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Covid France cinquième vague : ce n’est qu’un début (Martin Blachier )

Covid France cinquième vague : ce n’est qu’un début (Martin Blachier )

 5000 contaminations il y a environ un mois, 15 000 samedi dernier et plus de 22 000 ce samedi 20 novembre, la pandémie progresse de façon inquiétante en France où la cinquième vague ne semble qu’au début de son évolutionEstime l’épidémiologiste Martin Martin Blachier. On pourrait rapidement atteindre 50 000 contaminés d’ici un mois. Bref mesure restrictive nouvelle le brassage des populations de fin d’année pourrait provoquer une catastrophe.Invité à l’antenne de Franceinfo ce vendredi 29 octobre, l’épidémiologiste Martin Blachier s’est montré formel : « On est au début de la 5e vague », a-t-il lancé sur le plateau avant d’ajouter, alarmiste : « On est au début de ce phénomène de reprise épidémique et il n’y a aucune raison que ça s’arrête« . Après deux mois successifs de baisse, la France encaisse un léger rebond de l’épidémie de Covid-19. Ces derniers jours, le gouvernement a multiplié les appels à la vigilance. « L’épidémie recommence à gagner du terrain« , a prévenu Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, sur RTL.

Les hôpitaux français pourront-ils supporter une 5e vague ? « On n’envisage pas pour l’instant qu’il y ait un phénomène de saturation (…) mais en revanche, c’est vrai que la pression qui existe aujourd’hui va encore s’intensifier sur les services hospitaliers et les services de réanimation », a assuré sur Franceinfo l’épidémiologiste .

Le retour du Plan, « plus qu’un symbole »?

Le retour du Plan, « plus qu’un symbole »?

 

Dans sa chronique au Monde, l’historien Pierre-Cyrille Hautcœur, Directeur d’études à l’EHESS

)  rappelle que les expériences de 1914 et 1946 avaient su enrôler le secteur privé dans un effort national commun. Un rappel utile au moment où certains ultralibéraux crient au retour de l’étatisme.

 

Chronique. La résurrection du Haut-Commissariat au plan sera-t-elle plus qu’un symbole, qu’une structure technocratique supplémentaire, ou qu’une sinécure prestigieuse ? Les pandémies et le réchauffement climatique fournissent, nous dit-on, au moins deux exemples de défis mondiaux qui requièrent une vision à long terme et une institution de concertation, au contact direct de la décision publique.

Deux précédents historiques suggèrent pourtant d’autres enjeux.

Lorsque le Commissariat général du Plan est créé en 1946, son nom renvoie à l’efficacité de la planification soviétique, alors au sommet de sa réputation. Par la suite, la notion de « plan à la française » suggère plutôt la compilation et l’analyse d’informations nombreuses, de longs débats en vue de choix partagés, des actions concertées quoique décentralisées et non impératives. C’est ce qu’il était devenu, toujours plus approfondi et complexe, avant d’être abandonné en 1993, victime collatérale de la chute du mur de Berlin, puis supprimé en 2006.

Pourtant, à sa naissance en 1946, le Plan est d’abord un lieu de décisions dans l’urgence face à des pénuries omniprésentes (nourriture, moyens de transport, matières premières, main-d’œuvre), un lieu de répartition des rares ressources disponibles et bientôt des dollars du plan Marshall, ce qui donne brièvement à Jean Monnet (1888-1979), le premier commissaire, des pouvoirs considérables quoique sous surveillance américaine.

Mais dès l’urgence passée, administrations comme entreprises tendent à reprendre leur autonomie, à garder leurs informations pour elles, à se méfier du Plan voire à s’en servir dans leurs propres intérêts. Et Jean Monnet repart bien vite vers d’autres actions exaltantes, plus conformes à son supranationalisme foncier, en créant la Communauté européenne du charbon et de l’acier dès 1951.

L’autre expérience est antérieure. Au début de la Grande Guerre, l’urgence des besoins militaires avait créé un désordre considérable dans les approvisionnements, multipliant les retards, les contradictions et les coûts ; l’invasion avait privé le pays des usines du Nord-Est, aggravant les pénuries.

Coronavirus Allemagne: 109 qu’un nouveau, 349 en tout

Coronavirus Allemagne: 109 qu’un nouveau, 349 en tout

 

Comme dans nombreux pays, comme en France, la contamination s’amplifie en Allemagne. Cent-neuf nouvelles infections dues au coronavirus ont été confirmées au cours des 24 dernières heures en Allemagne, où le total est désormais de 349 cas, a fait savoir jeudi l’Institut Robert-Koch.

Un seul des seize Lander est épargné et celui de Rhénanie du Nord-Westphalie, qui est le plus peuplé, est aussi le plus touché avec 175 cas, précise-t-il.

Professeurs: un salaire de 2.000 euros en 2020 ? Un peu moins qu’un plombier

 Professeurs:  un salaire de 2.000 euros en 2020 ? Un peu moins qu’un plombier

 

 

 

L’annonce du ministre de l’éducation évoquant une augmentation de l’ordre de 300 € et d’un objectif d’un salaire minimum de 2000 € en 2020 donne l’impression d’une avancée spectaculaire. La vérité c’est que c’est à peine le salaire d’un plombier. Des salaires ridicules pratiqués dans l’enseignement en début de carrière comme ceux d’ailleurs de l’ensemble des fonctionnaires ceci explique bonne part la baisse générale de qualité. Le même phénomène qu’on constate dans l’éducation nationale se vérifie aussi chez les médecins hospitaliers entre (dont 50 % sont d’origine étrangère pour cette raison sociale). La vérité c’est que cette nouvelle rémunération des professeurs représente à peine le salaire d’un plombier. Les salaires pratiqués dans l’enseignement en début de carrière comme ceux d’ailleurs de l’ensemble des fonctionnaires sont ridiculement bas. « C’est typiquement le genre d’objectif que je souhaite me fixer ». Interrogé sur Europe 1, sur les promesses d’augmentation de salaires faites au « stylos rouges », révélées par Challenges, le ministre de l’Education nationale a donné un possible ordre de grandeur à cette revalorisation.

Si ce montant était confirmé, il ne suffirait pas à calmer la grogne des professeurs, dont le ministre estime qu’ils seront 15 % à faire la grève jeudi, à l’appel d’une intersyndicale de la fonction publique. Car garantir un montant de salaire minimum répond davantage à un enjeu d’attractivité de la profession, dont les concours ne font pas le plein, qu’à une réponse substantielle aux problèmes de pouvoir d’achat des professeurs, qui comptent parmi les moins bien payés de l’OCDE.

Des discussions sont en cours avec Bercy, dans le cadre des négociations du projet de loi de Finances 2020. A priori, il s’agirait des revalorisations de salaire pluriannuelles, pour étaler la charge des augmentations sur plusieurs années.

Le problème c’est que cette augmentation de salaire risque d’être contagieux et de contaminer l’ensemble des fonctionnaires. Alors si les fonctionnaires sont si mal rémunérés c’est qu’ils sont globalement beaucoup trop nombreux et mal répartis entre les fonctions réellement régaliennes et des fonctions accessoires pouvant être confiées  au privé. Même dans les fonctions régaliennes,  d’immenses progrès d’organisation sont à réaliser  dans certaines filières y compris dans la filière hospitalière par exemple.

Un passé c’est mieux qu’un avenir judiciaire, (Juppé)

Un passé  c’est mieux  qu’un avenir judiciaire, (Juppé)

 

Réponse cinglante de Juppé à ce qui veulent le discréditer en raison de son passé judiciaire « En matière judiciaire, il vaut mieux avoir un passé qu’un avenir». Une réponse adressée en particulier à Morano qui considérait que Sarkozy était innocent puisque que jamais condamné. Une réponse plus générale à tous ceux qui l’attaquent en raison surtout de sa position de favori dans les sondages. Le maire de Bordeaux, favori de la primaire de la droite, a été condamné en 2004 pour prise illégale d’intérêts dans le cadre de l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris (en fait il a payé pour Chirac). L’ancien ministre de l’Economie Emmanuel Macron avait déclaré la semaine dernière à Strasbourg que le passé judiciaire d’Alain Juppé et les ennuis judiciaires actuels de Nicolas Sarkozy les disqualifiaient pour la présidentielle de 2017. Bruno Le Maire, candidat à la primaire, a inscrit dans son « contrat présidentiel » l’obligation faite à tout candidat à un mandat électif à présenter un casier judiciaire vide. « Tout le monde connaît ma situation, je me suis exprimé, et je crois que les Français ont compris et qu’ils m’ont relégitimé à plusieurs reprises », a réagi Alain Juppé sur BFM TV. « Tous ces personnages (…) n’ont que l’Etat de droit à la bouche. Qu’est-ce que c’est que l’Etat de droit? C’est la non-rétroactivité de la loi pénale », a-t-il poursuivi. A la question de savoir s’il se considérait comme la cible privilégiée de ces attaques, l’ancien Premier ministre a répondu : « Peut-être pas uniquement, peut-être pas principalement. En matière judiciaire, il vaut mieux avoir un passé qu’un avenir. »

(Avec Reuters)

 

Un smicard français moins cher qu’un polonais?

Un smicard français moins cher qu’un polonais?

L’écart de coût peut être de 1 à 10 entre un salarié français et un salarié bulgare, le PS veut démonter qu’un salarié français est moins cher qu’un polonais. Une démonstration qui illustre bien le rapport qu’entretient le PS avec l’économie réelle ! Un salarié français payé au niveau du Smic coûte moins cher à son entreprise que son équivalent polonais ou portugais détaché en France, contrairement aux idées reçues, selon les calculs du rapporteur général au Budget, Valérie Rabault (PS). En prenant en compte les effets du CICE et du pacte de responsabilité, « les cotisations patronales ne sont désormais plus que de 10% du montant du salaire brut pour un salaire au Smic contre 20% en 2007 et 2012″, a affirmé lundi soir Mme Rabault à l’occasion du débat sur le projet de loi sur le règlement du budget 2015 à l’Assemblée nationale.  »Désormais un salarié français rémunéré au Smic revient à son employeur à 1609 euros par mois » en tenant compte du bénéfice du CICE (estimé à 87 euros), selon Valérie Rabault.  « S’il était Polonais et payé en France au Smic avec des cotisations sociale payées en Pologne, le coût serait pour son employeur de 1756 euros. En Roumanie il serait de .619 euros, en Espagne de 1788 euros et au Portugal de 1697 euros », selon les calculs de Valérie Rabault transmis à l’AFP et basés sur une note du ministère des Finances.  Un beau calcul de coin de table qui fausse les comparaisons réelles.  La Pologne est le principal pays d’origine des salariés détachés en France, avec 46.816 travailleurs. Suivent le Portugal (44.456), l’Espagne (35.231) et la Roumanie (30.594).

Sondage : l’achat Immobilier : plus important qu’un CDI ou le mariage !

Sondage : l’achat Immobilier : plus important qu’un CDI ou le mariage !

 

 

Curieuse cette importance attachée à l’immobilier qui traduit peut-être la crise du secteur et les difficultés pour les primo-accédants. Une étude IFOP pour « VousFinancer.com », publiée mercredi 11 juin, révèle que les Français estiment que l’accès à la propriété est une étape plus importante que le mariage dans une vie.  Pour 36% des Français, l’achat d’un bien immobilier constitue l’étape la plus importante dans une vie. C’est le résultat d’une étude IFOP pour le site spécialisé  VousFinancer.com et pour le Syndicat national des professionnels immobilier (SNPI), parue mercredi 11 juin et relayée par 20minutes Pour les sondés, l’accès à la propriété est même plus important que la signature d’un contrat à durée indéterminée (CDI) ou qu’un mariage.  « Nous avons été surpris. Cela prouve que les lignes bougent », commente Alain Duffoux, président du SNPI, auprès de nos confrères.  D’après Frédéric Michaud de l’Ifop, les jeunes sont particulièrement concernés par cette nouvelle tendance. Les 25-34 ans achètent d’ailleurs de plus en plus à deux, en couple.

 




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