Archive pour le Tag 'ralentit'

Alimentaire : la hausse de l’inflation ralentit mais pas les prix !

Alimentaire : la hausse ralentit mais pas les prix !

Contrairement à ce qu’affirme le gouvernement les prix dans l’alimentaire ne diminuent pas ; au contraire, ils ne cessent d’augmenter sur un an. Le ralentissement de l’inflation est tout à fait superficiel 12,7 % en juillet par rapport à 13,7 % en juin. En outre, un indicateur qui ne tient pas compte de la modification structurelle de la consommation (les ménages changent la nature de leurs achats et diminue leur volume). En réalité la hausse de l’alimentaire tourne autour de 20 %.

Les distributeurs ont rendez-vous mercredi matin au ministère de l’Economie, les industriels jeudi. Le gouvernement prévoit de demander d’« élargir à un plus grand nombre de produits » les opérations promotionnelles. L’exécutif espère surtout convaincre davantage d’industriels de s’engager sur une « baisse des prix ». Dans le cas contraire, « on entre dans la période du budget », attendu fin septembre, « nous avons des instruments à notre disposition pour que chacun joue le jeu », a prétend le ministre de l’Economie.

En avril, la ministre déléguée au Commerce, Olivia Grégoire, avait assuré de manière très aventureuse qu’« à la rentrée nous aurons une baisse visible des prix dans les rayons » alimentaires. Le constat dressé par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, se révèle plus nuancé. « J’avais indiqué que l’inflation commencerait à ralentir à l’été 2023. Nous y sommes », a-t-il assuré en fin de semaine dernière.

Selon l’Insee, les prix dans l’alimentaire étaient en juillet 12,7% plus élevés qu’un an plus tôt, soit un léger ralentissement par rapport à juin (+13,7%). Une réduction du niveau d’inflation ne correspond toutefois pas à une baisse de prix dans les rayons, mais à une hausse moins rapide. En outre, les prix avaient déjà commencé à grimper il y a un an, dans la foulée de l’invasion russe de l’Ukraine. Au total sur deux ans, l’inflation dans les grandes surfaces est supérieure à 21%, rappelait récemment le média spécialisé LSA associé au panéliste Circana.

« L’inflation sera durable, et c’est un paramètre nouveau qu’il va falloir prendre en compte », a observé Dominique Schelcher, PDG du 4e acteur de la distribution française, Système U, dans une tribune publiée lundi sur LinkedIn. « Oui le pic de l’inflation est derrière nous, mais (…) les prix ne reviendront pas au niveau d’avant crise ».

Lors du dernier épisode conclu en mars dernier, le prix moyen payé par les supermarchés aux industriels s’est apprécié de 9%. Mais le prix d’un certain nombre de matières premières a décru depuis. Le gouvernement a donc appelé les différentes parties à se remettre autour de la table des négociations.

Le mensonge de l’inflation qui « ralentit »

Le mensonge de l’inflation qui « ralentit »

 

 


On peut se demander par quel miracle l’INSEE a constaté un ralentissement de l’inflation de 6,2 en novembre à 5,9 en décembre. Il faudrait en effet qu’en un mois l’envol des prix se soit nettement tassé. Le problème est que l’indice des prix de la consommation de l’INSEE est complètement obsolète.

En effet depuis le Covid notamment et encore davantage depuis la crise de l’énergie, la structure de consommation des ménages a été profondément modifiée. Pour parler clair, on ne consomme pas exactement la même chose et dans les mêmes proportions. Ainsi l’INSEE prend notamment en compte un tassement des prix alors que le volume de consommation des biens visés a diminué.

Parmi les évolutions structurelles, il y a notamment l’augmentation croissante des dépenses contraintes, c’est-à-dire incontournables. Notons que l’un des champs de consommation les plus concernés par la hausse des prix vise l’alimentation. Une hausse mesurée à 12 % environ par l’INSEE alors que dans la réalité les prix ont augmenté en moyenne de 20 % ( augmentation directe, absence de produits habituels, modification des conditionnements etc.).

Selon l’estimation provisoire de l’Insee, ce mercredi, l’inflation en France a ralenti, passant de 6,2% en novembre et octobre à 5,9% en décembre. Une bonne nouvelle- par ailleurs très contradictoire qui pourrait être de courte durée car l’institut de statistiques prévoit une nouvelle hausse des prix aux début de l’année 2023 jusqu’à atteindre un pic à 7%.

A noter que l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, a ralenti plus fortement que l’indice des prix à la consommation (IPC) en décembre, la hausse sur un an tombant à 6,7%, contre 7,1% en novembre.

Malgré ce ralentissement de l’inflation, l’embellie pourrait être de courte durée. L’insee prévoit, en effet, que l’IPC devrait atteindre un pic de 7% début 2023, avant de reculer plus durablement à partir du mois de mars. Cela s’explique notamment par la hausse de 15% des prix réglementés de l’énergie prévue début 2023, ceux du gaz devant être relevés en janvier et ceux de l’électricité en février. Le bouclier tarifaire plafonne actuellement la hausse des tarifs de l’énergie à 4%.

À l’échelle européenne, la tendance était, en cette fin d’année 2022, également à la baisse. En novembre, l’inflation des prix à la consommation avait, pour la première fois depuis juin 2021, ralenti à 10% sur un an au sein de la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique). Décembre est aussi positif pour de nombreux pays européens. En Allemagne, l’inflation est passée de 10% en novembre à 8,6% en décembre quand l’Espagne a connu une chute de 6,8% à 5,8% le m

L’inflation ralentit d’après l’INSEE….. un mensonge !

L’inflation ralentit d’après l’INSEE….. un mensonge !


On peut se demander par quel miracle l’INSEE a constaté un ralentissement de l’inflation de 6,2 en novembre à 5,9 en décembre. Il faudrait en effet qu’en un mois l’envol des prix se soit nettement tassé. Le problème est que l’indice des prix de la consommation de l’INSEE est complètement obsolète.

En effet depuis le Covid notamment et encore davantage depuis la crise de l’énergie, la structure de consommation des ménages a été profondément modifiée. Pour parler clair, on ne consomme pas exactement la même chose et dans les mêmes proportions. Ainsi l’INSEE prend notamment en compte un tassement des prix alors que le volume de consommation des biens visés a diminué.

Parmi les évolutions structurelles, il y a notamment l’augmentation croissante des dépenses contraintes, c’est-à-dire incontournables. Notons que l’un des champs de consommation les plus concernés par la hausse des prix vise l’alimentation. Une hausse mesurée à 12 % environ par l’INSEE alors que dans la réalité les prix ont augmenté en moyenne de 20 % ( augmentation directe, absence de produits habituels, modification des conditionnements etc.).

Selon l’estimation provisoire de l’Insee, ce mercredi, l’inflation en France a ralenti, passant de 6,2% en novembre et octobre à 5,9% en décembre. Une bonne nouvelle- par ailleurs très contradictoire qui pourrait être de courte durée car l’institut de statistiques prévoit une nouvelle hausse des prix aux début de l’année 2023 jusqu’à atteindre un pic à 7%.

A noter que l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, a ralenti plus fortement que l’indice des prix à la consommation (IPC) en décembre, la hausse sur un an tombant à 6,7%, contre 7,1% en novembre.

Malgré ce ralentissement de l’inflation, l’embellie pourrait être de courte durée. L’insee prévoit, en effet, que l’IPC devrait atteindre un pic de 7% début 2023, avant de reculer plus durablement à partir du mois de mars. Cela s’explique notamment par la hausse de 15% des prix réglementés de l’énergie prévue début 2023, ceux du gaz devant être relevés en janvier et ceux de l’électricité en février. Le bouclier tarifaire plafonne actuellement la hausse des tarifs de l’énergie à 4%.

À l’échelle européenne, la tendance était, en cette fin d’année 2022, également à la baisse. En novembre, l’inflation des prix à la consommation avait, pour la première fois depuis juin 2021, ralenti à 10% sur un an au sein de la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique). Décembre est aussi positif pour de nombreux pays européens. En Allemagne, l’inflation est passée de 10% en novembre à 8,6% en décembre quand l’Espagne a connu une chute de 6,8% à 5,8% le mois dernier.

L’inflation ralentit : le mensonge de l’INSEE

L’inflation ralentit : le mensonge de l’INSEE

On peut se demander par quel miracle l’INSEE a constaté un ralentissement de l’inflation de 6,2% en novembre à 5,9 en décembre. Il faudrait en effet qu’en un mois l’envol des prix se soit nettement tassé. Le problème est que l’indice des prix de la consommation de l’INSEE est complètement obsolète.

En effet depuis le Covid notamment et encore davantage depuis la crise de l’énergie, la structure de consommation des ménages a été profondément modifiée. Pour parler clair, on ne consomme pas exactement la même chose et dans les mêmes proportions. Ainsi l’INSEE prend en compte un tassement des prix alors que le volume de consommation des biens visés a diminué.

Parmi les évolutions structurelles, il y a notamment l’augmentation croissante des dépenses contraintes, c’est-à-dire incontournables. Notons que l’un des champs de consommation les plus concernés par la hausse des prix vise l’alimentation. Une hausse mesurée à 12 % environ par l’INSEE alors que dans la réalité les prix ont augmenté en moyenne de 20 % ( augmentation directe, absence de produits habituels, modification des conditionnements etc.).

Selon l’estimation provisoire de l’Insee, ce mercredi, l’inflation en France a ralenti, passant de 6,2% en novembre et octobre à 5,9% en décembre. Une bonne nouvelle- par ailleurs très contradictoire qui pourrait être de courte durée car l’institut de statistiques prévoit une nouvelle hausse des prix aux début de l’année 2023 jusqu’à atteindre un pic à 7%.

A noter que l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, a ralenti plus fortement que l’indice des prix à la consommation (IPC) en décembre, la hausse sur un an tombant à 6,7%, contre 7,1% en novembre.

Malgré ce ralentissement de l’inflation, l’embellie pourrait être de courte durée. L’insee prévoit, en effet, que l’IPC devrait atteindre un pic de 7% début 2023, avant de reculer plus durablement à partir du mois de mars. Cela s’explique notamment par la hausse de 15% des prix réglementés de l’énergie prévue début 2023, ceux du gaz devant être relevés en janvier et ceux de l’électricité en février. Le bouclier tarifaire plafonne actuellement la hausse des tarifs de l’énergie à 4%.

À l’échelle européenne, la tendance était, en cette fin d’année 2022, également à la baisse. En novembre, l’inflation des prix à la consommation avait, pour la première fois depuis juin 2021, ralenti à 10% sur un an au sein de la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique). Décembre est aussi positif pour de nombreux pays européens. En Allemagne, l’inflation est passée de 10% en novembre à 8,6% en décembre quand l’Espagne a connu une chute de 6,8% à 5,8% le mois dernier.

L’inflation ralentit d’après l’INSEE….. du pipeau !

L’inflation ralentit d’après l’INSEE….. du pipeau !

On peut se demander par quel miracle l’INSEE a constaté un ralentissement de l’inflation de 6,2 en novembre à 5,9 en décembre. Il faudrait en effet qu’en un mois l’envol des prix se soit nettement tassé. Le problème est que l’indice des prix de la consommation de l’INSEE est complètement obsolète.

En effet depuis le Covid notamment et encore davantage depuis la crise de l’énergie, la structure de consommation des ménages a été profondément modifiée. Pour parler clair, on ne consomme pas exactement la même chose et dans les mêmes proportions. Ainsi l’INSEE prend en compte un tassement des prix alors que le volume de consommation des biens visés a diminué.

Parmi les évolutions structurelles il y a notamment l’augmentation croissante des dépenses contraintes, c’est-à-dire incontournables. Notons que l’un des champs de consommation les plus concernés par la hausse des prix vise l’alimentation. Une hausse mesurée à 12 % environ par l’INSEE alors que dans la réalité les prix ont augmenté en moyenne de 20 % ( augmentation directe, absence de produits habituels, modification des conditionnements etc.).

Selon l’estimation provisoire de l’Insee, ce mercredi, l’inflation en France a ralenti, passant de 6,2% en novembre et octobre à 5,9% en décembre. Une bonne nouvelle- par ailleurs très contradictoire qui pourrait être de courte durée car l’institut de statistiques prévoit une nouvelle hausse des prix aux début de l’année 2023 jusqu’à atteindre un pic à 7%.

A noter que l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, a ralenti plus fortement que l’indice des prix à la consommation (IPC) en décembre, la hausse sur un an tombant à 6,7%, contre 7,1% en novembre.

Malgré ce ralentissement de l’inflation, l’embellie pourrait être de courte durée. L’insee prévoit, en effet, que l’IPC devrait atteindre un pic de 7% début 2023, avant de reculer plus durablement à partir du mois de mars. Cela s’explique notamment par la hausse de 15% des prix réglementés de l’énergie prévue début 2023, ceux du gaz devant être relevés en janvier et ceux de l’électricité en février. Le bouclier tarifaire plafonne actuellement la hausse des tarifs de l’énergie à 4%.

À l’échelle européenne, la tendance était, en cette fin d’année 2022, également à la baisse. En novembre, l’inflation des prix à la consommation avait, pour la première fois depuis juin 2021, ralenti à 10% sur un an au sein de la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique). Décembre est aussi positif pour de nombreux pays européens. En Allemagne, l’inflation est passée de 10% en novembre à 8,6% en décembre quand l’Espagne a connu une chute de 6,8% à 5,8% le mois dernier.

FedEx, Indicateurs d’évolution de l’économie, ralentit sérieusement

FedEx, Indicateurs d’évolution de l’économie, ralentit sérieusement

D’une façon générale, les transports constituent un indicateur avancé de l’économie très pertinent. Le transport véhicule en effet autant la production que la consommation. Or l’un des plus grands groupes de transports américains Fedex vient d’annoncer un énorme plan d’économies compte tenu de la baisse de la demande internationale.

De nouvelles mesures d’économie qui doivent lui permettre de compenser un ralentissement de son activité. Après avoir déjà dévoilé un plan de réduction de ses dépenses annuelles de 2,2 à 2,7 milliards de dollars, le groupe de Memphis (Tennessee) y a ajouté un milliard d’économies, selon un communiqué publié mardi. Il anticipe désormais une contraction de ses coûts de 3,7 milliards de dollars pour l’ensemble de son exercice décalé 2023, qui s’achèvera fin mai.

Très dépendants des échanges commerciaux et du dynamisme de l’économie, les résultats et prévisions des groupes de messagerie sont souvent considérés comme des indicateurs avancés de la conjoncture. Sur l’ensemble du deuxième trimestre de son exercice décalé, qui allait de septembre à novembre, l’entreprise a enregistré un chiffre d’affaires de 22,8 milliards de dollars, en baisse (-3%) et sensiblement inférieur aux attentes. En revanche, le bénéfice net est ressorti nettement au-dessus des prévisions des analystes, à 788 millions de dollars.

Pouvoir d’achat: L’inflation ralentit en septembre ?

L’inflation ralentit en septembre ?

On peut se demander comment l’INSEE parvient à conclure que l’inflation se réduit en France pour atteindre que 5,6 % au lieu de 10 % en Europe. Cela d’autant plus que la France importe bien davantage qu’elle n’exporte et subit donc l’inflation importée notamment par la hausse du dollar et les autres motifs d’augmentation des prix.

En cause évidemment un indice des prix de l’INSEE obsolète qui ne rend pas compte de la modification de structure de la consommation des ménages très affectés par les hausses considérables de l’alimentation mais aussi des services. Une hausse qui dans l’alimentation atteint souvent 20 % et non 10 % comme indiqué par l’INSEE.

La hausse des prix à la consommation en France aurait ralenti en septembre, à 5,6% sur un an, contre 5,9% en août, selon les données provisoires publiées vendredi par l’Insee.

Ce recul de l’inflation est dû au «ralentissement» de la hausse des prix de l’énergie et des services, explique l’Institut national de la statistique dans un communiqué, tandis que la progression des prix de l’alimentation s’accélère et que celle des produits manufacturés se poursuit à un rythme proche du mois précédent.

Sur la même période, celle des prix de l’alimentation s’affiche à +9,9% en septembre. Les prix des produits frais progressent de 11% sur cette même période, contre +3,5% en août. La hausse des prix des produits manufacturés se poursuit modérément (+3,6% contre +3,5% en août). Enfin, l’indice de hausse des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, augmente de 6,2% sur un an en septembre, contre 6,6% en août. Sur un mois, l’IPCH recule de 0,5%, contre +0,5% le mois précédent.
À VOIR AUSSI – Bruno Le Maire annonce que «l’inflation restera à un niveau élevé» dans les prochains mois, «autour de 6%»

L’épidémie de coronavirus ne ralentit pas ( l’OMS)

L’épidémie de coronavirus ne ralentit pas ( l’OMS)

 

Selon les pays évidemment les flux de malades évoluent de façon différente en fonction du début de l’épidémie et des mesures d’hygiène. Ceci étant,  l’organisation mondiale de la santé considère que rien ne permet de déclarer que l’épidémie ralentit.  Maria Van Kerkhove, épidémiologiste de l’OMS, et d’autres spécialistes de la virologie et des infections ont dénoncé lundi des propos dépourvus de fondement scientifique.

Aucune donnée ne vient confirmer que la trajectoire du coronavirus a changé de manière sensible, pas plus que sa virulence, disent-ils.“En ce qui concerne la transmissibilité, rien n’a changé”, a dit Maria Van Kerkhove à la presse.

Les analyses réalisées sur le virus lui-même ne montrent pas de modification génétique permettant d’affirmer que le coronavirus apparu fin décembre en Chine perd en virulence, a ajouté Martin Hibberd, professeur à la London School of Hygiene & Tropical Medicine. Ces propos contredisent les déclarations tenues dimanche par dimanche le professeur Alberto Zangrillo, directeur des soins intensifs à l’hôpital San Raffaele, en Lombardie.

Il a dit s’appuyer sur une étude réalisée par un autre scientifique et qui doit être publiée cette semaine.“Nous n’avons jamais dit que le virus avait changé, nous avons dit que l’interaction entre le virus et son hôte ont changé”, a-t-il dit à Reuters.

Ces changements pourraient être imputés à de nouvelles caractéristiques du virus, qui n’ont à ce jour pas été identifiées, ou à une modification des caractéristiques de la population.

L’inflation en zone euro ralentit, la BCE confortée dans ses choix

L’inflation en zone euro ralentit, la BCE confortée dans ses choix

La hausse des prix dans les 19 pays partageant la monnaie européenne est ressortie à 1,4% sur un an en décembre en première estimation, exactement au même rythme que la moyenne des anticipations des économistes, après 1,5% en novembre, montrent les chiffres publiés vendredi par Eurostat. En outre, l‘inflation en zone euro a légèrement ralenti comme prévu en décembre, une évolution qui justifie le choix de la Banque centrale européenne (BCE) de maintenir sa politique monétaire ultra-accommodante malgré les pressions de l‘Allemagne et d‘autres pays riches du bloc en faveur d‘un resserrement. La BCE a fait savoir qu‘elle continuerait d‘acheter des obligations au moins jusqu‘en septembre et qu‘elle maintiendrait ses taux bas bien après, afin d‘amener l‘inflation vers son objectif d‘un peu moins de 2%. Mais les responsables politiques aux Pays-Bas, en Allemagne et dans d‘autres pays du Nord de l‘Europe jugent préoccupante la poursuite d‘une politique trop accommodante dans un contexte de forte croissance économique.

Chine : Tassement de croissance de l’activité manufacturière chinoise ralentit

Chine : Tassement de  croissance de l’activité manufacturière chinoise ralentit

 

Preuve du tassement des échanges internationaux et du manque de dynamisme mondial,  la croissance des activités manufacturière se tasse. L’activité manufacturière a progressé en mars pour un neuvième mois consécutif en Chine mais de manière moins dynamique avec le ralentissement des nouvelles commandes à l’exportation, montre l’enquête Caixin/Markit publiée samedi. L’indice PMI manufacturier mesuré par cette étude privée a reculé à 51,2 en mars, après 51,7 le mois précédent. Les économistes l’attendaient à 51,6. La croissance des commandes à l’exportation a fortement ralenti, tombant à un creux de trois mois à 51,9 après 53,8 en février. Ces chiffres contrastent avec l’étude officielle auprès des directeurs d’achats publiée vendredi, selon laquelle l’activité manufacturière chinoise a connu le mois dernier sa plus forte croissance en près de cinq ans mais un phénomène surtout lié au stockage.  La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs. La croissance de la Chine se tassera encore en 2017 avec un objectif autour de 6,5 %.  La Chine a abaissé son objectif de croissance cette année par rapport à 2016, signe de la priorité donnée à l’encadrement des risques sur le soutien à l’activité. Le tassement pointé en début d’année se confirme donc. Un indice gouvernemental publié mardi 1er mars confirme l’essoufflement persistant de la deuxième économie mondiale. L’indice officiel des directeurs d’achat (PMI), calculé par le Bureau national des statistiques (BNS), s’est établi pour février à 49,0 (contre 49,4 en janvier). Il s’agit du plus bas niveau enregistré par le PMI depuis novembre 2011, où il était également de 49,0.  La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs.   Sur l’ensemble de l’année 2016, le produit intérieur brut (PIB) de la deuxième économie mondiale a augmenté de 6,7%, au milieu à peu près de l’objectif du gouvernement qui était compris entre 6,5% et 7%. La croissance de 2016 est la plus faible depuis 26 ans. La Chine va continuer à appliquer une politique budgétaire proactive et une politique monétaire prudente pour mettre en œuvre des réformes axées sur l’offre et  pour garantir la sécurité du secteur financier. « En général, la position de politique de la Chine s’est tournée vers le ‘contrôle des risques’ et le ‘dégonflement des bulles’. Cela veut dire que la politique monétaire va graduellement se resserrer », estime Zhou Hao, économiste spécialiste des marchés émergents pour Commerzbank AG à Singapour

Zone euro : la croissance ralentit

Zone euro : la croissance ralentit

 

Après 0, 6 % de progression au premier trimestre l’activité économique ralentit et enregistre seulement 0,3 % de hausse au second trimestre. À noter que la France enregistre une croissance zéro pour la même période. Pour l’avenir, les incertitudes liées au tassement de l’activité mondiale et au brexit pourrait peser de manière négative sur l’activité du second semestre et au-delà sur 2017 et 2018. L’enquête trimestrielle de la Banque centrale européenne (BCE) auprès des prévisionnistes professionnels publiée vendredi dernier évoque également une croissance plus faible que prévu pour le bloc en 2017 et 2018. « Le troisième trimestre a commencé sur de bonnes bases mais il est probablement trop tôt pour commencer à négliger l’impact négatif potentiel du Brexit sur la croissance de la zone euro », a déclaré Peter Vanden Houte, économiste chez ING Bank. Au delà du Brexit, le fléchissement du commerce international sur fond de ralentissement des émergents et l’affaiblissement des facteurs porteurs avec la remontée des cours des matières premières et l’affaiblissement de l’euro, pourraient encore accentuer le freinage de l’économie de la zone euro dans les prochains mois. « Nous pensons que ce ralentissement de la croissance est un signe précurseur », observe Jack Allen, de Capital Economics, qui s’attend à ce que la croissance du PIB de la zone euro ralentisse encore davantage d’ici à la fin de l’année. L’inflation a progressé un peu plus que prévu en juillet dans la zone euro, à 0,2% contre 0,1% en juin, selon la première estimation publiée vendredi par Eurostat. Malgré cette légère accélération, elle reste largement inférieure à l’objectif de la BCE, qui est d’un tout petit peu moins de 2%. Eurostat a également annoncé que le chômage était juste au-dessus de 10% en juin, à 10,1%, après une légère baisse en mai, donnant un total de chômeurs de 16,3 millions. Le taux de chômage des jeunes a légèrement baissé à 20,8% contre 20,9% en mai.

(Avec Reuters)

La croissance de l’intérim ralentit

La croissance de l’intérim ralentit

 

Jusque-là on a souvent considéré que la situation de l’intérim constituait un indicateur avancé de la conjoncture. Or ces derniers mois la progression de l’intérim n’a nullement été le présage d’une diminution du chômage. Au contraire car d’une certaine manière l’intérim a été utilisé comme variable d’ajustement à des carnets de commandes encore très hésitants. En fait les emplois intérimaires se sont substitués à des emplois en CDI et surtout en CDD. De sorte que si la tendance devait se poursuivre l’évolution de l’intérim constituerait un indicateur inversé de tendance. On se demande par ailleurs pourquoi l’emploi s’améliorerait –intérim ou pas dans la mesure où la consommation des ménages sera dans le rouge pour le quatrième trimestre. Or on sait que pour de l’ordre de 60% la croissance est tirée par cette consommation des ménages. L’emploi intérimaire, a vu sa croissance nettement ralentir en novembre, notamment dans les secteurs du tourisme et du commerce, les plus affectés par les attentats islamistes, selon le baromètre mensuel Prism’emploi publié mercredi. Il affiche une hausse de 5,0% sur le mois, contre 9,6% en octobre, et de 3,9% sur les onze premiers mois de 2015, « une hausse certes encourageante pour la création d’emplois mais qui reste modeste », souligne l’organisation professionnelle. Conséquence des attentats islamistes du 13 novembre à Paris et à Saint-Denis, l’emploi intérimaire a chuté de près de 10% à dans la capitale et reculé de 0,4% en Provence-Alpes-Côte d’Azur, autre région sensible au tourisme. Mais il a quand même progressé globalement de 6,4% dans l’industrie, 6,0% dans les transports, 5,5% dans les services et 2,9% dans le commerce. Il est resté stable dans le BTP, qui avait mis fin en octobre à une baisse continue de plus de trois ans avec un rebond de 4,9%.

États-Unis : la croissance ralentit dans les services

États-Unis : la  croissance ralentit dans les services

 

La croissance de l’activité dans le secteur des services aux Etats-Unis a ralenti en novembre par rapport à octobre, et l’indice la mesurant ressort à son plus bas niveau depuis le mois de mai, montre jeudi l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM). Son indice non-manufacturier a diminué à 55,9 après 59,1 en octobre, en deçà du consensus Reuters le donnant à 58,0 points. Le chiffre reste toutefois nettement supérieur au seuil de 50, au-delà duquel il témoigne d’une croissance de l’activité. Le sous-indice des nouveaux contrats a été ramené à 57,5 contre 62,0 le mois précédent. La composante des prix acquittés est néanmoins ressortie en hausse, à 50,3 contre 49,2 en octobre. Quant à l’indice PMI des directeurs d’achat des services calculé par Markit et publié peu avant l’ISM, il a augmenté à 56,1, en version définitive, contre 54,8 en octobre, en retrait toutefois par rapport aux 56,5 en première estimation. L’indice PMI composite de Markit, qui regroupe industrie et services, est ressorti à 55,9 contre 56,1 en première estimations et 55,0 en octobre.

Etats-Unis: la croissance ralentit

Etats-Unis: la croissance ralentit

Après la Chine, c’est maintenant les Etats –Unis qui enregistrent une croissance moins forte que prévue. « Les récents indicateurs laissent prévoir un ralentissement de l’activité économique plus fort que prévu au deuxième trimestre », indique ce rapport des économistes du Fonds monétaire international sur la situation économique des Etats-Unis.  La première estimation officielle du PIB américain pour le deuxième trimestre doit être publiée mercredi par le département du Commerce.  Pour expliquer cette perception d’un ralentissement marqué, les experts du FMI notent dans leur évaluation annuelle de l’économie américaine (Article IV) « une faiblesse dans l’accumulation des stocks et dans les exportations, ainsi qu’une croissance de la demande privée plus faible, comme le suggèrent les ventes au détail de juin ».  Au premier trimestre, le Produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a progressé de 1,8%, selon les chiffres du département américain du Commerce.  Pour l’ensemble de l’année, le FMI, qui qualifie la reprise américaine de « tiède », a confirmé sa récente estimation d’une croissance de 1,7%, une évaluation plus faible que celle de la Réserve fédérale américaine (entre 2,3% et 2,6%). La croissance américaine devrait s’accélérer en 2014 à 2,7%, selon le FMI.  Dans ces conditions, le Fonds estime que la stratégie de la Fed de lier la réduction de ses injections de liquidités au rythme de la reprise « est la bonne », a indiqué le chef de la mission du FMI pour les Etats-Unis Gian Maria Milesi Ferretti lors d’une conférence téléphonique.   »Notre prévision de croissance étant relativement faible pour le reste de l’année –plus faible que la projection médiane du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC)– nous prévoyons une réduction des achats d’actifs au début de l’année prochaine, pour se poursuivre ensuite », a indiqué M. Ferretti.  Depuis le début de l’année, la Fed achète pour 85 milliards de dollars de bons du Trésor et titres hypothécaires afin de soutenir la reprise en influant sur les taux à la baisse.  L’institution relève « que communiquer de façon efficace sur la stratégie de sortie » de la Fed « sera primordial pour réduire les risques de relèvement soudain des taux à long terme (…) et une plus grande volatilité des marchés ».  Concernant le budget et le bras de fer de l’administration américaine avec le Congrès sur le relèvement du plafond de la dette, le FMI a redit que les coupes budgétaires, imposées par le Congrès, étaient « trop rapides ». La réduction du déficit « non seulement réduit la croissance à court terme mais pourrait amenuiser la croissance à moyen terme », affirme le rapport.  La réduction à marche forcée du déficit a coûté un demi point de pourcentage à la croissance cette année, estime le FMI qui se dit « confiant » qu’un accord sera trouvé à l’automne pour le relèvement du plafond de la dette.   »Nous pensons qu’il y a toutes les raisons d’éviter de créer une tension autour de la solvabilité du gouvernement en prolongeant une impasse sur le plafond de la dette », a conclu M. Ferretti. A l’été 2011, l’agence de notation financière Standard and Poor’s avait privé les Etats-Unis de leur Triple A, la meilleure note, en raison des incertitudes sur le paiement de leur dette.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol