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Hollande va parler, de quoi ? d’un nouveau pacte

Hollande va parler, de quoi ?  d’un nouveau pacte

 

Portait au vitriol de Hollande sur France 2, un président auusi ambigu en politique que dans ses relations avec les femmes. Une sorte de sphinx, indécis, sans vraie colonne vertébrale, qui n’aime pas décider  et surtout préoccupé de prendre le pouvoir et de le conserver. En apparence jovial mais ne manifestant guère d’empathie envers les autres. Bref un super égocentrique mais mou. On lui a souvent auusi d’avoir peur de s’exprimer devant les français, exercice qu’il n’aime pas. Du coup,  Le président de la République devrait s’adresser aux Français avant la fin du mois, sans doute par le biais de la télévision. Après la gifle des élections municipales en mars dernier, François Hollande avait brièvement pris la parole à l’occasion d’une allocution télévisée dans laquelle il avait annoncé la nomination de Manuel Valls à Matignon.  Le  chef de l’Etat devrait préciser ce choix avant la fin du mois. Le Président devrait s’adresser aux Français aux alentour du 28 avril. Lors dette intervention, sans doute télévisée, il devrait également évoquer les contours du pacte de responsabilité. Hollande pourrait bien à l’occasion nous inventer encore un nouveau pacte !

 

Municipales : un remaniement du gouvernement pour quoi faire ?

Municipales : un remaniement du gouvernement pour quoi faire ?

 

Pour effacer la raclée aux municipales, Hollande va très rapidement changer le gouvernement. Une vieille recette pour modifier l’agenda médiatique. Pendant qu’on parlera des nouveaux ministres, des promesses, on focalisera moins sur la déroute du PS. De quoi occuper les médias jusqu’en mai où la défaite risque cependant d’être encore plus sévère. Pourquoi ? Simplement parce rien ne changera sur le fond de la politique. Juste une petite sucrerie fiscale pour les moins favorisés, un pacte de responsabilité très flou aux conséquences douteuses et un chômage qui va continuer de croitre faute de croissance. En fait ce sera un remaniement mais avec les mêmes apparatchiks qui n’ont rien compris au changement de monde, à la crise, aux réalités socio-économiques. Il n’y a de leur part pas l’ombre d’une analyse de la crise de la France, de l’Europe et de l’environnement international en général. Du coup,  les reformes structurelles sont des gadgets pas du tout à la hauteur des enjeux. Des enjeux aux dimensions économiques, sociaux, environnementaux et géopolitiques qui s’ interpénètrent. La France est étouffée par une démocratie monarchique confisquée par les oligarques coupés du réel. Elle est paralysée par une bureaucratie étouffante qui tue la compétitivité, la croissance et l’emploi. Il faudrait d’abord réformer complètement l’Etat mais cette oligarchie est composée essentiellement de salariés de l’Etat qui ne veulent pas couper la branche sur laquelle ils sont assis et qui les soutient. Il faudra donc attendre après la raclée aux municipales le tsunami qui s’annonce dans toute l’Europe aux municipales et particulièrement en France . Cela pour faire comprendre que la politique européenne de l’euro fort, de l’austérité, et de la concurrence anarchique ne peut conduite l’UE qu’au déclin. Un nouveau gouvernement ne changera rien ; en outre il sera vite discrédité par les élections européennes de mai. Et pas question de changer encore de gouvernement. Chez Hollande tout est obsolète, l’analyse de la crise, la politique économique et sociale et même sa manière de gouverner avec ses consensus mous. Le pire de tous les maux c’est l’absence de confiance qui paralyse investisseurs, entrepreneurs et même les ménages. Le changement de gouvernement est un vieux truc éculé pour donner l’impression de changer quand on est discrédité. .

Les gouvernements français et allemand réunis : pour quoi faire ?

Les gouvernements français et allemand réunis : pour quoi faire ?

 

On peut se demander sur quoi va déboucher cette réunion des gouvernements français et allemand au grand complet. Sûrement pas sur grand-chose car Hollande et Merkel sont à peu en désaccord sur tout. Sur la politique économique et fiscale bien sûr, sur le rôle de l’Europe et en particulier sur celui de la BCE. On peut s’attendre à des propos très généraux sur l’énergie, la fiscalité et à quelques promesse en matière de défense. Une centaine de  soldats allemand en Afrique sans doute pour aider la France très isolée, ni soutenue vraiment par l’Allemagne, l’Europe ou même les Etats –Unis. Bref plutôt une rencontre pour faire semblant d’entre unis alors que tout nous sépare. De la Com. comme l’aime Hollande.  Dès son arrivée, Mme Merkel se rendra à l’Elysée pour un entretien d’une heure avec le président François Hollande, tandis que les ministres se retrouveront pour une série de rencontres bilatérales. La situation en Ukraine, où les affrontements entre le pouvoir et l’opposition pro-européenne ont fait au moins 16 morts depuis mardi, devrait s’imposer dans les discussions entre les chefs des diplomaties allemande et française. Le social-démocrate Frank-Walter Steinmeier et le socialiste Laurent Fabius ont déjà condamné mardi chacun de leur côté l’escalade de la violence.  Défense, énergie ou fiscalité: quelques décisions devraient sortir de ce conseil des ministres hors normes mais selon une progression à pas comptés.  Présentée à Paris comme un « symbole fort », la décision la plus concrète devrait être l’officialisation du déploiement en juin au Mali d’un contingent de quelque 250 soldats de la brigade franco-allemande. « Davantage de convergences sont possibles », notamment dans la coopération militaire au Mali et en Centrafrique, a souligné samedi la chancelière allemande.  Il y a un mois, M. Steinmeier avait toutefois prévenu que son pays n’enverrait pas de troupes de combat en Afrique. Sous commandement français, le contingent franco-allemand devrait donc se cantonner à des missions de formation des forces maliennes dans le cadre de la mission européenne (EUTM).  Il s’agira du premier engagement sous la bannière européenne de cette unité souvent considérée comme sous-employée par les experts militaires.  Seconde dominante du conseil: l’énergie. En janvier, François Hollande avait évoqué l’idée d’ »une grande entreprise franco-allemande pour la transition énergétique », un « Airbus de l’énergie ». Mais Paris ne parle plus désormais que d’une simple « plateforme » de partenariats industriels et technologiques autour des réseaux, des énergies renouvelables ou du stockage de l’électricité.   »Evidemment, la transition énergétique ce n’est pas l’aéronautique et 2014 n’est pas la fin des années 60″, reconnaît-on à l’Elysée. Le rôle de l’Etat se bornera donc à « identifier des axes stratégiques de coopération » entre industriels, instituts de recherche et institutions financières.  Au chapitre fiscal, les progrès devraient être ténus. L’Elysée avance un « programme de convergence » avec un « travail immédiat sur la structure de taxation des entreprises » et les investissements croisés, ainsi qu’une « impulsion » qui serait donnée aux laborieuses discussions à Bruxelles sur une directive fixant une assiette commune de l’impôt sur les sociétés.  La France, a par ailleurs souligné mardi le ministre des Finances Pierre Moscovici, attend de ce conseil une « position commune » sur la taxe sur les transactions financières afin de parvenir à une proposition solide avant les élections européennes de mai. Mais l’Elysée relève que des « travaux techniques » sont encore nécessaires.  Dans le secret de sa rencontre avec Angela Merkel, François Hollande pourrait aussi évoquer le débat sur la relance de la consommation intérieure d’une Allemagne forte d’un excédent record de sa balance commerciale de près de 200 milliards d’euros l’an dernier. Le président français ferait valoir de son côté les efforts qu’il déploie en faveur d’une économie de l’offre.  D’une manière générale, Paris compte « s’appuyer » sur la présence des sociaux-démocrates au gouvernement à Berlin qui a déjà permis d’annoncer la création d’un salaire minimum en Allemagne, répondant aux griefs sur le dumping social allemand.

 

Un recensement pour quoi faire ?

Un recensement pour quoi faire ?

 

C’est encore une des ces bizarrerie de la bureaucratie ; recenser régulièrement la population. Comme si on ne connaissait pas déjà avec la multiplicité des fichiers de toutes nature ( publics comme privé) le nombre exact des habitants, leurs conditions de résidence, de confort etc. Qui peut échapper aux fichiers informatisés ? Les clandestins peut-être mais il ne faut pas compter sur eux pour répondre à l’enquête. Sans doute s’agit d’occuper les sureffectifs de l’INSEE. Avec l’informatisation des données et la possibilité de recouper les fichiers, les  enquêtes publiques ou privées, on dispose évidemment déjà de toutes les  données. Un problème toutefois, l’Etat a oublié d’interconnecter les fichiers des différents services des ministères  ! Enfin on oublie sans doute que la très grande majorité de la ; population dispose d’internet et que cette enquête (pourtant inutile) pourrait s’effectuer par le net.   Pour cette édition 2014 du recensement de la population, 8.000 communes font l’objet d’une enquête entre le 16 janvier et le 22 février. Sur le terrain, 23.000 agents vont à la rencontre des habitants retenus par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) pour faire partie de l’échantillon représentatif.  Si le recensement est nécessaire pour décider des investissements à venir en termes d’équipements collectifs, de réhabilitation de quartiers ou encore des transports à développer, il nécessite au préalable la mobilisation de moyens financiers. Et ce sont 66 millions d’euros qui sont consacrés à cette opération chaque année par l’Insee, soit environ un euro par habitant. « Le coût est constant depuis plusieurs années, et cela malgré l’augmentation de la population » constate François Clangé, chef du département démographie au sein de l’Insee.  Dans le détail, l’Etat verse 22 millions de dotation chaque année aux communes dans lesquelles le recensement va avoir lieu. Les sommes sont réparties en fonction de la charge de travail : les mairies vont être défrayées à hauteur de 1,13 euro par logement enquêté et 1,72 par habitant recensé. Cet argent leur sert à rémunérer les agents qui vont être déployés sur le terrain. Selon le choix des communes, ces derniers peuvent être des agents municipaux ou bien des personnes recrutées pour l’occasion. Et leur grille de salaire est laissée à la discrétion du maire. Certains versent une prime à leur agent pour le surcroit de travail ou pour les agents temporaires préfèrent donner un fixe plus un intéressement au nombre de bulletins recueillis.  Mais c’est naturellement à l’Insee que revient la plus grosse dotation : 35 millions d’euros sont affectés au recensement. Dans les bureaux, 150 agents sont mobilisés à l’année, principalement superviser la collecte et analyser les données recueillies via les questionnaires. Et sur le terrain, depuis le début du mois de janvier, 450 employés de l’Insee sont chargés de gérer la formation les agents recenseurs et leur encadrement. Comme chez tous les opérateurs de l’Etat, la tendance est à la chasse aux dépenses. L’Insee est donc en train de travailler à une modernisation du processus de recensement. Pour réduire les frais de déplacements et d’impression des divers documents (lettre d’information, formulaire…) qui représentent tout de même un budget de 9 millions d’euros, l’institut mise sur la numérisation. Un site internet, www.le-recensement-et-moi.fr, a ainsi été mis en place depuis 2012, pour effectuer en ligne les démarches dans 44 villes tests. Il sera généralisé en 2015. En interne aussi des efforts sont faits, notamment pour optimiser le service de cartographie qui sert à choisir l’échantillon de 8% de la population qui sera interrogé. A terme, cela devait pemettre de mobiliser 100 personnes de moins au recensement.

 

Consommation ménages : +0.1% en 2013, pas de quoi relancer la croissance

Consommation ménages : +0.1%  en 2013, pas de quoi relancer la croissance

Pas étonnant que la  croissance ne reparte pas  puisque la consommation principal moteur en France stagne quasiment (tandis que la balance commerciale est toujours dans le rouge et que les investissements reculent ° ; la consommation de biens par les ménages français est donc repartie en légère hausse en 2013 (+0,1%), selon l’Insee. Malgré un recul de 0,1% en décembre, les dépenses ont augmenté globalement de 0,8% sur l’ensemble du dernier trimestre et ce rebond a permis de compenser l’atonie relevée en début d’année, a expliqué l’Insee dans un communiqué.

 

Assises de la fiscalité : pour quoi faire ?

Assises  de la fiscalité : pour quoi faire ?

 

Encore une commission, encore, une concertation, encore un rapport mais pour quoi faire ? Jean-Marc Ayrault lance en effet mercredi le chantier de la fiscalité des entreprises, indissociable du « pacte de responsabilité » proposé par François Hollande, pour tenter de recréer en France un climat favorable à l’investissement et à l’emploi. La conclusion est connue, la compétitivité et la consommation de la  France sont plombées par son record mondial de prélèvements obligatoires, il faut diminuer la fiscalité ; problème, on ne sait pas comment faire puisqu’on fait l’impasse sur le rôle de la puissance publique, ses superstructures et son coût exorbitant. Le Premier ministre installera le comité de pilotage des « assises de la fiscalité des entreprises » promises fin septembre par le chef de l’Etat pour apaiser des patrons qui se jugent pénalisés par le niveau des prélèvements en France. Le pari perdu du président sur une inversion de la courbe du chômage en 2013 et son revirement en faveur d’une politique de l’offre redonnent toute son actualité à la remise à plat de ce « mille-feuille » inextricable. Les spécialistes du dossier restent cependant prudents sur les résultats à attendre de ces assises, qui vont mobiliser experts, chefs d’entreprises et parlementaires dans quatre groupes de travail pendant plusieurs mois. « Cela aura le mérite de mettre sur la table des problèmes qui doivent devenir communs à tout le monde », estime le député socialiste Dominique Lefebvre. « On doit commencer par se mettre d’accord sur un diagnostic commun. » Un avis que n’est pas loin de partager Michel Taly, fiscaliste de l’Institut de l’entreprise, qui doute que le gouvernement ait assez de marges de manoeuvre pour alléger vraiment à court terme la pression fiscale sur les sociétés. « A un moment où on n’a pas de marge pour faire des baisses d’impôts, le principal résultat qu’on peut attendre c’est un constat partagé sur un certain nombre de choses, qu’on arrête de dire n’importe quoi. Ce serait un progrès en soi », dit-il. Le gouvernement n’en a pas moins une obligation de résultat s’il veut préserver la crédibilité de l’exercice et du « pacte de responsabilité » dans son ensemble.  

 

Hollande au Vatican : pour quoi faire ?

Hollande au Vatican : pour quoi faire ?

 

Les visites de chefs d’Etat au Vatican sont traditionnelles mais  celle de Hollande tombe mal dans le calendrier.  Il ya surtout les oppositions des catholiques à certaines meures sociétales du gouvernement (mariage pour tous, IVG, laïcité), il ya aussi la situation personnelle de Hollande contraint daller seul à Rome tandis que Trierweilller vient d’annoncer qu’elle se rendra  le 26 janvier en Inde et que la clarification du couple tarde à venir. La rencontre est surtout destiné en faiat à tenter de se rabibocher avec les catholiques car  voit mal comment Hollande si peu influent sur le plan international pourrait peser davantage avec cette rencontre ; Il ya le drame de la Syrie mais l’affaire a été enterrée conjointement par Poutine et Obama (avec le soutien officieux de l’Allemagne), même chose vis-à-vis de l’Iran. Reste  la situation centrafricaine où la France se retrouve seule. Ce n’est pas le pape qui pourra de ce point de vue pourra convaincre l’Europe ( et là encore l’Allemagne)  de s’engager réellement. Sur le conflit israélo-palestinien, il y a longtemps que la France n’influence plus rien, hormis quelques déclarations de principe. Sur le plan économique, on ne peut pas non plus espérer grand-chose, on voit mal le Vatican acheter nos rafles invendables. En fait une sorte de visite de courtoisie pour redonner un peu de vernis spirituel à un président en panne  de popularité et de vertu.

Un euro fort pour quoi faire ?

Un euro fort pour quoi faire ?

 

Finalement la politique d’austérité a surtout été justifiée par le maintien de la parité de l’euro. Or dans d’autres zones économiques, Etats-Unis, Japon, la Chine, d’autres  au contraire tout est fait pour maintenir la monnaie le plus bas possible Les sacrifices des Européens n la réalisation la plus aboutie de leur projet commun menacent donc de se retourner contre eux : la vigueur persistante de l’euro pénalise leurs entreprises et encourage les pressions déflationnistes au sein du bloc monétaire. L’euro s’est apprécié de près de 15% face au dollar depuis que la Banque centrale européenne, au plus fort de la crise des dettes souveraines, s’est engagée à tout faire pour sauver la monnaie unique. Il franchit la barre de 1,38 dollar, niveau oublié depuis l’automne 2011 mais encore loin du record historique à près de 1,60 dollar atteint en juillet 2008. En pleine saison des résultats trimestriels d’entreprises, la liste ne cesse de s’allonger des grands groupes européens, tous secteurs confondus, imputant notamment à la vigueur de l’euro des performances inférieures aux attentes voire des abaissements de perspectives annuelles. Unilever, Philips, le brasseur SABMiller, les constructeurs automobiles comme Renault, le spécialiste des matériaux de construction Saint-Gobain ou celui des équipements électriques Schneider Electric ont ainsi été impactés négativement par des effets de change, qu’il s’agisse du dollar ou du plongeon de certaines devises émergentes.Le directeur général d’Unilever Paul Polman a dit n’avoir jamais été confronté à une baisse aussi marquée et simultanée d’autant de devises.Frans van Houten, son homologue de Philips qui réalise 75% de ses facturations en dollar, en yen ou d’autres devises asiatiques, a expliqué que, « très affecté » par leur affaiblissement, le groupe néerlandais l’a compensé par des innovations avec des marges brutes plus élevées et par des économies de coûts.Les couvertures de change n’offrent qu’une protection temporaire si l’appréciation d’une devise s’avère durable. Pascal Bouchiat, le directeur financier de l’équipementier pour l’aérospatiale et la défense Thales, a ainsi fait état d’une couverture à taux de change moyen de 1,34 dollar pour un euro sur l’ensemble de l’année en cours.  

 

François Hollande, encore sur le marché de Tulle ; pour quoi faire ?

François Hollande, encore sur le marché de Tulle ; pour quoi faire ?

 

C’est la énième visite de Hollande à Tulle, la ville dont il fut le maire. Une visite incognito, bien entendu, la preuve c’est qu’il a éprouvé le besoin d’aller serer des mains chez les commerçants et qu’il a été photographié par la presse. De la com.  bien sûr  pour tenter de  prouver sa proximité avec la province profonde qui,comme dirait Batho,  n’espère plus grand-chose de ce gouvernement. La visite, révélée par La Montagne, « est sur le point de se terminer », a indiqué vers 11h45 cette source à l’AFP en confirmant une information révélée par le quotidien. »On n’a pas son programme. C’est un déplacement privé », a-t-on ajouté de même source sans vouloir préciser si le chef de l’Etat resterait pour le déjeuner dans cette ville dont il fut le maire.  Peu avant midi il était encore en train de s’entretenir avec des commerçants et des habitants de Tulle, a-t-on encore précisé de source préfectorale.   »Je suis là de manière amicale. C’est toujours un plaisir de venir à Tulle », a déclaré M. Hollande à deux journalistes locaux venus à sa rencontre sur le marché de la préfecture de Corrèze, selon la Montagne.  Le journaliste du quotidien présent sur le marché a déclaré à l’AFP que le président de la République et ex-président du Conseil général de la Corrèze, était arrivé vers 9h30 sur le marché, serrant de nombreuses mains de touristes et de commerçants.

 

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