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Foot : Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

Foot : Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

De toute évidence, certains supporters de Marseille confondent la posture de voyou et la posture de fan du club. Les violences ont été telles dimanche soir contre les cars transportant staff et supporters lyonnais que le match a du être annulé.

Après de tels incidents, il est clair que les autorités sportives voire judiciaires seront contraintes de prendre des mesures exemplaires non seulement contre les supporters voyous mais aussi malheureusement contre le club.

Ainsi plusieurs matchs pourraient être déplacés hors du vélodrome ou joué à huis clos. Et le moindre nouvel incident pourrait être entraîné des sanctions encore plus graves. Au total le club va être privé du soutien de son public, un soutien indispensable car le jeu de l’équipe est encore loin d’être satisfaisant et stabilisé. Le club va perdre aussi de très grosses recettes y compris sans doute de sponsors. Or les finances des clubs français sont particulièrement fragiles.

Le manque-à-gagner financier pourrait bien se traduire à la fin de la saison par la vente de plusieurs joueurs stratégiques. Et la plus grande menace serait alors la descente en seconde division. Surtout si de nouveaux incidents venaient à se traduire par une perte de points pour l’OM.

Le match de clôture de la dixième journée de Ligue 1 entre l’OM et l’OL a donc été annulé en raison de graves incidents avant la rencontre. Fabio Grosso a été blessé dans le caillassage du bus des joueurs et du staff.

Pas d’Olympico entre l’OM et l’OL ce dimanche soir, en clôture de la 10e journée de Ligue 1. Le match a donc été reporté en raison des graves incidents qui ont émaillé les heures avant la rencontre. Le bus transportant les joueurs et le staff lyonnais a été caillassé sur le chemin du Vélodrome. Deux vitres ont été brisées par deux pavés, Fabio Grosso et son adjoint ont été touché. Le coach de l’OL a dû se faire suturer le visage, touché au dessus de l’oeil.

L’arbitre François Letexier a expliqué la décision d’annuler le match dans une courte conférence de presse: « Une réunion de crise a eu lieu, elle a permis de prendre l’avis des parties prenantes à la suite des constatations des blessures des membres du staff lyonnais. L’OL ne souhaitait pas que la rencontre ait lieu. S’agissant de la décision de l’OL et du protocole que la Ligue a établi en la matière, la décision a été prise de ne pas débuter la rencontre. Elle n’aura pas lieu, la décision est désormais actée. La suite des événements ce seront des rapports établis aux autorités compétentes. »

La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, a réagi sur RMC: « Oui c’était la bonne décision. C’est totalement consternant. C’est révoltant, ces actes faits de haine, de bêtise, la négation même des valeurs du foot et du sport, c’est hallucinant. Il faut vite retrouver les auteurs, qu’ils soient sévèrement sanctionnés. Face à la gravité des faits, la Ligue prend la bonne décision. J’apporte tout mon soutien à l’OL, son entraîneur, son adjoint. J’ai une pensée pour les supporters qui se faisaient une joie de suivre ce match. Cette décision s’imposait. En termes d’équité sportive, c’était ce qu’il fallait faire. On a aussi besoin de marquer le coup. »

Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

De toute évidence, certains supporters de Marseille confondent la posture de voyou et la posture de fan du club. Les violences ont été telles dimanche soir contre les cars transportant staff et supporters lyonnais que le match a du être annulé.

Après de tels incidents, il est clair que les autorités sportives voire judiciaires seront contraintes de prendre des mesures exemplaires non seulement contre les supporters voyous mais aussi malheureusement contre le club.

Ainsi plusieurs matchs pourraient être déplacés hors du vélodrome ou joué à huis clos. Et le moindre nouvel incident pourrait être entraîné des sanctions encore plus graves. Au total le club va être privé du soutien de son public, un soutien indispensable car le jeu de l’équipe est encore loin d’être satisfaisant et stabilisé. Le club va perdre aussi de très grosses recettes y compris sans doute de sponsors. Or les finances des clubs français sont particulièrement fragiles.

Le manque-à-gagner financier pourrait bien se traduire à la fin de la saison par la vente de plusieurs joueurs stratégiques. Et la plus grande menace serait alors la descente en seconde division. Surtout si de nouveaux incidents venaient à se traduire par une perte de points pour l’OM.

Le match de clôture de la dixième journée de Ligue 1 entre l’OM et l’OL a donc été annulé en raison de graves incidents avant la rencontre. Fabio Grosso a été blessé dans le caillassage du bus des joueurs et du staff.

Pas d’Olympico entre l’OM et l’OL ce dimanche soir, en clôture de la 10e journée de Ligue 1. Le match a donc été reporté en raison des graves incidents qui ont émaillé les heures avant la rencontre. Le bus transportant les joueurs et le staff lyonnais a été caillassé sur le chemin du Vélodrome. Deux vitres ont été brisées par deux pavés, Fabio Grosso et son adjoint ont été touché. Le coach de l’OL a dû se faire suturer le visage, touché au dessus de l’oeil.

L’arbitre François Letexier a expliqué la décision d’annuler le match dans une courte conférence de presse: « Une réunion de crise a eu lieu, elle a permis de prendre l’avis des parties prenantes à la suite des constatations des blessures des membres du staff lyonnais. L’OL ne souhaitait pas que la rencontre ait lieu. S’agissant de la décision de l’OL et du protocole que la Ligue a établi en la matière, la décision a été prise de ne pas débuter la rencontre. Elle n’aura pas lieu, la décision est désormais actée. La suite des événements ce seront des rapports établis aux autorités compétentes. »

La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, a réagi sur RMC: « Oui c’était la bonne décision. C’est totalement consternant. C’est révoltant, ces actes faits de haine, de bêtise, la négation même des valeurs du foot et du sport, c’est hallucinant. Il faut vite retrouver les auteurs, qu’ils soient sévèrement sanctionnés. Face à la gravité des faits, la Ligue prend la bonne décision. J’apporte tout mon soutien à l’OL, son entraîneur, son adjoint. J’ai une pensée pour les supporters qui se faisaient une joie de suivre ce match. Cette décision s’imposait. En termes d’équité sportive, c’était ce qu’il fallait faire. On a aussi besoin de marquer le coup. »

Insécurité et violences : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Insécurité et violences : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Face à l’insécurité qui ne fait que progresser, le pouvoir ne pose que des discours de compassion et de promesses. La dernière visant à créer plus de 200 pseudo gendarmerie « dans des camions ». Alors qu’il suffirait de renforcer les effectifs des gendarmeries existantes dont beaucoup ne sont ouvertes que de l’ordre de deux jours par semaine. D’une façon plus globale, il faut évidemment renforcer les effectifs de police et surtout mettre en œuvre une politique judiciaire efficace. Or nombre de délits ne sont examinés que des mois après et le jugement finit en eau de boudin. Exemple quelques années seulement d’emprisonnement pour une attaque physique contre un agent exerçant une mission de service public. Ne parlons pas du trafic de drogue et de la petite délinquance en général.

Les réactions politiques est toujours la même un discours de compassion avec éventuellement un déplacement sur place qui sert à rien et des promesses de fermeté jamais suivie d’effet . Qu’attend-on pour renvoyer chez eux les centaines d’étrangers condamnés par la justice à quitter le territoire. Qu’attend-on pour renvoyés chez eux les étrangers fichés S, qu’attend-on pour prendre une loi protégeant les personnes chargées d’une mission de service public fonctionnaire ou non. Les chiffres de la sécurité son catastrophiques en 2022 et il devrait aussi être très mauvais en 2023 en raison notamment de la révolte des quartiers.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, de nombreux faits de violence, escroqueries et cambriolages ont augmenté l’an dernier.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022.

Des chiffres édifiants. La quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022, notamment les violences intrafamiliales (+ 17 %) et sexuelles (+ 11 %), selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur (SSMSI) publié mardi 31 janvier.

Les coups et blessures volontaires hors du cadre familial (+ 14 %) et les escroqueries (+ 8 %) augmentent également nettement. Tout comme les cambriolages de logements (+ 11 %) ou les vols de véhicules (+ 9 %), qui avaient fortement baissé pendant la crise sanitaire.

Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire », note le SSMSI.

Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 » après avoir « fortement reculé pendant la crise sanitaire », ajoute le SSMSI.

Ces infractions restent « en dessous de leur niveau d’avant-crise, à l’exception des vols d’accessoires sur véhicules », précise encore le SSMSI. Parmi tous les crimes et délits comptabilisés, seuls les vols violents sont en baisse (- 4 %), poursuivant une « diminution régulière entamée en 2013 ».

Insécurité : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Insécurité : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Face à l’insécurité qui ne fait que progresser, le pouvoir ne pose que des discours de compassion et de promesses. La dernière visant à créer plus de 200 pseudo gendarmerie « dans des camions ». Alors qu’il suffirait de renforcer les effectifs des gendarmeries existantes dont beaucoup ne sont ouvertes que de l’ordre de deux jours par semaine. D’une façon plus globale, il faut évidemment renforcer les effectifs de police et surtout mettre en œuvre une politique judiciaire efficace. Or nombre de délits ne sont examinés que des mois après et le jugement finit en eau de boudin. Exemple quelques années seulement d’emprisonnement pour une attaque physique contre un agent exerçant une mission de service public. Ne parlons pas du trafic de drogue et de la petite délinquance en général.

Les réactions politiques est toujours la même un discours de compassion avec éventuellement un déplacement sur place qui sert à rien et des promesses de fermeté jamais suivie d’effet . Qu’attend-on pour renvoyer chez eux les centaines d’étrangers condamnés par la justice à quitter le territoire. Qu’attend-on pour renvoyés chez eux les étrangers fichés S, qu’attend-on pour prendre une loi protégeant les personnes chargées d’une mission de service public fonctionnaire ou non. Les chiffres de la sécurité son catastrophiques en 2022 et il devrait aussi être très mauvais en 2023 en raison notamment de la révolte des quartiers.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, de nombreux faits de violence, escroqueries et cambriolages ont augmenté l’an dernier.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022.

Des chiffres édifiants. La quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022, notamment les violences intrafamiliales (+ 17 %) et sexuelles (+ 11 %), selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur (SSMSI) publié mardi 31 janvier.

Les coups et blessures volontaires hors du cadre familial (+ 14 %) et les escroqueries (+ 8 %) augmentent également nettement. Tout comme les cambriolages de logements (+ 11 %) ou les vols de véhicules (+ 9 %), qui avaient fortement baissé pendant la crise sanitaire.

Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire », note le SSMSI.

Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 » après avoir « fortement reculé pendant la crise sanitaire », ajoute le SSMSI.

Ces infractions restent « en dessous de leur niveau d’avant-crise, à l’exception des vols d’accessoires sur véhicules », précise encore le SSMSI. Parmi tous les crimes et délits comptabilisés, seuls les vols violents sont en baisse (- 4 %), poursuivant une « diminution régulière entamée en 2013 ».

ISRAËL-HAMAS: une guerre qui ne peut détruire le Hamas

ISRAËL-HAMAS: une guerre qui ne peut détruire le Hamas (Vincent Desportes)

L’ancien directeur de l’École de guerre Vincent Desportes considère même qu’il n’existe aucune bonne solution. Une vision peut-être un peu trop pessimiste et trop militaire car l’avenir de la région dépend sans doute davantage de la politique diplomatique que de la politique guerrière. Le problème étend sans doute de réunir suffisamment de pays imposés une paix durable et équitable.

Vincent Desportes juge ce mardi sur BFMTV-RMC qu’Israël ne parviendra pas « aux résultats qu’[elle] souhaite ». Face aux attaques du Hamas, l’État hébreu doit « faire quelque chose », mais cette guerre ne permettra pas de « détruire » l’organisation islamiste, selon lui.

« Le Hamas, c’est d’abord une idéologie, la destruction d’Israël », avance-t-il, jugeant que « cette idée ne sera pas détruite ».

« Elle sera peut-être même exacerbée par les combats.
 »
« Le deuxième but, c’est la libération des otages », poursuit Vincent Desportes. « On sait bien » que « beaucoup » d’entre eux vont « périr du fait même de » l’opération consistant à les libérer. « Donc, on voit bien qu’il y a cette nécessité de faire quelque chose et en même temps le sentiment d’être dans une impasse ».

Par ailleurs, « la guerre sert à détruire une menace, mais surtout à créer les conditions politiques de l’après-guerre », explique le général. Or, « il y a toutes les chances pour que cette guerre rende encore plus compliqué l’établissement d’un système de paix durable dans le Moyen-Orient », conclut-il. « Le problème de cette crise est qu’il n’y a pas de bonnes solutions ».

Afrique : des pays qui se portent mieux

Afrique : des pays qui se portent mieux

Dans une longue interview dans la Tribune Jihad Azour, directeur de la région Afrique du Nord, Moyen-Orient et Asie centrale et Luc Eyraud, chef de division en charge des études économiques sur la zone Afrique subsaharienne, Signale que des pays en Afrique ce porte mieux en dépit du ralentissement international (extrait)


Pour la première fois, le FMI a publié un rapport spécial sur l’ensemble du continent – en plus des traditionnelles perspectives économiques sous-régionales – soulignant notamment les perturbations liées au séisme survenu au Maroc, aux inondations en Lybie et au cyclone au Malawi. Pour quelles raisons ? Est-ce la première édition d’autres publications à venir ?

JIHAD AZOUR – La tenue sur le continent africain – plus précisément au Maroc – des réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale, 50 ans après leur organisation au Kenya, était pour nous une occasion exceptionnelle de marquer cet anniversaire en donnant une image globale de l’Afrique. D’autant que nous croyons fermement que ce continent, avec son potentiel, mérite d’avoir à la fois une vue d’ensemble. Il s’agit également à travers ce rapport, de renforcer les échanges et l’information entre l’Afrique subsaharienne et l’Afrique du Nord. Récemment d’ailleurs, nous avons fait plusieurs publications panafricaines : sur le commerce et l’importance du libre-échange, la question climatique, etc. Nous en ferons de plus en plus, afin de montrer le potentiel du continent dans sa globalité et soulever les questions qui sont pertinentes pour les deux rives de l’Afrique.

Malgré le recul de la croissance du continent que vous prévoyez globalement à 3,15% (3% en Afrique du Nord et 3,3% au Sud du Sahara) en 2023 contre 3,9% l’an dernier, l’Afrique reste au-dessus de la moyenne mondiale (3%), loin devant l’Europe (0,7%) et l’Amérique (2,2%). Quels sont les pays qui portent cette dynamique ?

JIHAD AZOUR : L’année 2023 est une année de transition. Il y a eu une forte reprise après la crise Covid, surtout en 2022 où les taux de croissance étaient élevés. Cependant, la lutte contre l’inflation aux niveaux mondial et national, mais aussi le ralentissement économique qu’ont connu certaines zones du monde, ont pesé sur l’Afrique du Nord. En dépit de cela, le niveau de croissance était meilleur que dans certains autres pays du monde grâce à plusieurs éléments : le premier est en lien avec le dynamisme observé dans quelques pays ou dans certains secteurs. Le secteur du tourisme, à titre d’exemple, a bénéficié d’une reprise assez forte en 2023. Le secteur agricole a partiellement permis à la Tunisie et au Maroc d’avoir une croissance meilleure. Un pays comme l’Égypte – qui dispose d’une grande économie et d’un fort potentiel – a connu un ralentissement cette année, mais les perspectives pour l’année prochaine présagent une reprise de la croissance. La dynamique est donc portée par quelques secteurs et par quelques pays. En outre, la hausse du prix du pétrole et du gaz a permis à un pays comme l’Algérie de voir son secteur énergétique reprendre des couleurs en 2023.

LUC EYRAUD – En Afrique subsaharienne de manière générale, les pays qui s’en tirent le mieux ont une structure de production diversifiée et maintiennent un rythme de croissance d’à peu près 6%, si on prend la moyenne 2022, 2023, 2024. En revanche, les pays producteurs de matières premières – dont le rythme de croissance sur la période affiche une moyenne proche de 3% – sont plutôt ceux qui s’en tirent le moins bien. On a donc quasiment une croissance deux fois plus forte dans les pays diversifiés par rapport aux pays dont l’économie est fondée sur l’exploitation des matières premières. Il est toutefois intéressant de noter que cette divergence de performance entre ces deux groupes existe depuis au moins le début des années 2010. Celle-ci s’est maintenue et ne devrait pas changer de sitôt selon nos projections. En 2023 à titre d’exemple, des pays diversifiés comme la Côte d’Ivoire, le Mozambique ou le Rwanda sont au top de la distribution de la croissance. Au bas du tableau, figurent soit des pays fragiles, soit des pays producteurs de matières premières, mais aussi l’Afrique du Sud qui a une croissance très faible cette année suite à ses problèmes électriques.

Luc Eyraud

La diversification est donc la clé de la croissance en Afrique…

LUC EYRAUD : Tout à fait. Je dirais deux choses : premièrement, la diversification est très importante, mais c’est un objectif de moyen terme. Un pays ne peut pas se diversifier du jour au lendemain. Ainsi, les pays riches en matières premières devront commencer par améliorer la gestion de leurs ressources, le Botswana montre l’exemple. Cela implique plus de transparence, une meilleure gouvernance, une lutte plus évidente contre la corruption, des politiques d’amélioration de la compétitivité et de la gestion des charges du secteur public, en favorisant l’émergence du secteur privé, ainsi que la mise en œuvre de stratégies claires de diversification. Tout cela, afin d’éviter ce qu’on appelle dans le jargon « la malédiction des ressources naturelles ».

Autoroute Castres–Toulouse : une manifestation qui risque d’être agitée

Autoroute Castres–Toulouse : une manifestation qui risque d’être agitée

5 à 10 000 manifestants sont attendus pour protester contre la perspective de l’autoroute à 69 qui doit relier Castres à Toulouse. Une manifestation qui risque d’être agitée compte tenu de certains qui appellent à la mobilisation et en dépit de l’important dispositif de police.

Entre 6.000 et 8.000 personnes y sont attendues samedi, a appris BFMTV de source policière. Parmi ces manifestants, 200 à 300 pourraient être des éléments radicaux. Les organisateurs attendent eux plus de 10.000 personnes.

De plus, 130 sapeurs-pompiers et 50 véhicules de secours vont être déployés en cas d’incidents. La préfecture a d’ailleurs pris des arrêtés interdisant le port et le transport « d’armes et d’objets pouvant constituer une arme », tout comme le transport d’articles pyrotechniques.

Après leur arrivée jeudi soir, les premiers manifestants ont été contrôlés par les forces de l’ordre. D’après une source policière, des carabines à air comprimé et de boules de pétanque ont été saisies et des interpellations ont également eu lieu.

Maladies IA: Des enregistrements vocaux qui permettent de faire un diagnostic?

Maladies IA: Des enregistrements vocaux qui permettent de faire un diagnostic?


D’après BFM Une étude aurait démontré la possibilité de diagnostiquer des maladies à partir d’un court enregistrement vocal. Cette technique, basée sur l’intelligence artificielle, peut notamment identifier des diabétiques.

Il suffirait de six à dix secondes. Selon Klick Labs, un partenaire commercial spécialisé dans la santé, des courts enregistrements vocaux suffiraient à savoir si une personne est atteinte de diabète.

Lors des tests, les patients ont dû enregistrer des messages six fois par jour durant deux semaines. Au total, 18.000 fichiers audios ont été analysés afin de déterminer des différences acoustiques entre les enregistrements de diabétiques et de non-diabétiques.

L’IA a notamment cherché à percevoir un changement de tonalité imperceptible par l’oreille humaine chez les patients atteints de diabète de type 2. Les résultats sont légèrement plus prometteurs chez les femmes que chez les hommes avec une justesse de 89% contre 86%.

Selon Jaycee Kaufman, la responsable de l’étude chez Klick Labs, cette découverte pourrait « transformer » la manière de dépister le diabète.

« Les méthodes actuelles de détection peuvent nécessiter beaucoup de temps, de déplacements et de coûts », explique-t-elle. « La technologie vocale a la possibilité d’éliminer complètement ces obstacles. »
Surtout, le recours aux enregistrements vocaux pourrait aider à identifier d’autres maladies, dont le Covid.

Aujourd’hui, le dépistage du diabète passe par une prise de sang et une analyse d’urine. Face aux symptômes généraux ou non existants, 90% des adultes britanniques restent plusieurs années sans être diagnostiqués.

Terrorisme : encore un tordu à Cannes qui tente un meurtre

Terrorisme : encore un tordu à Cannes qui tente un meurtre


Il ne va pas manquer en France de tordus , d’abrutis et de violents pour se laisser prendre par la propagande meurtrière de l’islamisme. Potentiellement, il y a sans doute des centaines de tarés et de pauvres types qui vont essayer de se donner un rôle sociétal après avoir tout raté. Une sorte d’acte de contrition barbare qui passe par la tuerie d’un individu au hasard pour se concilier la bienveillance de Dieu. Un individu «très dangereux» a encore été interpellé par des policiers de la Brigade anticriminalité (Bac) ce mercredi 18 octobre dans la soirée, à Cannes (Alpes-Maritimes), a annoncé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur le réseau social X.

L’individu a été vu en train de prier sur un tapis de prière, dans un centre automobile, sur les coups de 19 heures, a appris Le Figaro auprès d’une source policière. Le «gérant» du centre l’aperçoit et lui signale que «ce n’est pas l’endroit pour prier», nous indique-t-on. L’individu aurait alors crié «Allah Akbar», en tentant de porter plusieurs coups de couteau au gérant, avant de prendre la fuite.

L’individu a ensuite été interpellé par la Bac, quelques minutes plus tard. Il était porteur d’un couteau à la ceinture. «Merci (aux policiers): ils ont évité le pire», a écrit Gérald Darmanin sur X. L’homme a été placé en garde à vue pour «apologie du terrorisme et violences avec arme». Il est «a priori» sans domicile fixe, toujours selon Damien Savarzeix.

Une conférence sociale qui débouche sur un haut conseil !

Une conférence sociale qui débouche sur un haut conseil !

Pour l’instant la conférence social annoncé à grand renfort de trompettes pour gagner du temps et mettre la poussière sous le tapis a seulement débouché sur la création d’un Haut conseil. Il faut espérer que ce Haut conseil ne se limitera pas à la création d’un pseudo observatoire des bas salaires ! Bref la conférence a surtout un objet politique montrer que la première ministre, elle, concerte avec les partenaires sociaux. Quant aux partenaires sociaux il joue leur rôle traditionnel. Les syndicats de salariés veulent des augmentations que les patrons refusent au nom de la compétitivité.

Les organisations syndicales de salariés ont chacune, exprimé leur inquiétude et leur indignation sur la progression de la pauvreté dans notre pays, l’inégalité entre les revenus du travail et ceux du capital, l’équité de carrière entre les hommes et les femmes, les effets pervers des exonérations de cotisations, l’inefficacité des ordonnances, le manque de respect du paritarisme par l’exécutif, etc…

« La France est un paradis pour les rentiers », a ainsi lancé Sophie Binet, de la CGT, qui réclame une indexation des salaires sur les prix. Et d’interpeller la cheffe du gouvernement « il faut des actes concrets et rapides ».

A la CFDT, Marylise Léon a insisté sur la nécessité de conditionner tout ou partie les exonérations de cotisations pour les branches professionnelles qui ne jouent pas le jeu de la négociation. Le Medef, a évoqué la hausse des charges pour les entreprises, dans un contexte économique tendu.

Hamas : Une guerre qui peut menacer l’économie mondiale (FMI)

Hamas : Une guerre qui peut menacer l’économie mondiale (FMI)

En fonction de l’extension possible du conflit et du positionnement de certains pays, les conséquences géopolitiques pourraient affecter l’économie mondiale en particulier dans le domaine de l’énergie. La croissance mondiale est déjà très faiblarde y compris en Chine, Elle devient encore plus fragilisée avec l’ouverture de ce conflit au Proche-Orient. Ce que pense aussi le fonds monétaire international.

« Il est très difficile, en raison de l’ampleur, de la vitesse et des inconnues, d’avoir une lecture claire du court terme ou du moyen terme », concernant les conséquences du conflit, estimait lors d’une conférence de presse le directeur régional du FMI, Jihad Azour, « mais c’est énorme, c’est un tremblement de terre ».

Au niveau mondial, « le risque économique majeur est désormais un risque géopolitique », a admis le ministre français de l’Economie, Bruno Le Maire, lors d’un point presse à Marrakech, estimant que les conséquences pourraient être « lourdes » sur la croissance et les prix de l’énergie dans le monde.

Dans la foulée de l’attaque du Hamas, samedi, le pétrole a, en effet, bondi de cinq dollars, avant de reculer légèrement les jours suivants mais repartait à la hausse jeudi, après la publication du rapport mensuel de l’Agence international (AIE), pointant pour l’heure un risque « limité » du conflit sur l’approvisionnement en pétrole.

La véritable crainte est celle d’une généralisation du conflit à tout le Golfe Persique concentre 40% de l’offre mondiale de pétrole. Car, après des révélations du Wall Street Journal, les Etats-Unis, alliés historiques d’Israël soupçonnent l’Iran d’avoir donné son feu vert à l’attaque lundi 2 octobre lors d’une réunion à Beyrouth. En cas de dégradation des relations irano-américaines, et de retrait de l’Iran du marché pétrolier et gazier, les conséquences seraient lourdes sur le marché de l’énergie.

Des lois pour l’égalité qui font baisser les salaires !

Des lois pour l’égalité qui font baisser les salaires !

La transparence salariale, censée réduire la discrimination notamment entre les femmes et les hommes, peut avoir des effets pervers, observe, à partir d’une étude, l’économiste Pauline Grosjean, dans Le Monde.

La question des salaires est au cœur des préoccupations des Français et du gouvernement, après deux ans d’inflation et à l’approche de la conférence sociale à la mi-octobre. Rappelons tout d’abord que les salaires du secteur privé ne sont pas la prérogative du gouvernement, mais le résultat d’une négociation entre les entreprises et les représentants syndicaux, pour les employés qui sont couverts par un accord collectif, ou bien entre les entreprises et les employés eux-mêmes.
Cependant, l’Etat intervient dans cette équation, par l’intermédiaire du salaire minimum, par la fiscalité, par la fixation des salaires de la fonction publique qui, s’ils sont attractifs, peuvent attirer des employés du privé et obliger le secteur à s’aligner pour retenir leur personnel, et enfin par la législation encadrant les négociations salariales et le dialogue social.

Un des outils potentiels de cette législation est la transparence salariale, qui consiste à forcer les entreprises à publier des données précises sur les salaires individuels et moyens. La transparence salariale est vue comme un outil permettant de lutter contre la discrimination, notamment entre les femmes et les hommes.

La publication de tous les salaires permet en effet aux employés de prendre conscience de discriminations potentielles, et d’exiger l’application du principe d’égalité salariale pour un travail égal. La transparence salariale a été défendue par une proposition de loi de La France insoumise en juin 2023, au moment ou le Parlement européen a adopté une directive allant dans ce sens, avec pour les Etats membres, l’obligation de la transposer dans leur droit national dans un délai de trois ans.

On peut se demander quels seront les effets d’une telle directive. Mais peut-être aurait-il été plus judicieux de se poser cette question avant de légiférer ? Selon une étude de Zoë B. Cullen et Bobak Pakzad-Hurson, « Equilibrium Effects of Pay Transparency », parue en mai dans Econometrica 91, no 3, cette loi pourra avoir un effet négatif non négligeable sur les salaires moyens – en l’occurrence une baisse moyenne de 2 % du salaire moyen réel (ajusté pour l’inflation). L’argument est simple. En présence d’une telle obligation légale, les entreprises peuvent refuser de négocier une augmentation à un salarié individuel sous prétexte que si cette progression est accordée, l’entreprise devra revoir à la hausse tous les salaires.

Social-–Une inflation qui remet en cause le partage de la richesse

Social-–Une inflation qui remet en cause le partage de la richesse


Le nouveau record d’inflation constatée en France en octobre pourrait relancer le débat sur le partage de la richesse et notamment des superprofits. En effet, d’un côté les consommateurs sont affrontés à une augmentation générale des prix alors que leur pouvoir d’achat ne suit pas .

Jusque-là le pouvoir a freiné des quatre fers pour mettre sur la table la question de l’éventuelle taxation des supers bénéfices car l’inflation qui handicape les ménages en général profite à certaines entreprises pour des raisons essentiellement spéculatives. Discrètement, ces entreprises profitent du climat inflationniste général pour ajouter quelques points de hausse qui viennent gonfler les profits sans vraies raisons économiques. Ces entreprises joue un rôle négatif en profitant d’abord de l’inflation, en alimentant ensuite.

La question de la montée de l’inflation va forcément être très discutée d’autant que la taxation n’est pas forcément le meilleur moyen de la gérer. En effet une nouvelle fiscalité dira se noyer dans le trou du budget général de l’État.

Fondamentalement ce qui est en cause, c’est le partage de la richesse produite entre profits, investissements et rémunérations.

L’inflation est repartie à la hausse au mois d’octobre, notamment à cause de la flambée des prix de l’énergie et de l’alimentation, les deux postes de dépenses qui augmentent le plus.

Les prix ont augmenté d’environ 5 % sur un an en 2023. Comme en 2022. Un niveau inédit depuis 1985 (6,4% en juin cette année-là).

Dans le détail, l’inflation est portée par l’envolée des prix de l’alimentation (20% sur 2 ans) et un rebond des prix de l’énergie qui atteint encore des sommets.

Immobilier : un taux d’usure qui fait doubler le montant de l’endettement en 10 ans

Immobilier : un taux d’usure qui fait doubler le montant de l’endettement en 10 ans

Le taux usure au-delà duquel pour l’instant des banques ne peuvent traiter va mécaniquement s’il est appliqué faire doubler le montant de l’endettement en disant. En clair avec l’inflation toujours galopante entre parenthèse environ 5 % sur un an) les taux d’intérêt augmentent et la somme réellement empruntée diminue. Ainsi un candidat à l’accession à la propriété qui pouvait emprunter 200 000 € devra se contenter de 150 000 € avec les charges nouvelles d’intérêt. Conséquence aussi les champs d’insolvabilité des futurs emprunteurs ne cessent de se réduire au point que l’accession à la propriété ne sera désormais possible que pour les cadres. Pour redonner une certaine solvabilité et relancer le logement, il faudrait que les prix diminuent de 25 % !

Le taux d’usure continue son inexorable ascension et se rapproche désormais des 6 %. Ce taux plafond au-delà duquel les banques n’ont pas le droit de prêter est fixé à 5,8 % à partir du 1er octobre pour un crédit immobilier sur 20 ans et plus, selon les données publiées au « Journal Officiel » ce vendredi. Une hausse spectaculaire puisqu’il était encore à 3,57 % en janvier et qu’il n’a passé les 5 % que cet été .

Société–Une inflation qui remet en cause le partage de la richesse

Société–Une inflation qui remet en cause le partage de la richesse

Le nouveau record d’inflation constatée en France en octobre pourrait relancer le débat sur le partage de la richesse et notamment des superprofits. En effet, d’un côté les consommateurs sont affrontés à une augmentation générale des prix alors que leur pouvoir d’achat ne suit pas .

Jusque-là le pouvoir a freiné des quatre fers pour mettre sur la table la question de l’éventuelle taxation des supers bénéfices car l’inflation qui handicape les ménages en général profite à certaines entreprises pour des raisons essentiellement spéculatives. Discrètement, ces entreprises profitent du climat inflationniste général pour ajouter quelques points de hausse qui viennent gonfler les profits sans vraies raisons économiques. Ces entreprises joue un rôle négatif en profitant d’abord de l’inflation, en alimentant ensuite.

La question de la montée de l’inflation va forcément être très discutée d’autant que la taxation n’est pas forcément le meilleur moyen de la gérer. En effet une nouvelle fiscalité dira se noyer dans le trou du budget général de l’État.

Fondamentalement ce qui est en cause, c’est le partage de la richesse produite entre profits, investissements et rémunérations.

L’inflation est repartie à la hausse au mois d’octobre, notamment à cause de la flambée des prix de l’énergie et de l’alimentation, les deux postes de dépenses qui augmentent le plus.

Les prix ont augmenté d’environ 5 % sur un an en 2023. Comme en 2022. Un niveau inédit depuis 1985 (6,4% en juin cette année-là).

Dans le détail, l’inflation est portée par l’envolée des prix de l’alimentation (20% sur 2 ans) et un rebond des prix de l’énergie qui atteint encore des sommets.

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