Archive pour le Tag 'Raffarin'

Raffarin rallie Macron

Raffarin rallie  Macron

Encore une défection de marque pour le parti les Républicains avec la décision de l’ex-premier ministre Jean-Pierre Raffarin de soutenir Macron  lors  des élections européennes du 26 mai. Une décision pas très surprenante compte tenu de la dérive du parti républicain sous la houlette de Laurent Wauquiez. Un parti de plus en plus réactionnaire, nationaliste et qui en quelque sorte fait reculer la droite de plus de 20 ans. L’ancien parti de gouvernement est même devenu marginal dans l’opinion publique puisque aujourd’hui les instituts de sondage ne lui attribuent plus que 11 % de perspectives de voix aux élections européennes. Une véritable catastrophe, un peu à l’image de celle des socialistes ; ces derniers avec Hamon tournent aussi autour de 11 %. Sur la question européenne les orientations des libéraux et des progressistes sont  complètement incompatibles avec celles des eurosceptiques réactionnaires aujourd’hui à la tête du parti.  L’ancien dirigeant chiraquien dit s’inscrire dans une logique non pas de ralliement mais de “coalition” avec le parti présidentiel, La République en marche (LaRem), qu’il dit n’avoir aucune intention de rejoindre. “Nous avons, sur la politique intérieure, un certain nombre de divergences avec le chef de l’État, comme sur les questions de décentralisation ou de fiscalité”, prend-il soin de préciser. Dans un courrier du 1er mars adressé à Jean-Pierre Raffarin et révélé par le journal L’Opinion, Laurent Wauquiez l’avait pressé de venir faire connaître son choix lors d’une réunion du bureau politique, prévue le 12 mars.

« Le bavardage populiste de Wauquiez » (Raffarin)

« Le bavardage populiste de Wauquiez » (Raffarin)

Jean-Pierre Raffarin s‘est dit choqué, sur RTL, par un “bavardage populiste”, “un amalgame entre des mots grossiers, des idées simplistes et puis des attaques personnelles.” “J‘appelle Laurent Wauquiez à plus de sagesse, de calme”, a-t-il poursuivi. “C‘est une faute de comportement, une faute d‘attitude. J‘espère que ce n‘est pas une dérive de brutalité”. “Je reste aux Républicains, a-t-il expliqué, parce que le vrai débat politique, nous allons l‘avoir sur la ligne européenne.” “Il est clair que c‘est la réforme démocratique de l‘Europe telle que l‘a envisagée Emmanuel Macron qui me paraît être aujourd‘hui la ligne de réforme à partir d‘une inspiration franco-allemande”, a dit Jean-Pierre Raffarin. “Si naturellement les Républicains s‘engageaient dans une voie souverainiste, populiste, qui tourne le dos à l‘Europe, il est clair que nous serons dans cette affaire – tous ceux qui ont un esprit un plus central – avec ceux qui défendent” l‘Europe, a-t-il précisé, ajoutant qu‘il trancherait “à la fin de l‘année”.

Après Nice : « absence de réflexion collective » (Jean-Pierre Raffarin)

Après Nice : «  absence de réflexion collective » (Jean-Pierre Raffarin)

 

À droite Jean-Pierre Raffarin fait un peu exception et ne rejoint pas le cœur des critiques en tout genre et encore moins les élucubrations populistes de certains. « Je souhaiterais que nous puissions avoir des débats sereins et apaisés, là où ils doivent se dérouler, c’est-à-dire au Parlement et non dans les JT. Notre démocratie ne connaît pas la réflexion collective, c’est désolant». Il veut «éviter que les politiques de sécurité ne s’inventent dans les quarante-huit heures suivant un drame». Ceci étant  Jean-Pierre Raffarin aborde une question essentielle à savoir la trop grande exposition de la France contre l’État islamique. Jean-Pierre Raffarin remet en cause l’intérêt d’une intervention militaire française contre l’État islamique. «On peut se poser la question de la surexposition de nos armées en Irak et en Syrie. Dans cette aventure, nous sommes partis avec les Américains, et aujourd’hui notre action est globalement minoritaire mais politiquement très exposée. En va-t-il de l’intérêt supérieur de la France? Nous payons doublement le prix de la guerre, humainement et matériellement», s’interroge le sénateur. Jean-Pierre Raffarin ne rejoint pas les propositions fantaisistes de certains de ses collègues comme  Georges Fenech (LR): qui propose «Un Guantanamo à la française», ou encore comme  Alain Marsaud (LR) qui déclare «Je me défends, je porte une arme» Pour l’ex-juge antiterroriste, la population française doit être armée. «, Autre proposition, celle de Jacques Bompard qui consiste à faire «Faire sauter l’État de droit» sans oublier  Henri Guaino (LR) qui  a suggèré de mettre un lance-roquettes sur la Promenade des Anglais est sans doute lors de toutes les manifestations festives ou non. À juste titre Jean-Pierre Raffarin s’est donc inquiété de la surenchère des leaders de la droite

Raffarin : Hollande ne traite pas les vrais sujets

Raffarin : Hollande ne traite pas les vrais sujets

L’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin porte un jugement sévère sur la politique économique et sociale du gouvernement. Bien qu’il soit favorable à la loi travail, il pense que les réformes de François Hollande à la fois trop limitées, trop tardive et trop marquées de préoccupations politiciennes.

La France est-elle au bord d’une explosion sociale?
Je suis inquiet. Le pays gronde, en raison du double échec – politique et économique – du pouvoir, mais aussi en raison du sentiment profond que la politique ne traite pas les vrais sujets des Français.

La France est-elle irréformable ou le gouvernement se trompe-t-il, avec le projet de loi El Khomri, de calendrier et de méthode?
Je sais par expérience que le temps de la réforme, c’est généralement le début d’un quinquennat. Aujourd’hui, à la veille de l’élection présidentielle et comme ce fut le cas dans le quinquennat précédent – je pense à la TVA sociale –, on confond réforme et manœuvre.

 

Était-il nécessaire de réformer le Code du travail?
Il est vital de réformer le Code du travail et nous ne pouvons que soutenir cette ambition. Mais il est surtout vital de faire de l’emploi un sujet de l’état d’urgence, et de rechercher l’unité nationale pour ce combat.

 

 

Raffarin pour Juppé, grosse défection pour Sarkozy

Raffarin pour Juppé, grosse défection pour Sarkozy

C’est évidemment un coup dur pour Sarkozy car Raffarin dispose d’une forte influence au sein des républicains. La position de Raffarin pour soutenir Juppé est d’abord motivée par des considérations  politiques. L’ancien premier ministre ne partage pas la ligne droitière et clivant notamment soutenue par Wauquiez. Il y a sans doute aussi un peu de règlement de comptes dans la mesure où Raffarin n’a pas été suffisamment soutenu pour prendre la présidence du Sénat. Le soutien de Jean-Pierre Raffarin à Juppé constitue une très mauvaise nouvelle pour Sarkozy, une mauvaise nouvelle qui s’ajoute aussi à celle de la déclaration de Copé concernant sa candidature aux primaires. Une candidature qui n’a aucune chance de triompher mais qui va encore enlever à Sarkozy quelques voix précieuses. C’est aussi une candidature de règlement de comptes après les mots très durs prononcés par Sarkozy quant à la gestion de Copé concernant UMP. Mais la plus grosse déception pour Sarkozy concerne le soutien apporté par Raffarin à Juppé. « Je m’engage fermement et activement avec Alain Juppé », « une personnalité forte, fiable et fidèle », explique l’ex-chef du gouvernement de Jacques Chirac dans une interview à la Nouvelle République du Centre-Ouest et Centre Presse dont des extraits ont été publiés sur internet dimanche.  « Un des traits de caractère de Juppé, c’est le courage. Je crois qu’il aura le courage de dire la vérité des mesures à prendre et des procédures à retenir », ajoute le sénateur Les Républicains (LR) de la Vienne. « Nicolas Sarkozy, je lui ai dit, je lui ai reproché que la stratégie du clivage l’emportait chez lui sur la stratégie du rassemblement », a déclaré Jean-Pierre Raffarin, cette fois sur BFM TV RMC. « Je préfère une gouvernance qui cherche à rassembler plutôt qu’une mobilisation qui cherche à cliver. »  La mobilisation par clivage « n’est pas selon moi une stratégie de gouvernement, une stratégie d’exercice des responsabilités », a-t-il ajouté.  Le maire de Bordeaux, qui fait la course en tête dans les sondages, a rapidement réagi en remerciant l’ancien Premier ministre de son soutien. « Merci à Jean-Pierre Raffarin pour le soutien vibrant qu’il m’apporte », écrit Alain Juppé sur Twitter. « Depuis longtemps nos idées sont proches. Sa présence me sera précieuse. »  Selon un récent sondage BVA, 48% des sympathisants de droite jugent qu’il serait le meilleur candidat LR à la présidentielle, contre 20% pour Nicolas Sarkozy et 11% pour François Fillon et Bruno Le Maire. Alain Juppé devance également nettement l’ancien président chez les seuls sympathisants LR (43% contre 30%).

Réforme régions : « 10 milliards de dépenses en plus ». (Raffarin)

Réforme régions : « 10 milliards de dépenses en plus  ». (Raffarin)

Sur France Info Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, dénonce l’illusion de la réforme territoriale. Il considère en effet que cette réforme ne permettra pas d’économiser 12 milliards comme l’indique le gouvernement mais au contraire sera l’occasion  d’en dépenser 10 milliards supplémentaires. L’évaluation de Jean-Pierre Raffarin et sans doute tout aussi approximative que celle du gouvernement. Reste effectivement que  cette réforme n’aura pas l’effet bénéfique escompté car évidemment on a dû abandonné en route la suppression des départements. Il y aura donc toujours juxtaposition des structures régionales et départementales. Enfin pour apaiser la grogne, on  a décidé dans certaines régions de maintenir les effectifs administratifs des capitales régionales anciennes qui ont été destituée de leurs titres « Cette réforme était bien partie, et elle finit mal« , indique sur France Info Jean-Pierre Raffarin, à propos de la réforme territoriale. La nouvelle carte des régions est sortie vendredi, lors du dernier Conseil des ministres de l’été. Le gouvernement a publié la liste des capitales régionales, là où la réforme territoriale a modifié les frontières. Sont donc ainsi désignées Strasbourg, Bordeaux, Dijon, Lille, Lyon, Rouen et Toulouse. Les chefs-lieux définitifs seront fixés avant le 1er octobre 2016, après avis des conseils régionaux issus du renouvellement de fin 2015.   Sénateur de la Vienne, et président de la région Poitou-Charentes pendant plus de 13 ans (qui va se retrouver absorbée dans un vaste ensemble dont la capitale sera Bordeaux), Jean-Pierre Raffarin ajoute : « Cette réforme territoriale part à la dérive ». Capitales régionales : « La politique s’est imposée par rapport à la raison » selon Jean-Pierre Raffarin sur France Info. « C’est fait sans aucune consultation, le fait du prince, on saupoudre ici un bout de rectorat, là une direction de l’agriculture, tout cela est fait dans l’improvisation et c’est fort regrettable, car on avait promis des économies à Bruxelles, et en fait on va dépenser beaucoup plus« , considère l’ancien Premier ministre.  »On a annoncé qu’il y aurait sans doute 12 milliards d’économies, moi je suis prêt à parier que c’est plutôt 10 milliards de dépenses en plus, vers lesquelles on va« , dit-il. « C’est le manque d’autorité politique de l’exécutif qui n’a pas pu imposer à ses troupes des actions de rationalisation et de réorganisation, il a fallu contenter tout le monde, les frondeurs, les barons locaux… Finalement l’exécutif a préféré saupoudrer, distribuer, plutôt que d’organiser et rationnaliser« , conclut-il.

 

 » Une réforme territoriale confuse qui coûtera plus cher »( Raffarin :)

Raffarin :  » Une  réforme territoriale confuse qui coûtera plus cher »( Raffarin :)

Il est clair que cette réforme confuse coûtera plus cher. En cause, le maintien de départements qui conserveront leur superstructure alors que celles des régions vont grossir. Il faut en effet se souvenir que cette réforme a surtout été justifiée par la perspective de suppression des départements. Or sur pression des élus, le gouvernement a dû reculer et finalement maintenir les collectivités qui existaient déjà avec toutefois une nouvelle répartition de responsabilités. ( intreview JDD)
Raffarin

Il y aura peu d’économies et pas de clarification. L’essentiel de cette réforme était de clarifier les compétences et d’organiser le territoire de manière rationnelle. Là on voit que l‘organisation est en train de devenir politique et que les compétences restent confuses. Prenez le tourisme : il y aura des superpositions de compétences inutiles. Le manque de réflexion en amont se paie par un grand désordre aujourd’hui, en aval, sur le terrain. […]

 

 

Une bagarre est en cours sur le siège des capitales régionales. Est-ce une bonne idée que la préfecture se situe dans une ville et le Conseil régional dans une autre?

 

Raffarin
C’est une mauvaise idée. Cela révèle l’incapacité de l’exécutif à faire des choix. Une capitale régionale doit rassembler dans un même lieu à la fois les représentants du territoire et l’autorité administrative. Créer une distance entre le lieu de travail du préfet et celui du président du Conseil régional engendrera beaucoup de frais de fonctionnement supplémentaires. Il y a fort à parier que cette réforme coûtera au final plus cher que la situation précédente

 

« Qu’Hollande apprenne à dresser son chien » (Raffarin)

« Qu’Hollande apprenne à dresser son chien » (Raffarin)

 

C’est curieux comme vœux mais c’est pourtant ce que souhaite Raffarin pout Hollande, que ce dernier manifeste un peu d’autorité pour dresser le chien qu’il vient de recevoir en cadeau. Il est vrai qu’à défaut de pouvoir diriger la France, Hollande pourrait peut-être diriger un chien. Faute de Première Dame officielle, on pourrait au moins avoir un chien avec un statut présidentiel officiel. Pas sûr cependant que le langage énarchique très ésotérique soit clairement compris par  la pauvre bête !  L’ancien Premier ministre  Raffarin a donc, comme bon nombre de personnalités politiques, adressé ses vœux pour la nouvelle année 2015. Ainsi, Jean-Pierre Raffarin a dressé la liste de ses quinze souhaits, sur son site. En première position, il souhaite « que la France donne à ses armées les moyens de leurs périlleuses missions ». Jean-Pierre Raffarin en profite pour adresser des messages au chef de l’UMP : « Que Nicolas Sarkozy trouve le chemin pour modérer ‘l’anti-Sarkozysme primaire’« . Alain Juppé a aussi droit à son message puisque le sénateur de la Vienne souhaite « qu’il chausse ses bottes de 7 lieues ». Mais Jean-Pierre Raffarin a gardé pour la fin le vœu le plus inattendu. Il adresse un conseil directement à François Hollande. « Que Philae soit dressée avec autorité et sincérité, deux qualités d’un bon maître ». Il envoie ainsi un petit pic au Président qui a reçu en cadeau pour les fêtes un labrador nommé Philae. Dans un tweet, Jean-Pierre Raffarin persiste et signe en estimant que l’actuel locataire de l’Élysée « affirme, mais ne rassure pas». Le chef de l’État lui a donné le nom du robot européen qui s’était posé sur la comète Tchouri, le 12 novembre dernier. François Hollande s’inscrit dans la lignée des présidents de la République ayant un chien à l’Élysée, comme Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

Pour un référendum » sur la réforme territoriale (Raffarin)

Pour un référendum » sur la réforme territoriale (Raffarin)

 

Hollande a annoncé le nouveau découpage électoral avant 2017, or il n’a pas la majorité des 3/3 du parlement pour la faire adopter. Raffarin a donc raison de demander un referendum sur le sujet. Pas sûr que Hollande s’y risque car ce serait sans doute une vote sanction vis-à-vis du président. Son report de la date des régions pour cette réforme relève donc du tripatouillage électoral . L’ancien Premier ministre UMP Jean-Pierre Raffarin a jugé sévèrement l’interview du chef de l’Etat, mardi, à l’occasion des deux ans de son quinquennat. « Je l’ai pas trouvé président de la République (…) François Hollande se refuse à incarner la France », a taclé le sénateur de la Vienne, invité mercredi matin sur Europe 1. « A force d’être normal, il en devient banal », a ajouté Jean-Pierre Raffarin, reprochant à François Hollande « de ne pas avoir parlé d’Europe, de pouvoir d’achat ». François Hollande a envisagé mardi un report des élections régionales et cantonales de 2015 en 2016, estimant qu’il « serait intelligent » de tenir ces élections « avec le nouveau découpage » territorial que doit mettre en œuvre le gouvernement. Interrogé sur ce « big-bang territorial », Jean-Pierre Raffarin a fustigé « une improvisation » et estime que François Hollande « doit faire un référendum » sur cette nouvelle organisation territoriale.

Hollande joue dangereusement avec les sujets de société (Raffarin)

Hollande joue dangereusement avec  les sujets de société (Raffarin)

« Je suis inquiet pour l’état de la société [...]. Je suis inquiet de la gouvernance socialiste », a déclaré Jean-Pierre Raffarin, dimanche 26 janvier lors du Grand Jury RTL.  À son sens, François Hollande doit opérer « un volte-face », en particulier sur le terrain économique, sans quoi « nous allons vers une situation d’extrême crise », a-t-il estimé. « Hollande n’a pas de majorité. Au Sénat, les Verts, les communistes et les radicaux ne votent jamais. S’il est conscient de cette situation, et il l’est, je crains qu’il ne soit tenté de compenser par des mesures sociétales le désaccord » qui existe dans la société quant à sa politique.  « Je crains l’orientation économique qu’il fait payer à la société par des compensations sociétales, qui est au fond la façon par laquelle il arrive à fédérer sa majorité », a-t-il encore lancé, prenant le récent exemple du projet de loi sur l’IVG. « Il est très dangereux de jouer avec les sujets de société. Il ne faut pas monter les Français les uns contre les autres », a-t-il affirmé.

Raffarin critique Sarkozy

Raffarin critique Sarkozy

Jean-Pierre Raffarin se livre dans l’Etat de l’opinion, une revue éditée par TNS Sofres en collaboration avec Le Seuil, à une véritable charge sur l’ancien président et la façon dont il a mené sa campagne de 2012. L’ancien Premier ministre identifie cinq raisons pour analyser l’échec, et ajoute, selon un blog du Monde, que « si une seule de ces cinq occasions avait été saisie, la victoire eut été possible ». Jean-Pierre Raffarin reproche notamment à Nicolas Sarkozy sa stratégie de droitisation et sa pratique trop personnelle du pouvoir, qui l’a coupée des réalités. Le sénateur de la Vienne estime aussi que l’ancien chef de l’Etat aurait dû changer de Premier ministre à l’automne 2010 et qu’il a fait cadeau du Sénat à la gauche.

 

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Raffarin : il n’y a pas besoin de président à l’UMP

Raffarin : il n’y a pas besoin de président à l’UMP

Dans une interview à paraître dans le Journal du Dimanche, Jean-Pierre Raffarin donne son avis sur le travail à faire au sein de l’UMP : « J’ai été le premier à parler d’inventaire, cela m’a été reproché. Il ne s’agit pas de revenir sur le lien personnel qui lie Nicolas Sarkozy à l’UMP, mais d’analyser les points forts ainsi que les faiblesses du dernier quinquennat. Cette analyse, qui devra trouver sa place dans notre nouveau projet politique, est un exercice utile de vérité », affirme-t-il. L’ancien Premier ministre estime également que l’UMP devrait être dirigée à l’avenir par un secrétaire général et non un président. « Le choix des primaires pour la présidentielle plaide pour le remplacement de la fonction de président par celle de secrétaire général », dit-il.

 




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