Archive pour le Tag 'Rama'

Rama Yade avait raison : Macron a besoin d’un test psychologique

Rama Yade avait raison : Macron a besoin d’un test psychologique

Rama Yade,ancienne ministre de Sarkozy avait fait connaître en 2017 qu’elle n’apprécie pas du tout la candidature de Macron. Elle considérait alors que le candidat Macon était trop immature et qu’il convenait de vérifier l’équilibre psychologique de l’intéressé. Dans une interview accordée à la matinale d’i-Télé en février 2017, elle déclarait « Au-delà de la transparence financière ou encore des 500 parrainages requis pour se présenter, notre pays devrait ajouter un autre critère : l’équilibre psychologique », avant d’ajouter : « C’est important ! Comme pour les pilotes d’avion. On évalue leur état psychologique. »

Dans son viseur ? Emmanuel Macron, « On savait qu’il n’avait pas de programme. On ne peut pas dire le matin que la colonisation est un crime contre l’humanité et s’en excuser le soir », a argumenté l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy avant de prendre le même exemple sur les déclarations d’Emmanuel Macron sur la Manif pour tous ou encore la légalisation du cannabis.

Pour Rama Yade, le candidat du mouvement En Marche n’avait aucune légitimité pour être l’outsider numéro 1 de la présidentielle : « Il y a un problème. Ce candidat n’est pas prêt. Les Français ne le connaissait pas il y a encore un an. On ne peut pas surgir ainsi en passant du coq à l’âne du matin jusqu’au soir. La France, c’est trop sérieux pour qu’à sa tête, on ait des amateurs. »

Finalement sept ans après, on peut encore s’interroger concernant l’équilibre psychologique d’un président qui se saoule lui-même de son propre bavardage contradictoire, confus et hors sol manifestant un égocentrisme maladif et qui confond théâtre et réalité.

On objectera à juste titre que d’autres dans auraientt sans doute justifié une vérification de leur équilibre psychologique tellement on compte de présidents incompétents, dangereux et même déments dans l’actuelle période de l’histoire ( Trump, Poutine, Erdogan, Xi, le président nord coréen, les mollahs d’Iran et bien d’autres comme Macron qui se prennent pour Jupiter ou ses prophètes !

Rama Yade , l’enfant gâtée qui n’a pas de légitimité pour parler “privilège blanc”

 Rama Yade ,  l’enfant gâtée qui  n’a pas de légitimité pour parler “privilège blanc”

Rama Yade a provoqué un certain étonnement en rejoignant des thèses du wokisme et notamment en contestant présence de statues de Colbert en France. Rama Yade fille de hauts diplomates sénégalais a bénéficié un parcours particulièrement bienveillant qui l’ont conduit grâce au sarkozysme à  un poste de ministre que ne justifiait nullement son passé militant. Grâce à cela notamment elle occupe le poste important Rama Yade directrice Afrique de l’Atlantic Council, un think tank américain. 

 De par son parcours, l’ancienne secrétaire d’État est pourtant la preuve que les privilèges sociaux, et non raciaux, déterminent les trajectoires, analyse Céline Pina ( le Figaro).

Ancienne élue locale, Céline Pina est essayiste et militante. Elle est la fondatrice de «Viv(r)e la République», elle a également publié Silence coupable (Kero, 2016) et Ces biens essentiels (Bouquins, 2021).

 

Dans une interview accordée à L’Express, Rama Yade explique vivre «comme une micro-agression» le fait qu’il y ait une statue de Colbert à Paris. Se faisant l’égérie du mouvement «woke», elle explique qu’en France le racisme est partout, dénonce le «privilège blanc» et explique qu’à cause de sa couleur de peau, «certaines portes (lui) sont fermées». Le problème est que son parcours témoigne exactement du contraire et rend sa complainte victimaire d’autant plus inaudible que celle qui tire à boulet rouge sur la France et voudrait déboulonner la statue de Colbert, ne voit aucun problème à vivre dans une ville qui porte le nom de Georges Washington, lequel posséda nombre d’esclaves.

Mais la victimisation ne s’embarrasse jamais de cohérence puisque l’essentiel n’est pas le rapport à la vérité et à l’histoire, mais la détermination à faire le procès des peuples et Nations que l’on choisit de cibler. Rama Yade déroule donc son catéchisme «woke» sans même se rendre compte qu’elle est l’exemple même du fait que les privilèges sociaux et non raciaux sont prépondérants dans les trajectoires. Elle en est l’illustration mais refuse de l’assumer et pour satisfaire son ego victimaire oublie même qu’au lieu d’alimenter la haine raciale, elle pourrait être au contraire l’exemple même d’une France où la couleur de peau n’est pas un obstacle aux ambitions individuelles.

Rama Yade aurait pu être un modèle. Certes pas d’ascension sociale, elle est issue d’un milieu privilégié et a fait un parcours tout à fait représentatif de sa classe sociale.

Car Rama Yade aurait pu être un modèle. Certes pas d’ascension sociale, elle est issue d’un milieu privilégié et a fait un parcours tout à fait représentatif de sa classe sociale. Fille de diplomate, elle a intégré Sciences Po puis réussit le concours prestigieux des administrateurs du Sénat. Elle est devenue ministre alors qu’elle était à peine trentenaire, puis a été nommée ambassadrice à l’Unesco avant de partir aux États-Unis, dans un de ces postes dorés où se recasent les privilégiés du pouvoir. Entre-temps elle aura même ambitionné de se présenter à la présidence de la République après avoir créé son propre parti. Bref un parcours marqué par la faveur et les avantages où on a peine à distinguer une quelconque violence raciale.

Ce serait même plutôt l’inverse. Au vu de sa jeunesse et de son très maigre bilan politique au moment de sa nomination, il est probable qu’elle a été choisie comme ministre justement par souci de montrer qu’en République, la couleur de peau ne limitait pas les ambitions, encore moins l’exercice de responsabilités au plus haut niveau. Il n’y a pas à lui en faire reproche, lorsqu’un ministre est choisi, il l’est autant parce qu’on parie sur un potentiel ou une expérience, que parce qu’il représente ou symbolise quelque chose qui le dépasse.

Tant de privilèges donnent des devoirs normalement, l’un des premiers est d’essayer de transformer des avantages personnels en opportunités pour ceux qui ne bénéficient pas des mêmes chances. C’est ainsi que l’on explique souvent que les personnes les plus défavorisées ont du mal à se projeter vers des parcours scolaires et professionnels ambitieux car elles manquent de modèles de réussite auxquels s’identifier. En leur temps, l’arrivée de femmes ministres dans les gouvernements a fait avancer la cause des femmes, simplement parce qu’elles démontraient dans les faits que c’était possible et que le chemin qu’elles avaient emprunté pouvait être suivi par d’autres.

Le fait de nommer des personnalités d’origine africaine, arabe ou des outremers au gouvernement est aussi une manière d’envoyer un message d’égalité et de rappeler que l’on ne juge pas un être humain sur sa couleur de peau mais sur ses capacités et ses mérites. Ce message-là est un des plus républicains qui soit. C’est ainsi que Léopold Sédar Senghor, dont le père de Rama Yade fut très proche ou Félix Houphouet Boigny ont été ministres de la IVe République, Gaston Monnerville fut président du Sénat entre 1946 et 1968, la liste de ministres noirs s’est étoffée sous la VRépublique avec Roger Bambuck, Kofi Yamgnane, Sibeth N’diaye, Christiane Taubira, Hélène Geoffroy, Georges-Pau Langevin, Laura Flessel, Elisabeth Moreno… Dans la diversité de leurs parcours, de leurs histoires, nombre de jeunes peuvent se projeter.

Rama Yade aurait pu se servir de son histoire pour transmettre l’idée qu’en France, la couleur de peau n’est pas un frein. Elle est la preuve que celle-ci ne barre pas l’accès aux postes et concours prestigieux de la République, ni à l’exercice du pouvoir.

Certes il est paradoxal qu’il faille mettre en avant la couleur de peau d’une personne pour envoyer un message disant que celle-ci n’a guère d’importance et que nous sommes égaux dans nos aspirations et notre capacité à nous élever au-dessus de notre condition sociale d’origine, mais pour que l’égalité ne reste pas un concept abstrait, il faut qu’elle s’incarne dans des réalités individuelles aussi.

Rama Yade aurait pu se servir de son histoire pour transmettre l’idée qu’en France, la couleur de peau n’est pas un frein. Elle est la preuve que celle-ci ne barre pas l’accès aux postes et concours prestigieux de la République, ni à l’exercice du pouvoir. Elle aurait pu faire de son histoire un levier pour que nombre de jeunes femmes et de jeunes hommes noirs se battent pour réaliser leurs ambitions, même s’ils n’ont pas les mêmes atouts sociaux et culturels qu’elle.

Elle aurait pu montrer que les entrepreneurs identitaires, qui capitalisent leur influence en faisant de l’accusation de racisme le moteur de leur réussite, sont avant tout des prédateurs : ceux-ci découragent et radicalisent toute une jeunesse parfois paumée en leur faisant croire qu’ils n’ont pas d’avenir et qu’il n’y a pas de place pour eux. Ils les envoient ainsi dans le mur au lieu de leur enjoindre de s’emparer de tous les outils qui peuvent en faire des acteurs de leur destinée et de leur réussite. À commencer par l’investissement dans l’école, mais aussi en leur montrant que la France essaie de les aider aussi socialement en prenant en charge le logement dans les quartiers HLM, en aidant les familles grâce aux allocations… Notre pays investit sur eux et plutôt que cultiver un ressentiment néfaste qui empêche toute une partie de la jeunesse de croire en son avenir, Rama Yade aurait pu être de ceux qui montrent que la couleur de peau n’est pas un obstacle, ou du moins que celui-ci est loin d’être indépassable.

Sauf qu’elle n’a pas choisi l’exemplarité mais la complaisance. Il n’est donc pas étonnant, à ce titre, que cette sortie outrancière et ridicule lui ait valu une volée de bois vert. Il ne s’agit pas de nier qu’il existe des discriminations, en France comme ailleurs. Mais le fait d’avoir bâti notre Nation sur un idéal égalitaire et universel fait que nous les combattons mieux ici qu’ailleurs. La France n’a pas un passé ségrégationniste comme les États-Unis, car elle a pensé très tôt l’égalité en droit au-delà du sexe, de la différence de couleur de peau, de la différence sociale ou religieuse. Elle a fait très tôt de l’esclavage un crime contre l’humanité. C’est ce qu’a rappelé d’ailleurs dans L’Express Sarah El Haïry, la secrétaire d’État chargée de la jeunesse, qui est toujours impeccable de fermeté et de courage sur ces questions-là et dont l’interview est remarquable : «Mais qui trahit la République et finalement tout ce qui a été reçu ? C’est elle ! Les républicains ce sont ceux qui se refusent à tomber dans cette culture du relativisme, qui se refusent fondamentalement à opposer les gens selon leur couleur de peau, leur nom de famille, leur lieu de naissance». On ne saurait mieux dire.

Présidentielle 2017 : Rama Yade aussi !!

Présidentielle 2017 : Rama Yade aussi

Et une candidature de plus à droite, celle de Rama Yade sans doute pour faire un peu entendre une voix un peu éteinte depuis qu’elle  a quitté l’UMP et qu’en plus elle a été exclue du parti radical. Ce n’est sans doute pas moins d’une vingtaine de candidats déclarés ou prêts à le faire qui veulent ainsi s’engager pour 2017. La plupart n’ont pas forcément pour ambition de triompher lors des élections présidentielles mais simplement de se rappeler auprès de l’opinion publique et faire un petit tour médiatique. Un petit tour médiatique qu’il faut faire des maintenant dans la mesure où les règles relatives au système de parrainage et le temps de parole aux candidats seront très resserrés. . Le Conseil constitutionnel a jugé conforme à la Constitution la loi modifiant les règles de la présidentielle, y compris celles portant sur le système des parrainages et du temps de parole des candidats. En Clair il sera plus difficile d’obtenir ces  parrainages et le temps de parole dans les médias sera fonction de la représentativité des candidats. Autant dire que nombre de petits candidats ne pourront même pas se présenter et que d’autres seront marginalisés sur la scène médiatique. Reste à savoir si la démocratie y perdra beaucoup notamment si Rama Yade comme c’est possible est empêchée de se présenter. Ce ne sont pas ses propos très généraux et un peu racoleur qui sont susceptibles de rassurer sur ce point.  . « Je prends acte de la crise démocratique profonde que nous vivons dans ce pays », a-t-elle expliqué. Car elle se souvient d’un autre 21 avril, celui de 2002 avec l’arrivée de Jean-Marie Le Pen au second tour face à Jacques Chirac.  »Depuis, rien n’a changé », d’après elle. « On rejoue toujours la même pièce de théâtre avec les mêmes mauvais acteurs. Il est important, pour moi qui ai rêvé la France avant de la connaître, de retrouver la France que j’aime, celle qui ose » Sa solution pour porter changer les chose ? »Je propose que nous rendions le pouvoir aux Français et à la France. » Pour ce faire, Rama Yade prône « une révolution démocratique » qui ne passerait pas seulement par l’abolition des « privilèges de ceux qui nous gouvernent et des partis politiques », mais aussi par la création « de nouveaux outils d’expression. » !!! Lesquels ? C’est toute la question, sans  la réponse! 

Rama Yade : en chômage politique, pourquoi ?

Rama Yade : en chômage politique, pourquoi ?

 

C’est rare mais ça peut arriver, une ancienne ministre au chômage politique, c’est à dire sans aucun mandat et en plus virée de son parti. Plusieurs raisons à cela, d’abord peut-être la surestimation par l’intéressée elle-même de son destin national. Rama a les dents longues, comme les autres, mais encore des dents de lait. C’est sa faiblesse, en outre  elle n’a pas voulu vraiment se couler dans le moule des apparatchiks endurcis qui savent suivre le courant majoritaire du moment quitte à prendre une posture opposée six mois après en fonction des opportunités et du vent. Rama, elle, a une personnalité, ce qui est considéré comme un état d’esprit rebelle en politique ; Et  à cause de cela  par exemple Kouchner l’a honteusement humilié pendant qu’elle était sa secrétaire d’Etat (Kouchner qui est passé sans état d’âme de la gauche à la droite). Même chose dans le mondain petit parti radical aux idées ouvertes sur le monde mais qui voyait mal une jeune femme  issue de l’immigration prendre la direction du parti. Il y a des limites à l’ouverture d’esprit ! Sarko a bien tenté de l’imposer aux régionales mais les apparatchiks s’y sont opposés.  Ecartée des listes pour les régionales en Ile-de-France, Rama Yade s’apprête donc à perdre en décembre son ultime mandat au moment même où le Parti radical – fait rarissime – vient de prononcer son exclusion pour avoir nui à l’image de son mouvement en le dénigrant. Cette décision l’exclut automatiquement aussi de l’UDI, selon les statuts de la fédération. Affirmant l’avoir appris « par la presse », Rama Yade dénonce un règlement de comptes politique, alors qu’elle conteste devant la justice l’élection de Laurent Hénart à la tête du Parti radical en pointant des irrégularités. Déboutée en première instance, elle a fait appel. « J’imagine que ça ne se fait pas et qu’ils ont voulu me le faire comprendre », accuse-t-elle. La voilà donc bientôt à la fois sans mandat, et sans parti. La dernière marche d’une dégringolade politique entamée en 2009, le jour où elle a dit « non » à Nicolas Sarkozy, qui la poussait à être candidate aux élections européennes pour mieux exfiltrer du gouvernement sa remuante secrétaire d’Etat aux droits de l’Homme. Ce jour-là, « Rama Yade a dit non à Sarkozy. Rachida Dati a dit oui et elle aujourd’hui, elle est toujours là », résume un ténor centriste. Rama Yade vient alors d’être couronnée personnalité politique préférée des Français. L’opinion plébiscite cette nouvelle venue en politique qui n’a pas sa langue dans la poche, propulsée au gouvernement à 30 ans. Née à Dakar en 1976, elle fait partie, avec Rachida Dati et Fadela Amara, de ces nouveaux visages de la « diversité » que Nicolas Sarkozy veut mettre avant. Mais elle se révèle vite rebelle, entretient des relations exécrables avec son ministre de tutelle Bernard Kouchner, se sent enfermée dans ses nouvelles fonctions, au point de songer à démissionner. En octobre 2010, elle défie à le chef de l’Etat en prenant ses distances avec son discours de Dakar sur l’ »homme africain ». « Non seulement l’homme africain est entré dans l’histoire, mais il a même été le premier à y entrer ». Moins d’un mois plus tard, elle est évincée du gouvernement.

Rama Yade virée du parti radical : une vengeance

Rama Yade virée du parti radical : une vengeance

 

Au lendemain de son exclusion du Parti radical, qui invoque des « propos de nature à nuire« , Rama Yade dénonce une « manipulation » et « un véritable commando pour une exécution politique« , au micro de RTL. La conseillère régionale en Île-de-France estime être la cible d’une « opération de vengeance » de la part de Laurent Hénart, le président du parti qui avait remporté l’élection face à elle en juin 2014. « Je rappelle qu’en ce moment, la justice est en train d’examiner une assignation que j’ai faite pour fraude lors de l’élection interne », dénonce-t-elle, vendredi 30 octobre, date limite de la formation des listes pour les élections régionales. Le parti lui reproche entre autres d’avoir pris ses distances avec le front républicain contre le FN. « Le motif est encore plus drôle. Ma proximité avec le Front national ? Moi ? Cette procédure judiciaire, je l’ai engagée parce que j’en ai assez de voir le Front national monter à cause de la corruption dans les partis politiques. J’ai dit que dans un duel à Marseille entre Jean-Noël Guérini (ex-PS) et le Front national, il fallait voter blanc. Cette affaire est un délire arbitraire », clame-t-elle.  L’ancienne secrétaire d’État aux Droits de l’Homme dit ne pas comprendre la situation, d’autant que le président de la commission de discipline du parti lui a indiqué par courriel n’avoir jamais réuni ses membres pour évoquer ce dossier. « On parle de gens dont on ne cite même pas les noms. On ne sait pas de qui il s’agit. Moi je suis sur le ring à visage découvert et je n’ai personne en face de moi », s’étonne Rama Yade qui demande une « preuve » formelle de son éviction et estime être « encore membre de l’UDI », la confédération qui englobe le Parti radical.

Rama Yade virée de l’UDI

Rama Yade virée de l’UDI

Il n’ya vraiment as de chances pour les anciennes jeunes femmes groupies  sarkosystes. Après Morano, virée des listes régionales, Rachida Dati marginalisée dans l’appareil des Républicains, c’est au tour de Rama Yade d’être virée du parti radical et de l’UDI. Un dénominateur commun: les dents qui trainent par terre et une surestimation de leur destinée nationale. Sarkozy a remplacé les fans par de technos dans le nouvel organigramme des Républicains. Un camp qu’elle avait rejoint justement pour prendre du champ avec l’UMP. Jeune pousse de la sarkozie, Rama Yade, 38 ans, conseillère régionale d’Ile-de-France sortante, a été exclue du Parti radical dont elle avait brigué la présidence il y a un an et demi et se retrouve sans parti, et bientôt sans mandat. L’ex-secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme puis aux Sports de Nicolas Sarkozy mais ce dernier Sarkozy a remplacé les fans par de technos dans le nouvel organigramme des Républicains. Rama yade  se voit reprocher par l’ancien parti de Jean-Louis Borloo une série de griefs qui « mettent gravement en cause l’image du parti ». L’élection à la présidence du Parti radical de juin 2014 a manifestement laissé des traces. La bataille entre le maire de Nancy Laurent Hénart, qui l’a emporté, et Rama Yade avait été très rugueuse. Rama Yade avait notamment accusé son rival d’avoir fraudé et a intenté un recours en justice pour demander l’annulation de l’élection. Déboutée en première instance en mai dernier — « l’honneur du parti est lavé » avait alors déclaré Laurent Hénart nt, elle est exclue de l’UDI dont le Parti radical est l’une des principales composantes. Rama Yade avait rejoint ce parti, alors dirigé par Jean-Louis Borloo, en avril 2011 lorsque ce dernier envisageait de se lancer à la présidentielle de 2012. Elle qui est régulièrement accusée par ses détracteurs de faire des « caprices » ou d’être « très ambitieuse ».




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