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« Mouvement commun » : un mouvement apolitique qui commence avec des politiques !!!

« Mouvement commun » : un mouvement apolitique qui commence avec des politiques !!!

 

 

Drôle de profession de foi de l’initiateur de « mouvement commun » qui veut faire sans les politiques mais qui commence avec ces mêmes politiques. Amirshahi lance un mouvement pour « faire sans les politiques «Le socialiste Pouria Amirshahi annonce en effet dans Le Monde qu’il va relancer son « Mouvement commun » le 8 novembre à Montreuil (Seine-Saint-Denis), une initiative déjà annaoncée en juin. . « Puisque les politiques n’y arrivent pas, alors faisons sans. C’est un appel à ne pas se laisser faire », explique le député des Français de l’étranger.  Il lancera son « Mouvement commun » le 8 novembre. Dans Le Monde, le député socialiste des Français de l’étranger Pouria Amirshahi affirme vouloir créer une sorte de lobby citoyen, « une plate-forme pour faire contre culture et s’imposer dans le débat d’idées ». Près de 1.000 personnes ont déjà signé le texte fondateur. « L’idée de ce mouvement c’est de se dire : ‘puisque les politiques n’y arrivent pas, alors faisons sans’. C’est un appel à ne pas se laisser faire », explique Pouria Amirshahi. L’idée a été pensée depuis plusieurs mois. Déjà, en juin 2015, dans une tribune publiée dans le JDD, ce dernier évoquait ce « mouvement citoyen ». « Je propose que toutes celles et ceux qui veulent fonder un nouveau projet progressiste pour la France d’après – quelles que soient leurs appartenance partisanes, leurs espoirs et leur doutes – se réunissent pour en poser les jalons dans les tous prochains mois », écrivait-il alors, jugeant indispensable « d’engager dès maintenant un mouvement national citoyen de type nouveau ».  Refusant de parler de « son » mouvement, Pouria Amirshahi ne souhaite pas non plus faire des responsables politiques qui ont signé l’appel – Laurent Baumel (PS), Marie-Noëlle Lienemann (PS), Benoît Hamon (PS), Pierre Laurent (PCF), Noël Mamère (EELV), Sergio Coronado (EELV), Julien Bayou (EELV) entre autres… – des « têtes de gondole ».  On se demande alors pourquoi il appuie sa démarche sur ces signatures ! La signature de M. Dupont ou M. Durand (sans mandat et appartenance) serait plus crédible. Dernière observation et pas la moindre, une telle initiative, intéressante au demeurant,  ne peut pas être lacée par un politique dans appareil depuis des années.

Emploi: une enquête qui concurrence l’INSEE

Emploi:  une enquête qui concurrence l’INSEE

 

Il est clair que enquête cde l’INSEE n’a guère d’intérêt (comme nombre d’autres productions  d’ indicateurs) sur le plan conjoncturel. Enna matière d’emploi les chiffres de l’INSEE ne soient disponibles que des mois après.  Les estimations sur les créations nettes d’emploi dans le secteur privé publiées par l’Insee n’étaient disponibles que sur une base trimestrielle, avec une première estimation publiée 45 jours après la fin du trimestre concerné et des chiffres actualisés diffusés environ 25 jours plus tard.dou l’intérêt de cette enquête d’un institut américain( !) qui éclaire un peu le marché du travail. Première observation on observe l’emploi et non le nombre de chômeurs, ce qui est plus pertinent. Deuxième observation concernant les résultats en septembre 1 000 emplois ont été créés dans le privé (dans le public pratiquement on n’a pas frée d’emplois nouveaux NDLR). Or Pôle emploi faiat apparaitre une diminution de 25 OOO emplois. Conclusion a  artificiellement faiat disparaitre des chômeurs des statistiques officielles ce que ne dément pas Pôle emploi qui a changé de méthodologie en juillet, ni le gouvernement qui a parqué des demandeurs d’emplois dans des stages ou des contrats aidés…forcément temporaires. Reste cependant que la  situation du marché de l’emploi en France montre de nouveaux signes d’amélioration, selon une nouvelle enquête sur le marché du travail lancée mercredi par ADP et dont la méthodologie est comparable à celle de son enquête américaine.  Automatic Data Processing (ADP), spécialiste de l’externalisation de la gestion des ressources humaines, publie chaque mois aux Etats-Unis une estimation des créations d’emploi dans le secteur privé très suivie car considérée comme un bon indicateur avancé des chiffres mensuels de l’emploi publiés le surlendemain par le département du Travail. Le premier rapport national sur l’emploi en France d’ADP fait état de 11.000 créations nettes d’emploi dans le secteur privé non agricole au mois de septembre après +8.600 en août et +17.500 en juillet.

Les républicains : « des péripatéticiennes qui font le trottoir » ! (Collard)

Les républicains : « des péripatéticiennes qui font le trottoir » ! (Collard)

 

Toujours fin et distingué Collard, l’avocat député un peu lourdingue proche du Front national qui a considéré que les républicains faisaient la pute (non péripatéticienne ! c’est plus classe !). Le député du Rassemblement Bleu Marine n’a pas manqué de pointer ces hésitations en condamnant le décalage entre le discours officiel du parti et les divergences locales. « La question est de savoir si Les Républicains sont des péripatéticiennes ou pas », lance Gilbert Collard dans un entretien accordé au Figaro, ce mardi 27 octobre.   »Ils font tous le trottoir; Cela pue la stratégie de studio », condamne le député RMB dans cette interview. Mais il n’est pas le seul porte-voix du FN à condamner par avance toute alliance électorale. Le vice-président du FN, Louis Alliot, tête de liste du parti en région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, met aussi en garde Les Républicains : « Tout ce qui sera fait par la droite pour maintenir la gauche sous respiration artificielle relèvera de la haute trahison électorale. » Au Parti socialiste aussi, le débat fait rage autour du front républicain. Si le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a fermé la porte à toute alliance avec la droite, beaucoup de ténors du parti sont moins catégoriques. Après Anne Hidalgo, c’est Pierre de Saintignon, la tête de liste PS en Nord-Pas-de-Calais-Picardie qui a ouvert la porte à une alliance avec la droite au second tour, lundi 26 octobre sur RTL.

 

Une centrale solaire qui stocke le surplus d’énergie

Une centrale solaire qui stocke le  surplus d’énergie

Les centrales solaires classiques avec leurs panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité tant qu’il y a du soleil et s’il y en a beaucoup, elles en produisent même plus que de besoin. Jusqu’à très récemment, on ne savait pas stocker cette énergie en plus. La centrale d’Alata qui vient d’être inaugurée en Corse fait elle partie de cette nouvelle génération de centrale. Elle diffère des autres unités de production solaires par ses batteries qui lui permettent justement de stocker l’énergie en surplus pour la réutiliser plus tard. Pas question malgré tout de produire de l’énergie propre sur de longues périodes comme la nuit par exemple. En revanche en cas de passage nuageux dans la journée, on a recourt à ce stockage pour pallier la chute de production. Et pour que l’alimentation du réseau en énergie solaire soit constante, la centrale d’Alata est gérée par un logiciel extrêmement perfectionné tous les jours. Il reçoit les prévisions météo par satellite et ajuste la production en fonction des besoins. Il sait plonger dans les batteries de la centrale à la minute près pour éviter les baisses de production. Les 13455 panneaux solaires de la centrale fournissent de l’électricité à 1000 foyers.

La caisse noire de l’UIMM : pour qui ?

La caisse noire de l’UIMM : pour qui ?

 

Procès en appel pour la caisse noire de l’ UIMM qui servait à fluidifier les relations sociales avec de l’argent liquide. Visiblement il y avait quelques fuites.  Les syndicats ont-ils bénéficié de la caisse noire du patronat ? L’ex-patron Denis Gautier-Sauvagnac et trois cadres de l’UIMM, la puissante fédération de la métallurgie, sont rejugés en appel à partir de lundi pour le détournement de millions d’euros destinés. En première instance, Denis Gautier-Sauvagnac avait créé la surprise à l’audience en désignant clairement les syndicats représentatifs comme les bénéficiaires de ces enveloppes d’argent liquide, mais sans en apporter la preuve. En réplique, les responsables CGT, CFDT FO et CFTC l’avaient mis au défi de donner des noms, Laurent Berger (CFDT) s’interrogeant sur ce que cachait ce « syndicalisme bashing » consistant pour le patronat à désigner « à la vindicte populaire les syndicats ». Retraits d’importantes sommes d’argent liquide, destruction des traces comptables, omerta sur les bénéficiaires… Au centre du procès, qui se tiendra jusqu’au 4 novembre, figure l’une des plus anciennes et influentes fédérations patronales françaises, l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM). Regroupant les puissantes entreprises de l’automobile, du nucléaire, comme de la construction navale, aéronautique ou ferroviaire, elle est prépondérante dans les négociations sociales et l’élection du patron des patrons français. Parmi les prévenus rejugés en appel figurent un de ses anciens patrons, Denis Gautier-Sauvagnac, condamné en première instance à trois ans de prison dont un ferme et 375.000 euros d’amende, et l’UIMM en tant que personne morale, condamnée à 150.000 euros d’amende. Dans ses attendus, le tribunal avait estimé que M. Gautier-Sauvagnac avait eu « une participation centrale, en connaissance de cause et pendant des années », au fonctionnement d’un « système occulte de distribution d’importants fonds en espèces ».  Les trois autres cadres de l’époque appelés à comparaître sont Dominique de Calan, délégué général de l’UIMM condamné à un an avec sursis et 150.000 euros d’amende en première instance, Dominique Renaud, chef comptable condamnée à huit mois avec sursis, et Jacques Gagliardi, cadre condamné à six mois de prison avec sursis.

 

 

Afrique-Congo ; et encore un président qui s’accroche

Afrique-Congo ; et encore un président qui s’accroche

 

Dure la démocratie en Afrique où nombre de présidents s’assoient sur la constitution pour conserver le pouvoir. Il  faut dire que la place est bonne. La corruption permet de nourrir des clans entiers qui soutiennent le dictateur. Mais une corruption qui pourrit l’ économie jusqu’au plus bas niveau et qui fait office de prélèvement fiscal privé .Du coup c’est un frein considérable pour l’investissement privé notamment étranger. Certes les grands groupes s’en tirent car ils participent à cette corruption mais pour le Tissus de PME, c’est un cancer. D’où  une économie constituée surtout de grands groupes étrangers et d’un artisanat le plus souvent non déclaré avec une absence de tissu intermédiaire.  Du coup Hollande se réveille et déclare  suivre « avec grande attention les évènements actuels en République du Congo », exprimant l’espoir que le référendum constitutionnel de dimanche ait lieu « dans des conditions de transparence incontestables ». Dans un communiqué transmis ce soir, le président a déclaré qu’il « condamnait toute violence et soutenait la liberté d’expression » en République du Congo, dont il « suit avec grande attention les évènements actuels ». Dans son message, le président de la République « rappelle qu’il avait souhaité, lors de son discours prononcé à Dakar, le 29 novembre 2014, que les constitutions (des pays africains) soient respectées et que les consultations électorales se tiennent dans des conditions de transparence incontestables ».  Le calme régnait ce soir à Brazzaville après des troubles au cours de la semaine. L’opposition avait appelé à un grand rassemblement vendredi dans la capitale congolaise contre le référendum de dimanche qui pourrait permettre au président Denis Sassou Nguesso de se représenter pour un troisième mandat en 2016, mais la manifestation a finalement été annulée sur ordre de la préfecture de Brazzaville. Pour l’opposition, le référendum est un « coup d’Etat constitutionnel ».

 

Référendum du PS : Cambadélis va porter plainte contre qui ? Les abstentionnistes ?

Référendum du PS : Cambadélis va porter plainte contre qui ? Les abstentionnistes

 

Le fiasco total se confirme pour ce référendum ridicule voulu par Cambadélis qui pose la question de savoir si les électeurs veulent l’union de la gauche aux régionales ! Oui bien sûr mais pourquoi et à quelles conditions ? Dès lors ce referendum apparait comme une opération de pub pour le PS et Cambadélis en particulier. Les résultats seront catastrophiques du faiat de l’indigence da la participation. Et cambadélis veut porter pliante contre X …. A cause des manipulations/ Contre qui le abstentionnistes ?  Jean-Christophe Cambadélis a annoncé que le  Parti socialiste allait porter plainte contre X pour « faux et usage de faux » ainsi qu’ »usurpation d’identité » après les « incidents » constatés vendredi, au premier jour de son « référendum » controversé sur l’unité de la gauche aux régionales. Le PS a indiqué samedi à l’AFP avoir pris cette décision après que plusieurs personnalités politiques, dont la secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts, Emmanuelle Cosse, ont tweeté avoir reçu un message de remerciement pour leur vote alors qu’elles n’avaient pas pris part à cette consultation. Plusieurs journalistes ont raillé vendredi l’organisation de ce « référendum » en indiquant avoir pu voter plusieurs fois par internet via différents adresses mail. D’autres personnes, dont des journalistes, ont assuré sur les réseaux sociaux qu’elles s’étaient amusées à voter sous des noms empruntés à des personnalités.

Salariés d’Air France en garde à vue : une arrestation musclée qui ne s’imposait pas

Salariés d’Air France en garde à vue : une arrestation musclée qui ne s’imposait pas

Cette  arrestation très musclée et très médiatisée ne s’imposait certainement pas dans la forme ; certes la violence Air France est inadmissible, elle doit être condamnée. Pour autant il n’était pas nécessaire pour le gouvernement comme pour la justice de sur-réagir. Cela d’autant plus qu’on dispose de l’enregistrement vidéo et de témoignages qui permettent d’identifier les auteurs. Au-delà des actes de débordement se pose surtout la question de la stratégie des acteurs. Une stratégie de la direction parfaitement maîtrisée lorsque Spinetta était aux commandes, au moins en ce qui concerne la négociation. Pour le reste on peut largement discuter des orientations économiques de la compagnie. Côté syndical on s’est sans doute trop habitué à la protection dont a longtemps bénéficié Air France par parenthèse qui a largement contribué à tuer toutes les compagnies concurrentes françaises. Aujourd’hui concurrencée par des acteurs étrangers Air France a du mal à s’adapter à cette à ce nouvel environnement. Du coup la radicalité fait office de stratégie syndicale, une stratégie syndicale en outre nourri de corporatisme. Ce qui saurait  justifier les violences mêmes si effectivement certains à gauche ont  raison de noter que certains patrons voyous sont traités avec beaucoup plus d’égards. Cinq salariés d’Air France soupçonnés d’avoir molesté des cadres de la compagnie le 5 octobre ont donc été interpellés tôt lundi matin à leur domicile et placés en garde à vue, une procédure dénoncée par la CGT et l’extrême gauche. Un sixième salarié qui était recherché s’est présenté dans la matinée aux autorités après avoir été contacté, et a également été placé en garde à vue, a-t-on appris de sources policières et judiciaires. Ces six individus ont été identifiés grâce aux images vidéo des violences, dont ils sont considérés comme les principaux auteurs. Le directeur des ressources humaines d’Air France, Xavier Broseta, et un responsable de l’activité long-courrier, Pierre Plissonnier, avaient été pris à partie par des salariés furieux après l’annonce de 2.900 suppressions de postes.  Les images montrant ces dirigeants fuyant les manifestants, chemise arrachée et costume déchiré, ont fait le tour du monde. Trois autres cadres ont été molestés et deux vigiles blessés, dont l’un a sombré brièvement dans le coma. Le parquet de Bobigny a ouvert le 6 octobre une enquête pour dégradations, entrave au fonctionnement du comité central d’entreprise (CCE) et violences en réunion. Des faits passibles en théorie d’une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison.

Air France : « agissements inacceptables » qui font honte au syndicalisme

Air France : « agissements inacceptables » qui font honte au syndicalisme

Le ministre des transports a fort logiquement condamné avec force les débordements inacceptables de certains lors du conflit d’Air France. Débordements d’autant plus inacceptables qu’il semble bien que des syndicalistes soient impliqués. D’une certaine manière c’est une honte pour le syndicalisme tout entier. Il faut dire que la situation d’Air France est un peu particulière avec une myriade de syndicats, de l’ordre d’une quinzaine qui ne cessent  de se faire concurrence en ajoutant du corporatisme au corporatisme. Certes tous les syndicats ne sauraient être mis dans le même sac mais d’une façon générale la France souffre d’une vision éculée de ce qu’est la défense constructive des intérêts des salariés. En gros d’un côté il y a la frange presque toujours contestataire de syndicats surtout préoccupés d’objectifs politiques et ou corpos, c’est le cas pour Sud, d’une partie de la CGT de FO parfois de l’UNSA, de l’autre il y a la version plus moderniste d’autres syndicats surtout de la CFDT aussi de la CGC. Le syndicalisme ne se grandit pas en n’adoptant des stratégies systématiquement contestataires qui tuent le dialogue social est finalement desservent  l’intérêt même de leurs mandants. À l’occasion du conflit d’Air France la France de ce point de vue s’est encore ridiculisée et a montré la ringardise de certains syndicats responsables aussi de la  dégradation économique et sociale du pays. C’est donc justement qu’Alain Vidalies condamne fermement ces débordements en évoquant des « agissements inacceptables ». « Je pense que l’on peut redresser la situation en ayant une condamnation tout à fait ferme et unanime », commente le secrétaire d’État aux Transports. Pour lui, une seule réponse existe : la répression pénale.  »Il s’agit de violences faites contre des personnes, il faut isoler ces événements en disant que ces agissements méritent une répression pénale« , conclut-il. La compagnie aérienne a d’ailleurs annoncé déposer plainte pour « violence aggravée » après ces violents événements. Mais le PDG d’Air France, Frédéric Gagey, espérait avant tout une reprise des discussions :  »À ce stade, la vraie question est de reprendre la négociation. 

Sécu : une carte Vitale « universelles »(Hollande)….. Qui va payer ?

Sécu : une  carte Vitale  « universelles »(Hollande)….. Qui va payer ?

 

 

Hollande a annoncé leur des 70 ans de la sécu la mise en œuvre d’une carte universelle « pour la vie ». On peut comprendre cette proposition six agit effectivement d’une simplification. Par comble de fête cette carte universelle risque d’ouvrir de nouveaux droits et posera la question du financement des prestations non couvertes par les cotisations patronales. En fait il serait plus urgent avant d’accorder des droits de rétablir les équilibres financiers de la sécurité sociale dont le déficit sera certainement proche de 10 milliards et qui enregistre un déficit cumulé de près de 200 milliards ». Le progrès, ce sera la continuité de la couverture et la simplification très profonde des démarches auprès des caisses », a déclaré le président français lors d’une manifestation organisée pour le 70e anniversaire de la Sécurité sociale. « L’objectif, c’est d’avoir une carte Vitale pour toute sa vie dès lors qu’on réside en France (…) et d’avoir cette affiliation reconnue quels que soient les changements de métier », a-t-il ajouté. François Hollande a par ailleurs mis en avant le futur « compte personnel d’activité » qui fusionnera selon lui le compte personnel de formation, le compte épargne temps et l’éventuel compte pénibilité. « L’ambition, c’est de créer des liens entre des dispositifs qui sont trop compartimentés et c’est de donner plus de liberté dans l’usage et la gestion de ces droits », a-t-il dit. La création de ce compte sera discutée lors de la conférence sociale du 19 octobre et formalisée dans une loi début 2016. Un « compte de retraite unique » permettra en outre d’ici 2017 à chaque Français de connaître ses droits à tout moment, avec une procédure de liquidation unique quel que soit le parcours professionnel. La première responsabilité du gouvernement vis-à-vis de la Sécurité sociale est la bonne gestion, a insisté François Hollande, en soulignant que l’objectif de dépenses d’assurance maladie serait tenu cette année pour la troisième année consécutive et que les comptes de retraites seraient équilibrés l’an prochain pour la première fois depuis douze ans !!!!!

Des retards de paiement en hausse qui tuent les entreprises

Des  retards de paiement en hausse qui tuent  les  entreprises

Des retards de paiements en France qui gangrènent  l’économie. Notre pays de ce point de vue est presque championne d’Europe. Des retards ( à 60 jours et même davantage)qui pèsent lourdement sur la vie des entreprises et qui expliqueraient près d’un quart des défaillances. En effet du fait de ces retards les des entreprises sont contraintes de supporter des frais d’emprunt qui assez souvent représente le taux de rentabilité des entreprises. Deux entreprises sur trois en France règlent leurs fournisseurs et leurs sous-traitants avec retard. Pire, neuf ETI ou grandes entreprises sur dix sont dans ce cas, contre quatre sur dix en Allemagne et huit sur dix à l’échelle européenne. Pour mémoire, les entreprises ont 60 jours à compter de la date d’émission de la facture pour s’en acquitter et 45 jours fin de mois. Deuxième enseignement, les entreprises françaises sont championnes d’Europe des petits retards de paiement (inférieurs à 15 jours). Aujourd’hui, le retard moyen est de 13 jours, contre un peu plus de 6 jours en Allemagne, mais plus de 17 jours en Espagne et autour de 15 jours en Grande-Bretagne. Le problème, c’est qu’un seul jour de retard de paiement équivaut à 1 milliard d’euros de trésorerie en moins pour les entreprises concernées. «Sur le premier trimestre 2015, les retards de paiement des 120 grandes entreprises étudiées atteignaient quelque 4 milliards, soit 20% de plus qu’au premier trimestre 2014. manque entre 10 et 13 milliards d’euros chaque année dans les poches des petites et moyennes entreprises à cause de ces retards de paiement.  C’est l’un des fléaux de l’économie française qui met en danger chaque année des milliers de petites entreprises : les retards de paiement des grands groupes à leurs fournisseurs. De nouveaux chiffres viennent d’être communiqués et sont pour le moins alarmants  Ce sont les données communiquées par le baromètre trimestriel établi par le cabinet Altarès et la Médiation inter-entreprises. Ces chiffres donnent le tournis. Les enquêteurs ont épluché 211 millions de factures auprès des 120 plus grandes entreprises donneuses d’ordre. Bilan : le montant des retards de paiement aux fournisseurs approche les 4 milliards d’euros. Autant d’argent en moins dans les caisses des PME… du jamais vu depuis dix ans. Les entreprises françaises sont plus mauvaises payeuses que leurs concurrentes européennes. Neuf entreprises de taille intermédiaire et grandes entreprises françaises sur dix règlent leurs fournisseurs avec retard, contre seulement quatre sur dix en Allemagne, par exemple. Sans compter avec les collectivités locales qui ont, elles aussi, leur part de responsabilité. En 2014, sur les 63.000 entreprises qui ont déposé le bilan, entre 20 et 30% l’ont fait en raison des factures impayées dans les temps. Les PME et TPE sont de plus en plus, en quelque sorte, les banquiers des grandes entreprises. Les plus touchées sont les PME qui sont très dépendantes de leur trésorerie.

Sondage popularité : Macron qui monte, Hollande et Valls qui descendent, Juppé toujours en tête

Sondage popularité : Macron qui monte, Hollande et Valls qui descendent, Juppé toujours en tête

Macron gagne en popularité amis  77% des sondés jugent néanmoins « mauvaise » (35% très mauvaise et 42% plutôt mauvaise) la politique économique du gouvernement. Selon ce même sondage, plus des trois-quarts (77%) des Français pensent que François Hollande n’est pas un bon Président de la République (+ 1, par rapport à la dernière enquête fin juin). Un chiffre qui atteint 96% chez les sympathisants de droite. 62% des Français considèrent que Manuel Valls n’est pas un bon Premier ministre. Vu de droite, 77% des sondés ont une mauvaise opinion de l’hôte de Matignon. L’institut note enfin que la popularité de Manuel Valls est tombée en neuf mois de 53% à 36%. Le classement des hommes politiques est établi en fonction de deux paramètres : « Vous soutenez la personnalité » et « Vous éprouvez de la sympathie pour elle ».  Alain Juppé demeure en tête avec 40% (=) d’adhésion, devant François Bayrou (31%, -3) et Emmanuel Macron (+6%). Nicolas Sarkozy arrive à la cinquième place avec 27% (=) devant Marine Le Pen (26%, =) et François Fillon se classe 9ème avec 24% (=). Cécile Duflot (EELV) avec 12% (+1) est avant-dernière, devant Florian Philippot (FN) avec 11% (-1). Parmi les personnalités politiques qui suscitent le plus de rejet, Marine Le Pen arrive en tête avec 53% (=), ex aequo avec Marion Maréchal Le Pen (+1), et devant Florian Philippot avec 48% (-5), autant que Nicolas Sarkozy (+1).

RSA : qui va payer ?

RSA : qui va payer ?

 

On se demande qui va payer le RSA avec l’explosion du nombre des bénéficiaires. Aujourd’hui c’est de l’ordre de 2 400 000 personnes qui bénéficient du RSA, un chiffre qui a doublé en quelques années. Or une partie de ce RSA doit être financée par les ressources des départements. Mais avant cinq ans sur la tendance la moitié des départements risque d’être en faillite notamment du fait de cette  aide sociale. Du coup les départements ont appelé l’État au secours. Il faut convenir que cette dérive du RSA devient impossible à gérer. Certes cette aide sociale est justifiée  dans de nombreux cas et permet à peine d’assurer le minimum vital pour survivre. Cependant les armée d’assistantes sociales qu’ont  embauché les départements ont à largement favorisé la croissance de ce RSA attribué dans de nombreux cas de manière non justifiée. De ce point de vue la gestion du RSA par les départements est une véritable catastrophe. À la fin du mois de juillet, le président de l’Assemblée des départements de France (ADF) Dominique Bussereau tirait la sonnette d’alarme : les départements connaissent de sérieuses difficultés pour continuer de verser les allocations de solidarité, notamment le RSALes présidents du Val-de-Marne et de la Seine-Saint-Denis s’inquiétaient même de pouvoir le verser en 2016.   Le financement du RSA est en effet conjointement assuré par l’État qui gère le RSA activité, pour ceux qui travaillent, et par les départements, qui sont chargés de financer le RSA socle, à destination des personnes sans emploi ou à très faible activité. Ce qui représente 4 milliards d’euros des 10 milliards d’euros du coût du RSA. Une part qui ne cesse de grandir chaque année.  Le JDD révèle ce samedi 26 septembre que face à cette crise, l’exécutif envisage de reprendre à sa charge une plus grande partie de ce financement. L’idée de « renationaliser » le RSA ne serait pas exclue selon l’hebdomadaire, d’après qui l’État serait prêt à débourser quelques centaines de milliers d’euros d’ici la fin de l’année. L’enjeu total serait de 4 milliards d’euros. Reste à savoir où l’État prendra l’argent !

Une consule qui vendait des canots aux réfugiés injustemenet sanctionnée

Une consule qui vendait des canots aux réfugiés injustemenet sanctionnée

 

 

Pour une fois que nous les ambassades et nos consulats s’intéressent au business- et non aux seules mondanités- on les sanctionne. On sait que nos diplomates et représentants  à l’étranger entretiennent  un lien très ésotérique avec le business. Une exception toutefois cette consule  honoraire en Syrie qui vendait des canots aux réfugiés. Pourtant cette représentante de la diplomatie française locale sera sans doute sévèrement sanctionnée. Il faut bien convenir quand même que la consule honoraire a certainement sur-interpréter les consignes données par Fabius pour transformer nos ambassades en officine commerciale Laurent Fabius, a donc suspendu vendredi de ses fonctions cette consule honoraire en Turquie, propriétaire d’un magasin de ventes d’articles maritimes et qui à ce titre vend des canots aux réfugiés, information révélée par France 2.  La France a suspendu une consule honoraire en Turquie, à Bodrum, qui vendait des canots aux réfugiés, en tant que propriétaire d’un magasin de ventes d’articles maritimes. Elle a été suspendue dans la soirée de vendredi. Et « si les faits sont confirmés« ,  elle fera l’objet d »une révocation dans les plus brefs délais« , indique le Quai d’Orsay à France Info. Cette suspension a fait suite à un reportage de France 2 montrant cette commerçante à Bodrum dans son magasin flanqué d’un drapeau français et d’une plaque arborant sa qualité de consule honoraire représentant la France.  Rappelons qu’une consule honoraire n’est pas diplomate, elle travaille bénévolement et peut exercer un métier à côté. Sa mission : protéger et porter assistance aux ressortissants français. »Il n’est pas question pour la France de tolérer qu’une personne investie de cette mission puisse contribuer à un trafic de migrants« , indique Romain Nadal, porte-parole du quai d’Orsay.

Code du travail : une révolution qui ne veut pas dire son nom

Code du travail : une révolution qui ne veut pas dire son nom

 

La vraie question est de savoir si l’on s’oriente dans la voix d’une inversion juridique où l’accord d’entreprise aurait la primauté par rapport aux dispositions du code du travail d’une certaine manière ce serait une révolution dans la régulation des conditions sociales. En France l’essentiel de ses conditions sociales est en quelque sorte étatisé par le code du travail. Du coup la négociation en entreprise et réduit un peu de choses mais pour réduire le clivage entre les partisans de cette inversion (surtout le patronat) et les opposants (surtout certains syndicats) on va sans doute opter pour une situation médiane. Certaines dispositions relatives au contrat de travail, à la durée légale des 35 heures, au SMIC conserverait un caractère légal applicable à toutes les entreprises. Une sorte de socle social qui garantirait la protection des salariés. Les conditions d’application de ces dispositions obligatoires ainsi que les autres dispositions feraient l’objet de discussions est d’accord dans les entreprises. Au-delà de la modification relative à la primauté juridique cela engagerait une évolution profonde du paritarisme au plan local. Ce qui d’une certaine manière inquiète certains syndicats qui pensent qu’il pourrait être dessaisi d’une partie de leur champ de responsabilité. En fait tout dépendra de ce qui sera maintenu comme dispositions légales obligatoires pour toutes les entreprises et de ce qui relèvera de la responsabilité des entreprises. En fait c’est aussi un changement de culture qui pourrait s’engager dans un pays habitué à étatisé la problématique sociale comme économique. Il est clair cependant que des garde-fous sont nécessaires pour éviter d’une part des distorsions de concurrence entre les entreprises et une exploitation des salariés. Un équilibre pas facile à trouver. Le gouvernement a donc donné mercredi le coup d’envoi d’une réforme du droit du travail, qui fait le pari d’un changement de culture des partenaires sociaux pour donner la primauté à la négociation collective sans remettre en cause un « socle » de garanties. Il s’appuie sur un rapport du conseiller d’Etat Jean-Denis Combrexelle, spécialiste du droit du travail, qui préconise un élargissement du champ de la négociation sociale aux conditions de travail, de durée de travail, d’embauche et de rémunération. Ce rapport remis mercredi au Premier ministre propose que les accords d’entreprise ou, à défaut, de branche, « s’appliquent en priorité » dans ces domaines. Il recommande de généraliser le principe d’accord majoritaire d’entreprise à compter de 2017. Manuel Valls a dit adhérer à l’essentiel de ses 44 propositions et promis une loi avant l’été 2016.   »Notre code du travail est devenu un ensemble trop complexe, parfois même illisible (…), trop rigide, trop uniforme (…) Il faut mieux prendre en compte la diversité des situations. » « Nous devons donc laisser plus de latitude aux entreprises et aux salariés pour décider des politiques qui les concernent, plus de marges de manœuvre par rapport aux normes fixées dans le code du travail », a-t-il poursuivi. « Nous voulons élargir la place de l’accord collectif par rapport au code du travail. »  Un « socle commun » est cependant nécessaire, a-t-il fait valoir. Ce sont des protections que la loi garantit à tous », a souligné le Premier ministre, qui a rejeté deux démarches selon lui extrêmes : une réduction draconienne du code du travail ou, au contraire, le refus d’en toucher « un mot ».

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