Archive pour le Tag 'rassurante !'

ELECTRICITÉ: Production plus rassurante en France (RTE)

ELECTRICITÉ: Production plus rassurante en France (RTE)

Un double phénomène permet d’être plus optimiste sur la situation de l’électricité en France. En cause,  la relative douceur du climat et parallèlement la montée en puissance des centrales nucléaires qui étaient immobilisées pour cause d’entretien

Ce sont toujours les deux mêmes leviers qui permettent au réseau électrique français de rester éloigné d’une situation critique: la consommation et la production. Comme depuis la rentrée, la première reste significativement en-dessous des moyennes historiques sur la période 2014-2019. Sur les quatre dernières semaines, elle a ainsi enregistré une diminution de 8,5% en corrigeant les effets météorologiques. Une baisse qui concerne aussi bien l’industrie que les secteurs tertiaire et résidentiel. Deux facteurs participent à orienter la consommation d’électricité à la baisse à savoir les effets économiques de l’augmentation des prix et autres matières premières ainsi que les campagnes de sensibilisation sur les économies d’énergie.

Pour illustrer cet écart, la différence entre la consommation réalisée en moyenne lors de la dernière semaine de l’année 2022 et une consommation typique du mois de décembre a ainsi dépassé les 20 GW (50 GW contre 70 habituellement). Trois effets ont accentué ce delta, notamment la baisse d’activité et donc de consommation, qui est traditionnellement observée entre Noël et le Nouvel An, mais surtout les conditions météorologiques, en l’occurence des températures anormalement hautes pour la saison.

 En matière de production, le parc nucléaire qui est désormais disponible à plus des trois quarts avec 43 réacteurs couplés au réseau qui correspondent à une disponibilité de 45GW.

Le représentant de RTE indique cependant que la disponibilité du parc nucléaire pourrait tendre vers 40 GW à la fin du mois de février, sous la combinaison de deux effets: l’arrêt de 9 réacteurs dans le cadre de la campagne de maintenance de 2023 qui va contre-balancer la remise en service des premiers gros réacteurs affectés par la corrosion sous contrainte (CSC) du palier N4 puis les deux d’une puissance de 1.300 MW.

« Cette amélioration demeure dépendante des travaux de CSC et de la bonne exécution du programme de maintenance prévu, y compris en cas d’un éventuel mouvement social dans le cadre de la réforme des retraites », souligne Thomas Veyrenc.

La progression est encore plus marquée pour les réserves hydrauliques qui sont désormais au-delà des moyennes historiques grâce à une gestion prudente des exploitants. Du côté, des stocks de gaz, ils restent élevés en France comme ailleurs en Europe et même au-dessus des moyennes sur la période 2015-2021. « On déstocke du gaz mais à un rythme plutôt lent, constate Thomas Veyrenc. De manière générique, on peut dire que l’hiver 2023-2024 sera moins risqué que l’hiver 2022-2023. »

Depuis mi-décembre, la situation a tellement été favorable que la France a fini par redevenir exportatrice avec 2 TWh destinés à nos voisins sur le seul mois de janvier même si l’Hexagone restera importateur sur la globalité de la période hivernale.

En ce qui concerne les prix, ils sont « redevenus cohérents avec les fondamentaux économiques », explique-t-on chez RTE.

« La prime de risque s’est effondrée au cours des dernières semaines ce qui a conduit à une forte baisse des prix français de l’électricité sur les marchés à terme », précise RTE qui rappelle que les consommateurs ne devraient pas bénéficier immédiatement de cette diminution, la plupart des prix étant basés sur des contrats de 2022.

 

« L’inflation temporaire rassurante » : un nouveau concept économique

  • « L’inflation temporaire rassurante » : un nouveau concept économique
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  • Les principaux responsables économiques se veulent rassurants et relativisent tous l’importance de l’inflation. Ils ont même inventé un nouveau concept : l’inflation temporaire ! Or dans l’histoire économique on a rarement vu un retour rapide des prix à la baisse après une inflation. L’inflation est en effet conjoncturelle du fait d’une demande alimentée par la reprise économique générale.
  • Mais elle est aussi structurelle en raison des préoccupations environnementales et des restructurations du système de production à l’échelle mondiale  ( voir par exemple l’affaire des composants électroniques, des prix de l’énergie et des métaux).
  •  Le patron de la BNP, dans un entretien au Figaro participe ainsi à ce mouvement d’endormissement de l’opinion concernant l’inflation. Une inflation qui ne cesse de grimper notamment pour les dépenses contraintes et que l’INSEE minimise grâce à la déformation d’un indice devenu obsolète  ( la nature et le montant des dépenses des ménages ont changé avec la crise sanitaire)

 

  • interview (extrait)
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  • Pour le patron de BNP Paribas, la hausse du prix de l’énergie et des matières premières n’est pas de nature à remettre en cause la reprise.
  • Jean-Laurent BONNAFÉ. - 
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  • Les entreprises se portent globalement bien, nous l’observons chez nos clients. Hormis quelques secteurs encore touchés par la crise qu’il faut continuer à accompagner, elles disposent d’une importante trésorerie et de bonnes capacités de financement qui leur permettent d’investir à nouveau. Les mesures mises en place en France et en Europe par les pouvoirs publics, avec le soutien des banques, ont clairement produit leurs effets. La tendance est également positive pour nos clients particuliers même s’il faudra attendre la fin d’année ou début 2022 pour que la consommation retrouve pleinement son niveau d’avant crise. La bonne santé de l’économie et le rebond de l’activité se reflètent dans les résultats solides de BNP Paribas.
  • On voit mal en quoi les résultats financiers de la BNP constitueraient un indicateur de bonne santé économique car la BNP comme les autres banques ont été inondées de liquidités à bon compte de la part de la banque centrale NDLR

 » Biden : condamné à une politique bienveillante et rassurante »

« Biden : condamné à une politique bienveillante et rassurante »

 

 

Pour le politologue américain, John Zogby, fondateur et dirigeant de l’entreprise de sondages et d’analyse stratégique Zogby Analytics-The Zogby Poll, Joe Biden a « le tempérament et l’empathie pour transcender le tribalisme qui caractérise aujourd’hui la vie politique américaine ». ( Interview dans l’opinion)

 

Comment Joe Biden doit-il gérer sa période de transition ?

Il doit se montrer calme, rassurant et contrôler les événements. Il faut qu’il adopte l’approche d’Abraham Lincoln après la guerre civile (12 avril 1861-13 mai 1865) : «  Sans malveillance à l’égard de quiconque, avec bienveillance pour tous » pour reprendre ses mots, lors du discours d’intronisation de son second mandat, le 4 mars 1865. Commence maintenant le processus de rencontres avec les leaders du Congrès des deux partis. Quant aux supporteurs de la droite dure de Donald Trump, je ne crois pas qu’il puisse faire quoi que ce soit avec eux si ce n’est les isoler. Ce serait bien pour lui de commencer publiquement à s’entourer de gens de la génération des millenials, que cela soit dans son cabinet et parmi ses proches conseillers.

Peut-on s’attendre à d’autres surprises comme celle qui verrait des délégués du collège électoral de certains Etats s’affranchir du vote comme cela s’est passé avec une dizaine d’entre eux (dont huit démocrates) en 2016 ?

Des délégués peuvent changer leur vote mais ils se doivent en théorie d’être loyal à leur parti et à ses dirigeants. Vu l’antipathie générale des démocrates à l’égard de Donald Trump, il y a peu de chances que cela se reproduise.

La Cour suprême des Etats-Unis peut-elle changer des résultats ?

C’est difficile d’imaginer que la Cour suprême soit impliquée dans cette élection car il n’y a aucune preuve que des droits civiques aient été violés ou que des lois aient été enfreintes lors du scrutin présidentiel. Les Etats ont le pouvoir de gérer les élections qui se déroulent chez eux.

Même si Donald Trump reconnaît sa défaite, comment va-t-il pouvoir gouverner avec une majorité plus faible que prévu à la Chambre des représentants et le Sénat contrôlé par l’opposition républicaine ?

Il peut passer outre les dirigeants du Congrès et tranquilliser les modérés des deux partis en leur expliquant qu’il a un programme à faire appliquer. Le travail qui l’attend n’est pas facile mais il doit agir rapidement pour s’assurer le plus d’appui bipartisan possible.

Ne risque-t-il pas alors de s’aliéner l’aile progressiste du parti démocrate ?

Il devra inclure des républicains au sein de son cabinet tout comme des supporteurs de Bernie Sanders et d’Elizaberh Warren, quitte à les inclure eux-mêmes dans son équipe.

Y a-t-il des inquiétudes aux Etats-Unis quant à la santé de Joe Biden ? Il semble avoir eu quelques absences durant cette campagne…

Les sondages à la sortie des urnes ont montré que les électeurs n’étaient inquiets ni de sa santé physique, ni de sa santé mentale. Mais il devra montrer régulièrement qu’il est à la fois en forme et solide.

 

 

La situation économique est rassurante (MINC)!

La situation économique est rassurante (MINC)!

Paradoxalement la situation plus rassurante qu’en 2008″, assure Alain Minc. Invité de la matinale d’Europe 1 vendredi, l’essayiste et économiste est revenu sur la crise économique qui a suivi la crise sanitaire du coronavirus. Celui qui s’est fait une spécialité de tout dire et le contraire affirme qu’il est « très important » de comparer cette crise avec ce que le monde a vécu en 2008. Il y a douze ans, affirme Alain Minc, « tout pouvait s’arrêter définitivement ». Alors qu’aujourd’hui, « la mondialisation numérique s’est accentuée, la mondialisation financière continue allègrement avec des niveaux de bourses ahurissants« . 

« En 2008, le système capitaliste pouvait mourir », rappelle Alain Minc. Mais aujourd’hui, « la question ne se pose pas : le système capitaliste ne mourra pas », tranche-t-il au micro d’Europe 1. « En revanche, c’est comme quelqu’un qui a une entaille et il faut combler cette entaille », prévient l’économiste. Selon lui, cette tâche prendra « des années ».

 

« Néanmoins, les dégâts sont là« , reconnaît Alain Minc. Mais la méthode employée par les décideurs au niveau international fait que la crise que nous vivons n’est pas comparable avec celle de 1929, selon l’essayiste. « Il faut se dire que les gouvernements et les banques centrales ont fait un travail extraordinaire », dit-il à notre micro. « Si en 1930 les gouvernements et les banques centrales avaient fait ce qui a été fait là, peut-être aurions-nous évité l’engrenage fatal qui a conduit a Hitler », affirme Alain Minc. » L’action d’une banque centrale le meilleur moyen de lutter contre Hitler  ou l’histoire revisitée par les conseillers des princes… du moment !

La situation économique est rassurante (MINC)

La situation économique est rassurante (MINC)

Paradoxalement la situation plus rassurante qu’en 2008″, assure Alain Minc. Invité de la matinale d’Europe 1 vendredi, l’essayiste et économiste est revenu sur la crise économique qui a suivi la crise sanitaire du coronavirus. Celui qui s’est fait une spécialité de tout dire et le contraire affirme qu’il est « très important » de comparer cette crise avec ce que le monde a vécu en 2008. Il y a douze ans, affirme Alain Minc, « tout pouvait s’arrêter définitivement ». Alors qu’aujourd’hui, « la mondialisation numérique s’est accentuée, la mondialisation financière continue allègrement avec des niveaux de bourses ahurissants« . 

« En 2008, le système capitaliste pouvait mourir », rappelle Alain Minc. Mais aujourd’hui, « la question ne se pose pas : le système capitaliste ne mourra pas », tranche-t-il au micro d’Europe 1. « En revanche, c’est comme quelqu’un qui a une entaille et il faut combler cette entaille », prévient l’économiste. Selon lui, cette tâche prendra « des années ».

 

« Néanmoins, les dégâts sont là« , reconnaît Alain Minc. Mais la méthode employée par les décideurs au niveau international fait que la crise que nous vivons n’est pas comparable avec celle de 1929, selon l’essayiste. « Il faut se dire que les gouvernements et les banques centrales ont fait un travail extraordinaire », dit-il à notre micro. « Si en 1930 les gouvernements et les banques centrales avaient fait ce qui a été fait là, peut-être aurions-nous évité l’engrenage fatal qui a conduit a Hitler », affirme Alain Minc. » L’action d’une banque centrale le meilleur moyen de lutter contre Hitler »ou l’histoire revisitée par les conseillers des princes !

 

Ebola : Touraine, qui n’y connait rien, rassurante !

Ebola : Touraine, qui n’y connait rien, rassurante !

 

Rassurante la ministre de la santé qui sur ce sujet là, comme sur le reste,  ne connait rien d’autre que ce qu’on  apprend à l’ENA, c’est à dire rien ! Marisol Touraine oublie simplement que les vacances d’été viennent de commencer et qu’en particulier les immigrés séjournant dans leur pays d’origine risquent de revenir avec le virus vers la fin de l’été. Même si elle pense qu’une « extrême vigilance s’impose » ( les mots habituels pour ne rien dire) , la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a estimé que la France « a les moyens de faire face à Ebola » dans un entretien publié jeudi par le Parisien/Aujourd’hui en France.   »Aucun cas importé n’a été signalé à ce jour (en France, ndlr). Pour autant, une extrême vigilance s’impose face à cette maladie à la fois très grave et très contagieuse qui progresse en Afrique », a souligné la ministre qui assure que « à l’heure actuelle, le risque d’importation du virus en Europe et en France est faible ». « Nous faisons en sorte que notre pays ne soit pas touché » a affirmé la ministre qui a souligné que « depuis plusieurs mois » le ministère des Affaires Etrangères et celui de la Santé ont « établi des recommandations pour ceux qui se rendent dans les pays concernés. » « Sans alarmer, c’est sur cette prévention en amont qu’il faut insister » a poursuivi Marisol Touraine. Si des cas importés étaient signalés, La ministre de la Santé a affirmé que « notre pays a les moyens de faire face ». « Nous avons mis le dispositif de veille sanitaire en alerte pour sensibiliser les professionnels de santé au diagnostic et aux modalités de prise en charge au cas où un malade se présenterait souffrant de fièvre et rentrant de l’un des pays concernés par l’épidémie », a-t-elle expliqué.  L’Ebola, en grande partie responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique qui sévit depuis janvier avec au moins 660 morts en Afrique de l’Ouest, figure parmi les plus contagieux et mortels chez l’homme, qu’il peut tuer en quelques jours. Ce virus tueur, qui provoque des « fièvres hémorragiques », tire son nom d’une rivière du nord de l’actuelle République démocratique du Congo (ex-Zaïre), où il a été repéré en 1976. Son taux de mortalité peut aller de 25 à 90% et il n’existe pas de vaccin homologué.  Cinq souches différentes ont été identifiées (Zaïre, Soudan, Bundibugyo, Reston, Forêt de Taï), dont trois particulièrement redoutables avec des taux de mortalité pouvant atteindre 90% chez l’homme. Ce virus de la famille des filoviridae (filovirus) se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d’animaux infectés. Les rituels funéraires, au cours desquels parents et amis sont en contact direct avec le corps du défunt, jouent un rôle important dans la transmission. La chasse et la consommation d’animaux de brousse peuvent également entraîner la contamination. Néanmoins, la cause première des poussées épidémiques reste mystérieuse et le réservoir naturel du virus demeure inconnu même si on estime qu’il se situe dans les forêts tropicales d’Afrique et du Pacifique occidental. Certaines études montrent que la chauve-souris participerait au cycle de transmission du virus. Après une période d’incubation de deux à 21 jours, la « fièvre hémorragique à virus Ebola » se caractérise souvent par une brusque montée de température, avec une faiblesse intense, des douleurs musculaires, céphalées et maux de gorge. Elle est souvent suivie de vomissements, diarrhées, éruptions cutanées, insuffisance rénale et hépatique et hémorragies internes et externes. Les cas graves sont placés en unité de soins intensifs et les malades, déshydratés, doivent être mis sous perfusion. Il n’existe aucun traitement ni vaccin spécifiques pour la fièvre hémorragique à virus Ebola. Plusieurs vaccins sont en cours d’essai mais il faudra peut-être des années avant qu’un vaccin puisse être utilisé, même si des chercheurs américains ont annoncé fin 2011 avoir mis au point un vaccin efficace à 80% chez la souris. Parallèlement un nouveau médicament « prometteur » est en cours d’évaluation en laboratoire, selon l’OMS. L’épidémie, en cours depuis le début de l’année, s’est déclarée d’abord en Guinée avant de se propager au Liberia puis en Sierra Leone, deux pays voisins qui, au 23 juillet, totalisaient 1201 cas dont 672 mortels, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). « Le problème est que personne ne sait combien de temps va durer cette épidémie », confie un expert. « Le problème est de préparer les pays voisins, notamment la Côte d’Ivoire, et même plus lointains », a-t-il souligné. « Il y a de plus en plus de cas dans les capitales. La période d’incubation est de 21 jours et les gens voyagent », a-t-il expliqué. « Le virus Ebola ne se transmet pas facilement, mais la mort est terrible. Elle survient souvent le 8e jour, le plus souvent des suites d’une pancréatite aiguë », a-t-il commenté. « Il devient de plus en plus difficile de trouver des personnels locaux pour traiter les malades dans les pays touchés », a-t-il déploré.

 

 




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