Archive pour le Tag 'Qui'

Page 55 sur 60

Accès à la cantine pour tous en primaire :qui va payer ?

Accès à la cantine pour tous en  primaire :qui va payer ?

 

Une mesure sociale évidente car il était indigne de refuser des enfants à la cantine dans le primaire. Mais encore uen mesure non financée puisqu’il est seulement prévu que le coût qui pourrait en résulter sera compensé par la dotation globale. Or cette dotation globale doit diminuer. Autrement dit la fiscalité locale va augmenter ( même si les enjeux financiers de cette mesure  ne sosnt pas dramatiques). C’est un peu comme les travaux d’activités périscolaires, votés par le parlement mais financé par les communes.   Les députés français ont adopté en première lecture jeudi une proposition de loi qui vise à garantir le droit d’accès à la restauration scolaire, les cantines, pour tous les enfants scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires. Tous les groupes, à l’exception de l’UMP qui a qualifié ce texte « d’affichage », ont voté cette proposition de loi présentée par le groupe des radicaux de gauche. « L’inscription à la cantine des écoles primaires, lorsque ce service existe, est un droit pour tous les enfants scolarisés. Il ne peut être établi aucune discrimination selon la situation de famille », dispose le texte. Certaines communes, pour des raisons diverses comme la situation familiale ou le lieu de résidence, interdisent l’accès d’enfants à leurs cantines alors que les jurisprudences condamnent toutes les discriminations. Six millions d’élèves, la moitié des écoliers et les deux tiers des collégiens et lycéens, sont inscrits dans les cantines. Quelque 400 millions de repas sont servis chaque année dans les écoles pour un coût moyen de 7 euros facturé aux parents en moyenne à hauteur de 2,5 à 3 euros. Six cents millions de repas sont servis dans les collèges et lycées pour un coût par repas d’environ 9 euros facturé en moyenne de 3,5 à 4 euros.  Le coût est évalué à près de 1,5 milliard d’euros pour les communes et à 3,5 milliards d’euros pour les départements et les régions. La proposition de loi prévoit une compensation financière, notamment par le biais de la dotation globale de fonctionnement, pour les charges qui pourraient résulter pour les communes de ce droit obligatoire à l’accès.

 

Départementales 2015 : les départements qui pourraient passer à droite , 90%

Départementales 2015 : les départements qui pourraient passer à droite , 90%

Les experts patentés des sondages, les analystes politiques ne cessent d’affirmer que le PS pourrait perdre uen quarantaine de départements sur 61 détenus actuellement. Le PS en conserverait une vingtaine. Or c’est raisonner sans tenir compte du phénomène essentiel de cette élection, l’abstention qui sera proche de 60%. Or ce sont et de très loin les sympathisants de gauche qui vont abstenir. Du coup ce n’est pas 40 départements qui risquent d’être perdus par le PS mais bien davantage. Au total le PS pourraiat se trouver avec seulement uen petite dizaine de départements. Plus qu’une défaite, une quasi disparition de la gauche du paysage politique local. 90% des départements passeraient à droite. Un perspective différente des celle des analystes officiels qui indiquent » Les élections départementales des 22 et 29 mars prochains devraient profondément changer la donne de la politique locale. Les sondages qui se suivent annoncent une victoire nationale du Front national - le dernier en date le place à 33%, devant l’alliance UMP-UDI (27%), le PS et alliés (19%) et le Front de gauche (9%). S’ils se vérifiaient dans les urnes, de tels résultats seraient synonymes de nombreux basculements de départements, la gauche en ayant remporté 61 lors des élections cantonales de 2011. Les premières estimations font état d’un changement de direction pour une trentaine de départements au minimum, voire une quarantaine. La gauche est par la force des choses la plus menacée et ses principales pertes pourraient s’enregistrer dans l’est du pays. Les Alpes-de-Haute-Provence, la Drôme, l’Ardèche, le Gard, l’Isère, l’Ain, le Jura, le Doubs, le Territoire de Belfort et la Saône-et-Loire pourraient rejoindre le giron des départements de droite. Le Vaucluse fait, lui, office de prise envisageable pour le Front national. Le sud-est de la France reste d’ailleurs la terre la plus fertile pour le parti de Marine Le Pen. Le Var, actuellement détenu par la droite, pourrait, lui aussi, devenir frontiste. Un scénario d’autant plus réaliste que le Var est le département qui accueille le plus de municipalités FN (Fréjus, Le Luc et Cogolin) et l’un de ses deux sénateurs (David Rachline, maire de… Fréjus) ».

Manifs interdites à Sivens : qui provoque ?

Manifs interdites à  Sivens : qui provoque ?

 

Les manifs à Sivens ont été interdites, motif : éviter les affrontements. Des risques d’ affrontements dus à la décision aujourd’hui du conseil général du Tarn sur le projet. Pourtant on se demande pourquoi le gouvernement demande à un conseil général ( majorité PS) qui n’a plus qu’une quinzaine de jours à vivre de décider dans l’urgence. D’une certaine manière ,il s’agit d’uen provocation à la veille d’élections départementales que le PS va perdre.une occasion pour Valls aussi de monter ses muscles et de clamer encore et encore « son autorité ». Si par malheur il devait y avoir des affrontements graves, le gouvernement porterait uen gave responsabilité pour avoir instrumentalié ce conflit local. Le préfet du Tarn a suivi la demande de Bernard Cazeneuve et a interdit « toute manifestation » vendredi. Des affrontements ont éclaté entre agriculteurs et zadistes à la veille d’un débat au Conseil général à Albi sur des projets alternatifs au barrage. La FNSEA appelle “au calme”.  A la veille d’une importante réunion sur l’avenir du barrage de Sivens (Tarn), les choses s’enveniment. Depuis trois jours, les agriculteurs bloquent l’entrée à la Zone à défendre de Sivens (Zad) et sont entrés sur le site ce jeudi. Des affrontements ont éclaté avec les militants opposés au projet, les zadistes. Ces derniers manifestent devant le Conseil général du Tarn ce jeudi après-midi.   Ce face-à-face est décrit par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve comme une « situation d’extrême tension« . Il a appelé « solennellement à l’apaisement et à la responsabilité de chacun« . Il a demandé au préfet du Tarn d’interdire la manifestation prévue vendredi à Albi. Dans un communiqué, le ministre a rappelé que ce site a été le théâtre d’un drame l’année dernière : « La France garde en mémoire les conséquences dramatiques des manifestations du mois d’octobre 2014, qui avaient conduit au décès tragique de Rémi Fraisse. Rien ne saurait justifier de nouveaux déferlements de violence susceptibles de conduire à de nouveaux drames« .  Dans la soirée, le préfet du Tarn a annoncé qu’il interdisait « toute manifestation ou rassemblement ayant pour objet le projet de construction d’un barrage sur le site de Sivens« . L’interdiction a été décidée « en raison de la concomitance de deux manifestations aux objets opposés » qui « risque de conduire à une confrontation violente entre manifestants« , a expliqué Thierry Gentilhomme.

 

Des dérives qui mènent au «suicide de l’humanité» ( Michel Rocard)

Des dérives qui mènent au «suicide de l’humanité» ( Michel Rocard)

 

L’ancien Premier ministre dont les propos ne sont pas toujours accessibles au commun des mortels demeure sans doute un des rares politiques qui ait une  pensée intellectuelle élaborée même si évidemment on peut contester certaines de ses analyse et propositions.  D’autres se contentant le  plus souvent de poncifs, de caricatures  et de démagogie. Dans son livre «Suicide de l’Occident, suicide de l’humanité ?», Michel Rocard alerte sur les dérives qui affectent notre civilisation. L’ancien premier ministre socialiste propose quelques «traitements» et confie au Figaro qu’il faut «repenser le temps de travail». Michel Rocard tire la sonnette d’alarme. Dans son livre «Suicide de l’Occident, suicide de l’humanité?», publié aux éditions Flammarion, l’ancien premier ministre socialiste dresse un portrait très sombre de la période que nous traversons et met en garde contre les dérives qui menacent l’humanité. «Nous sommes actuellement face à une demi-douzaine de crises n’ayant que peu à voir les unes avec les autres. La plus facile à définir c’est la crise écologique», confie Michel Rocard au Figaro.  «Il y a une limite à la possibilité de préserver notre planète avec nos conditions de vie actuelle. La pollution nous empoisonne. Les ressources naturelles ne sont pas éternelles: il n’y aura par exemple plus de poissons dans moins de 30 ou 40 ans. L’effet de serre augmente et si nous continuons, nous allons transformer la planète en poêle à frire!», indique l’ambassadeur de France chargé de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique. A ce titre, l’année 2014 a été sacrée année la plus chaude jamais enregistrée sur le globe.  L’ancien premier ministre socialiste alerte en outre sur la hausse des inégalités. Il constate que «les inégalités à l’intérieur des sociétés n’ont jamais été aussi fortes en plus d’un siècle».  «Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, une régulation mondiale faite d’un commun accord a permis de lutter contre la spéculation. La période des Trente Glorieuses dominée par la pensée de Keynes avait ainsi un cadre financier international stable et les crises financières ont disparu du fonctionnement habituel du capitalisme. Mais depuis que cette doctrine a été abandonnée dans les années 1990, nous connaissons une méga crise mondiale et financière tous les quatre ou cinq ans. Nous avons perdu le savoir-faire de limiter les crises qu’on avait construit avant», déplore ainsi l’ancien premier ministre.  Depuis la fin des années 1990, le système financier est instable,  «On a besoin de finance, on a besoin d’une finance saine. Je ne hais pas la finance, je la hais quand elle est malsaine. La spéculation est malsaine», nous confie l’ancien premier ministre. Or, il constate qu’en «pays développés, les banques et les marchés financent de moins en moins l’investissement et l’économie réelle en générale». La Banque des règlements internationaux (BRI) estime que le montant total des liquidités circulant dans le monde atteint près de 700 trillions de dollars en juin 2011. «Ces liquidités représentent près de trois fois le produit brut mondial», indique Michel Rocard dans son livre. Il note en outre que «la part de ces liquidités dont le volume et les emplois sont liés à l’économie réelle est très faible. La somme de celles fondées sur des matières premières ou même des actifs boursiers est négligeable (…) près des trois quarts sont des paris mutuels entre opérateurs», écrit Michel Rocard.  Face à ce sombre constat, Michel Rocard dresse une liste de plusieurs remèdes. Selon lui, «il faut repenser le temps de travail (…) Les salariés doivent aussi pouvoir disposer de temps libre. La société à croissance lente, faible production industrielle et moindres dommages écologiques dont nous avons besoin pour la survie de l’espèce, ne pourra être mise en place que si le temps libre qu’elle suppose est demandé et souhaité», nous confie Michel Rocard. «Il faut des traitements mais les États ne peuvent pas tout faire, la société civile doit aussi s’impliquer. On peut probablement gagner le combat écologique, à condition toutefois de s’y prendre assez vite, par des mesures politiques des grands gouvernements de la planète. Ce n’est pas improbable mais cela se fera au prix d’un changement économique, une diminution de l’incitation au profit personnel. Il faut laisser toute sa place à tout ce qui est non marchand dans la sphère économique, comme les coopératives. Il faut aussi, comme avec la micro-finance, retrouver le rôle de l’argent sans qu’il retombe dans ses dérives».

 

Grèce: un accord qui ne règle rien mais un bon compromis pour Hollande

Grèce: un accord qui ne règle  rien mais un bon compromis pour Hollande

 

L’accord obtenu à l ‘arrache  vendredi n’a pas encore donné lieu à beaucoup d’analyser de la part des médias ( normal c’est le week-end ! ). Pourtant cet accord ne règle rien. C’est simplement uen prolongation de 4 mois de l’aide européenne. En échange la Grèce s’est engagée à maintenir l’austérité .Elle doit faire des propositions qui seront examinées par l’Eurogroupe et la commission. Des propositions conciliables avec les exigences de Bruxelles et les résultats électoraux de Grèce. Autant dire l’impossible. En fait c’est l’ambigüité la plus totale puisque d’un coté Bruxelles considère que la Grèce doit appliquer ce qui a été décidés précédemment que la Grève , elle,  estime que le diktat de l’Europe est remis en cause. Bref rien n’est réglé. On a seulement sauvé la face et gagné du temps. Farce à cette  l’ambigüité,  Hollande, lui considère que c’est un bon accord ! ; Et pour cause, c’est à peu près la même ambigüité qui va permettre à la France d’obtenir en délai supplémentaire pour la réduction de ses déficits , en échange de réformes structurelles …à définir !  Après trois réunions des ministres des Finances de la zone euro en moins de 10 jours, les grands argentiers de l’Europe sont parvenus à un accord sur le sauvetage financier de la Grèce. Dès ce matin, le président François Hollande et le premier ministre grec, Alexis Tsipras, ont salué l’accord arraché lors de cet Eurogroupe.  Samedi matin, en marge d’une visite au salon de l’Agriculture, François Hollande a qualifié de «bon compromis» l’accord visant à prolonger de quatre mois, sous conditions, le financement européen de la Grèce, en évitant un risque de sortie de l’euro. «Sur le dossier de la Grèce, nous avons cherché la bonne solution», a-t-il expliqué.  «La bonne solution, c’était de prolonger le financement permettant à la Grèce d’assurer sa transition et de pouvoir honorer ses engagements». «La bonne solution, c’était aussi de lui laisser le temps pour que ses réformes soient engagées et que le respect des électeurs grecs soit aussi préservé», a-t-il encore précisé. L’Europe s’est engagée à prolonger le financement de la Grèce de quatre mois, mais sous de strictes conditions, soumises à examen dès la semaine prochaine. «L’Europe, elle doit montrer de la crédibilité, elle doit montrer aussi de la solidarité. De la crédibilité parce que nous devons montrer que nous avons des règles et qu’elles valent pour tous les pays (…) De la solidarité, parce que quand il y a des pays qui souffrent, il est légitime que nous puissions les accompagner tout en leur demandant de respecter leurs engagements», a expliqué François Hollande. «La Grèce a fait beaucoup d’efforts ces dernières années. Il y a eu beaucoup de sacrifices qui ont été demandés», a-t-il affirmé. «Maintenant il faut donner du temps, mais en même temps toujours respecter les engagements, car ce sont les contribuables français, allemands et européens qui ont permis que la Grèce puisse s’en sortir».

Grèce –Zone euro : un accord qui sauve les meubles…en apparence

Grèce –Zone euro :  un accord qui sauve les meubles…en apparence

 

Finalement l’honneur est sauf pour l’orthodoxie européenne, le plan d’aide à la Grèce sera prolongé avec engagement de ne pas remettre en cause l’austérité. La Grèce devra  présenter uen liste de réformes «  les plus consensuelles ». En fait la Grèce était coincée, il lui fallait le prolongement de l’aide européenne d’uen manière ou d’uen autre. Coté Europe on a sauvé la face , la Grèce ne fait pas défaut et accepte de poursuivre les réformes . Il faudra juger sur pièce mais on voit mal comment la Grèce pourraiat mettre en œuvre toutes les mesures d’austérité que souhaite la zone euro. En fait on gagne 4 mois et l’essentiel était qu’acine des deux parties ne perdent pas la face . . D’uen certaine manière c’est un peu comme lavis de l’Europe vis-à-vis de la France finalement qui ne sera pas condamnée pour n’avoir pas respecté ses engagements de déficits. Un délai supplémentaire de 2 ans ‘ (jusqu’en 2018 en fait) lui est donné et d’ici là il faudra que la France s’engage dans des réformes structurelles…à définir. Cause toujours ….  Alors qu’il paraissait inextricable, le dossier grec a donc trouvé une issue. La Grèce et les ministres de la zone euro ont trouvé un accord sur une prolongation de quatre mois du plan d’aide.  « C’est un résultat très positif », a déclaré officiellement  Jeroen Dijsselbloem, président de l’Eurogroupe. Selon lui, cette prolongation permettra de négocier avec Athènes un nouveau dispositif. Par ailleurs, il a ajouté que, non seulement, la Grèce a réaffirmé son engagement à honorer toutes ses échéances de dette, mais qu’elle s’engageait à ne pas revenir sur les mesures mises en œuvre. Le commissaire européen en charge de l’Euro, Valdis Dombrovskis, a confirmé via Twitter, précisant que le pays va devoir présenter « une liste de réformes ». Le projet d’accord sur la Grèce exige, en effet,  d’Athènes l’envoi d’ici lundi à l’Eurogroupe d’une liste des mesures prévues d’ici la fin du plan d’aide international. Athènes s’engage à donner la priorité aux réformes les plus consensuelles. Pour Yanis Varoufakis, ministre des Finances, la Grèce laisse « le mémorandum derrière elle et devient coauteur des réformes ».   »Le nouveau gouvernement grec présentera son propre programme de réformes pour la prochaine étape intermédiaire, en mettant l’accent sur celles qui représentent un terrain d’entente (avec l’UE, ndlr), à savoir la lutte contre l’évasion fiscale, la corruption, la reconstruction de l’administration publique, et la réponse à la crise humanitaire », a indiqué une source gouvernementale. « Nous avons évité des mesures récessionnistes ». La zone euro se prononcera ensuite sur ce paquet de mesures

 

« Marine Le Pen, c’est qui ça? » (Christiane Taubira)

« Marine Le Pen, c’est qui ça? » (Christiane Taubira)

Indiscutablement Taubira est la cible privilégiée de l’opposition notamment en raison de la politique carcérale qu’elle propose. De attaques qu’on peut comprendre du fait du laxisme généralisé qui caractérise la justice et notamment qui d’une certaine manière banalise la violence. Pour autant certaines attaques sont injustes à la limite du racisme et pour le moins maladroites. Mais Taubira polémiste de tempérament nourrit ce terrain en répondant à une journaliste ’ marine, Lepen, c’est qui ça ? Une forme de mépris qui ne grandit pas la fonction ministérielle ; de toute évidence elle aussi a dû mal entrer dans le costume de la fonction qui exige compétence bien sûr, mais aussi dignité et  respect. Taubira se comporte comme une militante, partiale,  toujours à la limite de l’agression ; son d’excitation permanente sied mal à une responsabilité qui exige une autre hauteur de vue. On peut évidemment ne pas apprécier Marine Lepen et son programme fantaisiste, on peut ne pas aimer non plus non plus sa dialectique de camelot et se outrances verbales. Cependant un ministre de la république ne se grandit pas en se mettant à la hauteur  du caniveau.    En déplacement aux Etats-Unis, Christiane Taubira a en effet accordé une interview à iTélé. Alors que la journaliste Laurence Haïm l’interrogeait sur les « attaques du FN » dont elle a été victime, la ministre de la Justice a affirmé qu’elle ne pleurait pas « pour des âneries pareilles », ou « parce que des imbéciles arriérés (la) traitent de tous les noms », avant d’évoquer un « concentré de dédain ». « C’est ce que vous inspire Marine Le Pen? », lui a demandé Laurence Haïm. « C’est qui, ça? », a alors répondu la ministre.

 

Pérol en correctionnel : ou la justice qui se ridiculise

Pérol en correctionnel : ou la justice qui se ridiculise

 

La justice est tombée sur la tête ! Le président de BPCE, François Pérol, est renvoyé devant un tribunal correctionnel pour y être jugé des chefs de « prise illégale d’intérêt », à la suite de sa nomination dans des conditions controversées à la tête de la banque. Dans une enquête en trois volets, Mediapart avait récemment révélé les secrets de l’enquête judiciaire, qui mettent en cause l’ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy. Mais la justice ignore donc que c’est une pratique en vigueur partout  à Elysée, comme à Matignon, comme dans tous  les Ministères. La plupart des conseillers sont recasés dans des secteurs dont ils ont eu à s’occuper comme conseiller, des postes dans le public ou des postes dans le privé. C’est même pour cela que la plupart veulent occuper les fonctions de conseillers ministériel, ‘c’est un formidable accélérateur de carrière. La plupart des grands patrons Français (publics et privés) ne sont t parvenus à leur fonction que grâce à  cela. Il faudrait donc envoyer en correctionnel  des centaines et des centaines d’anciens conseillers. C’est tellement fia que la plupart des conseillers se reclassent avant la fin du mandat de leur ministre pour ne pas rester sur le carreau de leur administration d’origine. Fauta-il que la justice soit ignorante des réalités pour n’  inculper que Pérol ? Le juge Roger Le Loire a donc pris une ordonnance renvoyant devant un tribunal correctionnel François Pérol, le président de la banque BPCE et ex-secrétaire général adjoint de l’Élysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, pour y être jugé pour « prise illégale d’intérêt ». C’est l’AFP qui le confirme ce jeudi 5 février, en faisant état de sources concordantes.

BNP- Amende de 6.6 milliards une bricole ! Ce sont les clients qui payent !

BNP- Amende de 6.6 milliards une bricole ! Ce sont les clients qui payent !

 

Pas de quoi paniquer, l’amende de 6,6 milliards infligée par les autorités américaines a été vite amortie par BNP. Grâce sans doute aux frais bancaires qui ne cessent d’augmenter en dépit du pseudo réglementations. Exemple 200 euros de frais de tenue de comptes, c’est courant ! Alors que la banque peut jouir de la trésorerie permise par les dépôts sur lesquels le déposant ne touche rien. De quoi ainsi augmenter les fonds propres et satisfaire aux normes européennes, de quoi surtout spéculer sur les marchés grâce à la mini reforme du gouvernement qui n’a pas voulu séparer les activités spéculatives et les activités de dépôts. Jusqu’au prochain krach financier ? sans doute ! L’énorme amende n’aura pas trop pénalisée BNP Paribas. L’an passé, le groupe est parvenu à dégager un bénéfice net de 157 millions d’euros, en dépit de l’amende de 6,6 milliards d’euros infligée par les Etats-Unis pour non-respect d’embargos économiques, a indiqué l’établissement dans un communiqué publié ce jeudi 5 février.  BNP Paribas a reconnu fin juin avoir réalisé des opérations en dollars avec le Soudan, l’Iran et Cuba – trois pays sous embargo américain – entre 2002 et 2012. Pour éviter un procès, la banque a accepté d’écoper de la plus lourde amende jamais infligée par les Etats-Unis à un établissement étranger.  Les analystes avaient anticipé que BNP Paribas allait achever 2014 sur un bénéfice mais ils s’attendaient à ce qu’il soit trois fois inférieur au consensus du fournisseur de données financières FactSet (50 millions d’euros).  Pour parvenir à ce résultat, le groupe s’est appuyé sur le dynamisme de ses métiers. Son produit net bancaire (PNB, équivalent du chiffre d’affaires) a augmenté de 2% pour s’établir à 39,2 milliards d’euros, lui aussi au-dessus du consensus (38,8 milliards).  BNP Paribas conserve par ailleurs un haut niveau de solvabilité: son ratio de fonds propres « dur » (apports des actionnaires et bénéfices mis en réserve rapportés aux crédits consentis) atteignait 10,3% fin décembre, stable par rapport à la fin 2013.   »Le groupe réalise une bonne performance avec un résultat net de 7 milliards d’euros hors éléments exceptionnels. (…) Les revenus progressent dans tous les pôles opérationnels, la bonne dynamique commerciale témoignant de la confiance des clients institutionnels, entreprises et particuliers », se félicite le directeur général Jean-Laurent Bonnafé dans ce communiqué.

 

 

CGT – Lepaon : un enlisement qui nuit à l’image du syndicat

CGT – Lepaon : un enlisement qui nuit à l’image du syndicat

 

Nouvelle réunion et nouveau report quant au départ éventuel de Thiery Lepaon, autant dire que la situation s’enlise. En remettant en jeu son mandat (et celui du bureau confédéral) devant le comité confédéral, Lepaon ne simplifie pas la situation. Si le bureau confédéral et Lepaon devaient être démis se reposerait alors les questions récurrentes de majorité avec les mêmes clivages qui demeurent  depuis le départ de Thibault. Le seul départ de Lepaon aurait simplifié la question avec  par exemple un secrétaire général temporaire jusqu’au congrès. En attendant c’est l’image la CGT qui est affectée et au-delà celle d’un syndicalisme français déjà bien faible (autour de 5% de syndiqués en France). Les membres du bureau confédéral (direction resserrée) de la CGT, incluant le numéro un Thierry Lepaon, ont décidé de remettre leur mandat à la disposition du Comité confédéral national, (le « parlement » de la centrale) le 13 janvier. Cela n’équivaut pas à une démission.  Ce n’est pas une démission mais c’est probablement un pas de plus vers un départ. Thierry Lepaon annonce lui-même et les autres plus hauts-dirigeants de la CGT ont décidé de mettre à disposition leur mandat. Concrètement, cela veut dire qu’ils mettent leur sort entre les mains du parlement de la CGT. Une instance composée de 300 membres qui doit se réunir mardi prochain.  Et c’est ce parlement qui a seul le pouvoir de révoquer Thierry Lepaon.  Mais, dans les faits, il peut aussi théoriquement décider de maintenir le secrétaire général de la CGT à son poste.  Ce mardi, lors de la réunion de la commission exécutive du syndicat, Thierry Lepaon a été malmené par plusieurs cadres de la CGT qui ont demandé son départ. Certains l’ont même accusé d’avoir menti à propos de son salaire. La réunion de la CGT doit se poursuivre demain mercredi et entériner officiellement la remise de ces mandats. Depuis plusieurs jours, des voix s’élèvent pour réclamer la démission du patron de la CGT accusé d’avoir fait rénover son bureau pour une somme exorbitante et d’avoir touché une prime de départ lorsqu’il a quitté la CGT en Normandie. Lundi, c’est Louis Viannet, ex-numéro 1 de la CGT qui avait ouvertement appelé à la démission de Thierry Lepaon. Jusqu’ici, il a toujours estimé que « son départ ne règlerait rien aux problèmes politiques » au sein du syndicat.

 

Mali, Centrafrique, Irak : des conflits qui coûtent chers à la France

Mali, Centrafrique, Irak : des conflits qui coûtent chers à la France

 

Fautes de réussite sur le plan intérieur, Hollande a pratiqué la fuite en avant sur les terrains extérieurs. La France s’est ainsi engagée précipitamment au Mali, en Centrafrique et en Irak avant même que les européens se soient prononcés ; Du coup la France se retrouve à peu seule à supporter coûts et conséquences de ces guerres. Il fallait sans doute intervenir mais Hollande a voulu se mettre en avant, du coup nous en payons la facture. 450 millions prévus pour les opérations et une facture de 1.1 milliard. Il faut dire que l’Europe se désintéresse de ces conflits et dans sa majorité préfère se consacrer au business plutôt qu’ à la solidarité et à la défense des droits collectifs et individuels. Bref c’est l’Europe des marchands. Un raison supplémentaire pour que Hollande ne saute pas comme un cabri sur le moindre conflit pour faire oublier les désastres économiques intérieurs. .Qu’il prenne donc le temps d’impliquer sse partenaires européens.   Le dérapage budgétaire de la France est en effet  essentiellement dû aux interventions militaires, révèlent Les Echos ce mardi 11 novembre. Selon le quotidien économique, le projet de budget, présenté mercredi 12 novembre par Bercy, « prévoirait de l’ordre de 2,2 milliards d’euros d’annulations de crédits cette année pour contenir l’évolution de la dépense de l’Etat ». L’opération vise « à compenser le dérapage de certains budgets sous-dotés ».  Parmi eux, selon Les Echos, « figure en tête le budget des opérations extérieures de la Défense. Du Mali à l’Irak en passant par la Centrafrique, les interventions de l’armée française ont compliqué un peu plus l’équation budgétaire d’une mission traditionnellement sous-dotée ». Alors que « 450 millions étaient programmés dans la loi de finances initiale, les opex devraient ressortir à au moins 1,1 milliard d’euros« , affirme le quotidien. Cherchant à désamorcer les critiques de la Commission européenne, le ministre des Finances Michel Sapin avait évoqué le 27 octobre des « mesures nouvelles » de réduction du déficit, d’un montant de 3,6 milliards d’euros, dont une partie sera présentée dès mercredi, et une autre concrétisée dans le budget 2015, au cours de son examen au Parlement. 

Nantes : encore un «déséquilibré » qui renverse 10 personnes

Nantes : encore un «déséquilibré » qui renverse 10 personnes

 

Encore un acte de « déséquilibré », cette fois a Nantes. Un individu a percuté une dizaine de personnes avec un véhicule (comme à Dijon). Et comme à Dijon la procureure de la république  a tout de suite considéré qu’il ne s’agissait pas d’un acte terroriste mais d’un ca isolé ; Une précipitation curieuse car l’enquête vient à peine de commencer à moins qu’il ne s’agisse d’une volonté du gouvernement de minimiser encore cette agression. Bizarre car dans le même temps une réunion d’urgence est convoquée à Matignon. Dix personnes ont été blessées dont cinq grièvement lundi vers 19h à Nantes lorsqu’un homme au volant d’une camionnette a foncé dans la foule sur la place Royale, où est installé le marché de Noël. Le pronostic vital d’un des blessés est engagé. Le conducteur de la camionnette s’est porté neuf coups de couteau et est grièvement blessé.  Le conducteur a foncé sur un chalet où était servi du vin chaud et devant lequel se trouvaient plusieurs personnes. « Les secours sont aussitôt intervenus et un dispositif de sécurité a été mis en place » a affirmé le ministère de l’Intérieur dans un communiqué. L’adjoint au maire de Nantes, Gilles Nicolas a précisé que « 200 à 300 personnes se trouvaient sur place au moment du drame« .  Mohammed, un témoin présent sur le marché de Noël raconte : »On a couru vers le véhicule. Il y avait des gens par terre. On a vu le conducteur se donner un coup de couteau. J’ai demandé à un monsieur venu avec moi de lui retirer le couteau. Il l’a fait et on a coupé le contact du véhicule. En quatre minutes les pompiers étaient là. » Le conducteur de la camionnette est âgé d’une quarantaine d’années et est connu des services de police pour des délits mineurs. La procureure de Nantes, Brigitte Lamy, a évoqué un « cas isolé » ajoutant qu’on ne pouvait pas parler « d’acte de terrorisme« . « En l’état, aucun témoignage ne montre une quelconque revendication religieuse« , a également affirmé une source policière. Arrivé sur place lundi vers 23h, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a évoqué l’acte « d’un déséquilibré« . Les policiers ont retrouvé dans la voiture de l’agresseur un carnet avec des phrases totalement incohérentes, évoquant des soucis familiaux. Ce qui pourrait orienter davantage vers l’hypothèse d’un déséquilibré. Cette affaire intervient après deux autres faits divers à Dijon et à Joué-lès-Tours. Après cette série, François Hollande a demandé à Manuel Valls d’organiser mardi matin une « réunion ministérielle » à Matignon. 

 

CGT : qui à la place de Lepaon ?

CGT : qui à la place de Lepaon ?

 

Si Thierry Lepaon  a pu encore sauver sa place lors de la dernière commission exécutive, il le doit sans doute aux difficultés à lui trouver en éventuel successeur car les clivages qi existaient lors du départ de Bernard Thibault se reposent de la même manière. En outre c’est maintenant tout la direction qui est contestée ; Du coup ne n’est plus tellement le départ de Lepaon qui est en jeu mais la question de son remplaçant potentiel. En attendant, ce climat délétère porte un coup à limage de la CGT et à l’ensemble d’un syndicalisme déjà bien fragilisé par la crise.  Lors d’une assemblée générale de ses organisations, lundi, des dirigeants de fédérations et d’unions départementales ont ouvertement souhaité le départ de Thierry Lepaon. D’autres ont critiqué les « dysfonctionnements » du bureau confédéral et mis en doute sa légitimité, a raconté à Reuters une source interne. Mais la Commission exécutive, le gouvernement de la CGT, qui a poursuivi mardi les débats, n’a pas émis de vote. Une note faisant le point des discussions sera transmise mercredi aux organisations de la CGT, a-t-on précisé de même source. Il a notamment été question de l’ordre du jour de la session extraordinaire du Comité confédéral national (CCN), prévu le 13 janvier. Le CCN est seul habilité à révoquer Thierry Lepaon, qui peut aussi décider de partir de lui-même avant la fin de son mandat, en 2016. « On continuera à faire la transparence sur un certain nombre d’éléments et on discutera de préconisations sur nos règles de vie », explique un responsable. « Se posera évidemment la question de la direction de la CGT. »  Entretemps, il est prévu une nouvelle réunion des 56 membres de la Commission exécutive confédérale le 6 janvier. Un autre CCN est prévu en février. Les dirigeants de la CGT étudient la possibilité d’actions revendicatives sur l’emploi, les salaires, le pouvoir d’achat, la politique industrielle. Les appels à la démission de Thierry Lepaon se multiplient, de la base aux instances dirigeantes de la confédération, depuis les révélations sur les frais engagés pour la rénovation de son domicile de fonction et de son bureau, et sur l’indemnité qu’il a perçue quand il a quitté ses responsabilités en Normandie.  Dans un texte diffusé le week-end dernier, la fédération des services publics, première de la CGT, a jugé « inéluctable » son départ et l’a invité à démissionner dans les plus brefs délais.  Dans L’Humanité, Georges Séguy, ancien secrétaire général de la CGT de 1967 à 1982, a estimé lundi qu’une solution s’imposait « d’urgence » pour préserver la cohésion de la première centrale syndicale française. Des cadres de la CGT ont demandé dans une pétition la démission en bloc de la direction de la centrale syndicale, et pas seulement du secrétaire général.

Italie : grosse manif contre Renzi qui tient bon

Italie : grosse manif contre Renzi qui tient bon

En dépit de la grosse manif contre les réformes, Renzi tient bon : « Si nous renvoyons les réformes, nous nous condamnons à un lent déclin ». (Une différence avec la France qui sen tient à des réformettes dans le domaine social).  « Il faut avoir le courage de changer les choses », avait-il déclaré dans la matinée devant la presse italienne au cours d’un déplacement en Turquie. La principale cible de la colère syndicale reste le « Jobs Act », la réforme du marché du travail voulue par M. Renzi pour encourager les embauches. La loi prévoit de faciliter les licenciements et de réduire les droits et protections des salariés dans leurs premières années de contrat. Mais le texte a été définitivement adopté par le Parlement la semaine dernière et la journée de grève, qui fait suite à des rassemblements parfois massifs dans les rues de Rome depuis un mois et demi, est donc désormais essentiellement symbolique. Les syndicats dénoncent aussi le projet de budget 2015, jugeant ses mesures de relance de l’économie insuffisantes. En toile de fond, le mécontentement vient aussi du choix de Matteo Renzi de mettre fin à la concertation avec les confédérations syndicales et au marchandage qu’elles ont imposé pendant des décennies à tous les gouvernements sur de nombreux sujets. « Le gouvernement commet une erreur en éliminant la discussion et la participation » des syndicats à l’élaboration des lois, a affirmé vendredi Susanna Camusso, secrétaire générale de la CGIL (gauche), principale confédération italienne. « Le gouvernement doit choisir entre le conflit et le dialogue », a-t-elle insisté. « La grève générale d’aujourd’hui est sans aucun doute le signe d’une tension notable entre le gouvernement et les syndicats », a relevé le président de la République Giorgio Napolitano.

Internet : enfin des pubs qui respectent l’utilisateur ?

Internet : enfin des pubs qui respectent l’utilisateur ?

 

 

La publicité se développant sur internet au détriment d’autres supports  (la presse écrite  par exemple), les supports de pub deviennent de plus en plus agressifs en masquant par exemple les sites avec des écrans  pub qui contraignent les internautes attendre avant d’accéder aux infirmations qui les intéressent. Pas étonnant que certains internautes ne supportent plus cet affichage sauvage.  Certains se sont donc équipés de logiciels antipub.  Le plus célèbre, Adblock Plus, qui permet d’équiper son navigateur internet en quelques clics.  Dès lors, presque plus de bannières publicitaires qui clignotent, ni de notifications « pop up » qui masquent l’écran ou de préroll (court spot diffusé avant une vidéo). Mais ce rêve d’internaute vire de plus en plus au cauchemar pour les éditeurs de sites web. Car cette pratique, d’abord confidentielle et limitée aux publics jeunes ou fondus de high-tech, se répand: à l’échelle mondiale, ils sont 144 millions d’utilisateurs actifs à bloquer la publicité (+69% en un an), selon le rapport de septembre 2014 de PageFair et Adobe, qui évaluent chaque année le phénomène. En fonction des sites, le pourcentage de visiteurs équipés d’un logiciel de ce type va de 10% à 60%. « Ce n’est plus un détail, ça concerne tous les éditeurs. Il y a une perte de ressources publicitaires de nos membres qui est évaluée de 20 à 40% », explique à l’AFP Laure de Lataillade, directrice générale du GESTE, organisme qui fédère les créateurs de sites français. L’essor des logiciels antipub intervient alors que les investissements publicitaires dans le numérique ne cessent de croître : pour la première fois, ils représenteront en 2014 25% du total des dépenses publicitaires dans le monde (545 milliards de dollars), soit 140 milliards de dollars (+16,7% par rapport à 2013), selon le cabinet eMarketer.b en réaction certains site ont décidé d’interdire l’accès à leurs informations aux internautes équipés de logiciels anti pub. Cependant pour certains professionnels du secteur, le problème des Adblockers doit aussi conduire à une réflexion sur des formats de publicités moins intrusifs. En fait c’est moins la pub qui este en cause que son caractère sauvage et son agressivité.

 

1...5354555657...60



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol