Archive pour le Tag 'Radio France'

Radio France pour une redevance « universelle et automatique » ! Ben voyons !

 

Une idée de génie du PDG de Radio France, faire payer une  redevance à chaque foyer y compris à ceux qui n’écoute pas Radio France et même à ceux qui se possèdent pas de téléviseur. Le PDG, il est vrai, entretient des liens approximatifs avec les gaspillages. Ainsi par exemple   à Radio France il a dépensé  100 000 euros pour la rénovation de son bureau d’après le Canard enchainé. C’est un récidiviste au ministère de la culture et à l’INA il avait déjà fait rénover trois bureaux quand il y avait  exercé des fonctions. En plus il utilise les conseils d’un communiquant pour gérer son image, cout : 90 000 euros pour radio France. Récidiviste aussi dans ce domaine puisqu’à l’INA il payait déjà un communiquant pour 60 000 euros par an. L’exemple même des gaspillages des grands fonctionnaires d’Etat qui dirigent le pays. Mais  pour lui i n’y a pas de problème, c’est la redevance qui paye ! 600 millions de budget, déficit de 50 millions, 5000 salariés, salaire mensuel de 5000 euros !    Pour continuer ce train de vie l’énarque propose donc une  redevance généralisée.  ”Aujourd‘hui, la redevance est payée par les personnes qui déclarent posséder un téléviseur, or cela n‘a plus de sens compte tenu des modes de consommation des médias actuels, explique-t-il. “Une idée pourrait être d‘instituer une redevance universelle et automatique, chaque foyer fiscal contribuant à cet effort.  Pour habiller sa redevance, Mathieu Gallet propose en complément la création d‘un “fonds d‘aide à la transition numérique”, ainsi qu‘un rapprochement des médias français publics et privés “confrontés à l’émergence de nouveaux acteurs mondiaux disposant de moyens colossaux”. Il propose de “faire rayonner nos contenus en utilisant tous les modes de diffusion du numérique. C‘est ce que j‘appelle la démarche de ‘média global’”.le terme fiscalité audiovisuelle globale serait plus approprié !

Radio France : encore 20 millions de déficits en 2016

Radio France : encore 20 millions de déficits en 2016

Dans la radio d’État les déficits succèdent aux déficits. La situation sera encore dégradée en 2016 comme elle l’a été en 2015. Cela en dépit d’une énorme subvention de 500 millions. En cause évidemment des gaspillages énormes partout et des sureffectifs souvent deux ou trois fois plus de personnel que dans les deux autres médias. On ne compte pas moins de 5000 collaborateurs Radio France. On pourrait par ailleurs s’interroger sérieusement sur l’importance de ces radios d’État alors que nous vivons une véritable révolution de l’information grâce aux nouveaux supports et en particulier à Internet une radio étatisée peut encore se justifier mais sans doute pas dans cette proportion. Radio France réduit son déficit, mais lentement. Après les -25 millions de pertes opérationnelles inscrites au budget 2015, ce sont encore -19,6 millions de pertes opérationnelles qui sont prévues en 2016, selon un document de Bercy.  Pour justifier ce déficit, les radios publiques avancent plusieurs explications. D’abord, le chantier de la maison ronde n’étant pas fini, il va falloir continuer à louer des locaux extérieurs. Ensuite, Radio France va emprunter, et donc devoir payer des intérêts sur cet emprunt. Enfin, la masse salariale augmente mécaniquement chaque année avec l’ancienneté, mais aussi avec « la conclusion attendue d’un nouvel accord collectif pour les personnels administratifs et techniques ».  Toutefois, la direction assure faire en parallèle une série d’économies. D’abord, l’arrêt de la diffusion en ondes moyennes fin 2015, qui permettra d’économiser 13 millions d’euros par an. Ensuite, des économies seront aussi recherchées sur « les achats et la consommation ». On se demande bien qui écoutait encore des les infos diffusées par ondes moyennes !

Le budget de Radio France (en millions d’euros)

Subvention de l’Etat au fonctionnement (hors investissement)
2014: 575,9
2015: 577,2
2016: 577,2

Publicité
2013: 40,4
2014: 42
2015: 40,5
2016: 42

Résultat opérationnel
2014: -8,2
2015: -25,4
2016: -19,6

Résultat net
2014: -2
2015: -21,3
2016: -16,6

Le patron de Radio France épinglé : drôle de gestionnaire

Le patron de Radio France épinglé : drôle de gestionnaire

 

Mathieu Gallet pourtant titulaire d’un DEA d’analyse économique ne brille pas pour ses qualités de gestion. Il faut dire qu’il doit  surtout sa nomination à son passage dans les cabinets ministériels.  La preuve, la rénovation de son bureau à 100 000 euros, la réfection de l’immeuble à 100  millions, enfin un contrat de 90 000 euros par an pour gérer son image. ça faiat cher la photo ! Il est vrai qu’on est habitué aux gaspillages à radio France dont le budget de 600 millions est  subventionné à hauteur de 90%, et les salaires représentent  90% de ce budget. Des salaires démentiels environ 5000 euros nets  en moyenne. Ne parlons pas de la productivité !  Mathieu Gallet, le PDG de Radio France. a été épinglé par Le Canard enchaîné la semaine dernière pour la coûteuse rénovation de son bureau personnel. L’hebdomadaire a creusé son enquête et, dans son édition de mercredi, révèle une nouvelle information gênante pour le patron : l’intéressé a engagé pour 90.000 euros par an et sans appel d’offre un expert pour gérer son image. Denis Pingaud, ancien d’Euro RSCG qui a fondé sa propre société de communication, Balises, est rémunéré « autour de 90.000 euros par an » pour conseiller Mathieu Gallet, écrit l’hebdomadaire satirique. Contactée par l’AFP, la direction de Radio France a assuré que ce contrat était légal : « Il n’a pas été nécessaire de passer un appel d’offres pour ce contrat, car il a été conclu en juin 2014 pour un an, après avis de la direction des affaires juridiques. » De plus, « il remplaçait deux contrats de conseil de la précédente présidence (Jean-Luc Hees, ndlr) d’un montant équivalent », a ajouté une porte-parole de Mathieu Gallet. « Au bout d’un an, ce contrat sera remis en concurrence », a-t-elle ajouté. Le PDG de Radio France s’était déjà attaché les services de ce spécialiste de la communication lorsqu’il dirigeait l’Institut national de l’audiovisuel (INA), rappelle Le Canard enchaîné. L’hebdomadaire affirmait aussi que les conditions dans lesquelles ce nouveau contrat avait été conclu n’étaient pas conformes à la loi car « depuis une ordonnance de 2005, les textes exigent pour ce type de marché une mise en concurrence dans les entreprises publiques ». Concernant le coût de la rénovation du bureau de Mathieu Gallet qui a fait polémique, Le Canard remet en question le montant de 70.000 euros imputé à la restauration des « boiseries et meubles anciens » en palissandre. Il affirme avoir retrouvé l’artisan qui a réalisé les travaux et qui assure les avoir facturés 35.494 euros.  »Comment la dépense bondit-elle alors de 35.494 à 70.000 euros? » s’interroge Le Canard. Selon les explications obtenues par l’hebdomadaire auprès de Radio France, « un peu moins de 20.000 euros » ont été facturés pour « démonter et remonter les boiseries qui avaient été mal montées, ce qui a été demandé à un autre menuisier ». Sur ce sujet, mardi soir la direction a « réaffirmé que ces travaux s’inscrivent dans une enveloppe de 2,9 millions d’euros prévue au budget 2014″ et que « le dépassement de facturation par rapport aux devis initiaux s’explique par la complexité de l’opération de restauration et l’intervention de plusieurs entreprises spécialisées ». Ben voyons ! 

Radio France : un exemple du gaspillage français

Radio France : un exemple du gaspillage français

 

Moins de 10% de grévistes à Paris pourtant Radio France est encore en grève.. Un exemple significatif des gâchis financier du secteur public qui explique largement le record de fiscalité en France, la perte de compétitivité et le chômage.  Des gaspillages énormes comme dans la plupart des secteurs publics. . Certains presque anecdotiques mais scandaleux quand même 100 000 euros pour la réfection du bureau du patron, 100 millions pour la rénovation du bâtiment. Plus incroyable 600 millions de budget dont 90% pour les charges salariales concrent de l’ordre de 5000 personnes ( 4 fois plus que d’autres radios) soit plus de 100 000 euros en moyenne par personne ! Et en plus sur France info.fr ce matin on utilise la chaine pour diffuser la PUB du syndicat SUD.   .  Comment qualifier ce qui caractérise ce service dit public, gaspillages, bureaucratie, paresse . Radio France, des salaires de cadres démentiels, des superstructures dignes de l’ancienne union soviétique, et globalement des programmes aussi insipides que les autres. En plus le contribuable est soumis à la redevance alors qu’aujourd’hui les chaînes et radios publiques sosnt de moins en moins regardées et ou écoutées . certes quelques médias se distinguent France info, France 2 pour certaines émissions, France culture ;  pourtant globalement les médias publics sosnt peu différents des chaînes commerciales. Aujourd’hui l’info est diffusée par des milliers  de médias audio-visuels ( exemple 600 radios associatives), pourquoi conserver un  mastodonte public ( payant en plus) qui n’apporte globalement pas davantage  que les supports privés ( à quelques exceptions près). En outre il fauta surtout prendre en compte le développement du numérique  surtout d’internet. qui diffuse mieux, plus vite et moins cher  l’info et sur tous les supports. On objectera que la mission de service public est essentielle. Mais précisément n’y a-t-il pas confusion entre le concept de service public, d’entreprise public et le statut du personnel. Dans ce domaine comme dans d’autres, le rôle de l’Etat est d’assurer sa tâche régalienne,  de réguler pour tirer les programmes vers le haut , les rendre plus compétitifs aussi et non de faire tout  lui-même. Bref France télévisions et Radio France   comme nombre de services  publics , c’est trop cher, trop bureaucratique et pas assez créatif. A moins évidemment que le pouvoir en place n’ait besoin de medias dociles pour diffuser la voix de son maître.  Le gouvernement pour la télé a donc fixé mercredi les missions du prochain président de France Télévisions, se basant notamment sur le rapport de Marc Schwartz, l’ex-directeur financier de France Télévisions. Le futur président du groupe public devra notamment être plus audacieux dans la programmation, mais avec un budget resserré

 




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