Archive pour le Tag 'Rachida dati'

Politique-Rachida Dati, ministre: Un curieux objet culturel

Politique-Rachida Dati, ministre: Un curieux objet culturel

Pour le moins, la nomination de Rachida Dati comme ministre de la culture va susciter de nombreuses réactions. En effet, elle atterrit là un peu par hasard suite aux savants calculs de dosage des sensibilités politiques voulu par Macron. Une nomination qui va susciter aussi des polémiques compte tenu de la personnalité de l’intéressée qui doit surtout son avancement personnel et politique à ses relations nombreuses et variées.

La première chose qu’on peut observer c’est qu’elle n’a pas particulièrement de compétences en matière de culture. C’est même une politique un peu brute de décoffrage qui ne s’embarrasse pas de circonvolutions intellectuelles. Bref plus proche de Patrick Sébastien ou de Cyrille Hanouna que de Durkheim ou Roland Barthes !

Sur le plan personnel, c’est surtout son tissu de relation qui lui a permis d’accéder aux responsabilités. Un doute subsiste sur les conditions dans lesquelles il est devenu magistrate. Comme l’indique Wikipedia:

Le Canard enchaîné indique en 2007 qu’elle aurait produit un faux curriculum vitæ pour intégrer l’ENM, en utilisant une formulation qui laissait entendre qu’elle était titulaire d’un MBA européen du groupe HEC-ISA, cultivant une forme d’ambiguïté qui a pu induire certains magistrats ou hauts fonctionnaires en erreur, lors de sa demande d’entrée à l’ENM sur dossier28,29. Le directeur d’HEC indique qu’elle « n’a pas obtenu son diplôme, alors qu’elle avait validé tous les modules, parce qu’elle n’a pas assisté au séminaire de clôture de l’année »30.

Carrière professionnelle

En 1987, Rachida Dati effectue un stage en tant que chargée d’études16 auprès de la direction comptabilité-finance du groupe Elf Aquitaine grâce à Albin Chalandon, qu’elle rencontre lors d’une réception à l’ambassade d’Algérie en France31. Elle poursuit en parallèle des études supérieures en sciences économiques et gestion des entreprises. Après une rencontre avec Jean-Luc Lagardère en 1990, elle entre à la direction de l’audit de Matra communication, puis, en 1993, passe un an à Londres auprès de Jacques Attali, à la BERD32, toujours dans l’audit. En 1994, elle devient contrôleuse de gestion et secrétaire générale du bureau d’études sur le développement urbain à la Lyonnaise des eaux, puis, de 1995 à 1997, conseillère technique à la direction des affaires juridiques du ministère de l’Éducation nationale.

Par arrêté du 25 avril 1997 du garde des Sceaux, ministre de la Justice, elle est nommée auditeur de justice à l’École nationale de la magistrature pour effectuer une formation de 31 mois. Puis, par décret du président de la République du 20 juillet 1999, elle est nommée juge au tribunal de grande instance de Péronne (Somme). Pendant cette période, elle aurait reçu un blâme du procureur de Péronne pour avoir manqué de respect aux fonctionnaires du greffe. Se rendant souvent à Paris pendant la semaine, elle est convoquée par le premier président de la cour d’appel d’Amiens, qui lui reproche de disposer de son temps à volonté et qui l’avertit qu’il va envoyer un rapport sur elle à la direction des services judiciaires. Finalement, elle est enfin nommée substitut du procureur au tribunal d’Évry en septembre 20032,. Elle est candidate à un poste d’auditrice au Conseil d’État, dont elle connaît bien le vice-président, Marceau Long. Malgré la qualité de ses recommandations émanant de personnalités prestigieuses, sa candidature est refusée.

Ministère de la culture : « de Malraux à Rachida Dati »

Ministère de la culture : « de Malraux à Rachida Dati »

La plupart des observateurs considèrent que la nomination de Rachida Dati constitue davantage un coup politique qu’une nomination pertinente; surtout dans un secteur largement ignoré par Rachida Dati qui est sans doute à la culture ce que McDo est à la gastronomie. Non seulement sa formation est douteuse mais elle n’a jamais brillé intellectuellement. C’est plutôt une bête de scène politique adaptée pour les rudes combats électoraux. Bref davantage un profil de boxeur que d’intello.

Comme la plupart des observateurs mais encore davantage, les « républicains » s’offusquent d’abord de cette personnalité en charge de la culture.

«On est passé de Malraux à Dati en 70 ans… C’est abyssal», souffle-t-on, désolé, à droite.

Le pire pour les « républicains » c’est que Rachida Dati met le parti dans une position encore plus contradictoire. En effet Rachida Dati continue d’appartenir aux républicains pour certaines fonctions parisiennes, par contre elle quitte ses fonctions nationales. Bref ,un pied chez Macron, un autre- on ne sait jamais- chez les « républicains ». En fait, l’intéressée vise surtout à créer une alliance pour les prochaines municipales afin de prendre la place d’Anne Hidalgo. Cela grâce à une entente entre elle, les « républicains » parisiens et les macronistes.

Que ce coup de force de Macron ne change grand chose pour l’instant dans le rapport des forces bien au contraire car les responsables du parti les » républicains » ne vont pas apprécier ce nouveau coup de couteau dans le dos président, lequel avait affirmé qu’il ne procéderait pas de nouveaux débauchages.

Rachida Dati, Candidate pour reconquérir les catégories populaires chez les républicains !

Rachida Dati, Candidate pour reconquérir les catégories populaires chez les républicains !

Rachida Dati, archétype des bobos, à la tête des républicains pour reconquérir les couches populaires.Sans doute une confusion entre les populations du septième arrondissement dont elle est actuellement maire  et la réalité sociologique de la France. Selon les informations de l’Obs , Rachida Dati ambitionne de prendre les rênes des Républicains et de succéder à Christian Jacob après le scrutin législatif de juin prochain.

«J’envisage de me présenter à la présidence de LR (…). (pour) reconquérir les catégories populaires abandonnées par la droite», indique Rachida Dati, qui projette d’investir dans certains «sujets sociétaux». Comme l’accès aux produits de luxe de LVMH par exemple ou de la haute couture en général ?Comme au parti socialiste, cette insolite présidente potentielle pourrait condamner définitivement le parti républicain.Cela d’autant plus qu’elle traîne en outre des gamelles judiciaires pour financement illicite par Renault !

Si Rachida Dati avait déjà évoqué une possible candidature à l’élection présidentielle, elle n’avait pas encore indiqué sa volonté de briguer la présidence de son parti. Un poste détenu par Christian Jacob depuis octobre 2019, quelques mois après la démission du patron de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez. L’ancien maire de Provins devrait laisser son poste vacant après les échéances présidentielle et législatives.

Rachida Dati : un soutien à NKM ; pour la plomber ?

Rachida Dati : un soutien à NKM ; pour la plomber ?

« Je l’ai dit à Nathalie. Si on est ensemble, on gagnera Paris. Si on reste divisée nous perdrons. »Invitée de RTL, Rachida Dati a assuré Nathalie Kosciusko-Morizet de son soutien pour les primaires UMP en vue des municipales 2014 dans la capitale. « Je ferai campagne pour elle », a-t-elle expliqué face à Jean-Michel Aphatie. Interrogée sur les raisons de son retrait, annoncé mardi, la maire du VIIe arrondissement a expliqué que NKM avait été choisie par « les médias » et les « apparatchiks » de l’UMP. « Les médias l’ont choisi sans même la moindre présentation d’un projet », avant d’ajouter : « Ils ne se sont pas intéressés au mien ». Pour Rachida Dati, Paris est « gagnable » en 2014, mais sous certaines conditions. Selon elle, la campagne de l’UMP doit démarrer dès maintenant, Anne Hidalgo étant déjà sur le terrain pour le Parti socialiste. « Qu’on désigne NKM, et qu’on aille faire campagne », déclare l’ex-ministre. D’après elle, Nathalie Kosciusko-Morizet doit désormais faire un « geste politique fort », « en allant se présenter, s’implanter dans un arrondissement capital à notre victoire ». L’élue propose le XIIe arrondissement, aux mains du PS depuis 2001. Ce soutien affiché n’a pas empêché Rachida Dati de glisser quelques piques à destination de son ancienne rivale. Questionnée sur l’avenir de NKM en cas de victoire à l’élection municipale de 2014, l’ex-garde des Sceaux a espéré qu’elle ne quitterait pas son fauteuil de maire pour se présenter aux présidentielles. « Si elle est élue, elle ne va quand même pas laisser tomber ses électeurs une deuxième fois », a-t-elle déclaré, en référence au départ de Nathalie Kosciusko-Morizet de Longjumeau, son ancien fief électoral. L’ombre de Nicolas Sarkozy plane-t-elle sur les primaires parisiennes ? « Il ne m’a pas demandé de me retirer », rétorque Rachida Dati. « Lui, n’a jamais trouvé que ces primaires étaient une bonne idée. » Questionné sur l’implication de l’ancien président, elle a expliqué qu’il s’intéressait simplement à la politique, « c’est normal, c’est dans son ADN ». « C’est le meilleur d’entre nous », a-t-elle poursuivi, interrogée sur une possible candidature de l’ancien chef de l’État à l’élection de 2017. Rachida Dati célébrera des mariages homosexuels dans sa mairie du VIIe arrondissement. « Je suis républicaine », a-t-elle affirmé. « Je respecte la loi quand elle est votée », regrettant toutefois que la France soit « divisée et à terre » du fait de l’adoption du projet de loi. Interrogée sur la prestation de Christiane Taubira, en première ligne sur le mariage pour tous, l’ex-garde des Sceaux décrit « une militante, une femme qui a des convictions, du talent ». Elle regrette cependant les « envolées lyriques » de la ministre : « l’Assemblée nationale, c’est pas la Comédie Française », a-t-elle ironisé.

 

Rachida Dati, recasée « caissière » à Franprix » ?

Rachida Dati, recasée  « caissière » à Franprix » ?

Rachida Dati ne semble plus vraiment croire en ses chances pour briguer la Mairie de Paris aux élections municipales de 2014. Elle aurait même déjà songé à une reconversion plutôt inattendue. Dans une interview parue dans le magazine Challenges daté de ce jeudi, l’ancienne proche de Nicolas Sarkozy a déclaré que si elle devait « quitter la politique », elle pourrait « redevenir caissière dans un Franprix ». Et d’insister en précisant: « Ça ne me dérangerait pas. »  L’ancienne ministre de la Justice a souvent affirmé avoir payé ses études grâce en travaillant. En 2009, Le Point avait enquêté sur les jobs étudiants de Rachida Dati et retrouvé ses anciens collègues du Prisunic (ancien Monoprix, ndlr). Ces derniers avaient alors affirmé l’avoir vu seulement en été « un mois, deux années de suite ».Le groupe Casino, qui détient la marque Franprix, a réagit avec humour aux déclarations de Rachida Dati, en lui adressant un message sur Twitter. « On vous y accueillera avec plaisir », pouvait-on lire dans un tweet adressé à @datirachida. Mais celle-ci ne semble pas avoir vraiment apprécié l’ampleur de cette affaire. Après la publication de l’interview, le magazine Challenges affirme avoir été contacté par l’ancienne ministre, pensait que la conversation concernée était « en off ». Pour se justifier, l’hebdomadaire spécialisé en économie explique que c’est pour mettre en opposition le train de vie de Rachida Dati avec l’engagement qu’elle venait de prendre en cas de retrait de la vie politique. Dans les colonnes de Challenges, elle décrit comme portant « une tenue chic branchée », composée d’un « chandail Lacoste et jean moulant », le tout en étant « haut-perchée sur ses chaussures Louboutin à plateforme ».

 

Rachida Dati héroïne de BD recherche père pour sa fille

Rachida  Dati  héroïne de BD recherche père pour sa fille

Devenir une héroïne de bande dessinée ne l’a pas fait rire. L’ex-garde des Sceaux, Rachida Dati, va demander mardi à la justice l’interdiction de la publication d’une bande dessinée, à paraître jeudi, la mettant en scène ainsi que sa fille Zohra.  L’ancienne ministre de la Justice et actuelle députée européenne (UMP) a assigné lundi devant le juge des référés de Versailles (Yvelines) 12Bis, éditeur de la BD « Rachida, au nom des pères ». L’audience est prévue mardi à 14h.  Rachida Dati va par ailleurs demander 100.000 euros de dommages et intérêts au total pour elle et sa fille. « A défaut d’interdiction », elle réclame la publication d’un bandeau sur chaque exemplaire de la BD précisant que celle-ci est attentatoire à sa vie privée et celle de sa fille.  Cette BD, dont le scénario a été écrit par le journaliste Yves Derai, auteur d’une biographie de l’ancienne garde des Sceaux, revient sur le parcours de cette « icône de la diversité qui rêve de sommets » et qui est « prête à tout pour les atteindre », selon l’éditeur.  Elle traite plus particulièrement de la recherche de paternité de la fille de l’ex-ministre. « Ce thème touche à une des parties les plus intimes de la vie privée de Madame Dati comme de celle de sa fille », dénoncent ses avocats dans l’assignation. Il s’agit selon eux d’une « atteinte grave » que « l’humour ou la caricature ne suffisent pas à excuser ».

Qui a couché avec Rachida Dati ? La justice enquête auprès de très nombreux suspects

Qui a couché avec Rachida Dati ? la justice enquête auprès de très nombreux suspects

La justice est débordée avec le procès intenté par l’ancienne ministre de la justice pour connaître le père de son enfanta. Un Suspect, Lucien Barrière, affirme être innocent, il indique de Rachida Dati a entretenu de nombreuses liaisons ; alors avec qui ? L’ensemble du gouvernement de Sarkozy, les parlementaires, les responsables de l’UMP, des patrons du CAC, d’autres encore ? Au ministère de la justice, on s’inquiète car les moyens actuels ne permettent pas de réaliser une enquête d’une telle dimension. On réclame déjà des effectifs en plus. Des emplois « d’avenir » notamment car il est clair que nombre de français vont eux aussi solliciter la justice pour connaître le vrai père de leur enfant. D’après l’INSEE, 10 millions de français pourraient être concernés. Hollande conscient du problème envisage même e créer un ministère de la paternité. On parle de DSK pour le portefeuille.  L’affaire avait affolé la presse people et défrayé la chronique judiciaire au début du mois d’octobre : peut-être son dénouement s’annonce-t-il enfin. Le tribunal de Versailles a ordonné mardi une expertise génétique pour déterminer si oui ou non, Dominique Dusseigne est le père de Zohra, 3 ans, la fille de Rachida Dati.  L’ex-garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy avait toujours tu l’identité du père de sa fille, mais Le Point.fr révélait début octobre qu‘elle avait assigné en reconnaissance de paternité le médiatique PDG du groupe Lucien Barrière, notamment propriétaire du Fouquet’s à Paris.  Elle dément dans la presse, porte plainte contre les titres qui ont glosé sur sa démarche. Las. L’affaire est relayée dans les médias. Lui conteste qu’il est le père. Il refuse d’ailleurs de se soumettre à un test ADN, en invoquant au nom du « doute raisonnable » les nombreuses autres relations qu’aurait entretenu Rachida Dati pendant son aventure avec elle. Quand l’expertise génétique aura été réalisée, le tribunal de Versailles fixera une autre date pour que se tienne une nouvelle audience de procédure. Pour autant, Dominique Desseigne n’est pas obligé de se soumettre au test de paternité puisqu’il suppose le consentement des personnes qu’il concerne . Pendant ce temps là la justice intraitable continue son travail, l’enjeu est maintenant national.

 

Rachida Dati à Montebourg « casse-toi, pauvre con » ; toujours la grande classe (vestimentaire) !

Rachida Dati à Montebourg  « casse-toi, pauvre con » ;   toujours la grande classe (vestimentaire) !

 

Interrogée sur « Canal » à propos de la séparation Pulvar-Montebourg », réaction de Rachida Dati «  Casse-toi pauvre con ». Une experte sans doute puisqu’elle même a du solliciter la justice pour connaitre le père de son enfant ; Elle connaît la question. Elle reprochait récemment à Fillon de n’être pas vraiment un homme d’Etat ; ses propos de caniveau lui donnent sans doute cette légitimité qu’elle refuse à celui qui fut son Premier ministre alors qu’elle sévissait à la justice sans autre compétence que celle de diplômes contestés. Avec ce type de personnage la politique est vraiment tombée dans le caniveau et le vernis de l’élégance vestimentaire ne saurait dissimuler la vulgarité intérieure. Humour sans doute  de Rachida Dati ? En tout cas en cohérence avec le reste.

Rachida Dati menace sa première adjointe : toujours la grande classe ( vestimentaire seulement )

Rachida Dati  menace sa première adjointe : toujours la grande classe ( vestimentaire seulement )

« Tu veux que je t’en colle une ? » C’est ainsi que Rachida Dati s’est adressée à Martine Namy-Caulier, première adjointe du 7e arrondissement, dont l’ancienne ministre est maire.  La scène est racontée par le Point du 8 novembre et se déroule dans les salons de l’hôtel Lutetia à Paris. Le 10 novembre 2011, Rachida Dati est furieuse et s’en prend à cette élue, soutien de François Fillon, selon l’hebdomadaire.  L’objet du courroux de l’ancienne garde des Sceaux ? La première adjointe, Martine Namy-Caulier, a refusé de voter le budget du 7e arrondissement. Elle témoigne :  Je voyais sa main prête à me frapper. Je ne me suis pas démontée, j’ai dit : vas-y ! Elle a hésité puis a soudain tourné les talons.  A cette période, le conseil municipal de l’arrondissement parisien est sous tension. Divisé entre les partisans de Rachida Dati et ceux qui préfèrent François Fillon. Les deux personnalités politiques sont en lice pour être le candidat investi aux législatives par l’UMP.  Le 6 mars, le Lab vous racontait pourquoi six élus UMP du 7e arrondissement ont quitté le conseil d’arrondissement et dénoncaient « le climat délétère que fait régner Rachida Dati depuis plusieurs mois ». Déjà en conflit avec la maire, Martine Namy-Caulier, racontait au Lab qu’elle jugeait « la situation intolérable ». « Nous sommes les pestiférés du 7e arrondissement », déclarait la première adjointe au maire. 

 

Père de la fille de Rachida Dati : une enquête auprès de 2 millions de français

Père de la fille de Rachida Dati : une enquête auprès de 2 millions de français

Le présumé coupable de la paternité de la fille de Rachida Dati ne se soumettra pas au test de paternité. Ce test sollicité auprès de la justice par Rachida met la justice dans l’embarras ; du coup, on va procéder par élimination. 2 millions de français sont suspectés de relations extraconjugales. La justice, dans sa grande sagesse, va donc opérer des tests auprès de cette population sauf sur Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barrière qui lui refuse et  ne se soumettra pas au test de paternité réclamé par Rachida Dati. Si le test est négatif auprès de ces deux millions de français, alors on pourra peut-être conclure que c’est bien le PDG qui est l’auteur de ce coupable méfait. Dores et déjà, le gouvernement a prévu de renforcer les effectifs de la justice pour cette enquête gigantesque.50 000 emplois seront crées, des emplois d’avenir évidemment car nombre de pères doutant de la fidélité de leurs épouses s’apprêtent  aussi à demander de tels tests. Ces emplois seront fnancés a déclaré Taubira ; une taxe sur la location de chambre à la journée dans les hôtels de passe couvrira le coût de ces recrutements. Par ailleurs, une loi sera déposée à ‘assemblée nationale pour rendre obligatoire les préservatifs lors des liaisons extraconjugales. La gendarmerie sera chargée de son application. Une application qui s’inspire de la ceinture de sécurité pour la voiture. A chaque infraction, deux points en moins sur le permis de niquer hors mariage. La ligue des droits de l’homme a déjà prévu de déposer une requête auprès du conseil constitutionnel pour protester contre cette atteinte aux droits fondamentaux. De son coté, le conseil d’Etat devrait aussi se prononcer, lui, sur la conformité du décret en cours de préparation. Après la crise financière, la crise économique, cette affaire pourrait contaminer toute l’Europe. Berlusconi qui n’a pas renoncé au pouvoir en Italie demande un sommet européen extraordinaire, il s’oppose en effet à la future loi française qui pourrait contaminer l’Europe entière. Les réactions sont vives aussi aux Etats-Unis cependant majoritairement favorables à la disposition juridique française. Bill Clinton lui s’y oppose. Rappelons l’affaire : Dominique Desseigne est assigné mardi par l’ancienne ministre de la Justice devant la chambre civile du tribunal de grande instance de Versailles en reconnaissance en paternité. Elle avait jusqu’ici toujours refusé de dévoiler le nom du père de sa fille, qui a fait l’objet de nombreuses rumeurs et supputations. Dominique Desseigne explique qu’il présentera un «intérêt légitime à contester la demande d’expertise», et donc à refuser le test de paternité. Est-il le père de l’enfant? «Il jure qu’il l’ignore». Aucun tribunal ne peut le contraindre à ce test, La loi impose en effet le consentement de l’intéressé. Dans cet entretien, l’homme d’affaires refuse de commenter plus «l’affaire» et appelle Rachida Dati «la dame». «La liaison qu’il a entretenue avec elle, n’était à ses yeux, qu’une aventure»,

Rachida Dati : une investiture aux municiaple contre l’abandon de celle aux législatives

Rachida Dati : une investiture aux municiaple contre l’abandon de celle aux législatives

Au siège de l’UMP, les négociations continuent en vue des élections législatives. Objectif : limiter les dissidences afin d’assurer un maximum de sièges aux élus de la majorité sortante. A Paris, la 2e circonscription est au centre de toutes les attentions, Rachida Dati, la maire du 7e arrondissement, étant prête à se présenter en dissidence face à François Fillon. Mais une sortie de crise serait sur le point d’être trouvée. En effet, selon lepoint.fr, l’ancienne garde des Sceaux souhaiterait « jouer un rôle de premier plan aux municipales de Paris ». Selon nos informations, elle négocierait en fait son retrait de la course aux législatives en échange d’une investiture de l’UMP pour l’élection municipale de la capitale en 2014. La bataille pour la Mairie de Paris s’annonce donc comme un combat de femmes, entre la socialiste Anne Hidalgo – actuelle adjointe de Bertrand Delanoë que ce dernier a promu comme sa successeuse –, Cécile Duflot – la patronne des Verts doit d’abord remporter la 6e circonscription où elle se présente en juin – et, potentiellement, Rachida Dati. Jusqu’à maintenant, François Fillon était envisagé comme le champion de l’UMP pour la Mairie de Paris. Mais, selon nos sources, le Premier ministre sortant souhaite éviter une défaite, envisageable au vu des résultats de la présidentielle dans la capitale, à majorité acquise à François Hollande. Un échec à Paris serait délicat pour François Fillon qui nourrit des ambitions à moyen terme – la présidentielle en 2017. Si elle reste injoignable depuis plusieurs jours, Rachida Dati a tout de même confirmé ces informations, par voie de sms, à quelques élus parisiens. Selon nos sources, elle serait en train de négocier directement avec Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, et François Fillon. La maire du 7e arrondissement parisien continue de menacer : si elle ne peut pas gagner contre Fillon, elle peut le faire battre aux législatives. Un deal avec Rachida Dati arrangerait donc les affaires des uns et des autres, excepté Philippe Goujon et Jean-François Lamour. Respectivement patron de la fédération UMP de la capitale et chef de file des élus de droite au Conseil de Paris, ils ne cachent pas leur détestation de l’ancienne ministre. Et ils ont sans doute davantage de poids au sein de l’UMP que Rachida Dati. Reste à savoir s’ils sauront faire entendre leurs arguments face à une élue médiatiquement très présente.

 




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