendemain de l’incendie restent sans réponse. Pour ne prendre que ces deux exemples, on ne connaît toujours ni la nature chimique exacte des produits qui ont brûlé ni l’origine exacte de l’incendie.

Pourtant, dans la succession presque quotidienne de ses annonces, la préfecture répète son message lénifiant sur l’absence de risque. L’effet est contre-productif : chaque fois, cela décrédibilise la déclaration précédente, qui s’appuyait donc sur des éléments plus partiels, et donc plus incertains. Aujourd’hui, la seule chose qui est certaine, c’est que les autorités ne disposent pas des éléments qui permettent d’affirmer qu’il n’y a aucun risque. Dans ce contexte compliqué, s’appuyer sur des institutions scientifiques ne change rien. Pire, quand on les associe trop fortement à la communication officielle, la distinction entre parole politique et parole scientifique disparaît, et quand l’expert perd son indépendance, il perd sa crédibilité.

 

Marchés : la Fed rassure

Marchés : la Fed rassure

Sans doute pour répondre aux interrogations du marché mais aussi aux attaques du  président Trump, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a indiqué que la banque fédérale se montrerait prudente en matière de relèvement des taux. La Fed a relevé ses taux à quatre reprises l’année dernière et ses responsables monétaires prévoient deux relèvements supplémentaires cette année. Mais les Bourses mondiales ont lourdement chuté depuis le mois d’octobre avec les craintes d’un ralentissement de l’économie mondiale lié notamment aux tensions commerciales entre la Chine et les Etats-Unis. Le président des États-Unis avait fortement critiqué la politique monétaire conduite par la Fed considérant que le relèvement des taux était de nature à nuire au dynamisme économique. D’une certaine manière le président de la banque centrale donne donc satisfaction pour partie au président des États-Unis, en même temps il rassure des marchés un peu nerveux du fait du tassement économique mondial. Ces propos ont entraîné un net rebond de Wall Street, une remontée des taux d’intérêt à long terme mais ont pesé sur le dollar, les investisseurs anticipant un infléchissement du resserrement monétaire de la Fed, déjà amorcé lors de la réunion du comité de politique monétaire du mois dernier. “C’est certainement très proche de ce que le marché voulait entendre. La Fed doit rétablir la confiance des marchés dans sa communication et aujourd’hui un premier grand pas a été franchi”, a commenté Jim Vogel, responsable de la stratégie sur les taux d’intérêt chez FTN Financial. L’indice Dow Jones gagnait plus de 3% à la mi-journée à New York; au même moment, le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans prenait plus de dix points de base à 2,657% alors que le dollar cédait du terrain face à un panier de devises de référence.“Au vu en particulier des chiffres d’inflation mitigés que nous avons constatés, nous serons patients tout en étudiant la manière dont évolue l’économie”, a dit Jerome Powell lors d’un débat organisé à Atlanta par l’American Economic Association. Il a ajouté que la Fed n’appliquait pas une politique prédéterminée en matière de taux d’intérêt et en laissant entendre qu’elle pourrait marquer une pause dans le resserrement de sa politique, comme elle l’avait fait en 2016.

 

Botox : Rachida Dati peut tre rassurée l’utilisation du botox se diffuse aussi dans le cerveau

Botox : Rachida Dati peut être rassurée l’utilisation du botox se diffuse aussi dans le cerveau

 

Avec la barbe d’ Emanuel Macron, c’ets la métamorphose physique de Rachida Dati qui a fait là une des journaux consacrés à l’esthétique des politiques. Rachida Dati apparaît en effet le visage gonflé au botox afin de dissimuler les outrages du temps. Certains se sont alors interrogés sur les conséquences physiques et mentales de cette injection de sérum de jeunesse. Ils peuvent cependant être rassurés puisque la fameuse toxine botulique (botox) ce répandrait à terme aussi dans le cerveau ce qui pour Rachida Dati permettrait de muscler une partie du corps sans doute plus essentielle  que celle de son visage. La toxine puissante que des médecins leur ont injectée dans le visage pourrait s’échapper dans le système nerveux central ! Autrement dit, on peut en retrouver dans le cerveau ou la moelle épinière. C’est ce que viennent de découvrir Selon une étude menée par Dr Ismail Küçüker de la Faculté de médecine de Samsun (Turquie) et relayée sur le site de la société américaine de chirurgiens plasticiens, l’utilisation de Botox, conjointement avec un traitement à base d’acide hyaluronique, prolongerait les effets de comblement des rides de ce produit, en réduisant l’activité musculaire de la zone traitée. Les injections d’acide hyaluronique sont l’une des procédures cosmétiques peu invasives les plus courantes car c’est un produit naturel, à base de gel particulièrement  compatible avec le corps. Cependant, sa dégradation rapide limite l’effet antirides dans le temps, notamment en raison de la contraction des muscles voisins. C’est pour réduire cet effet de contraction que les chirurgiens plasticiens ont parfois recours à la toxine botulique (plus connue sous son nom de Botox) afin de provoquer une paralysie temporaire des muscles de la zone traitée. Un « temporaire » qui peut quand même durer quelques mois. Pour valider cette approche, le Dr Küçüker et son équipe ont mené une expérience sur des lapins. « Cette étude a montré que l’application d’acide hyaluronique pour le comblement des rides en combinaison avec la toxine botulique diminue de manière significative le processus de dégradation et augmente le volume restant à la fin de la période de paralysie, » ont déclaré les chercheurs. Ces derniers espèrent que leurs conclusions permettront de promouvoir cette nouvelle procédure auprès des patients qui optent pour un traitement de remplissage dermique.

Il y aura bien des impôts en 2017 : ouf on est rassuré !

Il y aura bien des impôts en 2017 : ouf on est rassuré !

 

Une vraie question quasi existentielle ou plutôt un fantasme : l’absence d’impôt en 2017 du fait du projet de prélèvement à la source. Ouf on est rassuré, Macron et Sapin ont affirmé qu’il y aurait bien un impôt sur le revenu en 2017. Enfin une promesse qui pourra être tenue !  Emmanuel Macron est catégorique: la mise en place du prélèvement de l’impôt sur le revenu à la source (c’est-à-dire sur la fiche de paie pour les salariés) pour 2018 n’est pas « un cadeau électoral ». Interviewé par BFMTV ce mercredi 17 juin, le ministre de l’Economie a ainsi tenu à dissiper les doutes: « il n’y aura pas de cadeau fiscal avec cette réforme ».  « C’est une transition purement technique », a-t-argué, assurant que les Français paieront bien leurs impôts en 2017. Le ministre fait ainsi référence à « l’année blanche », cette fameuse année qui ne servira de base à aucun moment pour calculer le montant de l’impôt sur le revenu. Tel que l’exécutif le prévoit à l’heure actuelle, les Français paieront en 2017, les impôts sur les revenus perçus en 2016, et en 2018 ceux sur les revenus de 2018.  2017 sera donc cette fameuse « année blanche ». « La réalité c’est qu’aujourd’hui on a un impôt sur le revenu qui est décalé », a-t-il ensuite rappelé. Or le problème « quand vous payez de manière décalée vos impôts et que vous changez de statut (chômage, retraite) vous vous retrouvez dans des situations qui peuvent être illisibles », a-t-il expliqué. En ce sens « la réforme du prélèvement à la source est une bonne chose mais il faut l’organiser techniquement », a-t-il poursuivi. « Il faut que sur les comptes bancaires ou auprès de l’employeur on puisse prélever l’impôt et donc cette transition technique va s’étaler sur deux ans », a développé Emmanuel Macron.

 

Etats-Unis : l’emploi rassure les marchés

Etats-Unis : l’emploi rassure les marchés

 

L’évolution de l’emploi aux Etats Unis n’et  pas linéaire mais globalement, il progresse surtout le mois dernier ; une bonne nouvelle pour les marchés par ailleurs très déçu du statu quo décidé par la BCE qui hésite encore à racheter de la dette souveraine  et à relancer ainsi l’ économie européenne. A force de trop espérer, les marchés sont parfois déçus: ce fut le cas jeudi lors de la réunion de Mario Draghi, pas ce vendredi. Outre-Atlantique, les chiffres de l’emploi américain se sont révélés bien supérieurs aux attentes, une bonne nouvelle qui a soutenu la tendance. Le marché parisien est repassé au dessus des 4.400 points, à la faveur d’un rebond de 2,21 %.  L’économie américaine a créé 321.000 nouveaux postes là où les analystes en attendaient 230.000. Il s’agit du plus haut niveau depuis presque 3 ans. Le taux de chômage, lui, reste inchangé, à son plus bas niveau depuis juillet 2008. 5,8 % de la population active est sans emploi aux Etats-Unis.  Du côté de l’Europe, les nouvelles sont moins réjouissantes : la progression du PIB de la zone euro a été confirmée à 0,2% au troisième trimestre et à 0,8% sur un an. La veille, le président de la BCE s’était montré très réaliste face à la reprise en décidant d’abaisser ses prévisions de croissance. Elle n’excédera à 0,8% en 2014 puis celle de 2015 à 1,0% contre 1,6%. Même chose pour l’inflation qui est attendu à 0,5% cette année.  Malgré ce panorama, Mario Draghi n’a pas annoncé de nouvelles mesures, en tout cas, pas dans l’immédiat. Rendez-vous l’année prochaine pour réévaluer la politique monétaire. Sur le timing, le président de la BCE entretient un certain flou :  » Au débutde 2015 veut dire ‘au début’, cela ne veut pas dire la prochaine réunion, cela dépend beaucoup de la manière dont notre évaluation se passera».

Japon : la victoire des conservateurs rassure

Japon : la victoire des conservateurs rassure

 

Au lendemain de la victoire magistrale du Parti libéral démocrate (PLD), le gouvernement emmené par le nouveau premier ministre, Shinzo Abe, devrait mettre en place un assouplissement très net de la politique monétaire. Une perspective qui a tiré le yen à la baisse ces dernières semaines. Le dollar a progressé de 5,1% par rapport à la monnaie nippone au cours de ces cinq dernières semaines. Le billet vert a même atteint dans la matinée de lundi son plus haut niveau depuis avril 2011, à un dollar pour 84,48 yens.  La dépréciation du yen est plutôt bien accueillie par les investisseurs, alors que son appréciation a beaucoup pesé sur les exportations japonaises cette année. Les titres des grandes entreprises exportatrices étaient ainsi en hausse lundi, à l’instar de Honda qui s’adjuge 1,1% ou de Toshiba qui prend 3,74%. L’indice Topix Electric Power & Gas, consacré au secteur de l’énergie a progressé de 8%, alors que le nouveau parti au pouvoir tient à relancer la filière nucléaire, remise en question depuis l’accident de Fukushima.  La large majorité des sièges obtenue au Parlement par le PLD permettra à Shinzo Abe de mettre plus facilement en place sa politique économique. Les investisseurs attendent de la nouvelle équipe des solutions à la déflation et à la récession économique dans laquelle le pays vient d’entrer. Le premier test du nouveau chef de gouvernement devrait arriver rapidement avec la réunion cette semaine des dirigeants de la Banque centrale. D’ores et déjà, le futur premier ministre a fait savoir qu’il demanderait à son gouvernement, une fois formé le 26 décembre, de travailler avec la Banque du Japon pour fixer un objectif d’inflation de 2%.

 




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