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Chômage : que les ministres arrêtent de se contenter d’être des commentateurs ( Placé)

Chômage : que les ministres arrêtent de se contenter d’être des commentateurs ( Placé)

 

Placé (EELV)  recadre sérieusement Rebsamen qui récemment s’est encore contenté de commenter l’actualité du chômage (après sa sortie malheureuse sur le contrôle renforcé des chômeurs). Rebsamen a notamment déclaré qu’il n’y avait pas assez de croissance pour créer des emplois (une découverte !). Placé  invite à l’action et non à se laisser aller pour étaler ses sentiments sur les médias.  Jean-Vincent Placé, président du groupe écologiste au Sénat, a joué les maîtres d’écoles, ce dimanche, et a invité les ministres à «ne pas débiter» leurs «avis et sentiments» dans les médias, mais au contraire à «se concentrer» sur leur action, lors du grand entretien de RCJ, la radio de la Communauté Juive.  «J’appelle à la responsabilité toutes celles et tous ceux au gouvernement qui, matin, midi et soir, passent sur les antennes des radios et télévisions, sur les chaines info notamment, et débitent un peu leurs avis, leurs sentiments ! Le ministre, vraiment, qu’il évite de raconter avis et sentiments et qu’il se concentre sur son action», a plaidé le sénateur. Le dirigeant du parti écologiste a notamment évoqué les récentes déclarations au Parisien de François Rebsamen, ministre du Travail, sur «l’échec» du gouvernement sur le chômage. Rebsamen, «c’est vraiment un très bon ami. Il était président du groupe socialiste au Sénat et on a travaillé très très bien» mais «ses sorties sur les chômeurs, ses sorties sur les réformes du droit du travail, faut vraiment qu’il arrête !». «Si le droit du travail c’était ça le problème dans ce pays, peut être que la droite l’aurait reformée pendant 10 ans. On n’est pas obligé de faire ce que la droite n’a pas fait pendant 10 ans. On est quand même une majorité de gauche ! Emmanuel Macron a lancé lui aussi des idées ! Eh bien, qu’il se concentre sur l’économie, qu’il se concentre sur l’action. Quand je vois les difficultés qu’on a eu lors des discussions sur l’Europe, encore tout récemment !», les ministres, «qu’ils se concentrent tous», a-t-il insisté.   Jean-Vincent Placé à a plusieurs reprises refuser de participer à un gouvernement de François Hollande.

Sondage : Juppé plus honnête que Sarkozy

Sondage :  Juppé plus honnête  que Sarkozy

 

C’est les résultats de sondages sur l’honnêteté 49% pour Juppé et 29% pour Sarkozy. Alain Juppé semble donc creuser l’écart dans les sondages avec Nicolas Sarkozy… En tout cas auprès de l’ensemble des Français. L’ancien Premier ministre, candidat à la primaire à droite en vue de la présidentielle 2017, est considéré par les Français comme beaucoup plus sympathique et moins clivant que son rival Nicolas Sarkozy, selon un sondage Ifop publiée dans Sud-Ouest Dimanche. Le maire de Bordeaux est jugé « sympathique » par 59% des Français, soit 20 points de plus que le score obtenu par Nicolas Sarkozy en réponse à la même question dans un sondage similaire mi-septembre, rappelle Ifop. La personnalité d’Alain Juppé est aussi perçue comme beaucoup moins clivante: ainsi 30% des sondés disent qu’il les « inquiète », et 23% qu’il les « met en colère ». Pour Nicolas Sarkozy, ces chiffres étaient respectivement 51% et 50%. Quant à l’image d’honnêteté, 48% des sondés estiment que l’expression « il est honnête » s’applique « bien » à Alain Juppé (contre 29% pour Nicolas Sarkozy le mois dernier). L’avance d’Alain Juppé, selon le sondeur, est aussi palpable dans des domaines où l’ancien président pourrait « structurellement être mieux placé »: ainsi pour 57% des personnes interrogées, Alain Juppé a « l’étoffe d’un président » (5 points de plus que M. Sarkozy), et 50% estiment qu’ »il veut vraiment changer les choses » (+5 également par rapport à l’ancien président).. En revanche, Nicolas Sarkozy surclasse toujours Alain Juppé en terme d’image auprès des sympathisants de droite, et surtout auprès de ceux de l’UMP: que ce soit sur « l’étoffe d’un président » (20 points de plus qu’Alain Juppé auprès des sympathisants UMP), la volonté de « vraiment changer les choses » (+19%) et sa compréhension « des problèmes des gens comme nous » (+17%). Alain Juppé va donc devoir mettre les bouchées doubles s’il souhaite passer le cap des primaires. Car ce sera bien au sympathisants de droite de désigner le candidat UMP à la présidentielle.

 

Sondage : Les efforts que les français acceptent

Sondage : Les efforts que les français acceptent

 

Si 83% des Français se disent plus pessimistes sur l’avenir de la situation économique, 41% d’entre eux sont prêts à faire des efforts important pour l’améliorer, selon un sondage Odoxa, réalisé pour BFM Business et Challenges, publié jeudi 9 octobre. Quelles efforts  seraient-ils prêts à faire personnellement ? Revue de détails. Parmi le total des sondés, 79% accepteraient que les allocations familiales soient modulées selon le revenu. Le président du groupe socialiste, Bruno Le Roux, a annoncé mercredi 8 octobre que les députés PS à l’Assemblée nationale envisageraient de proposer un amendement en faveur de cette mesure dans le projet de budget de la Sécurité sociale, mercredi 8 octobre. Pour 65% des Français sondés, des indemnités de chômage dégressives versées aux chômeurs seraient envisageable. En Europe, plusieurs pays ont mis en place une dégressivité des allocations: en Espagne, par exemple, avec une réduction du montant de l’allocation du salaire de référence de 60 à 50%, à partir du 7e mois de chômage. Conditionner les aides au logement étudiant aux revenus de leurs parents. Selon le sondage, 65% des interrogés seraient prêts à faire cet effort. Actuellement, comme pour le reste de la population, elles sont conditionnées notamment à un plafond de ressource et aux conditions liées au logement. Mais les Français ne sont pas prêts à tout accepter. Ainsi, 55% refusent l’idée d’« un recul de l’âge du départ à la retraite d’un an ». L’idée de baisser de 5 % les pensions de retraites versées aux retraités effraie également 92% des sondés. En outre, travailler plus sans gagner plus (« demander à tous les salariés de travailler deux heures de plus, en les payant au même salaire ») en rebute 67%. Pas touche à la santé non plus. Pour 73% des interrogés, il hors de question de « réduire de 5% le montant des remboursements des dépenses de la santé », et 78% refusent « l’institution d’une franchise de 100 euros par an sur le remboursement des dépenses de santé ».

 

Sondage Aubry : ferait mieux que François Hollande pour 56% ; pas trop difficile !

Aubry : ferait mieux que François Hollande pour 56% ; pas trop difficile !  

 

D’après un sondage martine Aubry ferait mieux que Hollande, il n’ya pas de quoi manifester beaucoup de surprise tellement Hollande est nul.  Selon ce sondage Odoxa du  Parisien, 56% des Français pensent que Martine Aubry ferait mieux que François Hollande si elle était aujourd’hui présidente de la République, contre 42% qui pensent le contraire.  D’ailleurs, les adjectifs qui s’appliquent le mieux à la maire de Lille, selon les sondés, sont dans l’ordre : « autoritaire » (76%), « sérieuse » (75%) et « courageuse » (69%). Mais d’autres qualificatifs font franchement pencher la balance dans un sens négatif comme « jouant trop perso », « sectaire », « démagogique » ou bien encore « arrogante. » C’est pourquoi 54% des Français ont une mauvaise opinion de Martine Aubry, contre seulement 45% qui en ont une bonne. Pas étonnant alors que seuls 43% des Français souhaitent qu’elle joue un avenir sur la scène politique nationale contre 57% qui s’y opposent.  Si le bilan de Martine Aubry à la mairie de Lille est presque unanimement reconnu (75% d’opinions favorables), son mandat à la tête du PS est plus controversé, avec 55%, seulement, de bonnes opinions. Enfin ,son passage au gouvernement Jospin, entre 1997 et 2000 divise presque équitablement les Français avec 50% de bonnes et 49% de mauvaises opinions. C’est à gauche que la maire de Lille fait le plein d’opinion favorables (79%). Ce qui fait d’elle la personnalité préférée des sympathisants de gauche au même rang que Najat Vallaud-Belkacem.  Et c’est sans surprise que 75% des sympathisants de gauche souhaitent qu’elles jouent un rôle plus important à l’avenir sur la scène politique française.  Quant à savoir si Martine Aubry est bel et bien la cheffe des frondeurs ou « la plus à même de porter leurs idées » à gauche, seuls 57% des sympathisants le souhaitent. 

 

Coûts du travail : la France toujours plus chère que l’Allemagne

Coûts du travail : la France toujours plus chère que l’Allemagne

Selon les statistiques officielles publiées hier à Berlin, au deuxième trimestre (entre avril et juin), ces coûts en Allemagne ont progressé à leur rythme le plus élevé depuis plus d’un an (+1,7%), alors qu’ils stagnent en France. A la longue, cette tendance va finir par rendre les produits allemands plus chers donc, rendre ceux des autres pays – dont la France – plus compétitifs. Chaque salarié allemand coûte aujourd’hui à son employeur, en moyenne, 33€20 de l’heure contre 35€60 en France.  Entre 2011 et 2013, l’augmentation du coût du travail a atteint 2,7% en Allemagne. Sur la même période en France, la hausse s’est limitée à 1,9%.Outre-Rhin, il y a eu le rattrapage sur les salaires, gagné de haute lutte par les syndicats, après au moins 10 ans de modération. Au passage, on voit là l’efficacité d’un vrai dialogue social. Et puis il faut préparer l’arrivée du salaire minimum au 1er janvier 2015. Cela pousse les charges à la hausse chez nos voisins allemands. Côté français, la stagnation du coût du travail tient en grande partie à la mise en place du CICE, le Crédit Impôt Compétitivité Emploi qui atteindra son rythme de croisière cette année… il faudra ajouter à cela les mesures prises dans le cadre du Pacte de responsabilité. De tous les pays de l’OCDE, la France est le seul où, depuis 15 ans, les salaires augmentent plus vite que la productivité. Aujourd’hui les marges des entreprises françaises sont plus faibles qu’après le choc pétrolier des années 70. Les entreprises ont moins d’argent dans les caisses, donc moins de capacités d’investissements. Dans ce contexte, augmenter les salaires fragiliserait l’édifice encore un peu plus.

Ukraine : pas sûr que l’OTAN agisse

Ukraine  : pas sûr que l’OTAN  agisse

 

 

 

 

Pas sûr que l’OTAN agisse même si  Moscou devrait être au centre des discussions qui se tiendront jeudi 4 septembre au sommet de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), à Newport au Royaume-Uni. En fait on a laissé déjà la Russie envahir la Crimée et les pays occidentaux se contenteraient bien d’une solution batarde pour arrêter un conflit qui nuit aux économies. Le business avant tout ! La preuve la France a décalé seulement de deux mois sa livraison de porte-hélicoptères à   la Russie, qui rigole évidemment ; le conflit avec la Russie pourrait couter  5 milliards pas an à l’Europe et nombre de pays (dont l’Allemagne) s’accommoderait bien d’un accord batard même s’il remettait  en cause la souveraineté de l’Ukraine. Quand aux américains… L’Ukraine c’est loin ! Et il faut de plus ré intervenir en Irak.  L’engagement de la Russie dans le conflit ukrainien est perçu comme une menace directe par certains Etats membres, dont les pays baltes, la Pologne, la Roumanie et la Bulgarie. Un plan de réactivité (Readiness action plan, RAP) est notamment à l’étude pour faciliter le déploiement en cas de crise de milliers de soldats des armées de l’air, de terre, et de la marine, appuyés par des forces spéciales. Une réponse à la fois stratégique et militaire des Alliés aux nombreuses crises qui déstabilisent ses environs immédiats, en Ukraine mais aussi au Moyen-Orient. Rien n’oblige l’OTAN à défendre l’Ukraine, qui n’est pas membre de l’Alliance, mais les Occidentaux ont promis de soutenir son armée par des programmes de modernisation dans les domaines de la logistique, de la cyberdéfense, du commandement et des soins aux soldats blessés. Aucune livraison d’armes n’est envisagée malgré les appels de Kiev en ce sens. D’après le New York Times, l’Alliance atlantique peut compter sur une force de 4 000 hommes capable de répondre en 48 heures aux mouvements de troupes russes. Dans une tribune commune publiée par le président américain Barack Obama et le premier ministre britannique David Cameron dans The Times, les deux dirigeants plaident pour la mise en place d’une présence « permanente » de l’OTAN en Europe de l’Est, soutenue par une force de réaction rapide qui pourrait « être déployée n’importe où dans le monde très rapidement »

 

 

« Hollande : pire que Sarkozy (Mélenchon)

« Hollande : pire que Sarkozy (Mélenchon)

C’est le jugement de Mélenchon qui n’a pas complètement tort. Hollande passé sans état d’âme en deux ans d’une  politique socialiste, à une version social démocrate puis purement libérale. François Hollande est « pire » que Nicolas Sarkozy. La vérité est d’ailleurs encore plus cruelle car en faiat Hollande n’a aucune autre politique que la conquête et le maintien au pouvoir (comme beaucoup d’autres responsables politiques y compris Sarkozy). La sentence vient d’un des plus grands contempteurs du gouvernement depuis plusieurs mois, Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche). L’ancien candidat à la présidentielle note que chez « monsieur Sarkozy, c’était la retraite à 62 ans, monsieur Hollande, c’est la retraite à 66 ans. Monsieur Sarkozy et monsieur Fillon ont donné 35 milliards (d’euros) au patronat en deux plans d’austérité. Quand on fait le total des concessions qu’a fait ce gouvernement, c’est 90 milliards », a-t-il développé. L’ancien candidat à la présidentielle qui a quitté la co-présidence du Parti de gauche vendredi a affirmé qu’il était hors de question qu’il se « rassemble » avec « des gens qui sont en train de ruiner le pays et d’étrangler ceux qui ne peuvent pas se défendre ». Il affirme également que l’exécutif en train de « ruiner » la France et « d’étrangler ceux qui ne peuvent pas se défendre ». Jean-Luc Mélenchon n’a pas été plus tendre avec les députés frondeurs du PS, qu’il accuse de manquer de courage. « Ils confondent l’Assemblée nationale avec le congrès du PS (…) Je leur dis: ‘Assumez! Pourquoi vous contentez-vous de couiner? Si vous n’êtes pas d’accord avec le budget votez contre’ », leur a-t-il intimé. Appelant de ses vœux un « grand mouvement populaire », il a affirmé qu’il œuvrerait à la construction d’un « collectif avec des gens qui ne travaillent pas ensemble », en faveur de la VIe République.  »C’est la règle du jeu qu’il faut changer. Il faut que les Français aillent au bout de leur dégoût, de leur rejet de la caste qui dirige », a estimé Jean-Luc Mélenchon. Il s’est notamment dit prêt à travailler avec les écologistes qui partagent son analyse. « Mme Duflot, elle a enlevé la muselière, je la félicite. Il lui a fallu deux ans de plus qu’à nous pour comprendre de quoi il retournait », a-t-il pointé. Jean-Luc Mélenchon doit prononcer dimanche matin le discours de clôture du « Remue-méninges », l’université d’été du PG.

 

L’Europe ne changera de politique que si l’Allemagne coule

L’Europe ne changera de politique que si l’Allemagne coule

Car c’est sans doute le plus grand paradoxe de l’Europe mais il faut que le moteur de L’Europe-l’ Allemagne-tombe en panne –pour enfin changer de stratégie économique en Europe ; tant que les choses vont bien , rien ne changera en matière de stratégie monétaire et budgétaire notamment ; L’Allemagne ne pense surtout qu’à elle-même et elle ne permettra une modification de la politique européenne que lorsqu’elle sera touchée. Ce pourrait être pour bientôt. Car comme le montre l’indice ZEW, le monde n’est pas en forme en ce moment. Or l’Allemagne compte surtout sur son commerce extérieur avec ce monde. Le parti communiste chinois est en train de revoir sa copie sur son modèle de croissance, la Russie n’est pas au mieux, le Brésil sombre…Quant aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, ils semblent avoir repris le rythme d’une croissance acceptable qui ne nécessiterait pas de nouveaux plans de relance nourris au stéroïdes. Au mois de juin, la production industrielle allemande s’est ainsi tassée de 4.3% par rapport au même mois de l’année dernière. Les exportations ne progressent plus depuis bientôt deux ans. La demande adressée à l’Allemagne de la part des pays émergents se tasse. Dans de telles conditions, aller chercher la croissance en dehors de ses frontières devient un exercice périlleux. Une situation qui devrait être regardée attentivement par l’ensemble des membres de la zone euro qui souhaitent calquer leur modèle sur une vision mercantiliste. Et pour pallier cette situation, pas la peine de compter sur la demande européenne. Celle-ci a été mise au piquet par la Banque centrale européenne. Ce que l’Europe est en train d’accomplir aujourd’hui correspond à une volonté d’appauvrissement de son marché intérieur afin d’essayer de gagner une plus grande part de croissance extérieure dont elle ne maîtrise rien. Elle lâche la proie pour l’ombre au prix d’un chômage record. Le risque est d’autant plus important pour la zone euro aujourd’hui que les chiffres de l’inflation sont faibles. Car tout choc extérieur propulserait alors la zone euro dans les bras de la déflation.

 

14 juillet, ce que Hollande va dire aux Français : rien !

14 juillet, ce que Hollande va dire aux Français : rien !

 

Hollande va s’exprimer ce 14 juillet dans une intreview traditionnelle. Que va-t-il dire ? Rien évidemment sinon des banalités mille fois entendues. D’abord que la gouvernement est très déterminé pour gagner la bataille de la croissance et de l’emploi ( les chiffres 2014 malheureusement prouvent le contraire), qu’il n’y a aucune contradiction entre lui et le gouvernement notamment bis à vis de  Valls et Montebourg. Que c’est désormais le temps de reformes rapides, qu’il fait i trancher. Il évoquera auusi son ambition de redynamiser l’Europe ou de faire la paix au Proche-Orient  (cause toujours !).  Il reparlera de la fausse réforme territoriale. Auusi de s réformes de société pour amuser la galerie.  Enfin de l’indépendance de la justice (tu parles !) pour se dédouaner des poursuites contre Sarko (lequel il fauta bien le dire s’est mis tout seul dans le pétrin). Bref, des propos très convenus qui ne parviennent  plus à convaincre témoin les derneirs sondages qui maintiennent Hollande au plus bas. Le chef de l’État, François Hollande, donnera donc une traditionnelle interview télévisée lundi 14 juillet. Le message sera simple et optimiste. L’interview devra être courte et limpide : pas plus de 30 minutes. François Hollande, qui parlera lundi 14 juillet à 13h15, veut une intervention courte en ce jour de fête nationale. Les proches du chef de l’État le décrivent offensif et optimiste. Offensif car le message doit être simple avant l’été : « Sur les réformes, on fonce malgré les blocages et les frondes« , résume un proche. Optimiste parce que même concernant le boycott de la conférence sociale par les syndicats, le président parvient à voir le verre à moitié plein. « Sans eux, c’était plus rapide et plus productif. Et puis ils reviendront bien un jour à la table des négociations », commente ainsi un proche. François Hollande prévoit deux années pour s’attaquer aux problèmes de la vie quotidienne des Français et pour ressouder la gauche. Des textes sur le vieillissement, la fin de vie, l’énergie et l’apprentissage sont attendus d’ici 2016. Le chef de l’État s’attend également à une question sur Nicolas Sarkozy, mis en examen. Il répondra « sur les principes, dit-on, sans jamais entrer dans la polémique ».

 

Sondage : Sarkozy moins bien que Hollande !! C’est pas possible !

Sondage : Sarkozy moins bien que Hollande !! ‘C’est pas possible !

 

Ce n’est pourtant pas facile mais Sarkozy ferait moins bien que Hollande s’il était président. pour 50% des Français Autant dire alors qu’on serait alors  proche de la nullité totale. Mais  45% pense nt au contraire qu’il ferait « plutôt mieux », selon un sondage BVA publié ce dimanche dans Le Parisien- . En fait ce sondage traduit surtout le discrédit des responsables politiques ; Il donne auusi une image correcte  de Hollande globalement sympathique mais incompétent. Selon ce baromètre, seuls 24% des personnes interrogées ont une bonne opinion de François Hollande (contre 76% en ayant une mauvaise) et 22% trouvent qu’il est un bon président (contre 77%). A la veille de sa troisième interview du 14 juillet, le chef de l’Etat reste « un homme sympathique » pour 51% des Français et 42% le jugent « proche des gens » et « ayant des convictions profondes ». Mais ils ne sont que 31% à le trouver « courageux » et 26% « compétent », 22% à juger qu’il « dit la vérité aux Français », 20% à penser qu’il « sait où il va » et 19% qu’il est « capable de prendre les décisions qui s’imposent ». Seuls 12% jugent qu’il est « solide » et « ayant de l’autorité », 11% le trouvent « dynamique » et 9% « charismatique ». Deux Français sur trois (66%) considèrent que François Hollande ne va pas assez loin dans les réformes (contre 19%) et 71% (contre 26%) pensent qu’à la fin de son mandat en 2017, la situation de la France sera encore moins bonne qu’aujourd’hui. Pour autant, les Français pensent que la plupart des personnalités politiques, de droite comme de gauche, feraient « plutôt moins bien » que lui si elles étaient actuellement à l’Elysée à sa place. C’est le cas notamment de son prédécesseur Nicolas Sarkozy (50% contre 45% qui jugent qu’il ferait « plutôt mieux »), de François Bayrou (50% contre 44%), de François Fillon (53% contre 42%), de Martine Aubry (60% contre 33%), de Marine Le Pen (65% contre 30%), de Ségolène Royal (65% contre 28%), d’Arnaud Montebourg (71% contre 22%) et de Jean-Luc Mélenchon (76% contre 18%). Seuls Manuel Valls et Alain Juppé feraient « plutôt mieux » (respectivement 56% et 55%) que François Hollande, selon les personnes interrogées. Ce sondage a été réalisé par téléphone et internet les 10 et 11 juillet auprès d’un échantillon de 1.050 personnes représentatif de la population de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

Telecom Orange : L’Espagne plutôt que Bouygues Telecom

Telecom Orange : L’Espagne plutôt que Bouygues Telecom

Montebourg est sans doute intervenu pout faire changer Orange d’avis. Du coup, c’est mollement que le PDG d’Orange se dit à nouveau éventuellement intéressé par Bouygues. Orange pourrait finalement jouer un rôle dans la consolidation du marché français des télécoms. Trois jours après avoir annoncé renoncer à racheter Bouygues Telecom, l’acteur le plus affaibli après l’accord de rachat de SFR par Numericable, l’opérateur a fait savoir que sa décision n’était pas définitive. « Est-ce qu’on peut revenir dans le jeu ? Oui, bien sûr, mais pas comme architecte, pas comme arrangeur », a  ainsi déclaré Stéphane Richard, samedi 5 juillet. « D’un point de vue concurrentiel, nous ne prendrons pas le risque de repartir sur ce dossier. Mais si quelqu’un d’autre décide de le faire et nous sollicite (…) pour, peut-être, permettre d’élaborer une offre qui peut satisfaire Bouygues, bien sûr qu’on regardera », a-t-il expliqué.  En outre, Orange s’intéresserait en premier lieu à l’Espagne pour d’éventuelles opérations de croissance externe, selon Stéphane Richard. « On a des sujets importants en Espagne, peut-être en Belgique, peut-être en Pologne, ça peut être le cas en Roumanie. (…) Ça fait beaucoup de théâtres d’opérations mais s’il ne fallait en mentionner qu’un seul, pour nous, ce serait l’Espagne », a-t-il ainsi affirmé, en marge des rencontres économiques d’Aix-en-Provence. Troisième opérateur de télécommunications d’Espagne, Orange fait régulièrement l’objet de rumeurs d’intérêt pour un éventuel rachat de son concurrent local Jazztel.

 

Que retenir de l’allocution de Hollande ? Rien

Que retenir de l’allocution de Hollande ? Rien

Rien,  vraiment rien à retenir de cette intervention télévisée de Hollande qui a rappelé que « six Français sur dix ne se sont pas déplacés » et qu »un électeur sur quatre a voté pour l’extrême-droite ». « C’est en France, pays fondateur de l’Union Européenne, Patrie des droits de l’homme, pays des libertés que l’extrême droite arrive aussi largement en tête. » Pour lui, les européennes ont   »livré leur vérité, elle est douloureuse ». « Ce vote est là et il doit être regardé en face, je le fais », a-t-il encore avancé. Le scrutin « traduit une peur du déclin de la France, de la mondialisation et ce sentiment exprimé tant de fois, d’abandon face à la dureté de la vie. » « Ce vote, c’est une défiance à l’égard de l’Europe, qui inquiète plus qu’elle ne protège », a encore estimé le Président. Il souhaite donc toujours « réorienter l’Europe ». Alors il propose des changements : « Pas plus tard que demain, au Conseil européen, je réaffirmerai que la priorité c’est la croissance, c’est l’emploi, c’est l’investissement. L’Europe, elle est devenue illisible, j’en suis conscient, lointaine et pour tout dire incompréhensible, même pour les Etats. Cela ne peut plus durer. L’Europe, elle doit être simple, claire, pour être efficace là où elle est attendue, et se retirer là où elle n’est pas nécessaire. » Et il a reconnu que l’Union « doit protéger ses frontières, ses intérêts, ses valeurs, sa culture. » Pacte de responsabilité, justice sociale, simplification, réforme territoriale, etc. Rien ne bouge. « Cette ligne de conduite, elle ne peut pas dévier en fonction des circonstances, il y faut de la constance, de la ténacité, du courage. Mais aussi de la rapidité dans la mise en œuvre. Parce que les Français ne peuvent pas attendre », a-t-il avancé, rappelant que la réforme territoriale sera « présentée la semaine prochaine ». Un détail toutefois, il ne dispose pas des 3/5 ème du parlement pour la faire voter et il ne veut surtout pas de referendum.

Montebourg découvre que les banques ne prêtent plus aux PME

Montebourg découvre que les banques ne prêtent plus aux PME

 

Il y a déjà plusieurs années que les banques ne font plus leur métier se contentant d’une part de récolter les dépôts , d’ autre part spéculer sur les marchés financiers. Les grandes entreprises, elles, s’adressent directement aux marchés sans passer par es banques quant aux PME, elles souffrent surtout de difficultés de trésorerie ; d’autant que la période de crise accentue les délais de paiement. Du coup Montebourg découvre la lune et il a appelé lundi les banques françaises à favoriser l’accès au crédit des petites et moyennes entreprises, en souhaitant que cette activité soit prise en compte pour fixer les rémunérations des dirigeants du secteur. A l’issue d’une réunion avec le comité exécutif de la Fédération bancaire française (FBF), le ministre « a demandé qu’un travail soit conduit entre ses services et la FBF pour aboutir à un engagement des établissements bancaires pour l’accès au crédit des PME et TPE et en particulier au crédit de trésorerie », explique un communiqué du ministère. Parmi les dirigeants reçus à Bercy lundi figuraient le directeur général de BNP Paribas, Jean-Laurent Bonnafé, le président du directoire du groupe BPCE, François Pérol, et Rémy Weber, président du directoire de la Banque postale. Arnaud Montebourg « a rappelé à ses interlocuteurs l’insatisfaction exprimée par de nombreuses entreprises qui témoignent d’un accès beaucoup trop difficile au crédit », dit le communiqué, en citant une enquête de la Banque de France selon laquelle seules 60% environ des très petites entreprises ayant sollicité un crédit bancaire au premier trimestre l’ont obtenu. Le ministre « a enfin souhaité que les objectifs de développement du crédit aux PME ou TPE tiennent une place importante dans les plans stratégiques reflétant l’activité des banques, qui eux-mêmes déterminent les rémunérations variables des dirigeants d’établissements bancaires ». Le mois dernier, Arnaud Montebourg avait annoncé vouloir demander des explications aux dirigeants des banques sur l’augmentation de leurs rémunérations dans un contexte de crédit difficile pour les PME, évoquant des hausses « indécentes ».

Au lycée, « ce que soulève la jupe » : une opération douteuse

Au lycée, « ce que soulève la jupe » : une opération douteuse  

Lutter contre le sexisme est indispensable mais reste la forme et pas sûr que l’opération  «  ce que soulève la jupe » lancée dans l’académie de Nantes soit très pertinente et très heureuse. Les groupes locaux de Loire-Atlantique liés au mouvement anti-mariage pour tous dénoncent une opération, « Ce que soulève la jupe », lancée par l’académie de Nantes. Vendredi, les garçons de certains lycées sont invités entre autres à se rendre en jupe dans leur établissement, pour lutter contre le sexisme. La polémique, lancée par des mouvements qui dénoncent la supposée « théorie du genre », a atteint le gouvernement, qui dénonce une fausse information. La polémique s’est propagée en un rien de temps ce mercredi sur les réseaux sociaux. A l’origine, cette journée présentée par l’académie de Nantes : « Ce que soulève la jupe ». Vendredi, le conseil académique de la vie lycéenne, qui a lancé l’opération, propose d’ »inviter filles et garçons, élèves et adultes, le temps d’une journée événement, à porter une jupe ou un autocollant ‘je lutte contre le sexisme‘ ». Le communiqué est publié sur le site de l’académie. Le but ? Échanger sur les discriminations sexistes le temps d’une journée. Seuls 27 des 220 lycées de l’académie proposent cette opération. Mais, très vite, les mouvements proches de la Manif pour tous y ont vu un exemple caractérisé de ce qu’ils nomment la « théorie du genre ».

Europe : « Nous n’avons plus que des mous » (J.M Cavana)

Europe : « Nous n’avons plus que des mous » (J.M Cavana)

Le centriste Jean marie Cavana  plaide pour un « gouvernement politique » de la zone euro. ( intreview JDD)

Quel mot caractérise le mieux, selon vous, l’Union européenne d’aujourd’hui?
Adolescente. L’UE est un bateau entre deux rives. Il faut terminer le travail qui a été commencé car nous avons besoin de plus d’Europe. Cela passe par moins de présence dans les détails mais plus dans les fonctions régaliennes : diplomatie, défense, énergie, immigration, économie et fiscalité. C’est devenu aujourd’hui une brimade : « L’Europe s’occupe de tout, mais pas de l’essentiel. » Pourquoi? Parce qu’il n’y a pas d’organisation politique puissante. Il faut donc clarifier. C’est comme cela que nous entrerons dans l’âge adulte.

L’Europe à 6, 12, 18, 25 ou 28. Laquelle préférez-vous?
Ce qui est fait ne peut être défait facilement. La question est plutôt : y a-t-il plusieurs niveaux possibles dans l’Europe? La réponse est oui. Il y a la zone euro à 18 Etats qui doit avoir un gouvernement politique, et le reste doit se faire à la carte. Il faut que cette zone euro soit une base, c’est-à-dire un ensemble homogène. Si on est dedans, il faut accepter tous les traités. Au-delà, chacun fait selon ses moyens, son développement, sa société civile…

Qui incarne l’Europe, pour vous?
Incontestablement, c’est encore Jacques Delors. Il a une vision : aller le plus loin possible dans l’intégration politique de la zone euro. C’est l’homme que j’ai le plus respecté, avec Giscard d’Estaing et Schmidt qui ont été des inspirateurs de l’Europe. Tous trois ont pris le relais des pères fondateurs. Depuis, nous n’avons plus que des Européens mous.

 

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