Archive pour le Tag 'quittent'

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Les banques quittent la Crimée

Les banques quittent la Crimée

 

Une  situation conflictuelle mais auusi et surtout une situation économique catastrophique  contraignent les banques à quitter la Crimée. Crédit agricole a fermé la dernière de ses succursales en Crimée, a déclaré à Reuters vendredi un employé du groupe bancaire coopératif français. Plusieurs banques internationales comme UniCredit ou Raiffeisen ont décidé de mettre fin à leurs activités en Crimée depuis que la Russie a décidé d’annexer la péninsule, située sur le territoire de l’Ukraine. Crédit agricole s’est refusé à tout commentaire vendredi après-midi. Le groupe avait précédemment indiqué à Reuters que son exposition à l’Ukraine portait sur quelque un milliard d’euros, essentiellement sous la forme de prêts consentis dans le secteur de l’agriculture.

 

Des consommateurs quittent EDF et GDF

Des consommateurs quittent EDF et  GDF

 

. Selon des chiffres publiés par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), la concurrence s’est accentuée à la fin de l’année 2013. Ainsi au 4e trimestre, 133.000 clients sont passés chez des opérateurs alternatifs pour leur électricité. C’est deux fois plus qu’au 3e trimestre. Au total, sur les 31,2 millions d’abonnés à l’électricité, 2,46 millions sont passés chez un fournisseur alternatif.   »Sur le marché de l’électricité, il y a eu une forte progression au moins d’août quand EDF a annoncé une augmentation de 5% sur ses tarifs. Et là on a vu s’engouffrer différent fournisseurs alternatifs qui n’ont pas augmenté leurs prix et qui proposaient donc des offres attractives par rapport à EDF. On a eu beaucoup de consommateurs qui sont partis vers les fournisseurs alternatifs », explique Nicolas Mouchnino, chargé de mission énergie et environnement à l’UFC-Que Choisir. Mais la tendance pourrait ralentir car l’écart entre tarifs règlementés et ceux proposés par la concurrence se sont limités : ils s’élèvent entre 5 à 6%, ce qui se traduit sur la facture par une économie de « seulement » 40 à 60 euros sur l’année.  La situation est différente du côté du gaz. La demande a été soutenue toute l’année, avec 238.000 clients qui se sont affranchis de GDF au dernier trimestre, soit presque autant que le trimestre précédent. La flambée des prix du gaz, qui ont grimpé de 80% depuis 2005, a, en effet, poussé les foyers à faire davantage jouer la concurrence. Et la tendance semble durable au vu des économies réalisées. « Sur le gaz, on voit qu’il y a toujours des écarts importants depuis déjà une année. Et on se rend compte que par rapport aux tarifs réglementés proposés par GDF Suez on peut avoir en moyenne jusqu’à 122 euros par an pour un foyer qui se chauffe au gaz. Donc là il y a un vrai intérêt beaucoup plus important « , commente Nicolas Mouchnino. L’UFC-Que Choisir a d’ailleurs activement participé à faire sortir les consommateurs de leur immobilisme, en lançant une action collective « Gaz moins cher ensemble » en octobre dernier. 140 000 foyers ont désormais accès à des tarifs 15,5% moins cher que ceux de GDF

 

Notre dame des Landes : les gendarmes quittent l’aéroport inutile qui ne sera jamais créé

Notre dame des Landes : les gendarmes quittent l’aéroport inutile qui ne sera jamais créé

Situation surréaliste cette occupation par les forces de l’ordre d’un futur aéroport qui n’aura jamais lieu. .L’ ayraultport est une fumisterie qui ne correspond a aucun réel besoin de transport ; en fait, il ‘agit d’ une opération d’urbanisme juteuse sur le plan politique pour Ayrault, quelques promoteurs et sociétés du BTP.  Certains diront « cela crée de l’emploi » ; c’est vrai mais autant employer des chômeurs à faire des trous avec l’argent public pour reboucher d’autres trous et ainsi de suite. .  En outre, il y a conflit d’intérêt entre les fonctions de Premier ministre et celle d’élu local qui défend un projet indéfendable. Montebourg a résumé à sa façon en disant à Ayrault « tu fais chier avec ton aéroport qui emmerdes tout le monde ! ». Du coup avec la chute de Hollande et de son gouvernement, on faiat profil bas sur Notre dame des landes. Au cours de la nuit, dans la plus grande discrétion, les gendarmes, qui, depuis les affrontements d’octobre, étaient en moyenne 150 à 200 à se relayer sur place, ont quitté les deux points de contrôle routier sur la zone d’aménagement différé (ZAD). Environ 150 à 300 militants anticapitalistes, environ 150 à 300 militants  sont installés sur place dans des cabanes, depuis plus de deux ans pour certains.  Ce retrait, dont l’objectif affiché par l’État est de calmer les esprits, intervient dix jours après la publication des rapports de trois commissions qui ont préconisé des études complémentaires avant le lancement des travaux de transfert de l’actuel aéroport de Nantes sur le site de Notre-Dame-des-Landes à l’horizon 2017-2018. Mais surtout le dialogue est renoué entre la préfecture et l’Acipa, principale association historique des opposants à la construction de l’aéroport.  Cette semaine, Julien Durand, porte-parole de l’Acipa, avait ainsi estimé que « les tranchées et les barricades » installées sur le site par les anticapitalistes « ne sont pas une solution », après de nouvelles violences lundi entre certains opposants anticapitalistes et les forces de l’ordre. Ces violences avaient fait trois blessés parmi les forces de l’ordre, selon la gendarmerie, et un peu plus d’une quinzaine chez les opposants, selon ceux-ci.  Partisan d’une « opposition constructive », Julien Durand a accusé les anticapitalistes d’avoir provoqué les forces de l’ordre par l’installation d’une nouvelle barricade sur la seule route encore praticable de la zone du projet, tout en regrettant la présence des forces de l’ordre sur place. Il s’est attiré par ses propos les foudres des militants anticapitalistes Il a ensuite rencontré jeudi des représentants de la préfecture de Loire-Atlantique. Une rencontre a priori fructueuse.   « Les gendarmes sont partis dans la nuit. On revient à un régime normal de présence de gendarmerie comme sur le reste du département », a déclaré samedi à l’AFP un haut responsable de la préfecture. « On est en train de réorganiser notre dispositif, c’est-à-dire que l’on tente une configuration qui ne soit plus une présence permanente des forces de l’ordre, mais des interventions au coup par coup en cas de besoin », a-t-il ajouté.  Le retrait des gendarmes est un signe fort soumis cependant à conditions, comme l’absence d’obstacles à la circulation, au travail des agriculteurs et à la possibilité pour les différents experts de faire les relevés scientifiques demandés dans les rapports des commissions, a précisé ce responsable. « Si on n’y arrive pas, on sera malheureusement obligés de revenir à la situation antérieure », a-t-il averti. Côté opposants, ce retrait a été salué par Europe Ecologie-Les Verts (EELV). « Après la remise des différents rapports des 3 commissions le 9 avril, il était en effet important que le gouvernement sache donner des signes d’apaisement suite aux heurts et violences qui ont eu lieu ces derniers mois, et encore tout récemment », a estimé EELV dans un communiqué.  « On constate qu’ils se sont retirés du secteur, mais ils n’ont pas disparu, ils sont à distance », a modéré pour sa part Julien Durand, contacté par l’Agence France Presse. Sur leur site internet, les « Zadistes » (anticapitalistes qui occupent la zone du projet) ont salué sobrement la fin de « l’occupation militaire ».  En juin, la préfecture doit communiquer sur les éventuels retards des travaux de construction de l’aéroport du fait des aménagements demandés par les trois rapports remis la semaine dernière au gouvernement. Le rapport principal, celui de la commission du dialogue, a réaffirmé la nécessité d’un nouvel aéroport du fait de la saturation à venir de l’actuel équipement, mais a réclamé plusieurs aménagements, notamment de réduction de l’emprise du futur aéroport et des études complémentaires destinées à apaiser le débat. L’Etat avait accordé en 2010 la concession de l’aéroport au groupe de BTP Vinci

 

Mittal : FO et CGT quittent la négociation

Mittal : Fo et CGT quitte la négociation

La direction du groupe sidérurgique et minier ArcelorMittal a estimé jeudi dans un communiqué que le comité central d’entreprise (CCE), qui s’est tenu jeudi à Paris, s’est « déroulé dans un climat de dialogue constructif », mais a regretté le départ des syndicats FO et CGT de la réunion. « La direction d’ArcelorMittal Atlantique et Lorraine regrette le refus » de la CGT et de FO d’assister à la réunion et « espère que leurs représentants reviendront rapidement participer aux prochaines rencontres », selon la direction. « La rencontre s’est déroulée dans un climat de dialogue constructif avec les organisations syndicales présentes », juge cependant le groupe à l’issue de ce CCE extraordinaire, consacré à l’accord passé le 30 novembre entre le gouvernement et le géant de l’acier. Moins d’une heure après le début du CCE, la CGT et FO ont claqué la porte pour manifester leur refus « catégorique » de l’accord. Accusant la direction de mener une politique de « casse industrielle et sociale », la CGT, premier syndicat du groupe, a appelé « les salariés partout sur les sites en France à la mobilisation dans l’unité syndicale ». Le groupe souligne « la nécessité du dialogue social pour permettre aux représentants du personnel de bien comprendre l’importance de l’accord » et « appelle l’ensemble des parties prenantes à se concentrer sur les perspectives d’avenir ». Concernant le site de Basse-Indre, dont le personnel est en grève depuis lundi pour protester contre le transfert prévu d’une partie des activités vers Florange dans le cadre d’une réorganisation de ces activités « emballage » en France, la direction a confirmé qu’il n’y aurait pas de réduction d’effectif. « La direction a proposé aux organisations syndicales un calendrier de mise en oeuvre de ce plan pour l’année 2013″, précise-t-elle.

 

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