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Présidentielle 2017 : Aurélie Filippetti « veut des primaires », il n’ y aura que ça !

Présidentielle 2017 : Aurélie Filippetti « veut  des primaires », il n y aura que ça !

 

 

Aurélie  Filippetti, une des rares responsables socialistes qui ait un peu de culture (elle est agrégée de lettres) veut des primaires en 2017 ; de ce point de vue elle sera  servie car entre Hollande, Valls, Hamon ou encore Sapin, c’est le concours des bonnets d’âne sur le plan culturel. Certains objecteront avec raison que ce n’est pas la spécificité des socialistes que cela vaut pour la droite et l’extrême droite. Sans doute pas un motif suffisant pour que le système oligarchique ne fasse émerger que des primates y compris à la présidence de la république. Sarkozy, Hollande, Valls et même Marine Lepen, de purs produits du système d’une nullité  culturelle affligeante et qui plus est bien loin des réalités économiques et sociales. Un double handicap en quelque  sorte.   Selon l’ancienne ministre, Aurélie Phipetti, le Parti socialiste ne pourra renouer avec le succès qu’en étant « novateur » et en proposant « un projet pour le pays ». Un projet qui passerait d’abord par le choix d’un candidat pour la prochaine présidentielle. « Je suis favorable à des primaires », rappelle la députée, qui ne semble pas voir François Hollande en candidat idéal à sa succession. Tu m’étonnes !

Hôpitaux publics : plus chers que les cliniques

Hôpitaux publics : plus chers que les cliniques

Selon une enquête publiée ce 16 janvier par 60 millions de consommateurs, les médecins libéraux (en secteur 2) qui opèrent en hôpital public (2000 médecins) peuvent facturer une intervention jusqu’à 4 fois plus cher que leurs confrères en clinique.  C’est notamment le cas pour l’ablation de la prostate. Alors que le tarif de base de la sécu est de 777,20 euros, les chirurgiens des hôpitaux publics facturent en moyenne 1.028 euros de plus lorsqu’ils opèrent des patients dans le cadre de leur activité libérale. Or dans une clinique, le dépassement moyen s’élève à 252 euros.  Même pour un acte aussi fréquent que l’opération de la cataracte, la moyenne atteint 561,70 euros pour les hôpitaux publics, soit 290 euros de plus que le tarif de base servant au calcul du remboursement de la sécurité sociale. Or dans le privé, le dépassement moyen se limite à 212 euros.   »Ces chiffres ne constituent que des moyennes. Les montants facturés aux patients peuvent atteindre des sommes bien plus élevées » prévient 66millions d’impatients. Dans certains cas, le dépassement d’honoraire peut atteindre 10 fois le plafond fixé par la sécurité sociale. Au total, les praticiens hospitaliers ont facturé 68,7 millions d’euros de dépassements d’honoraires dans le cadre de leur activité libérale en 2013, en légèrement augmentation par rapport à l’année passée. En moyenne, un praticien hospitalier en secteur 2, s’offre ainsi un complément de revenus de 33.000 euros par an. Mais l’on note de grandes disparités en fonction des disciplines. Les ophtalmologues sont les champions, puisque leur activité libérale leur a permis d’augmenter leurs revenus de 54.872 euros. Au bout du classement viennent les gastro-entérologues, avec seulement 15.217 euros perçus en dépassements d’honoraires.  Des chiffres qui montrent que les tentatives de régulations pour lutter contre les abus, menées par la Caisse d’assurance maladie et les commissions d’activité libérale installées aux seins des hôpitaux, n’ont pas pleinement réussi leur mission. « Aucune réponse n’a été apportée par les pouvoirs publics à ces pratiques » a réagit Christian Saout, secrétaire général du collectif représentant les associations de patines (CISS), dans le Parisien. Et de regretter que la solution la plus simple pour mettre fin à cette surenchère des tarifs, qui consiste à faire payer les patients à la caisse de l’hôpital, ne soit toujours pas appliquée.

(1) L’étude prend en compte les chiffres obtenus auprès de la Caisse nationale d’Assurance maladie, couplées à celles disponibles sur le site de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH)

Retour de Ségolène : un peu plus apprécié que celui de Sarkozy

Retour de Ségolène : un peu  plus apprécié que celui de Sarkozy

 

 

 

 

L’actu politique n’est pas le sujet le pus apprécié par les Français qui placent très au dessus les informations scientifiques ou de société. Pour les intéresser il faudrait de vrais changements sur le chômage d’abord et les impôts ensuite. Le retour de Sarkozy (au demeurant assez raté) ne retient guère l’attention et même moins que celui d Ségolène qui n’a pourtant pas faiat non plus de miracles.  Dans un sondage IFOP pour Paris Match, les Français classent les « bonnes nouvelles » de leur année 2014. Très loin derrière la première implantation d’un cœur artificiel et la libération des otages, les « come-back » politiques n’ont pas enthousiasmé. Mais la nomination de Ségolène Royal au gouvernement s’en sort mieux que l’élection de Nicolas Sarkozy à la tête de l’UMP.  L’actualité politique n’a pas vraiment réjoui les Français. C’est l’un des enseignements d’un sondage réalisé par l’IFOP et à paraître mercredi dans Paris Match. L’hebdomadaire a demandé aux Français quelles ont été les meilleures nouvelles de l’année 2014. Les propositions politiques arrivent tout à la fin d’un classement dominé par « les avancées de la médecine avec la première implantation d’un cœur humain artificiel » (choisies par 95% des sondés) et la libération des otages français (93%). Sur les 13 propositions, les retours de Ségolène Royal et de Nicolas Sarkozy sur le devant de la scène politique arrivent derniers. Mais la nomination au gouvernement de l’ex-candidate à la présidentielle est légèrement préférée à l’annonce de candidature puis l’élection de l’ex-Président à la tête de l’UMP (31% contre 28%) A noter que les Français espèrent tout de même beaucoup de la politique actuelle. Interrogés sur leurs espoirs pour l’année 2015, ils répondent en premier l’inversion de la courbe du chômage (37%) puis la baisse des impôts (24%). C’est sur ces deux aspects que François Hollande est attendu au tournant.

 

 

Baisse prix du pétrole : l’Arabie saoudite souffre mais pas autant que les autres !

Baisse prix du  pétrole : l’Arabie saoudite souffre mais pas autant que les autres !

Comme tous les pays producteurs l’Arabie saoudite souffre de la  baisse des prix à tel point que le  budget de l’Etat pour 2015 prévoit un déficit de 38,6 milliards de dollars. En fait c’est surtout l’Arabie saoudite qui es t à l’origine de cette baisse en maintenant une offre supérieure à la demande. L’objectif est d’asphyxier financièrement  d’autres pays producteurs (notamment les compagnies américaines) pour lesquels le seuil de rentabilité est autour de 70 dollars. L’Arabie saoudite voit ses revenus diminuer mais c’est catastrophique pour certains pays comme la Russie ; l’Algérie ou encore le Venezuela. L’objectif c’est d’étouffer les investissements des pays producteurs concurrents de l’Arabie saoudite pour à terme faire remonter les prix sur une matière première qui s’épuise ; Du coup l’Arabie saoudite présente un budget déséquilibré (qui sera cependant compensé par de nombreuses réserves en devise accumulées depuis des annales).  Le Conseil des ministres a adopté un budget prévoyant des dépenses de 860 milliards de riyals (229,3 milliards de dollars) et des revenus de 715 milliards de riyals (190,7 milliards USD), selon un communiqué lu à la télévision d’Etat.  Les dépenses sont ainsi en légère hausse par rapport aux 855 milliards de riyals prévus dans le budget de cette année mais les revenus sont en baisse de 140 milliards de riyals (37,3 milliards de dollars) par rapport aux prévisions de 2014.  Il s’agit du premier déficit budgétaire du royaume depuis 2011, et le plus important jamais prévu par ce chef de file de l’Opep. Depuis 2003, date à laquelle l’Arabie saoudite a commencé à annoncer des budgets excédentaires après des décennies dans le rouge, le royaume avait en effet accusé un déficit réel de 23,1 milliards de dollars en 2009 après une chute des cours du brut consécutive à la crise financière mondiale de 2008. Avec l’actuel effondrement des prix du brut, dont l’Arabie saoudite tire jusqu’à 90% de ses revenus, les cours ont perdu environ la moitié de leur valeur depuis la mi-juin sur fond d’une surabondance de l’offre, d’un ralentissement de la demande mondiale sur le pétrole et d’un dollar fort.

2015- Sondage économie: pire que 2014

 

2015- Sondage économie: pire que 2014

 

Comme dit Valls :  le chômage peut s’améliorer si la croissance repart (déclaration après la publication des chiffres catastrophique de novembre +0.8%) et 6% sur un an. Ce que pensent aussi les Français mais qui n’y croient pas. Hormis les sympathisants socialistes (au fait ils sont combien ? 15% ?) qui vivent sans doute dans le virtuel, les  Français pensent à  juste titre que la situation économique va encore se dégrader en 2015.Les Français  estiment que la situation économique française sera moins bonne à la fin de l’année 2015. Près des deux tiers des Français pensent que la situation économique de l’Hexagone sera moins bonne à la fin de l’année prochaine et à la fin du mandat de François Hollande qu’actuellement, selon un sondage BVA-Orange. Ils sont ainsi 68% à penser que la situation économique française sera moins bonne à la fin de l’année 2015, alors que 30% pensent qu’elle sera meilleure. Les sympathisants socialistes sont les plus optimistes, avec 77% d’opinions positives. En revanche, 68% des sympathisants des partis situés à gauche du PS pensent qu’elle sera moins bonne fin 2015 qu’actuellement. Les sympathisants de la droite sont les plus pessimistes: 89% des partisans de l’UMP pensent que l’économie va se dégrader d’ici un an et 98% des proches du Front national. Par catégorie socioprofessionnelle, les couches les plus défavorisées sont les plus pessimistes, avec 81% d’opinions négatives contre 66% pour les catégories les plus favorisées. Malgré les promesses faites par François Hollande, 64% des Français pensent que l’état de l’économie sera moins bon à l’issue de son mandat en mai 2017, contre 31% qui pensent qu’il sera meilleur. Là encore les sympathisants socialistes sont 76% à penser qu’elle sera meilleure, alors que 58% des partisans des partis à gauche du PS pensent qu’elle sera moins bonne. A droite, 89% des sympathisants de l’UMP et 92% de ceux du Front national pensent aussi qu’elle sera moins bonne.   »Échaudés par les nombreuses promesses d’améliorations économiques non tenues, les Français n’y croient plus », commente Eric Bonnet, directeur des études politiques à BVA Opinion. « Seule une baisse visible et durable du taux de chômage pourrait sans doute changer leur vision sombre de l’avenir. Mais pour le moment, rien ne semble encore l’annoncer ».

 

Sondage économie : 2015 pire que 2014

Sondage économie : 2015 pire que 2014

 

Hormis les sympathisants socialistes (au fait ils sont combien ? 15% ?) qui vivent sans doute dans le virtuel, les  Français pensent à  juste titre que la situation économique va encore se dégrader en 2015. estiment que la situation économique française sera moins bonne à la fin de l’année 2015. Près des deux tiers des Français pensent que la situation économique de l’Hexagone sera moins bonne à la fin de l’année prochaine et à la fin du mandat de François Hollande qu’actuellement, selon un sondage BVA-Orange. Ils sont ainsi 68% à penser que la situation économique française sera moins bonne à la fin de l’année 2015, alors que 30% pensent qu’elle sera meilleure. Les sympathisants socialistes sont les plus optimistes, avec 77% d’opinions positives. En revanche, 68% des sympathisants des partis situés à gauche du PS pensent qu’elle sera moins bonne fin 2015 qu’actuellement. Les sympathisants de la droite sont les plus pessimistes: 89% des partisans de l’UMP pensent que l’économie va se dégrader d’ici un an et 98% des proches du Front national. Par catégorie socio-professionnelle, les couches les plus défavorisées sont les plus pessimistes, avec 81% d’opinions négatives contre 66% pour les catégories les plus favorisées. Malgré les promesses faites par François Hollande, 64% des Français pensent que l’état de l’économie sera moins bon à l’issue de son mandat en mai 2017, contre 31% qui pensent qu’il sera meilleur. Là encore les sympathisants socialistes sont 76% à penser qu’elle sera meilleure, alors que 58% des partisans des partis à gauche du PS pensent qu’elle sera moins bonne. A droite, 89% des sympathisants de l’UMP et 92% de ceux du Front national pensent aussi qu’elle sera moins bonne.   »Échaudés par les nombreuses promesses d’améliorations économiques non tenues, les Français n’y croient plus », commente Eric Bonnet, directeur des études politiques à BVA Opinion. « Seule une baisse visible et durable du taux de chômage pourrait sans doute changer leur vision sombre de l’avenir. Mais pour le moment, rien ne semble encore l’annoncer ».

 

GDF Suez : le PDG ne touchera « que » 3.5 millions

GDF Suez : le PDG ne touchera « que » 3.5 millions

C’est la crise et le PDG de DDF a vu sa rémunération diminuer de 43% depuis 2011. Il ne touchera donc que 3.5 millions. Une information de la direction de GDF qui justifie ainsi salaires et primes de son PDG. Par ailleurs très critiqué à propos de sa retraite future de plus de 800 000 euros.  On comprend mieux les augmentations du gaz !  Décidée lors du Conseil d’administration du 10 décembre 2014, celle-ci prévoit, au titre de 2015, un salaire fixe de 1,4 million d’euros et une part variable de 476.000 euros. S’y ajoutent des « stock options » valorisées 1,68 millions d’euros, qui ne seront éventuellement acquises qu’en mars 2018, sous conditions de performances. Le communiqué précise que Gérard Mestrallet a décidé de renoncer à 1,344 euros prévus par le conseil dans sa part variable. Sur les 4,9 millions d’euros décidés mercredi par le conseil, révélés par la « Lettre de l’Expansion », le PDG ne touchera donc au maximum « que » 3,5 millions d’euros.  A 1,4 million d’euros, le salaire fixe du PDG est inchangé depuis plusieurs années. La part variable, fixée à 1,820 millions d’euros par le conseil, a de son côté augmenté puisqu’elle s’élevait à 1,630 million au titre de 2013, selon le rapport annuel du groupe. Le PDG renoncera toutefois à une part bien plus élevée de cette part variable l’an prochain. En 2013, il s’était privé de 50 % de son bonus pour ne toucher au maximum « que » 815.000 euros, « compte tenu de la situation difficile du secteur de l’Energie en Europe et des impacts sur le groupe (y compris les efforts demandés au personnel) », peut-on lire dans le rapport annuel. « Le groupe rappelle que, depuis 2010, la rémunération de Gérard Mestrallet (fixe et bonus) a été réduite de 43,4 %», insiste GDF Suez dans son communiqué.  Enfin, même s’il reste hypothétique, le montant des « stock options » a de son côté fortement augmenté, puisque les 150.000 « unités de performances » attribuées au PDG sont valorisées 1,68 million d’euros, contre 630.000 euros en 2013.

Henri Guaino : « que Merkel s’occupe de ses affaires »

Henri Guaino : «  que Merkel s’occupe de ses affaires »

Comme Mélenchon mais dans un style plus diplomatique. Henri Guaino   député UMP des Yvelines, a invité Merkel à s’occuper de ses affaires et non de celles de a France. Derrière ces déclarations il n’y a pas seulement des postures mais des oppositions frontales entre l’Allemagne et la France. L’Allemagne opposée à tout rachat d’obligations souveraines de la part de la BCE ( d’où l’attentisme de la BCE) , opposée aussi à un plan de relance de grande envergure ( d’où le mini plan d’investissement de Juncker qui repose en fait sur le privé), opposée enfin à la baisse de l’euro. invité de France Info ce mardi matin, a soutenu l’eurodéputé du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, qui avait ordonné à la chancelière allemande Angela Merkel de «la fermer» après ses critiques adressées à la France. «Il a dit tout haut ce que sans doute beaucoup de gens pensent tout bas. Moi je n’emploierais pas ces mots, je dirais simplement que chacun s’occupe de ses affaires», a commenté Henri Guaino. Et de renchérir: «La critique du gouvernement français, c’est l’affaire de l’opposition, des Français. Ce n’est pas l’affaire des Allemands, ni celle de la Commission européenne.» La chancelière allemande a estimé dans une interview parue dimanche dans le quotidien conservateur Die Welt que les réformes engagées en France et en Italie étaient «insuffisantes». Jean-Luc Mélenchon, dans un tweet a violemment réagi contre ces déclarations. «Ferme ta gueule Madame Merkel», a adressé le co-président du Parti de gauche. De son côté, le Premier ministre français, Manuel Valls, a ironisé, sur le timing des déclarations d’Angela Merkel qui doit tenir ce mardi et mercredi un congrès de son parti au cours duquel elle doit être confirmé par ses familles politiques. «Je crois qu’il y a dans quelques jours un congrès en Allemagne. Il y a peut-être un lien entre telle ou telle déclaration», a déclaré Manuel Valls.

Réponse à Mélenchon : « Merkel plus fort que Napoléon » (Schäuble)

Réponse à Mélenchon : « Merkel plus fort que Napoléon » (Schäuble)

 

Si la presse allemande a répondu presque aussi vertement à Mélenchon qui demandait à Merkel  « de la fermer » à propos de la France, le  gouvernement allemand , lui a plutôt employé la manière  diplomatique avec humour. Témoin cette déclaration de Schäuble, le ministre des finances  « Merkel est plus fort que Napoléon », allusion à Sarkozy souvent représenté en empereur en Allemagne et qui a essuyé un refus pour sa rencontre avec Merkel. Un des plus ardents défenseurs de Merkel, le ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble, a donc  loué le style de gouvernement de la Chancelière, moins spectaculaire mais « bien plus efficace que Napoléon », a-t-il déclaré dans la Süddeutsche Zeitung. Pourquoi cette référence historique et visait-il quelqu’un dans le contexte actuel ? Nicolas Sarkozy, souvent croqué en Napoléon par les caricaturistes et dont le style est l’anti-modèle de la Chancelière ? Nul ne le sait. En tout cas, le nouvel homme fort de l’UMP, qui espérait pouvoir s’afficher à côté de Mme Merkel lors du congrès de la CDU et y prononcer un discours, a été prié ces derniers jours par Berlin de rester à la maison.

Pollution à Paris : aussi nocive que la cigarette

Pollution à Paris : aussi nocive  que la cigarette

Paris accumule les pics de pollution, des pics de pollution mortels puisqu’aussi dangereux que la cigarette. Principal responsable : la circulation automobile. Paradoxe cette hyper concentration urbaine n’empêche pas d’envisager une ville encore plus concentrée : le Grand Paris. La folie conjointe des urbanistes et des politiques. Aussi des économistes qui louent la « croissance endogène » des zones très agglomérées (en clair les zones idéales pour le businesse où il faut payer pour tout !). Dans Paris en plein pic de pollution est aussi néfaste que de se trouver dans une pièce de 20m² où huit cigarettes seraient allumées en même temps. Voilà l’image, éloquente, choisie par des chercheurs du CNRS pour illustrer la gravité de la situation dans une étude publiée ce lundi. Ils en concluent donc que le niveau de pollution de l’air parisien est comparable à du tabagisme passif.  Principal danger de cette forte pollution: les particules fines, qui ont atteint des taux nettement plus élevés qu’en temps normal à Paris. Jusqu’à 30 fois plus, précisément, le 13 décembre 2013, selon les données récoltées grâce au ballon de Paris pendant dix-huit mois, au-dessus du parc André-Citroën.   « Les grosses particules s’arrêtent dans la gorge et le nez. Les petites vont jusqu’aux poumons et les alvéoles. Les plus petites vont dans le sang et peuvent alors provoquer des maladies cardio-vasculaires », a expliqué sur RTL Jérôme Giacomoni, le créateur du ballon Générali utilisé pour cette étude.  « La pollution de l’air représente un risque environnemental majeur pour la santé, estime l’OMS. En diminuant les niveaux de pollution atmosphérique, les pays peuvent réduire la charge de morbidité imputable aux accidents vasculaires cérébraux, aux cardiopathies, au cancer du poumon et aux affections respiratoires, chroniques ou aiguës, y compris l’asthme. »  « En 2012, on estimait à 3,7 millions le nombre de décès prématurés provoqués dans le monde par la pollution ambiante (de l’air extérieur) dans les zones urbaines et rurales », explique par ailleurs l’organisme sur son site.

Sondage: Qui ferait mieux que Hollande : surtout Juppé, ensuite loin Valls et Sarkozy

Sondage:  Qui ferait mieux que Hollande : surtout Juppé, ensuite loin Valls et Sarkozy

 

Un curieux sondage CSA pour BFM sur « qui ferait mieux que Hollande » car en vérité la réponse est :  presque n’importe qui ! Mais c’est  Alain Juppé, candidat à la primaire à droite en vue de la présidentielle 2017, qui recueille 50% de réponses positives. Il est le seul à rassembler une majorité de Français derrière lui. De justesse, puisque 49% des sondés estiment qu’il ne ferait pas un meilleur Président que François Hollande. Le maire de Bordeaux arrive en tête grâce à une crédibilité ancrée dans toutes les familles politiques, explique BFMTV. Il est ainsi très favorablement jugé par les sympathisants de l’UMP (79%), Alain Juppé recueille également 44% d’avis favorables chez ceux du PS, tandis que 29% des sympathisants FN lui accordent du crédit. Lui succèdent l’actuel Premier ministre Manuel Valls (39%) et l’ancien président Nicolas Sarkozy (38%). Manuel Valls rassemble lui aussi au-delà de son propre camp, assure BFMTV : les sondés sont 53% des sympathisants PS et 45% des soutiens de l’UMP à estimer qu’il ferait, aujourd’hui, un meilleur Président que François Hollande. Nicolas Sarkozy surclasse lui toujours Alain Juppé auprès des sympathisants de l’UMP, qui sont 91% d’entre eux à penser qu’il ferait mieux que François Hollande (contre 79% pour Alain Juppé). Mais à l’opposé, les sympathisants PS lui opposent un « non » massif, 94% pensant qu’il ne ferait pas un meilleur président que François Hollande.  Au pied du podium, arrive Marine Le Pen, quatrième du classement, avec 32% de « oui ». Mais la présidente du Front national ne convainc que dans son camp : 98% des sympathisants FN pensent qu’elle ferait une meilleure Présidente que François Hollande, contre seulement 6% de ceux du PS, et un tiers de ceux de l’UMP (32%), précise BFM. Puis la maire de Lille, Martine Aubry (30%), et l’ancien ministre de l’Economie (19%).

 

Etat islamique : que faire contre les bourreaux français ?

Etat islamique : que faire contre les bourreaux français ?

 

 

Que faire contre les bourreaux français et d’une manière générale tous les djihadistes français ? De loin la nationalité étrangère la plus représentée. De fait l’arsenal de l’Etat est complètement impuissant. Pire les bourreaux s’affichent ; un deuxième Français apparait sur la dernière vidéo du groupe Etat islamique parmi les djihadistes qui ont décapité 18 soldats syriens. Celui-ci est « en voie » d’être identifié, a précisé le chef de l’Etat.   L’Etat est en faiat complètement désarmé, il ne sait pas les candidats djihadistes de partir et il ne sait pas quoi en faire en cas de retour, sauf à les mettre en prison qui justement est depuis longtemps est un lieu privilégié de recrutement. Il faudrait organiser bien autrement le service de renseignements y compris en impliquant la population car nous sommes en situation de guerre.  Quand ces djihadistes reviendront, il faudra s’attendre à une vague d’attentats. Ill conviendrait donc de es empêcher de revenir comme en Grande Bretagne sauf à subir un traitement psychiatrique adapté ; il  s’agit de traitement psychiatrique car ce sont des fous et des assassins. « Il y avait donc deux Français, l’un identifié formellement, l’autre en voie de l’être. » C’est ce qu’a affirmé François Hollande mercredi lors d’une conférence de presse à Canberra, au dernier jour de son déplacement en Australie. Un deuxième Français qui apparaît sur une vidéo du groupe Etat islamique parmi les djihadistes qui ont décapité 18 soldats syriens. La justice française avait déjà formellement confirmé la présence, parmi les bourreaux, de Maxime Hauchard, 22 ans. Ce converti à l’islam serait « parti en Syrie en août 2013″, avait indiqué le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve au lendemain de la diffusion dimanche d’une vidéo d’exécution, dans laquelle le groupe djihadiste a également revendiqué la décapitation de l’otage américain Peter Kassig, enlevé il y a un an en Syrie. Les images diffusées dimanche « ont montré l’assassinat dans des conditions horribles d’un otage américain, un jeune homme qui travaillait dans l’humanitaire », a rappelé le chef de l’Etat français au côté du Premier ministre australien Tony Abbott. « Ces images ont été accompagnées d’autres scènes féroces, insoutenables », celles des soldats syriens décapités, a-t-il enchaîné. Paris étudiait jusqu’à maintenant l’implication d’un second Français qui apparaîtrait sur la vidéo. C’est une « possibilité », avait indiqué le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. « Nous procédons à des expertises et des analyses qui nous permettront de confirmer ou pas », avait-il ajouté.

 

Une ex-députée découvre que pôle emploi ne sert à rien !

Une ex-députée découvre que pôle emploi ne sert à rien !

Un ex députée maintenant au chômage découvre à travers sa propre situation que Pôle emploi ne sert à rien. Une découverte sans doute une peu tardive et significative du décalage entre la vision de nos élus et la réalité sociale. Sandrine Bélier, une ancienne eurodéputée Europe Ecologie Les Verts, parle d’un « moment un peu déroutant » face à la conseillère Pôle Emploi. Depuis sa défaite aux européennes, elle n’a pas retrouvé d’emploi.  « Excusez-moi, ma question est peut-être stupide, vous avez fait quoi en tant que députée européenne ? » : c’est la première question posée par la conseillère Pôle Emploi à Sandrine Bélier, ancienne députée européenne EE-LV sans emploi depuis sa défaite aux élections du 25 mai. Ce « moment un peu déroutant », qu’elle pensait initialement raconter par mail à ses proches, elle le retranscrit sur sa page Facebook. Le post a recueilli plus de 400 « likes » et a fait l’objet de nombreux commentaires d’internautes. A la « grande surprise » de l’intéressée qui préférerait que « ses posts sur les questions environnementales aient autant de « likes »‘. Pour Sandrine Bélier, interrogée par France Info, ce premier entretien à Pôle Emploi a été « chaleureux et dans l’empathie » même si elle se fait peu d’illusions quant à l’utilité de l’organisme public dans ses recherches. « Cela ne devrait pas arriver, non je ne pense pas mais si cela arrive, je pars avec vous », lui a confié sa conseillère dans une agence parisienne. L’ancienne candidate aux européennes dans le Grand Est recherche un poste de directrice juridique ou stratégique. Alors que ses indemnités parlementaires (un peu plus de 6.000 euros) s’arrêteront à la fin du mois de décembre, Sandrine Bélier avoue qu’elle « reculait ce moment ». Cela fait quatre mois qu’elle répond à des candidatures, envoie des lettres de motivation ou s’est inscrite sur LinkedIn et Viadeo. Vivant entre Paris et Strasbourg, l’ancienne directrice d’Alsace Nature et France Nature Environnement a préféré s’inscrire dans la capitale où elle est moins connue. « Plus qu’une femme politique, je suis une personne qui cherche un travail pour payer son loyer et assurer le quotidien ».. Seulement, face à la conseillère, difficile de ne pas aborder son précédent mandat politique. N’ayant pas d’attestation employeur, Sandrine Bélier se prend à lui dire : « Mon employeur, c’est vous, les citoyens ».

 

Croissance faible : que va faire la BCE ? Rien !

Croissance faible : que va faire la BCE ? Rien !

Il faut s’attendre à de nouvelles batailles au sabre de bois à l’intérieur de la BCE avec les partisans d’une politique accommandante et les orthodoxes soutenus par l’Allemagne, eux pour le statu quo. .La faiblesse de la croissance aussi bien dans les services que dans l’industrie malgré cette tendance de long terme à la baisse des prix servira jeudi de toile de fond à la réunion de politique monétaire de la BCE. Les débats sont vifs entre banquiers centraux sur les outils à mettre en œuvre pour écarter le spectre de la déflation et sortir l’inflation, de seulement 0,4% en octobre, de ce que la BCE qualifie elle-même de « zone de danger » sous 1%. Considéré comme un bon indicateur de l’activité puisqu’il s’appuie sur le sentiment de milliers d’entreprises à travers le continent, l’indice composite des directeurs d’achats (PMI) de Markit n’a quasiment pas bougé par rapport à son plus bas de 10 mois atteint en septembre, passant de 52,0 à 52,1. « Une telle faiblesse est inquiétante car elle souligne la faiblesse de la demande dans la zone euro et alimente les inquiétudes concernant la croissance. Les éléments d’anticipation dans les deux secteurs se sont révélés décevants », commente Apolline Menut, pour Barclays. Dans les services, l’indice des directeurs d’achat est tombé à un plus bas de sept mois à 52,3 en octobre et il y a peu de chances qu’il s’améliore ce mois-ci. Si le PMI composite, regroupant industrie et services, est resté pour le 16e mois consécutif au-dessus du seuil de 50 séparant la croissance de la contraction, cette situation a un coût. Le sous-indice des prix à la production a plongé à 47,1 contre 48,5 en septembre, soit son plus bas niveau depuis février 2010, ce qui semble indiquer que les entreprises continuent désespérément de jouer sur les prix pour maintenir leur activité.  

 

Sondage : Qui ferait mieux que Hollande? Juppé pour 50% des Français

Sondage : Qui ferait mieux que Hollande? Juppé pour 50% des Français

A cette question, seul Alain Juppé recueille une majorité, 50%, de réponses positives, selon notre sondage CSA pour BFMTV publié ce mardi. Se classent derrière lui l’actuel Premier ministre socialiste, Manuel Valls – 39% de « oui »- et l’ancien Président UMP Nicolas Sarkozy, 38%.  L’ancien Premier ministre Alain Juppé, candidat à la primaire à droite en vue de la présidentielle 2017, est donc le seul à rassembler une majorité de Français derrière lui. De justesse, puisque 49% des sondés estiment qu’il ne ferait pas un meilleur Président que François Hollande.  Le maire de Bordeaux arrive en tête grâce à une crédibilité ancrée dans toutes les familles politiques. Ainsi, s’il est très favorablement jugé par les sympathisants de l’UMP (79%), Alain Juppé recueille également 44% d’avis favorables chez ceux du PS, tandis que 29% des sympathisants FN lui accordent du crédit. Deuxième du podium, Manuel Valls rassemble lui aussi au-delà de son propre camp. Ils sont 53% des sympathisants PS et 45% des soutiens de l’UMP à estimer qu’il ferait, aujourd’hui, un meilleur Président que François Hollande.  A gauche, le Premier ministre creuse l’écart sur les autres personnalités de la majorité. Il devance de loin Martine Aubry et Arnaud Montebourg, qui pâtissent d’un déficit de crédibilité au sein même de leur famille politique, sans être crédibles au-delà comme peut l’être Manuel Valls. Ainsi, seuls 47% des sympathisants PS pensent que Martine Aubry ferait une meilleure Présidente, cette proportion étant beaucoup plus faible pour Arnaud Montebourg, 24%.  Troisième du classement, Nicolas Sarkozy surclasse toujours Alain Juppé auprès des sympathisants de l’UMP. Ces derniers restent favorables à l’ex-Président: 91% d’entre eux (contre 79% chez Alain Juppé) jugent qu’il ferait mieux que François Hollande. Mais Nicolas Sarkozy clive plus qu’Alain Juppé: les sympathisants PS lui opposent un « non » massif, 94% pensant qu’il ne ferait pas un meilleur Président que François Hollande. Dans le camp du FN, les avis apparaissent très partagés à son égard, 47% voit en lui, un meilleur Président, contre 51% de « non ». Marine Le Pen arrive quatrième de ce classement, avec 32% de « oui ». Mais la présidente du Front national ne convainc que dans son camp: 98% des sympathisants FN pensent qu’elle ferait une meilleure Présidente que François Hollande, contre seulement 6% de ceux du PS, et un tiers de ceux de l’UMP (32%).

 

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