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Macron encore à la télé lundi : ras-le-bol !

Macron encore à la télé lundi : ras-le-bol !

Il ne se passe guère une semaine sans que ce président s’invite à la télévision pour parler de tout et surtout de rien. Sa dernière prestation a encore été catastrophique. À tel point que des instituts de sondages qui ont mesuré son impact n’ont pas diffusé les mauvais résultats. Du coup, Macron persiste et s’invite cette fois sur la trois lundis aux 19–20 heures.

Le pire c’est qu’il va parler de sécurité notamment alors qu’il a lamentablement échouée dans ce domaine avec des records de délinquance, l’installation d’une véritable économie de drogue et une révolte des quartiers dont il devait tirer les leçons mais qu’il a oublié de traiter.

Une semaine après son entretien aux 20 heures de TF1 et de France 2, le 24 septembre dernier, Emmanuel Macron revient à nouveau sous les projecteurs télévisés. Le président de la République sera cette fois l’invité du 19/20 de France 3, lundi à partir de 19h15 pour une «interview thématisée consacrée à la sécurité», a fait savoir l’Élysée.

L’intervention sera diffusée sur l’ensemble des éditions régionales, comme l’affirme la chaîne. Le président de la République s’exprimera depuis le Lot-et-Garonne, où il est attendu aux côtés du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin pour dévoiler la localisation des 200 futures brigades de gendarmerie, partout en France.

Le problème c’est que des brigades de gendarmerie existante pour la plupart ont des effectifs tellement réduits qu’elles ne sont ouvertes que quelques jours par semaine pour faire des permanences. L’annonce de la création de 200 futures brigades de gendarmerie est une fumisterie. D’ici 2027, la France n’aura jamais les moyens de disposer des bâtiments et des effectifs nécessaires sans parler des logements des intéressés. Au mieux en cinq ans si l’on construit déjà une cinquantaine de gendarmeries supplémentaires cela relèvera du miracle.

Mécontentement social et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement

Mécontentement social et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement


Une nouvelle manifestation et des grèves a eu lieu jeudi 16 février. Une mobilisation surtout centrée sur cette France des sous-préfectures notamment à Albi où ont défilé les leaders de la CGT et de la CFDT, Philippe Martinez et Laurent Berger.

La dernière mobilisation a été moins forte que les autres ; par contre, l’opinion publique est toujours en faveur du rejet de la réforme. D’une certaine manière même, plus le gouvernement tente de s’expliquer et plus l’opposition au projet du gouvernement se renforce.

Témoin le nouveau sondage d’Elabe. Dans ce contexte, on ne s’étonnera pas de l’impopularité du projet de réforme en soi. 67% des Français le repoussent, tandis que 32% se disent favorables à la vision de l’exécutif.

Les plus véhéments critiques du texte émargent au sein des 18-24 ans – avec un taux de 77% d’opposition au projet, après un bond de 14 points en une semaine -, et des ouvriers (80%, en progression de sept points). 7 actifs sur dix, plus globalement, ont la même position, comme 53% des retraités.

Il faut dire que 72% des Français trouvent la feuille de route qui leur est présentée « injuste », 63% – en hausse de cinq points – condamnent même son « inefficacité », tandis que 55% d’entre eux estiment même qu’elle n’est « pas nécessaire ».

Jean-Claude Ducatte , président du cabinet de conseil EPSY, les gens qui défilent depuis plusieurs semaines ne manifestent pas seulement contre la réforme. Ils expriment aussi un “ras-le-bol » général contre le gouvernement. Si l’on suit cette logique, les prochaines manifestations seront donc un succès si elles intensifient le mécontentement, faisant ainsi augmenter le nombre de Français opposés non seulement à la réforme, mais aussi au gouvernement. Cela le mettrait en difficulté lors des élections à venir, poursuit le spécialiste.

La communication reste une arme essentielle pour les syndicats comme pour le gouvernement. Mais les syndicats disposent d’une arme encore plus puissante: l’opinion publique.
Au-delà des chiffres, c’est l’opinion publique qui compte estime Jean-Claude Ducatte.

Si trois millions de personnes descendent dans la rue, la Première ministre Elisabeth Borne sort, estime Jean-Claude Ducatte, président du cabinet de conseil EPSY. Une hypothèse peu probable pour l’instant.

Mais pour Jean-Claude Ducatte, l’essentiel n’est pas dans les chiffres, pas dans ceux-là en tout cas.

Pour Jean-Claude Ducatte, les gens qui défilent depuis plusieurs semaines ne manifestent pas seulement contre la réforme. Ils expriment aussi un “ras-le-bol » général contre le gouvernement. Si l’on suit cette logique, les prochaines manifestations seront donc un succès si elles intensifient le mécontentement, faisant ainsi augmenter le nombre de Français opposés non seulement à la réforme, mais aussi au gouvernement. Cela le mettrait en difficulté lors des élections à venir, poursuit le spécialiste.

Grogne sociale et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement

Grogne sociale et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement


Une nouvelle manifestation et des grèves a eu lieu jeudi 16 février. Une mobilisation surtout centrée sur cette France des sous-préfectures notamment à Albi où ont défilé les leaders de la CGT et de la CFDT, Philippe Martinez et Laurent Berger.

La mobilisation a été moins forte que samedi dernier ; par contre, l’opinion publique est toujours en faveur du rejet de la réforme. D’une certaine manière même, plus le gouvernement tente de s’expliquer et plus l’opposition au projet du gouvernement se renforce.

Témoin le nouveau sondage d’Elabe. Dans ce contexte, on ne s’étonnera pas de l’impopularité du projet de réforme en soi. 67% des Français le repoussent, tandis que 32% se disent favorables à la vision de l’exécutif.

Les plus véhéments critiques du texte émargent au sein des 18-24 ans – avec un taux de 77% d’opposition au projet, après un bond de 14 points en une semaine -, et des ouvriers (80%, en progression de sept points). 7 actifs sur dix, plus globalement, ont la même position, comme 53% des retraités.
Il faut dire que 72% des Français trouvent la feuille de route qui leur est présentée « injuste », 63% – en hausse de cinq points – condamnent même son « inefficacité », tandis que 55% d’entre eux estiment même qu’elle n’est « pas nécessaire ».

Jean-Claude Ducatte , président du cabinet de conseil EPSY, les gens qui défilent depuis plusieurs semaines ne manifestent pas seulement contre la réforme. Ils expriment aussi un “ras-le-bol » général contre le gouvernement. Si l’on suit cette logique, les prochaines manifestations seront donc un succès si elles intensifient le mécontentement, faisant ainsi augmenter le nombre de Français opposés non seulement à la réforme, mais aussi au gouvernement. Cela le mettrait en difficulté lors des élections à venir, poursuit le spécialiste.

La communication reste une arme essentielle pour les syndicats comme pour le gouvernement. Mais les syndicats disposent d’une arme encore plus puissante: l’opinion publique.
Au-delà des chiffres, c’est l’opinion publique qui compte estime Jean-Claude Ducatte.

Si trois millions de personnes descendent dans la rue, la Première ministre Elisabeth Borne sort, estime Jean-Claude Ducatte, président du cabinet de conseil EPSY. Une hypothèse peu probable pour l’instant.

Mais pour Jean-Claude Ducatte, l’essentiel n’est pas dans les chiffres, pas dans ceux-là en tout cas.

Pour Jean-Claude Ducatte, les gens qui défilent depuis plusieurs semaines ne manifestent pas seulement contre la réforme. Ils expriment aussi un “ras-le-bol » général contre le gouvernement. Si l’on suit cette logique, les prochaines manifestations seront donc un succès si elles intensifient le mécontentement, faisant ainsi augmenter le nombre de Français opposés non seulement à la réforme, mais aussi au gouvernement. Cela le mettrait en difficulté lors des élections à venir, poursuit le spécialiste.

Social et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement

Social et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement


Une nouvelle manifestation et des grèves ont lieu aujourd’hui jeudi 16 février. Une mobilisation qui sera surtout centrée sur cette France des sous-préfectures où défileront d’ailleurs les leaders de la CGT et de la CFDT, Philippe Martinez et Laurent Berger.

La mobilisation risque d’être moins forte que samedi dernier ; par contre, l’opinion publique est toujours en faveur du rejet de la réforme. D’une certaine manière même, plus le gouvernement tente de s’expliquer et plus l’opposition au projet du gouvernement se renforce.

Témoin le nouveau sondage d’Elabe. Dans ce contexte, on ne s’étonnera pas de l’impopularité du projet de réforme en soi. 67% des Français le repoussent, tandis que 32% se disent favorables à la vision de l’exécutif.

Les plus véhéments critiques du texte émargent au sein des 18-24 ans – avec un taux de 77% d’opposition au projet, après un bond de 14 points en une semaine -, et des ouvriers (80%, en progression de sept points). 7 actifs sur dix, plus globalement, ont la même position, comme 53% des retraités.
Il faut dire que 72% des Français trouvent la feuille de route qui leur est présentée « injuste », 63% – en hausse de cinq points – condamnent même son « inefficacité », tandis que 55% d’entre eux estiment même qu’elle n’est « pas nécessaire ».

Jean-Claude Ducatte , président du cabinet de conseil EPSY, les gens qui défilent depuis plusieurs semaines ne manifestent pas seulement contre la réforme. Ils expriment aussi un “ras-le-bol » général contre le gouvernement. Si l’on suit cette logique, les prochaines manifestations seront donc un succès si elles intensifient le mécontentement, faisant ainsi augmenter le nombre de Français opposés non seulement à la réforme, mais aussi au gouvernement. Cela le mettrait en difficulté lors des élections à venir, poursuit le spécialiste.

La communication reste une arme essentielle pour les syndicats comme pour le gouvernement. Mais les syndicats disposent d’une arme encore plus puissante: l’opinion publique.
Au-delà des chiffres, c’est l’opinion publique qui compte estime Jean-Claude Ducatte.

Si trois millions de personnes descendent dans la rue, la Première ministre Elisabeth Borne sort, estime Jean-Claude Ducatte, président du cabinet de conseil EPSY. Une hypothèse peu probable pour l’instant.

Mais pour Jean-Claude Ducatte, l’essentiel n’est pas dans les chiffres, pas dans ceux-là en tout cas.

Pour Jean-Claude Ducatte, les gens qui défilent depuis plusieurs semaines ne manifestent pas seulement contre la réforme. Ils expriment aussi un “ras-le-bol » général contre le gouvernement. Si l’on suit cette logique, les prochaines manifestations seront donc un succès si elles intensifient le mécontentement, faisant ainsi augmenter le nombre de Français opposés non seulement à la réforme, mais aussi au gouvernement. Cela le mettrait en difficulté lors des élections à venir, poursuit le spécialiste.

Décès d’Elizabeth II : Ras-le-bol de l’enflure médiatique

Décès d’Elizabeth II : Ras-le-bol de l’enflure médiatique

 

« Ce n’est plus seulement de l’information qui déferle sur les écrans de télévision et dans la presse. C’est un déluge d’hommages dégoulinant d’amour de la reine [...], à se demander si la Terre entière n’est pas devenue monarchiste, regrette Daniel Leburgue. Je déplore [...] que « Le Monde » se soit laissé emporter par cette « lilibeth mania » anesthésiante. »

 

Bien sûr que la mort d’une reine qui a traversé tant d’années d’histoire est un événement mondial qu’il faut relater, ainsi que la manière dont les populations réagissent à cet événement. Il est aussi important de parler du nouveau roi et de la façon dont la monarchie britannique, la plus en vue de toutes les monarchies constitutionnelles qui existent encore, fonctionne.

Mais ce n’est plus seulement de l’information qui déferle sur les écrans de télévision et dans la presse. C’est un déluge d’hommages dégoulinant d’amour de la reine, parfois sirupeux, à se demander si la Terre entière n’est pas devenue monarchiste, fascinée, tel le papillon attiré par la lumière, par les fastes clinquant dont la défunte semblait incarner à elle seule une image absolue et définitive. Cette image fait rêver les foules crédules par la beauté, le protocole fastueux, les supposées merveilleuses actions durant son règne et le supposé rôle important et fantastique joué dans le monde par la défunte.

Le Monde se devait bien sûr de rapporter les événements, mais… De là à proposer de suivre en direct l’allocution du nouveau roi, de là à envoyer trois mails par jour pour suivre plus ou moins en direct ce qui se passe à la cour royale, de là à en rajouter en relatant en détail, avec un déluge de photos toujours souriantes de « sa Gracieuse Majesté » à tous les âges de la vie, toutes sortes d’épisodes qui ont émaillé les soixante-dix ans de règne d’Elizabeth II, n’est-ce pas aller au-delà de l’information et de l’oraison funèbre ? Peut-on comparer le rôle mondial d’Elizabeth II à celui de Mikhaïl Gorbatchev, qui vient lui aussi de mourir ? L’un est anecdotique alors que l’autre a une autre dimension historique.

Fallait-il toutefois aller à la rescousse pour tenter d’expliquer, via des spécialistes de la monarchie britannique, la « lourde charge » d’un monarque alors qu’il est dénué de tout pouvoir politique. Forcément, il y aura toujours des « spécialistes » qui, venus de ce fonds de commerce que sont les potins de la cour britannique, vous expliqueront le rôle important du monarque.

Or aujourd’hui, dans un monde où le monarque constitutionnel n’a pas de pouvoir politique et où le soi-disant pouvoir politique est lui-même devenu trop souvent un vassal du pouvoir économique détenu par les grandes entreprises mondialisées et le monde de la finance, la monarchie n’est qu’une belle potiche clinquante n’ayant qu’un rôle de communication, fait d’apparats, de réceptions luxueuses et de paillettes qui entretiennent des nostalgies et des rêves désuets, comme s’il s’agissait d’une série encore plus réussie que Downtown Abbey, avec l’avantage qu’elle est sans fin et réelle, et non une fiction…

Je regrette que Le Monde, et il n’est hélas pas le seul organe de presse que je critique, se soit transformé en une sorte d’annexe de GalaParis-MatchPoint de Vue, etc., qui font rêver d’habitude les midinettes en mal de Cendrillon ou de châteaux en Espagne, pour participer à la résurgence de la nostalgie des fastes monarchiques.

Nous vivons depuis plusieurs décennies une période de régression de la démocratie et des valeurs républicaines. Elle s’accompagne en même temps de la montée de l’obscurantisme, qui se manifeste par un regain religieux fondamentaliste et/ou par le rejet de la science et du rationalisme. La montée de populismes mensongers et de dictatures est désormais basée sur la manipulation de l’esprit des populations via les moyens de communication principalement numériques qui renvoient les bonnes vieilles dictatures à l’ancienne par coup d’État militaire au rang de moyens de conquête révolus et dépassés.

Ces fossoyeurs des démocraties républicaines s’accommoderaient volontiers du retour du désir monarchique (comme on le voit au Brésil, par exemple) agissant comme une drogue anesthésiante de populations réduites au rang d’objets manipulés, et non plus de sujets de « Majestés » pas aussi gracieuses que l’image qu’on veut leur donner. Je déplore donc profondément que Le Monde se soit laissé emporter par cette « lilibeth mania » anesthésiante à laquelle nous assistons et participe ainsi à encore moins de défense et promotion de la République, déjà fissurée de toutes parts. Trop, c’est trop.

Daniel Leburgue.

Un article du présent site précédent tentait d’expliquer cette sorte de mélancolie monarchique.

D’une certaine manière, les reines et rois d’Angleterre illustrent   la tentation monarchique qui apparaît de temps en temps dans le monde et en particulier en France.

La France qui après avoir initié la révolution a réussi à concilier la démocratie avec les principes monarchiques.

Dans le monde moderne ( à l’exception donc des pays à régime autocratique), la France fait un peu exception avec un système politique très centralisé et très monarchique. En fait, un seul homme oriente et dirige : le président. Autour de lui, une vaste cour constituée essentiellement d’un clergé spécialisé et formé dans les instituts de formation politique ( Sciences-po, ENA etc.).

En France une fois pénétrée la cour monarchique, on sort difficilement de cet environnement politique qui par ailleurs entretient des liens ambigus avec les puissances économiques et financières.

En comparant la France et l’Angleterre, on peut se légitimement se demander quel est le régime le plus monarchique.

La tentation monarchique est largement entretenue en France par le relatif échec du système démocratique dont se détournent désormais une grosse majorité des citoyen. En cause, la lourdeur des institutions et le fait que la démocratie est largement appropriée par des professionnels et-ou  anciens fonctionnaires. Dans la plupart des autres pays, les responsables battus aux élections disparaissent du paysage politique ; pas en France, où les résurrections et reclassements  sont toujours possibles.

Consciemment ou inconsciemment, les Français rêvent d’un retour d’un roi ou d’une reine, pour le faste sans doute, le retour à l’histoire et l’illusion de la grandeur que cela confèrerait  au pays.

Macron encore plus que d’autres a bien compris les ambiguïtés démocratiques françaises. Il a bien essayé de restaurer la grandeur monarchique passée mais sans grand succès. Si la reine d’Angleterre a pu apparaître un peu comme aussi la reine de France, Macron, lui, n’a jamais pu être considéré comme la reine d’Angleterre. Une sorte d’injustice car cette posture lui conviendrait mieux que celle d’un président de la république française.

« The voice »: Ras-le-bol des chansons américainess (Souchon)

The voice: Ras-le-bol des chansons américaines (Souchon)

 

Souchon a donné nettement son sentiment à propos de l’émission The Voice et des chansons américaines : ras le bol des musiques américaines quand la France compte tellement de talents. Lors d’une interview donnée sur RTL, le chanteur de 77 ans a partagé ses réserves sur le concept du télécrochet de TF1.

 

L’acolyte de Laurent Voulzy a étayé sa théorie : . Ce qui est intéressant dans la chanson française, c’est Alain Bashung, c’est Véronique Samson. Qu’on trouve des gens qui chantent des chansons américaines de manière puissante, on s’en fout!», a-t-il tancé. «Ces émissions-là, je m’en fiche», a ajouté l’auteur-compositeur de 77 ans, précisant qu’il n’avait jamais été approché par la production pour faire partie du jury.

Alain Souchon préfèrerait regarder un concours où les artistes interprètent leurs propres compositions. Exactement le concept qu’avait imaginé Nagui dans «The Artist» il y a quelques mois sur France 2 mais qui n’a pas rencontré le succès escompté en termes d’audience. «Ça, c’est intéressant, les chansons françaises écrites en français avec le soin qu’apportait Claude Nougaro ou Serge Gainsbourg à être très originaux dans les textes», a-t-il conclu.

Repentance politique : Ras-le-bol

Repentance  politique :  Ras-le-bol

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve ,depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 Et que dire de l’occupation de la péninsule ibérique par les Arabes musulmans du début du VIIIe siècle à la fin du XVe siècle.  Quelle repentance vis-à-vis de l’Espagne actuelle ?

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Repentance politique : Ras-le-bol

Repentance politique :  Ras-le-bol

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord , c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve , depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 Et que dire de l’occupation de la péninsule ibérique par les Arabes musulmans du début du VIIIe siècle à la fin du XVe siècle.  Quelle repentance vis-à-vis de l’Espagne actuelle ?

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Repentance du politique : Ras-le-bol

Repentance du politique :  Ras-le-bol

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve ,depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 Et que dire de l’occupation de la péninsule ibérique par les Arabes musulmans du début du VIIIe siècle à la fin du XVe siècle.  Quelle repentance vis-à-vis de l’Espagne actuelle ?

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Repentance du politique: Ras-le-bol

 Repentance du politique:  Ras-le-bol

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve ,depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 Et que dire de l’occupation de la péninsule ibérique par les Arabes musulmans du début du VIIIe siècle à la fin du XVe siècle.  Quelle repentance vis-à-vis de l’Espagne actuelle ?

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Repentance politique: Ras-le-bol

 Repentance politique:  Ras-le-bol

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve ,depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 Et que dire de l’occupation de la péninsule ibérique par les Arabes musulmans du début du VIIIe siècle à la fin du XVe siècle.  Quelle repentance vis-à-vis de l’Espagne actuelle ?

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Politique- Repentance à bon compte: Ras-le-bol

Politique- Repentance à bon compte:  Ras-le-bol

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve ,depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 Et que dire de l’occupation de la péninsule ibérique par les Arabes musulmans du début du VIIIe siècle à la fin du XVe siècle.  Quelle repentance vis-à-vis de l’Espagne actuelle ?

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

La repentance à bon compte: Ras-le-bol

 

La repentance à bon compte:  Ras-le-bol

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve ,depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 Et que dire de l’occupation de la péninsule ibérique par les Arabes musulmans du début du VIIIe siècle à la fin du XVe siècle.  Quelle repentance vis-à-vis de l’Espagne actuelle ?

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Le ras-le-bol des repentances à bon compte

Le ras-le-bol des repentances à bon compte

 

Il y a sans doute des modes ou des cycles qui inscrivent le comportement des Etats dans des périodes de conquête joyeuse ou de triste repentance. Pour la France en tout cas depuis Hollande et Macron ( mais aussi Giscard et Chirac), le mouvement est à la contrition pour des événements historiques forcément souvent complexes et douloureux.

 

Ce qu’il faut regretter d’abord c’est l’impasse sur cette complexité et l’approche un peu binaire de l’histoire qui catégorise les impliqués de manière simpliste en bons et en méchants.

 

Cette schématisation concerne en particulier la dernière colonisation. Une colonisation sans doute globalement condamnable qui a surtout servi les intérêts économiques et financiers d’une minorité. Par contre, qui a aussi permis de structurer les organisations locales, de favoriser les investissements et le développement au sens large. Pour preuve ,depuis 60 ans, la décolonisation n’a guère permis de progrès à la hauteur des potentiels économiques et humains de ces pays.

 

Ceci étant,  la dernière colonisation était une erreur politique tellement était  forte dans le monde la quête d’autonomie nationale. Historiquement par contre l’appréciation des colonisations a été appréciée de manière très différente. Ainsi il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en question la colonisation de la France par les Romains car c’est la civilisation gallo-romaine qui a permis à la France de franchir une étape dans la modernité.

 

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la couronne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaines.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changé comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres; se  désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement aux historienx et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs « péchés » d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Plus loin encore qui se souvient que l’Occitanie été rattachée à la colonne de France grâce au massacre des Cathares. Un aspect même ignoré des livres d’histoire des écoles publiques.

 

Juger le passé à partir des critères d’aujourd’hui c’est forcément examiné le passé avec des lunettes teintées par la morale et l’éthique contemporaine.

 

 

De ce point de vue on peut souscrire à la définition du député européen Bernard Poignant, paru dans plusieurs journaux « France, j’aime ton histoire ». «  Il devient fatigant de se repentir et de s’excuser pour chaque étape de l’histoire de la France. La repentance est une méthode pontificale, marquée du sceau de la pénitence et en attente de rédemption. La quête de la vérité historique, la recherche inlassable des faits et leur publication relèvent du principe de reconnaissance, donc d’une méthode laïque et démocratique. »

 

 

Plus on remonte dans l’histoire et plus on constate que la plupart des pays un moment ou un autre ont été dominés et où colonisés par un autre. Dans beaucoup de cas, les cultures se sont imbriquées et l’assimilation nationale à effacé complètement les traces de la colonisation. Ceci vaut pour l’Europe dont les frontières ont énormément changées comme pour l’Afrique ou d’autres continents.

 

Pourquoi dès lors  ne pas aussi se repentir de ses colonisations passées qui au passage ont souvent été aussi injustes et plus dominatrices que les plus récentes.

 

Se repentir aujourd’hui c’est porter un jugement de valeur avec les critères contemporains, des critères plus souvent politiques ou idéologiques qu’historiques.

 

En outre se repentir pour des événements anciens, c’est en quelque sorte faire un acte de contrition sur la poitrine des autres. En quelque sorte se désolidariser d’une responsabilité forcément collective qui fait histoire.

 

Il n’appartient pas aux politiques de se repentir des faits anciens. Cette évaluation et ce jugement éventuel appartiennent  exclusivement au historien et non à des responsables politiques nourris d’une idéologie du moment bien content de faire porter le chapeau à des prédécesseurs morts peut-être pour faire oublier leurs péchés d’aujourdhui. (Les inégalités ou le massacre de l’environnement par exemple).

Tunisie: Un ras-le-bol vis-à-vis de l’islam politique

 Tunisie: Un ras-le-bol vis-à-vis de l’islam politique

 

Pour l’écrivaine Emna Belhaj Yahia, l’accueil réservé au coup de force du président Kaïs Saïed témoigne d’un « profond ras-le-bol à l’égard de l’islam politique qui a gouverné pendant dix ans » .(Le monde, extrait)

 

Tribune.

Mon pays, lieu de vie et de fragilités. En ce moment, il est secoué et attire l’attention du monde. Lorsqu’on est sur la corde raide, on souhaite qu’il y ait le plus de lumière possible pour ne pas trébucher. Je me pose donc des questions et j’essaye de comprendre.

La veille de l’opération menée par le chef de l’Etat tunisien, le 25 juillet au soir, dans quelle situation se trouvait le pays, dans quel contexte étions-nous en train d’évoluer et que pouvions-nous entrevoir de notre futur immédiat ? Nous étions au milieu d’un long processus de dégradation qui, avec la débâcle socio-économique et sanitaire, annonçait un désastre proche dont nul ne savait le visage qu’il prendrait. De déboire en blocage, en échec recommencé, nous tournions en rond jusqu’au vertige, les aiguilles de la montre tournaient aussi et le temps jouait contre nos intérêts vitaux que des dirigeants politiques sans crédibilité ne semblaient pas pressés de défendre.

 

Enlisé dans la crise, tout le monde cherchait l’issue, imaginait les scénarios, personne ne trouvait. De la cacophonie, oui, mais de vision claire, point ! Asphyxiés, nous refusions de mourir et ne voyions pas comment faire pour survivre. Soudain, Kaïs Saïed ouvre une porte sur l’inconnu. L’inconnu et la dose d’air qui pourrait, éventuellement, s’y trouver. Seule cette éventualité-là explique la joie qui a suivi, celle d’un peuple qui n’en pouvait plus de suffoquer. Joie exprimant l’instinct de vie d’un corps social meurtri, victime de politiciens dont la médiocrité n’a d’égale que l’arrogance. Porte sur l’inconnu au sens fort, ouverte par un homme qui aime à s’entourer de mystère. Autant de chances offertes que de pièges et de gouffres. Incertitudes, attente qui dure encore

Toutefois, à mes yeux, aujourd’hui, une certitude : nous avons acquis, nous Tunisiens qui venons de traverser la décennie post-révolution, une petite expérience politique, heurtée et chaotique certes, mais expérience quand même. Acquis, entre autres, le droit de nous interroger, de choisir. Et là, je pense à ces grands choix civilisationnels vers lesquels on a pris l’habitude de s’orienter sous l’effet des rapports de forces internationaux et de l’évolution même de nos sociétés.

Je fais référence ici à l’islam politique – ou islamisme – et à la place qu’il devrait prendre dans la construction de la démocratie. C’est précisément à ce sujet que la décennie écoulée nous a ouvert les yeux sur ce que ce courant porte en lui, sur la tutelle qu’il peut exercer sur une société pour la faire marcher à contresens, la figer dans des schémas dits « identitaires », justifiant l’immixtion dans la conscience individuelle, la soumission à un diktat drapé de religiosité et de fidélité au passé ancestral.

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