Archive pour le Tag 'racialisme'

La gauche perdue dans le gauchisme et le racialisme

La gauche perdue dans le gauchisme et le  racialisme

 

 

Phénomène classique , plus les forces d’une organisation s’affaiblissent et plus elles elle se radicalisent ; C’est le cas du parti socialiste, des insoumis mais aussi des écolos qui après avoir surpris au municipales vont payer la facture de leurs débordements gauchisants ; Aujourd’hui cette gauche est engluée dans le racialisme et plus généralement le gauchisme faute d’intérêt et de proposition sur les terrains économiques, sociaux voire de la sécurité et de la laïcité ; Beaucoup se laissent même tenter par l’islamo gauchisme. De ce point de vue la déclaration d’Audrey Pulvar  tête de liste socialiste en région parisienne risque de couter cher au PS/   «Que des personnes discriminées pour les mêmes raisons et de la même façon sentent la nécessité de se réunir entre elles pour en discuter, ça ne me choque pas profondément», indique l’adjointe d’Anne Hidalgo. Elle ajoute: «S’il se trouve que vient à cet atelier une femme blanche, un homme blanc, il n’est pas question de la ou le jeter. En revanche, on peut lui demander de se taire, d’être spectateur.

 

On imagine le tollé si la même phrase concerner les personnes de couleur !

Racialisme: Pulvar dérape encore

 

Racialisme: Pulvar dérape encore

Encore un dérapage d’Audrey Pulvar de plus en plus gauche bobo (elle est chargée de l’agriculture auprès d’Anne Hidalgo !) qui approuve la ligne racialiste qui exclut les blancs supposés tous coupables de discriminations genrées. Faute de programme, une partie de la gauche substitue la problématique raciale à la problématique plus générale du programme politique. Ou un repli sectaire en forme déjà d’acceptation de la marginalisation de la gauche minoritaire dans le pays se repliant sur l’extrémisme et les bobos;. .Selon l’écrivain et philosophe, les propos d’Audrey Pulvar sur les réunions «non-mixtes» entretiennent «un climat d’affrontement».Pascal BRUCKNER philosophe dénonce ce repli sectaire. dans LE FIGARO.

- Sur BFM-TV, Audrey Pulvar a jugé qu’on peut demander aux Blancs «de se taire» lors d’une réunion non-mixte. Selon vous, certaines discriminations se justifient-elles au nom de l’antiracisme?

Pascal BRUCKNER. - En tenant ces propos, Audrey Pulvar franchit la ligne rouge. Elle rejoint le camp des «fous de la race» et devient le symptôme d’un phénomène plus large, au terme duquel pourrait apparaître la justification de l’apartheid au nom de l’antiracisme. Au XXe siècle, les organisations antiracistes prônaient un idéal universaliste et combattaient toute forme de ségrégation, désormais de nouvelles associations ethniques ont pour principe de base de dénoncer les coupables: les hommes blancs et les femmes blanches. Dans cette optique, naître blanc, c’est naître avec un casier judiciaire plein et naître non-blanc c’est naître avec un passeport de victime éternelle. Dans

 

Le racialisme nouvelle pseudo science des demeurés haineux

Le racialisme  nouvelle pseudo science des demeurés haineux

 

 

 

Un papier intéressant du Monde des idées sur le nouveau racisme.

 

« . Grand absent du Littré mais aussi du Dictionnaire de l’Académie française et du Larousse, le mot « racialisme » apparaît cependant comme un incontournable de notre époque. Cette notion est convoquée tour à tour par les détracteurs de Nadine Morano – laquelle, en 2015, emploie le terme de « race blanche » , par Bernard Maro, directeur de recherche au CNRS, pour désigner le Parti des indigènes de la République, ou encore par les professeurs Barbara Lefebvre et Anne-Sophie Nogaret contre des « chercheurs en indigénisme » réunis lors d’un colloque, en septembre 2018, à Paris-VII. Une manière pour les défenseurs de l’universalisme de reprocher aux chercheurs et aux militants inspirés par la pensée postcoloniale de remettre au cœur du débat une notion, la race, qui a nourri des idéologies dangereuses et mortifères.

Mais que signifie donc, au juste, le terme de « racialisme » ? Dans son Dictionnaire historique et critique du racisme (PUF, 2013), Pierre-André Taguieff, directeur de recherche au CNRS, le définit comme « toute construction idéologique fondée sur l’idée de “race humaine” et faisant appel à une conceptualité supposée scientifique, d’une façon plus ou moins prononcée ». Résumé ainsi, le racialisme constitue la base théorique sur laquelle vient s’appuyer le « comportement » raciste analysé par l’historien des idées Tzvetan Todorov.

Historiquement, le terme de racialisme est d’abord utilisé pour désigner un courant de pensée qui se développe dans l’Europe du milieu du XIXe siècle. Issu de « la théorie des races » datant du siècle précédent, ce racialisme originel ambitionne d’expliquer les phénomènes sociaux à la lumière de facteurs raciaux et héréditaires : il définit, il différencie et il hiérarchise les différentes « races ». Les corps sont mesurés, les groupes sanguins comparés. C’est ainsi que naissent la phrénologie, la théorie selon laquelle la forme du crâne détermine le caractère de l’individu, ou encore la craniométrie, l’étude précise des mensurations des os du crâne et donc de la place qui serait laissée au cerveau. Cette dernière pseudo-discipline utilisée à l’origine pour déterminer de quelle « race » étaient les individus examinés constitue le foyer privilégié de bon nombre de discours racistes. …..»




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