Archive pour le Tag 'Que Choisir'

Sécheresse: Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir

Sécheresse: Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir


L’agriculture est la première consommatrice d’eau en France, avec 58% du total consommé. Suivent ensuite les ménages, restaurants et lieux touristiques (26%) qui utilisent de l’eau potable, puis le refroidissement des centrales électriques (12%) et enfin les autres industries (4%). L’association UFC – Que Choisir dénonce la gabegie et le manque de politique.

L’association évoque de «l’eau en «open bar» pour l’agriculture intensive». Surtout que «sa ponction dans la ressource représente jusqu’à plus de 90 % des consommations pour les départements de la façade atlantique et du Sud-Ouest». En cause, la production de maïs, dont «les besoins en eau sont concentrés en juillet et août».

L’UFC-Que Choisir s’appuie sur le rapport de la Cour de Comptes intitulé «La gestion quantitative de l’eau en période de changement climatique», publié le 17 juillet dernier. Les Sages de la rue Cambon notent que «selon les données de la BNPE (Banque Nationale des Prélèvements quantitatifs en Eau), les prélèvements d’eau destinés à l’irrigation ont plus que doublé en une décennie». Un constat d’autant plus grave que «l’irrigation agricole s’est développée dans des régions où cette pratique n’était pas habituelle et aggrave des situations déjà tendues.» Le document précise même que «dans le bassin Adour-Garonne, la moitié des 20 000 irrigants ne font pas de déclaration» sur la quantité d’eau prélevée. Culture explicitement nommée par l’UFC-Que Choisir : le maïs.

Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir

Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir


L’agriculture est la première consommatrice d’eau en France, avec 58% du total consommé. Suivent ensuite les ménages, restaurants et lieux touristiques (26%) qui utilisent de l’eau potable, puis le refroidissement des centrales électriques (12%) et enfin les autres industries (4%). L’association UFC – Que Choisir dénonce la gabegie et le manque de politique.

L’association évoque de «l’eau en «open bar» pour l’agriculture intensive». Surtout que «sa ponction dans la ressource représente jusqu’à plus de 90 % des consommations pour les départements de la façade atlantique et du Sud-Ouest». En cause, la production de maïs, dont «les besoins en eau sont concentrés en juillet et août».

L’UFC-Que Choisir s’appuie sur le rapport de la Cour de Comptes intitulé «La gestion quantitative de l’eau en période de changement climatique», publié le 17 juillet dernier. Les Sages de la rue Cambon notent que «selon les données de la BNPE (Banque Nationale des Prélèvements quantitatifs en Eau), les prélèvements d’eau destinés à l’irrigation ont plus que doublé en une décennie». Un constat d’autant plus grave que «l’irrigation agricole s’est développée dans des régions où cette pratique n’était pas habituelle et aggrave des situations déjà tendues.» Le document précise même que «dans le bassin Adour-Garonne, la moitié des 20 000 irrigants ne font pas de déclaration» sur la quantité d’eau prélevée. Culture explicitement nommée par l’UFC-Que Choisir : le maïs.

Fermeture des commerces : une hérésie pour l’UFC–Que Choisir

Fermeture des commerces : une hérésie pour l’UFC–Que Choisir

« Qui peut comprendre qu’en forçant les consommateurs à converger  les seules grandes surfaces, [...] on est face à une décision opportune, efficace, et donc acceptable? », a demandé Alain Bazot ce lundi dans un communiqué sur le site de l’association de consommateurs.

À ses yeux, « le critère de ’biens essentiels’ au lieu de celui de la capacité à réguler les flux, assurer de la distanciation, etc. manque de pertinence au-delà du fait qu’il est arbitraire ».  »Quels rayons inaccessibles? Comment? Quels contrôles? », s’est-il interrogé.

En outre, il a critiqué le fait que « le président ait pris sa décision initiale de fermer les seuls petits commerces, sans consultation des parties prenantes, à commencer par les représentants de consommateurs ».

« Cette forme de gouvernance sans aucune concertation, ni préparation préalable, n’est pas acceptable en 2020″, a-t-il jugé, estimant en outre que « la seule fermeture des commerces de proximité pose un problème de saine concurrence au premier sens du terme ».

Ces restrictions, décidées pour tenter d’endiguer la progression de l’épidémie de Covid-19, ouvrent  »une autoroute pour les plateformes de e-commerce, à commencer par les GAFAM, particulièrement Amazon », a-t-il encore tancé, y voyant  »la traduction d’une vision des modes de distribution de demain dont les consommateurs ne veulent pas, un univers régi par quelques grands opérateurs et qui tourne le dos à l’aspiration à davantage de proximité et d’humanité ».

Pétition de Que choisir pour supprimer une taxe sur le carburant

Pétition de Que choisir pour supprimer uen taxe sur le carburant

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L’objectif est de supprimer ’une taxe sur une taxe », explique Mathieu Escot, de l’UFC Que Choisir, au micro d’Europe 1. « Aujourd’hui, quand l’automobiliste se rend à la pompe, sur un litre de carburant il y a environ un tiers de prix de matière première et deux tiers de taxes. L’une d’entre elle est une taxe sur la taxe environnementale », précise-il.

Concrètement, sur un litre d’essence, cette taxe sur la taxe représente 14 centimes et 12 centimes sur un litre de diesel. Et pour l’association de consommateurs, cette taxe n’a pas lieu d’exister « car elle ne finance pas la transition énergétique. Il s’agit d’une TVA sur une taxe donc elle est reversée directement dans les caisses de l’Etat », précise l’expert, pour qui il n’y a aucune justification économique ou écologique à l’existence de cette taxe.

L’association de défense des consommateurs avait déjà formulé cette demande au cours du Grand débat, mais n’avait pas été entendue. Elle espère cette fois que la pétition qui accompagnera sa demande permettra d’être entendue.

Plainte contre Google pour non respect des données (UFC que Choisir)

Plainte contre Google pour non respect des données (UFC que Choisir)

Une action en justice pour non respect de la protection des données définis dans un RGPD déjà incompréhensibles et non lu dans 95% des cas. Une Plainte de  l’UFC-Que Choisir contre  Google  qui reproche d’exploiter les données personnelles des utilisateurs sans leur consentement, notamment ceux propriétaires d’un appareil Android, son système d’exploitation mobile. Ce dernier équipe plus de 80% des smartphones dans le monde.

Un compte Google est en effet nécessaire sur un smartphone ou une tablette Android pour utiliser les services de l’entreprise américaine (Google Maps, Gmail, etc…) et des applications. Et lorsque l’utilisateur en crée un, il doit accepter des conditions d’utilisation. L’UFC-Que Choisir dénonce le fait que cette acceptation conduit à approuver par défaut les finalités poursuivies par Google dans le cadre du traitement de ses données. Cela concerne le ciblage publicitaire ou encore la géolocalisation. L’association de consommateurs affirme d’ailleurs qu’un smartphone, même immobile, va transmettre sa géolocalisation près de 340 fois par jour.

L’UFC-Que Choisir veut que Google «obtienne un réel consentement de ses utilisateurs pour la collecte et le traitement de leurs données personnelles par ses services et applications». Elle réclame également une indemnisation de 1000 euros pour chaque consommateur lésé pour violation de la vie privée. Elle assure d’ailleurs qu’environ 200 consommateurs sont prêts à s’engager dans cette action de groupe. Toute personne intéressée peut s’y joindre. Cette procédure fait suite à la sanction de la CNIL contre Google en janvier dernier. L’autorité de protection des données a en effet condamné le géant américain à une amende record de 50 millions d’euros pour manquement à ses obligations dans le cadre du RGPD. Elle lui reprochait notamment de forcer le consentement de ses utilisateurs. Google a fait appel de cette sanction.

Les smartphones : OnePlus le plus fiable l’UFC Que Choisir)

 Les smartphones : OnePlus le plus fiable l’UFC Que Choisir)

Selon l’UFC-Que choisir. les smartphones vendus par les marques leaders des ventes AppleSamsung ou encore Huawei ne sont pas jugés comme les plus fiables du marché. Dans l’ensemble, les fabricants de smartphones écopent d’un indice de fiabilité plutôt rassurant pour les consommateurs, puisque quatorze marques sur dix-huit obtiennent un score supérieur à 90 points sur 100. Les marques chinoises One Plus, Lenovo, Motorola ou encore Xiaomi occupent avec Microsoft, qui ne commercialise désormais plus de smartphone, la tête du classement des marques les plus fiables. La firme One Plus créée en 2013 vient concurrencer les géants Samsung et Apple avec des appareils haut de gamme vendus à des prix plus abordables. Mais tous les modèles chinois ne sont pas, selon l’UFC-que choisir, toujours gage de qualité, puisque ZTE, Alcatel et Wiko sont jugés comme les smartphones les moins fiables.

Selon l’enquête de l’UFC-Que choisir, les pannes les plus souvent relevées par les consommateurs concernent la batterie de leur smartphone, avec d’une part des problèmes liés au chargeur du téléphone et d’autre part une charge de batterie qui décroît de façon fulgurante. S’en suivent alors les déconvenues liées aux pannes d’écran, aux difficultés liées aux boutons et aux haut-parleurs ainsi qu’à l’appareil photo du smartphone. Huawei est «plus touchée que la moyenne par les problèmes de chargeur de batterie, de GPS, de lecteur de carte mémoire et de Bluetooth» souligne l’UFC-Que choisir au sujet de le marque qui vend, en France, plus de téléphones qu’Apple.

Offre groupée d’électricité par UFC-Que Choisir

Offre groupée d’électricité par UFC-Que Choisir

 

Quatrième campagne d’offres groupées d’abonnements pour la fourniture de gaz et d’électricité par l’association de consommateurs UFC. L’UFC-Que Choisir retiendra ensuite l’offre la moins chère pour en faire bénéficier les consommateurs intéressés. L’année dernière, c’étaient deux offres (gaz et électricité) de l’opérateur Lampiris (racheté par le groupe Totalqui avaient été retenues par l’organisme. Près de 150 000 foyers avaient alors profité d’une ou des deux offres groupées d’énergie.  L’association lance deux appels d’offres (gaz et électricité) auprès des opérateurs qui proposeront aux consommateurs un prix fixe sur deux ans, contre un an les précédentes. L’UFC-Que Choisir insiste sur le fait que malgré cette uniformité temporelle de tarif, le client peut changer d’offre à tout moment quand il le souhaite, comme l’exige la loi. Autre nouveauté, le lancement d’un troisième lot pour une offre à prix fixe sur un an d’électricité verte. Cette dernière proviendra essentiellement de sites français de production d’énergie renouvelable. Mais seulement les 25.000 premières personnes inscrites pourront profiter de cette offre à électricité verte. Les consommateurs intéressés ont jusqu’au 25 septembre prochain inclus pour se rendre sur le site www.choisirensemble.fr. Le 26 septembre, les trois offres des opérateurs lauréats seront divulguées. Libres ensuite aux consommateurs inscrits de souscrire ou non à partir du 16 octobre aux trois offres proposées par l’opération groupée de l’UFC-Que Choisir. Une participation de 10 euros sera demandée aux souscripteurs à une seule offre, 14 euros pour deux offres (soit respectivement 5 et 8 euros pour les abonnés et adhérents à l’association).

 

 

L’eau du robinet polluée selon l’UFC-Que Choisir

L’eau du robinet polluée selon l’UFC-Que Choisir

Une étude de l’UFC Elle montre que si près de 96% des consommateurs peuvent boire l’eau du robinet en toute confiance, 2,8 millions ont en revanche une eau polluée, notamment par les pesticides, les nitrates ou le plomb de l’agriculture industrielle.  L’UFC-Que Choisir a passé au peigne fin les réseaux de distribution des 36 600 communes de France, pour la totalité des 50 critères réglementaires sur la base des résultats officiels du ministère de la Santé. Même si le résultat global reste satisfaisant, l’eau reste de mauvaise qualité pour 2,8 millions de Français. L’agriculture est la première cause de pollution. On retrouve des pesticides dans les régions d’agriculture intensive mais aussi dans les réseaux de distribution de certaines villes comme Tremblay en France, Sens, Lens, Tarbes et Auch. Les nitrates contaminent aussi l’eau de près de 200 000 consommateurs, notamment dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Yonne, l’Aube, la Marne, le Pas-de-Calais et la Somme. Les contaminations bactériennes dues aux défauts de surveillance ou à la vétusté des installations, constituent la troisième pollution la plus fréquente et concernent de l’ordre de 200 000 consommateurs. Les petites communes rurales de montagne, dans les Pyrénées, le Massif Central et les Alpes, sont particulièrement concernées par cette pollution. Enfin, sur l’ensemble de la France, 3% des analyses réalisées dans les logements font apparaître la présence de plomb, de cuivre, de nickel ou de chlorure de vinyle, du fait de canalisations vétustes ou corrodées. L’association l’UFC-Que Choisir demande aux pouvoirs publics « une réforme en profondeur de la politique agricole de l’eau, par une véritable mise en œuvre du principe pollueur-payeur dans le calcul des redevances de l’eau, au moyen d’une augmentation de la taxation des pesticides et des engrais azotés et par un soutien financier aux agricultures biologiques et intégrées« . Elle réclame aussi « un audit national des composants toxiques des canalisations pour estimer le niveau d’exposition des consommateurs et, dans le cas du plomb, une aide aux particuliers pour le remplacement de leurs canalisations. »




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