Archive pour le Tag 'raison'

Encore une adolescente agressée par des élèves pour raison religieuse

 Encore une adolescente agressée par des élèves  pour raison religieuse

Nouvelle affaire de violence sur fond religieux. Une adolescente de 13 ans a été agressée lundi pour ne pas avoir respecté le jeûne du ramadan, à Achenheim (Bas-Rhin), a appris Le Figaro ce mardi 9 avril de source policière, confirmant une information du Journal du Dimanche .

La jeune femme, qui voyageait dans un bus en direction de son collège, a d’abord été approchée par plusieurs élèves de son établissement scolaire, lui reprochant de ne pas respecter le jeûne imposé par le ramadan. Elle a ensuite été frappée par quatre mineurs, a-t-on appris. Après l’agression, les quatre suspects ont pris la fuite.

 

Samuel Paty et Dominique Bernard ont été assassinés en raison de leur enseignement

 Samuel Paty et Dominique Bernard ont été assassinés en raison de leur enseignement 

 

En se focalisant sur la question des signes d’appartenance religieuse, les débats et les lois successives concernant la laïcité à l’école passent à côté de l’essentiel, estime l’historien Claude Lelièvre dans une tribune au « Monde » : c’est-à-dire la contestation de certains enseignements et la multiplication des entraves à la liberté d’enseigner.

 

La loi du 15 mars 2004 ne se résume pas à la question des signes d’appartenance religieuse. La circulaire d’application qui l’a suivie a longuement insisté là-dessus ; et pourtant la focalisation dans la sphère politico-médiatique sur la seule question des signes d’appartenance domine presque sans partage. Ce centrage sur ce qui est le plus visible, sur les « apparences », voire l’apparence, devrait faire problème pour les esprits éclairés…

La circulaire d’application du 18 mai 2004 signée par François Fillon, ministre de l’éducation nationale de l’époque, comporte en effet un long passage au titre significatif : « Les obligations qui découlent, pour les élèves, du respect du principe de laïcité ne se résument pas à la question des signes d’appartenance religieuse. »

Il édicte : « Les convictions religieuses des élèves ne leur donnent pas le droit de s’opposer à un enseignement (…). Si certains sujets appellent de la prudence dans la manière de les aborder, il convient d’être ferme sur le principe selon lequel aucune question n’est exclue a priori du questionnement scientifique et pédagogique (…). Les élèves doivent assister à l’ensemble des cours inscrits à leur emploi du temps sans pouvoir refuser les matières qui leur paraîtraient contraires à leurs convictions. Les convictions religieuses ne peuvent justifier un absentéisme sélectif par exemple en éducation physique et sportive ou en sciences de la vie et de la Terre. »

Et pourtant on doit noter l’étrange comportement du même ministre de l’éducation nationale lors de la réception, en juin 2004, du rapport de l’inspection générale rédigé par Jean-Pierre Obin intitulé « Les signes et manifestations d’appartenance religieuse dans les établissements scolaires ». François Fillon ne le rend public qu’en mars 2005, sans qu’aucune autre initiative soit prise par le ministre. Et cela alors même que la question du « voile » est présentée dans ce rapport comme « l’arbre qui cache la forêt » des détériorations de la vie scolaire et des contestations de certains enseignements – notamment en éducation physique et sportive, en histoire, en sciences de la vie et de la Terre.

En revanche, François Fillon se met en avant quant à ce qui est le plus « apparent » : il revendique d’avoir été moteur dans l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires, puis se prononce pour l’extension de cette interdiction à l’université.

Rama Yade avait raison : Macron a besoin d’un test psychologique

Rama Yade avait raison : Macron a besoin d’un test psychologique

Rama Yade,ancienne ministre de Sarkozy avait fait connaître en 2017 qu’elle n’apprécie pas du tout la candidature de Macron. Elle considérait alors que le candidat Macon était trop immature et qu’il convenait de vérifier l’équilibre psychologique de l’intéressé. Dans une interview accordée à la matinale d’i-Télé en février 2017, elle déclarait « Au-delà de la transparence financière ou encore des 500 parrainages requis pour se présenter, notre pays devrait ajouter un autre critère : l’équilibre psychologique », avant d’ajouter : « C’est important ! Comme pour les pilotes d’avion. On évalue leur état psychologique. »

Dans son viseur ? Emmanuel Macron, « On savait qu’il n’avait pas de programme. On ne peut pas dire le matin que la colonisation est un crime contre l’humanité et s’en excuser le soir », a argumenté l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy avant de prendre le même exemple sur les déclarations d’Emmanuel Macron sur la Manif pour tous ou encore la légalisation du cannabis.

Pour Rama Yade, le candidat du mouvement En Marche n’avait aucune légitimité pour être l’outsider numéro 1 de la présidentielle : « Il y a un problème. Ce candidat n’est pas prêt. Les Français ne le connaissait pas il y a encore un an. On ne peut pas surgir ainsi en passant du coq à l’âne du matin jusqu’au soir. La France, c’est trop sérieux pour qu’à sa tête, on ait des amateurs. »

Finalement sept ans après, on peut encore s’interroger concernant l’équilibre psychologique d’un président qui se saoule lui-même de son propre bavardage contradictoire, confus et hors sol manifestant un égocentrisme maladif et qui confond théâtre et réalité.

On objectera à juste titre que d’autres dans auraientt sans doute justifié une vérification de leur équilibre psychologique tellement on compte de présidents incompétents, dangereux et même déments dans l’actuelle période de l’histoire ( Trump, Poutine, Erdogan, Xi, le président nord coréen, les mollahs d’Iran et bien d’autres comme Macron qui se prennent pour Jupiter ou ses prophètes !

Espagne: une forte croissance à 2.5% e raison du contrôle des prix de l’énergie

Espagne: une forte croissance à 2.5% en raison du contrôle des prix de l’énergie


Des résultats très satisfaisants qui méritent d’être soulignés en Espagne avec une croissance dynamique, une inflation maîtrisée et le développement de l’emploi.

La croissance de l’Espagne sera de leur de 2,5 % en 2023 est à comparer à la moyenne de l’union européenne L se limite à 1 %. Même chose pour l’inflation maîtrisée à plus de pour cent en Espagne 5 % environ en Europe

Grâce notamment sa politique de contrôle des prix de l’énergie, l’Espagne obtient des résultats très remarquables à la fois concernant la croissance et la création d’emplois. Ainsi l’économie espagnole a créé plus de 600.000 emplois en seulement trois mois, entre avril et juin 2023. Par ailleurs la croissance devrait atteindre 2,5 % en termes de progression pour l’année 2023

La demande intérieure a été aidée par le plafonnement des prix du gaz et de l’électricité qui a permis de réduire l’inflation supportée par les ménages.

Climat: Une raison supplémentaire pour faire augmenter le prix des assurances

Climat: Une raison supplémentaire pour faire augmenter le prix des assurances

Les risques climatiques représentaient environ 2 milliards d’euros par an sur la période 2010-2015, puis 4 milliards d’euros en 2016-2021, avant d’atteindre un pic de 10 milliards en 2022. Certains risques, comme la fissuration des bâtiments liée au retrait et gonflement des sols argileux (consécutif à des épisodes de sécheresse de plus en plus fréquent et intense), donnent le vertige : une facture de l’ordre de 45 à 50 milliards d’euros pour réparer les maisons concernées, alors que le chiffre d’affaires total de l’assurance dommages s’élèvent à 60 milliards. Sans compter que l’aléa devient de plus en plus une certitude, ce qui remet en cause le principe même de l’assurance. La conséquence au plan mondial sera une augmentation sensible du prix de l’assurance.

Economie-Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France

Economie-Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France

La légère amélioration de la balance commerciale est toujours bonne à prendre mais elle résulte essentiellement d’une diminution des importations liées à la baisse de la consommation et de la croissance.

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Après avoir diminué de 0,3 milliard d’euros sur un mois en décembre dernier, le déficit commercial continue de se résorber « à la suite d’une contraction des importations plus forte que celle des exportations », écrit la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) dans son analyse mensuelle disponible sur Internet. En janvier 2023, les importations ont diminué de 0,8 milliard d’euros, pour atteindre 63,6 milliards d’euros. Les exportations ont de leur côté connu une baisse de 0,3 milliard d’euros, s’établissant à 50 milliards d’euros.

Raisons. « L’évolution des importations est portée par la baisse des approvisionnements en produits énergétiques d’une part et non énergétiques d’autre part, respectivement de 0,3 milliard d’euros et 0,5 milliard d’euros », justifie la DGDDI. En ce qui concerne le recul des exportations, les douanes françaises expliquent que « la baisse est due principalement au recul de 0,3 milliard d’euros des exports de biens hors énergie ».

« En cumul sur 12 mois glissants, le solde commercial poursuit sa dégradation et atteint – 169,2 milliards d’euros », rappelle néanmoins la DGDDI.

Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France

Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France

La légère amélioration de la balance commerciale est toujours bonne à prendre mais elle résulte essentiellement d’une diminution des importations liées à la baisse de la consommation et de la croissance.

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Après avoir diminué de 0,3 milliard d’euros sur un mois en décembre dernier, le déficit commercial continue de se résorber « à la suite d’une contraction des importations plus forte que celle des exportations », écrit la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) dans son analyse mensuelle disponible sur Internet. En janvier 2023, les importations ont diminué de 0,8 milliard d’euros, pour atteindre 63,6 milliards d’euros. Les exportations ont de leur côté connu une baisse de 0,3 milliard d’euros, s’établissant à 50 milliards d’euros.

Raisons. « L’évolution des importations est portée par la baisse des approvisionnements en produits énergétiques d’une part et non énergétiques d’autre part, respectivement de 0,3 milliard d’euros et 0,5 milliard d’euros », justifie la DGDDI. En ce qui concerne le recul des exportations, les douanes françaises expliquent que « la baisse est due principalement au recul de 0,3 milliard d’euros des exports de biens hors énergie ».

« En cumul sur 12 mois glissants, le solde commercial poursuit sa dégradation et atteint – 169,2 milliards d’euros », rappelle néanmoins la DGDDI.

Covid France 2023 : des chiffres approximatifs en raison de la grève des labos

Covid France 2023 : des chiffres approximatifs en raison de la grève des labos

 

Les derniers chiffres transmis par les labos ne sont guère pertinents en raison de la grève;  Selon le dernier bilan, on dénombrerait  +145 morts supplémentaires au total et +1.702 nouveaux cas en 24h.

Les derniers chiffres un peu fiables sont du 6 janvier. total, et 10 383 cas nouveaux en plus 24h.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.533 (+7) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 133.117 (0 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,58 le taux d’incidence à 179,31 et la tension hospitalière à 26,7 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 22.664 (-503) personnes hospitalisées et 1.352 (-37) malades en réanimation.

Bilan des régions:

Ile-de-France : 5.542 (-71) hospitalisées, 352 (-17) en réanimation et +27 décès en 24h
Grand Est : 1.995 (-46) hospitalisés, 127 (0) en réanimation et +16 décès en 24h
Hauts de France : 2.292 (-36) hospitalisés, 122 (-8) en réanimation et +12 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.446 (-78) hospitalisés, 146 (+9) en réanimation et +7 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.073 (-104) hospitalisé, 115 (-4) en réanimation et +22 décès en 24h
Bretagne: 844 (-20) hospitalisés, 48 (-5) en réanimation et +4 décès en 24h
Normandie : 1.060 (-20) hospitalisés, 39 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.721 (-17) hospitalisés, 127 (-3) en réanimation et +15 décès en 24h
Pays de la Loire : 528 (-57) hospitalisés, 35 (-4) en réanimation et +7 décès en 24h
Occitanie: 1.825 (-20) hospitalisés, , 128 (-2) en réanimation et +10 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.004 (-20) hospitalisés, 48 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 996 (-11) hospitalisés, 52 (0) en réanimation et +3 décès en 24h

 

Production réduite notamment en raison des grèves

Nucléaire: Production réduite notamment en raison des grèves

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation n’aide pas EDF à promouvoir l’indispensable électricité nucléaire. Le constat est terrible 29 des 56 réacteurs nucléaires en France sont à l’arrêt. Des facteurs explicatifs externes à l’entreprise mais aussi des responsabilités internes.

Ainsi la production a été retardée après la nécessité de remettre aux normes la quasi-totalité des réacteurs. Une opération de grand carénage retardé par le Covid qui a neutralisé l’action des agents EDF et des sous-traitants. EDF n’a cependant rien fait pour développer une stratégie de rattrapage de cet entretien.

Récemment, il y a eu aussi une grève qui a paralysé les réacteurs en cours d’entretien. Il aura fallu attendre des semaines pour que syndicats et direction se mettent d’accord sur une revalorisation des salaires.

On ne peut s’empêcher de s’interroger sur les retards de production. Certains ont des raisons objectives mais certains pourraient constituer des formes de pression d’EDF pour obtenir de nouveaux financements en particulier concernant la construction EPR. Outre les questions techniques l’entreprise doit faire face à un management défaillant.Le groupe français a donc annoncé jeudi avoir abaissé sa prévision de production nucléaire en France pour 2022, en raison de l’impact des grèves sur la maintenance de ses réacteurs et l’allongement de la durée d’arrêt de 4 réacteurs nucléaires. . Résultat : la production nucléaire ne sera pas comprise entre 280-300 TWh (térawattheures) en 2022 comme l’énergéticien français l’envisageait jusqu’ici, mais devrait se situer dans une fourchette allant de 275 à 285 TWh (térawattheures).

Le groupe a confirmé ses estimations de la production nucléaire en France pour 2023 et 2024, soit respectivement 300-330 TWh et 315-345 TWh. Pour rappel, la capacité du parc français avoisine les 460 TW.

Cet environnement encore dégrader les résultats financiers du groupe. Par ailleurs se pose la question récurrente de la situation financière de l’entreprise qui traîne un lourd boulet d’endettement alors qu’elle doit aussi faire face au financement des nouveaux EPR.

Tesla plonge en raison de prévisions alarmistes

Tesla plonge en raison de prévisions alarmistes

 

En raison de prévisions alarmistes sur l’état de l’économie mondiale et des conséquences sur les activités du groupe,Tesla plonge en bourse.

Une information qui risque peut-être de remettre en cause le projet de rachat de Twitter par Elon Musk. Un objectif déjà manipulé par les informations contradictoires du patron de Tesla laissant entendre qu’il pourrait renoncer à cette achat d’un prix de leur de 50 milliards !

Dans un message envoyé jeudi à des cadres de Tesla et intitulé «suspendre toutes les embauches dans le monde», Elon Musk explique avoir «un super mauvais pressentiment sur l’économie», affirme l’agence Reuters qui a consulté le courriel. Selon son rapport annuel, Tesla et ses filiales employaient un peu plus de 100.000 personnes fin 2021. Une réduction de 10% correspondrait donc à la suppression d’environ 10.000 emplois. Le groupe n’avait pas, dans l’immédiat, répondu à une sollicitation de l’AFP.

Également secouée par la baisse plus généralisée du marché boursier, l’action du constructeur a perdu plus de 30% depuis début avril. Pour Dan Ives, du cabinet Wedbush, Elon Musk «essaie de devancer le fait que les livraisons n’augmenteront pas autant que prévu cette année et de préserver les marges du groupe avant un ralentissement économique». Plusieurs dirigeants de grandes entreprises ont récemment fait part de leurs inquiétudes sur la situation économique. Jamie Dimon, le PDG de JPMorgan Chase, a ainsi estimé mercredi que les investisseurs devraient se préparer à un «ouragan» économique, même s’il est encore difficile de prédire s’il s’agira d’un ouragan mineur ou d’une méga tempête.

Covid-19 : le ministre de la Santé démissionne en raison d’une liaison ….. en Grande-Bretagne !

Covid-19 : le ministre de la Santé démissionne en raison d’une liaison ….. en Grande-Bretagne !

 

 

On voit mal en France pourquoi responsable politique aurait à démissionner de sa responsabilité en raison d’une liaison y compris avec une secrétaire. Ce qui est pourtant intervenu en Grande-Bretagne où le ministre de la santé a été contraint d’abandonner son portefeuille pour eux cette question morale.

 

En France , le président de la république lui-même n’a jamais été mis en cause politiquement pour des questions de morale privée. Mitterrand étant le parfait exemple d’une liaison connue de tous les milieux officiels mais jamais utilisée à des fins politiques.

 

C’est ce qui sépare de la conception humaniste française du puritanisme anglo-saxon qui s’effarouche de la moindre égratignure aux principes moraux mais tolère par ailleurs les pires entraves parfois aux valeurs démocratiques et éthiques. Matt Hancock, le ministre de la santé a donc fait l’objet d’un scandale après les révélations dans les tabloïds d’une liaison avec une conseillère avec qui il a enfreint les règles sanitaires.

Pétrole : légère hausse en raison de la réduction de production

Pétrole : légère hausse en raison de la réduction de production

Deux raisons à la hausse du prix du pétrole, d’une part les faibles réserves américaines d’autre part la réduction de la production décidée par l’OPEP et ses alliés. «Les prix du brut ont augmenté plus haut maintenant que l’OPEP + a convaincu le marché de l’énergie qu’il est déterminé à accélérer le rééquilibrage du marché sans délai», a déclaré Edward Moya, analyste de marché senior chez OANDA.

Le pétrole a rebondi après des creux historiques atteints l’an dernier, grâce aux baisses record de production de l’OPEP + que le groupe commence à se détendre.

Soutenant également les prix, les stocks de pétrole brut américain ont chuté de 994 000 barils la semaine dernière à 475,7 millions de barils, leur plus bas depuis mars, a annoncé mercredi l’US Energy Information Administration. Les analystes d’un sondage Reuters avaient prévu une hausse de 446 000 barils.

Alors que les taux d’utilisation des raffineries ont augmenté de 0,6 point de pourcentage à 82,3% de la capacité, les stocks d’essence américains ont augmenté de 4,5 millions de barils, selon l’EIA.

Les hausses paraissent justifier par le fait que les pays de l’OPEP hypothèquent déjà une reprise grâce au développement des vaccins pourraient mettre un terme à la crise sanitaire et ainsi favoriser la reprise économique. Comme rien n’est sûr dans ce domaine il faut sans doute s’attendre à des mouvements de yo-yo du pétrole au cours de l’année 2021.

CO2: baisse de 7% en raison du Coronavirus

CO2: baisse  de 7% en raison du Coronavirus

Jamais une telle diminution n’avait été observée auparavant. Pour autant, cela ne suffit pas pour réduire le réchauffement climatique et ses impacts.

Une baisse record de 7% en 2020, liée aux mesures de confinement prises selon le bilan annuel du Global carbon project (GCP) publié vendredi 11 décembre.

 

Une baisse estimée à 7% des émissions mondiales de CO2 fossiles sur l’année qui représente 2,4 milliards de tonnes. Au plus fort du confinement au printemps, elles ont même chuté d’environ 17% comparé à 2019. Jamais une telle diminution n’avait été observée auparavant, selon un communiqué de presse. Lors des précédentes crises mondiales (1945, 1981, 1992, 2009), elles n’avaient jamais dépassé 0,9 milliard de tonnes.

«La diminution des émissions en 2020 semble plus prononcée aux États-Unis (-12%), dans l’UE-27 (-11%) et en Inde (-9%), l’effet des restrictions Covid-19 s’ajoutant à une tendance précédente, et étant moins prononcée en Chine (-1,7%), où les mesures de restriction ont été prises au début de l’année et ont été plus limitées dans le temps», selon le communiqué.

 

Iconoclasme: pas une exclusivité musulmane , encore moins une raison de tuer

Iconoclasme: pas une exclusivité musulmane , encore moins une raison de tuer

 

Encore récemment dans plusieurs journaux certains musulmans expliquaient  que leur religion interdisait la représentation du prophète est évidemment des caricatures. Le problème c’est que les que l’iconoclasme n’est pas l’exclusivité musulmane et ne constitue donc pas un argument pour considérer que le dessin ou plus généralement la représentation constitue une injure spécifique à la religion musulmane. C’est oublier  évidemment que d’autres religions ont longtemps aussi interdit -et interdisent encore– les représentations de Dieu et a fortiori leurs caricatures. Un extrait de Wikipédia sur le sujet :

 

 La main de Dieu est représentée plusieurs fois dans des anciennes synagogues accompagnée de décorations diverses, comme dans la synagogue de Doura Europos au milieu du iiie siècle. Cette représentation de la main de Dieu dans l’art juif a sans doute été reprise par les premiers chrétiens dans l’art paléochrétien. Il est ainsi commun d’avoir dans l’Antiquité tardive tant occidentale qu’orientale des représentations des actions de Dieu représentées par la main et ceci jusqu’à la fin de l’art romain.

Historiquement, Dieu le Père se manifeste beaucoup plus fréquemment dans l’Ancien Testament et Dieu le Fils se manifeste surtout dans le Nouveau Testament. Cependant certains artistes représentent Dieu le Père à travers la représentation traditionnelle de Jésus-Christ1, notamment pour représenter Dieu le Père dans le récit d’Adam et Eve, où certains artistes utilisant la figure de Jésus-Christ pour représenter Dieu marchant dans le jardin (Livre de la Genèse 3,8).

Le récit de la Genèse affirme que la création du monde a la figure unique de Dieu, généralement créditée à Dieu le Père. Toutefois, ce même récit parle à la première personne du pluriel pour décrire l’œuvre créatrice de Dieu : « Dieu dit, faisons l’homme à notre image et notre ressemblance » (Livre de la Genèse 1, 26 ). Le Nouveau Testament mentionne à deux reprises l’œuvre créatrice de Jésus-Christ (Jean 1, 3 et Épître aux Colossiens 1,15), ce qui conduisit certains chrétiens à associer la Création au Verbe, ou à Dieu le Fils. Ces interprétations ont été en partie confirmées par le symbole de Nicée, en 325 après Jésus-Christ, affirmant la consubstantialité de Dieu.

C’est une habitude d’avoir des représentations de Jésus-Christ comme Verbe prenant la place de Dieu le Père en créant le monde seul, ou commandant à Noé de construire l’arche, ou même parlant à Moïse dans le Buisson ardent2. Au cours du ive siècle c’est une période où les représentations des trois personnes de la trinité sont similaires, comme le Dogmatic Sarcophagus en est l’un des exemples au Vatican.

D’autres cas isolés dans l’iconographie tout au long du Moyen Âge montrent des images similaires de la Trinité, comme le montre la peinture d’Enguerrand Quarton lors du couronnement de la Sainte Vierge.

L’utilisation d’images de Dieu continuait à augmenter tout au long du viie siècle, jusqu’à ce que l’empereur byzantin Justinien II, mis une image de Dieu dans les pièces en or. Cependant le développement des images de Dieu n’incluait pas les représentations de Dieu le Père. Le concile in Trullo en 692 ne condamne pas spécifiquement les images de Dieu le Père mais suggère que les représentations de Jésus-Christ soient préférées dans les représentations de l’Ancien Testament.

Le début du viiie siècle marque le début de la crise iconoclaste. L’empereur Leon III (717-741) supprima l’utilisation et la représentation de Dieu à travers des icônes par un décret impérial au sein de l’Empire byzantin. Les arguments théologiques affirmaient qu’il était impossible de représenter la nature divine et humaine de Jésus dans le même temps. Toutes les représentations de Dieu étaient alors suspectes et on n’observa aucune représentation de Dieu pendant près de deux siècles au sein de l’Empire byzantin.

Le deuxième concile de Nicée en 787 met fin à la première période de l’iconoclasme byzantin et restaure la dévotion aux icônes et aux représentations de Dieu. Cependant la fin de la condamnation des représentations de Dieu ne se traduit pas par un développement des représentations de Dieu le Père. Même les partisans des représentations de Dieu, comme Jean Damascène, continuent à faire une distinction entre les représentations de Dieu le Père et de Jésus-Christ. Dans son traité Traités contre ceux qui décrient les saintes images Jean Damascène affirme que Dieu le Père ne s’étant pas incarné comme Jésus-Christ conduit à l’impossibilité de le représenter par des images.

L’iconoclasme existe depuis l’Antiquité. Dans l’Égypte pharaonique, il n’était pas rare de voir les statues des pharaons divinisés détruites par leurs successeurs (ex. : destruction de statues de Hatchepsout par son successeur Thoutmôsis III).

L’interdit de la représentation est présent dans le monothéisme juif bien avant l’ère chrétienne. Cet interdit sera repris lors de l’apparition des autres monothéismes, chrétien puis musulman……..

La question théologique de la représentation du divin traverse les trois monothéismes. Tous trois attribuent à la divinité la propriété de transcendance, qui la situe au-delà de l’humanité telle qu’on la représente.

Dans le judaïsme comme dans le christianisme, l’interdiction de représenter une figure divine vient formellement du second commandement de Dieu qui est le suivant dans la Bible :

« Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punit l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fait miséricorde jusqu’à mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements. »

— Exode 20:4-6

« Petits enfants, gardez-vous des idoles. »

— 1 Jean 5:21

Pourtant, le christianisme produisit assez tôt des images. Il ne s’agit pas d’idoles mais d’icônes, associées au culte du Dieu unique. Dès avant la crise iconoclaste, l’Église formule des avis sur le statut des images : c’est la théologie de l’icône, qui règle le culte et vise à éviter les dérives idolâtriques.

La Torah met clairement en garde contre toute forme de représentation.

L’iconoclasme caractérisera aussi particulièrement la Réforme protestante.

 

Livret A : nouvelle hausse en raison de l’attentisme des ménages

Livret A : nouvelle hausse en raison de l’attentisme des ménages

Mauvais signe évidemment pour l’économie avec cette hausse des dépôts sur les livrets d’épargne. La confirmation que les ménages choisissent l’attentisme et retardent voire annulent leurs projets de dépenses notamment d’investissement.

En août, la collecte du livret A et livret de développement durable et solidaire est de nouveau repartie à la hausse, après plusieurs mois de baisse progressive. Ces deux produits ont récolté 2,85 milliards d’euros, contre 2,49 milliards d’euros le mois précédent. Dans le détail, le livret A a reçu 2,25 milliards d’euros, contre 600 millions d’euros pour le LDDS.

Depuis  début 2020, les dépôts nets sur les livrets A ont atteint 24,5 milliards d’euros, contre un peu moins de 7 milliards d’euros sur les LDDS, soit un total de plus de 31 milliards d’euros mis de côté en huit mois.  L’encours total des différents livrets d’épargne tourne autour de 450 milliards et il y aurait à peu près la même somme qui dort sur les comptes courants. Une épargne d’autant plus contradictoire en apparence qu’elle ne rapporte pas grand-chose sur les livrets d’épargne et rien du tout sur les comptes courants.

La ministre Élisabeth Borne constate que les Français ont épargné et elle espère qu’ils vont maintenant dépenser. Il faudrait d’abord faire observer que tous les Français n’épargnent pas, ensuite qu’aucune incitation à l’achat n’a été mise en œuvre dans le cadre du plan de relance. La crainte évidemment c’est que cette éventuelle incitation profite surtout aux importations compte tenu du manque de productivité de la production de biens en France.

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