Archive pour le Tag 'quelques'

Page 3 sur 3

Loi travail : « juste quelques points positifs » (Pierre Gattaz)

Loi travail : « juste quelques points positifs » (Pierre Gattaz)

 

Maintenant que la loi travail a été adoptée Pierre Gattaz, le patron du Medef, retrouve quelques vertus au texte définitif. Il convient même que cette loi pourra créer quelques -emplois mais très peu. En réalité personne n’en sait rien,  pas plus le gouvernement que le patron du Medef car ce type de mesure ne peuvent avoir d’effet qu’à moyen et long terme, en outre l’évaluation est toujours difficile.

 

Interview du président du Medef dans le Figaro :

 

 

Les conflits qui ont eu lieu sur la loi travail ne démontrent-ils pas que la France est irréformable?

 

Pierre GATTAZ. - Je ne le pense pas. Si la loi travail a été mal acceptée, c’est parce que le gouvernement n’a pas expliqué ses enjeux. Il est indispensable de dire à nos concitoyens que le monde traverse une période de mutation intense, avec le numérique, la mondialisation, le défi énergétique. Et que la France peut relever ces défis. Il faut passer de la fatalité du constat à la volonté d’action. Mais pour réformer, tout pouvoir politique doit d’abord avoir une vision pour le pays et l’expliquer aux citoyens. Un cap, c’est ce qui manque à la France depuis trente ans. Voilà pourquoi il y a tant de crispations. Au Medef, nous voulons promouvoir l’esprit d’entreprise dans tous les domaines. C’est ce que nous appelons «l’entreprenalisme», qui n’a rien à voir avec l’ultralibéralisme! Nous disons juste qu’il n’y a pas de progrès social durable sans entreprises compétitives. Et qu’une entreprise a besoin de salariés épanouis et avec des compétences renouvelées tout au long de leur vie. Dès la rentrée, nous souhaitons renouer le dialogue avec les syndicats pour discuter de ces sujets. Par ailleurs, en fin d’année, nous proposerons des réformes concrètes, pour alimenter les débats de la présidentielle.

 

La loi El Khomri créera-t-elle de l’emploi?

Non, très peu. Cette loi est une occasion manquée. Avec 10 % de chômage, le marché du travail dysfonctionne en France, et ce n’est pas en faveur des salariés. À Londres, quelqu’un qui en a assez de son entreprise peut la quitter et retrouver un job rapidement… La première version de la loi aurait pu créer de l’emploi mais, passé au moulinet de la folie technico-politicienne, il ne reste plus grand-chose du texte. Juste quelques points positifs: l’article 2 qui renforce la négociation au niveau de l’entreprise, la sécurisation du licenciement économique et les accords offensifs. (…)

État d’urgence annulée le 14 juillet à 13 heures et prolongées quelques heures plus tard !

État d’urgence annulée le 14 juillet à 13 heures et prolongées quelques heures plus tard !

 

 

Si l’affaire n’était pas aussi tragique, on pourrait sourire des propos ubuesques de François Hollande concernant l’état d’urgence. Leurs de son interview du 14 juillet vers 13 heures il a en effet déclaré que l’état d’urgence devenait inutile mais dans la nuit il en a décidé le prolongement pendant trois mois :  La date du 26 juillet devait marquer la fin de l’état d’urgence, en vigueur depuis le soir des attentats du 13 novembre. « Cet état d’urgence, j’ai considéré qu’il fallait le prolonger jusqu’au moment où nous puissions être sûrs que la loi pouvait nous donner des moyens nous permettant de prévenir la menace terroriste avec efficacité », a d’abord expliqué François Hollande. Mais maintenant que la loi sur la procédure pénale a été promulguée en juin, le chef de l’État veut « très clairement dire aux Français qu’on ne peut pas prolonger l’état d’urgence éternellement« .  »Ça n’aurait aucun sens. Cela voudrait dire que nous ne serions plus une République avec un droit qui pourrait s’appliquer en toutes circonstances ». D’une certaine manière cette déclaration témoigne à la fois de l’incompétence des pouvoirs publics et au de-là au désarroi face à la menace terroriste. Après les attentats de janvier on avait  pu noter l’inconsistance de la réplique face aux enjeux. Depuis novembre, des dispositions nouvelles ont été prises mais tout aussi insuffisantes  en tout cas pas de nature à empêcher le renouvellement de tuerie. La problématique n’est certes pas simple comment en effet concilier la démocratie avec une gestion d’une guerre terroriste. De toute évidence le concept même d’état d’urgence telle qu’il est pratiqué ne parait guère adapté à cet état de guerre que reconnaît le ministre de l’intérieur et les responsables politiques à travers les décisions prennent n’ont encore pas pris conscience de l’enjeu.  Quelques heures après l’attaque de Nice qui a fait au moins 80 morts, François Hollande s’est adressé aux Français via une allocution télévisée dans la nuit de jeudi à vendredi. Après avoir exprimé sa « solidarité » envers les victimes et leurs familles et affirmé « le caractère terroriste » de l’attaque, le chef de l’Etat a annoncé notamment la prolongation de trois mois de l’état d’urgence. Il faudra autre chose pour rendre ce concept de d’état d’urgence adaptée au niveau de risque.

Loi travail : « quelques améliorations » ? Trop peu, trop tard

Loi travail : « quelques améliorations » ? Trop peu, trop tard

 

 

 

 

Le gouvernement est sans doute engagé dans une spirale de reculs mortifères vis-à-vis de la loi travail. Certes, Manuel Valls laisse entendre qu’il serait prêt à faire quelques modifications concernant la loi travail. Il propose d’intégrer «  les amendements nécessaires » mais sans autre précision. Pas sûr que cette légère ouverture puisse satisfaire les opposants qui sont nombreux. Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a prévenu lundi que son syndicat « ne lâcherait pas » sur sa demande de retrait du barème des indemnités prud’homales prévu dans le projet de loi El Khomri, à quelques heures d’une rencontre à Matignon avec Manuel Valls. « Il faut enlever ce plafonnement, il faut enlever la barémisation (…) Je ne lâcherai pas là-dessus », a-t-il dit sur Europe 1, en rappelant que faute d’être entendue, la CFDT se mobiliserait contre le texte. Dimanche, Manuel Valls s’est dit prêt à des adaptations sur le barème des indemnités prud’homales pour licenciement abusif mais sans remettre en cause le principe. D’autres syndicats vont aussi manifester leurs exigences. Manuel Valls devra donc reculer sur plusieurs points car il a un besoin impératif de ce soutien de syndicats réformistes. Le problème c’est que dans le même temps la contestation va encore monter notamment à partir de la manifestation prévue le 9 mars. Les s’exigences de modification risquent d’être alors encore plus importantes st le pouvoir encore davantage acculé. L’opinion publique pourrait bien alors considérer que ce qui est concédé par le gouvernement c’est à la fois trop peu et trop tard.
En effet 70 à 80 % des Français sont opposés au texte actuel mais une majorité souhaite un rééquilibrage significatif de la loi ;  il est vraisemblable que l’ampleur des modifications sera proportionnelle à la mobilisation car à moins de démissionner Valls  sera contraint de composer. Au-delà de l’enjeu concernant le droit du travail,  il y a aussi la posture de Valls qui veut apparaître comme le leader incontesté de la réforme à gauche. Or cette position lui est disputée par Emmanuel Macron d’où sans doute la mise à l’écart de ce dernier pour la gestion de ce projet de loi

Loi travail : « quelques améliorations » ? (Valls)

Loi travail : « quelques améliorations » ? (Valls)

 

 

Au JDD, Manuel Valls laisse entendre qu’il serait prêt à faire quelques modifications concernant la loi travail. Il propose d’intégrer «  les amendements nécessaires » mais sans autre précision. Pas sûr que cette légère ouverture puisse satisfaire les opposants qui sont nombreux. En effet 70 à 80 % des Français sont opposés au texte actuel mais une majorité souhaite un rééquilibrage significatif de la loi ;  il est vraisemblable que l’ampleur des modifications sera proportionnelle à la mobilisation car à moins de démissionner Valls  sera contraint de composer. Au-delà de l’enjeu concernant le droit du travail,  il y a aussi la posture de Valls qui veut apparaître comme le leader incontesté de la réforme à gauche. Or cette position lui est disputée par Emmanuel Macron d’où sans doute la mise à l’écart de ce dernier pour la gestion de ce projet de loi. (Interview JDD)

 

Envisagez-vous d’utiliser, le cas échéant, l’arme politique du 49-3 sur la loi El Khomri?
Nous n’avons jamais évoqué l’idée de mettre en œuvre le 49-3. Myriam El Khomri a simplement rappelé que nous assumerions nos responsabilités. Et notre responsabilité, c’est de mener à bien ce texte avec les amendements nécessaires. Moi, je veux convaincre les socialistes, les radicaux de gauche, les écologistes d’approuver cette loi mais je veux que la loi recueille aussi l’assentiment de tous ceux qui veulent réformer le pays. Au lendemain des élections régionales, marquées par la progression de l’extrême droite, tout le monde a dit qu’il fallait sortir d’un certain nombre de postures, et ne pas approfondir les fractures. Je n’attends pas qu’on gomme les clivages entre la gauche et la droite, mais qu’on se retrouve sur la question essentielle de la lutte contre le chômage.

On murmure que vous êtes prêt à mettre en jeu votre responsabilité de Premier ministre…
Mon énergie, mon dynamisme, je les mets au service de cette réforme déterminante. Et je n’oublie pas les autres défis : la menace terroriste, la crise migratoire, le risque de dislocation de l’Europe… Dans de telles circonstances, il y aurait une forme d’indécence à poser le débat autour de ma personne. Le seul sujet qui m’occupe, c’est l’efficacité de cette réforme. Oui, j’insiste, c’est difficile mais moi, je suis passionné par ce que je fais. Je suis fier d’être le Premier ministre de la France, et d’agir. C’est pourquoi je suis serein et en même temps très déterminé. Jamais je n’ai fait et je ne ferai de chantage à la démission. Le narcissisme, l’égotisme et les caprices, je laisse cela à d’autres. Mon rapport avec le président de la République est empreint de loyauté personnelle et de respect des institutions. [...]

Souhaitez-vous l’organisation d’une primaire à gauche?
Il y a un grand appétit de débats et de démocratie dans notre pays. Et il faut évidemment l’entendre. Mais, vous savez, moi, je crois beaucoup aux institutions de la Ve République. Et je ne veux pas d’une VIe République qui mettrait en cause les responsabilités essentielles qui sont celles du chef de l’État et de son rapport au peuple. La VIe République, qu’on invoque souvent, c’est en fait le retour à la IVe République sans les talents d’alors. Alors, je dis : attention! Ce débat sur la primaire, je le suis avec intérêt mais si c’est pour s’en prendre à la légitimité du président et des institutions, alors je ne suis pas d’accord!

Scandale pollution Volkswagen : on va faire porter le chapeau à quelques ingénieurs !

Scandale pollution Volkswagen : on va faire porter le chapeau à quelques ingénieurs !

Le premier constructeur mondial a peut-être trouvé la combine pour se sortir d’une sale situation. On pourrait, comme souvent, faire porter le chapeau n’ont pas à l’état major mais à quelques ingénieurs qui seraient seuls coupables de la manipulation qui a conduit à réduire artificiellement la pollution des véhicules lors des contrôles. Une stratégie qui a bien fonctionné dans plusieurs scandales relatifs aux banques dont par parenthèse aucun dirigeant n’a été inquiété en France. Il s’agit de trouver quelques boucs émissaires qui porteront seuls la responsabilité et permettra d’atténuer les atteintes à l’image de marque de Volkswagen. On voit mal pourquoi seuls quelques ingénieurs seraient seuls  responsables de cette tromperie puisqu’il s’agissait de rendre compatibles la gestion des  normes excessives avec les couts de production. Une problématique qui concerne les ingénieurs mais aussi les gestionnaires comme les financiers. La ficelle est évidemment un peu grosse mais elle a fonctionné dans d’autres circonstances et peut-être certains coupables potentiels seront-ils encouragés à se dénoncer pour dédouaner la marque. Plusieurs ingénieurs employés par le géant automobile allemand Volkswagen ont donc reconnu être responsables du trucage de moteurs diesel révélé il y a deux semaines, rapporte dimanche le journal allemand Bild, sans en divulguer le nombre ni l’identité. Les services chargés d’enquêter en interne sur l’affaire, séisme de magnitude mondiale qui secoue le secteur automobile, « ont déjà reçu de premiers aveux », selon le journal, qui ne cite pas ses sources.  »Plusieurs ingénieurs ont témoigné avoir installé le logiciel truqueur en 2008″, poursuit Bild. Volkswagen a avoué il y a peu avoir équipé les moteurs de 11 millions de véhicules d’un logiciel capable de fausser les résultats des tests antipollution. La révélation de cette tricherie a coûté son poste au patron du groupe Martin Winterkorn, et Volkswagen a promis de faire toute la lumière sur l’affaire, au moyen d’une enquête confiée à un cabinet d’avocats américain. Le groupe impute la responsabilité de la manipulation à « un petit groupe de personnes », et a suspendu certains salariés. La presse a évoqué le chiffre d’une douzaine, parmi eux le chef des activités de recherche-développement de la filiale Audi. Les aveux déjà recueillis n’ont pas apporté d’éclaircissement sur l’identité des commanditaires de l’installation du logiciel, explique Bild. Selon les confessions faites par les ingénieurs concernés, il était techniquement impossible de fabriquer le moteur EA 189, développé par Volkswagen en 2005, en respectant à la fois les plafonds d’émission de gaz polluants et les impératifs de coûts. Il aurait donc été décidé d’avoir recours au logiciel truqueur.

Sécurité dans les trains : quelques mesures seulement

Sécurité dans les trains : quelques mesures seulement

 

C’est un peu de manière précipitée que des responsables politiques de huit pays européens ont décidé de mesures de sécurité dans les trains.  Première observation pourquoi seulement huit pays alors que le risque peut concerner d’autres réseaux de l’union européenne. Deuxième observation pourquoi ces mesures ne sont pas prises directement par Bruxelles qui légifère déjà sur la circulation ferroviaire. Enfin ces mesures sont-elles à la hauteur du problème ?  Visiblement on ne souhaite pas imposer en matière de sécurité les mêmes dispositions selon qu’il s’agit du transport aérien ou du transport ferroviaire. La question essentielle posée concerne le contrôle a priori de tout les voyageurs avant leur accès dans le train parenthèse (train type banlieues exclus dont la problématique est la même que celle du métro). Dans le cadre du plan partiel, Bernard Cazeneuve a cité quatre éléments : davantage de contrôles d’identité et des bagages dans les gares et les trains « partout où cela est nécessaire », davantage de patrouilles dans les trains internationaux, un travail sur la généralisation des billets nominatifs pour ces trains et l’évaluation de la possibilité d’autoriser les agents des polices ferroviaires à consulter des bases de données « pertinentes ».

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

Ce ne sera pas en Aout mais peut être en septembre –octobre ou en janvier. Mais Il n’y aura finalement pas de hausse des tarifs de l’électricité cet été, alors que 5% d’augmentation étaient prévus. L’annonce a été faite ce matin par la ministre de l’Energie Ségolène Royal.  Un gel des tarifs de l’électricité : c’est ce qu’annonce la ministre du secteur, Ségolène Royal. « Il y avait une augmentation des tarifs de l’électricité qui était prévue au 1er août, 5%. Ces factures n’augmenteront pas ». Pourquoi ? Parce que le mode de calcul va changer, tout simplement.   »Je vais procéder à ce calcul avec la Commission de régulation de l’énergie, une autorité indépendante, qui va, à partir de la réforme que j’ai mise en place, calculer cette hausse, ou peut-être une baisse », explique la ministre. Décision à venir, d’ici la fin de l’année. En clair : y aura-t-il une hausse ultérieurement, au 1er janvier 2015 ? On le saura au 1er octobre prochain. En attendant, ce jeudi matin, à la Bourse de Paris, l’action EDF a chuté de 4,54% à 25,44 euros. Le titre de l’exploitant était même lanterne rouge du CAC 40.  L’an dernier, le gouvernement avait annoncé une hausse des tarifs de 5% à l’été 2013, puis 2014, pour mieux refléter les coûts d’EDF.

 

Choc de simplification : quelques mesures et des gadgets

Choc de simplification : quelques mesures et des gadgets

 

Il y aura quelques mesures intéressantes (feuille de paye, marchés publics) et beaucoup de gadgets. En effet pas de simplification tant que subsisteront des administrations inutiles qui ont besoin de justifier leur objet social par des règlements et des contrôles. Ce ne sont pas les procédures qu’il faut supprimer en premier mais ceux qui les élaborent et les rendent obligatoires. En outre ce travail n’est pas à la hauteur de l’enjeu, il faut certes de mesures de portée générale mais le même travail doit être entrepris dans tous les ministères, tous les secteurs, à tous les niveaux géographiques. . Conseil de simplification, qui doit annoncer ce lundi 50 nouvelles mesures pour simplifier la vie des entreprises. Ce deuxième acte du pacte de responsabilité a pour vocation de redonner de l’air aux entreprises asphyxiées par la paperasserie et portera essentiellement sur la fiscalité et le contrôle de production de normes. À l’origine de ce «choc de simplification» voulu par François Hollande: Thierry Mandon, porte-parole des députés socialistes et Guillaume Poitrinal, chef d’entreprise, qui coprésident le Conseil de simplification. Chargés d’une mission sur la simplification de la vie des entreprises, ils avaient rendu une première copie fin 2013, qui avait orienté le premier train de mesures décidées en janvier. Ils ont achevé le 8 avril un second rapport dont les préconisations devraient être quasi intégralement reprises dans les mesures annoncées aujourd’hui. Si ces mesures ne devraient rien coûter à l’État, elles pourraient constituer une manne financière source de croissance pour les entreprises. L’OCDE estime en effet que le système administratif français, trop complexe, leur coûte presque 60 milliards d’euros par an. Les nouvelles mesures annoncées aujourd’hui devraient permettre de récupérer et réinjecter cet argent dans l’écosystème. Une promesse de Manuel Valls qui avait évoqué dans son discours de politique générale la nécessité de «simplifier les procédures» des entreprises pour «libérer les énergies et embaucher». Parmi les nouvelles mesures qui devraient être annoncées: la simplification des appels d’offres publics, la réduction du nombre de statuts des entreprises individuelles mais surtout la tant attendue simplification de la fiche de paie. Un projet auquel les gouvernements précédents avaient renoncé à s’attaquer tant ce serpent de mer vieux de plusieurs décennies apparaît complexe. Cette mesure sera pourtant complémentaire de la simplification comptable annoncée en janvier. Les entreprises de moins de 10 salariés avaient ainsi été exonérées de l’obligation d’établir une annexe comptable et de publier leurs comptes, tandis que celles de 50 salariés avaient obtenu un bilan simplifié. De premières expérimentations pour simplifier les déclarations de salaires avaient également été décidées. L’ensemble des mesures devrait être mis en œuvre au 1er janvier 2015

 

123



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol