Archive pour le Tag 'quatrième'

France- croissance nulle au quatrième trimestre (BdF)

France- croissance nulle au quatrième trimestre (BdF)

La Banque de France anticipe une stabilité du produit intérieur brut (PIB) français au quatrième trimestre, par rapport au troisième, et souligne mardi que cette croissance nulle traduit surtout le contrecoup de l’effet positif des Jeux olympiques et paralympiques de Paris sur la croissance de l’été.

Mais dans les trois secteurs, industrie, services marchands et bâtiment, l’indicateur d’incertitude marque une nouvelle hausse, «liée au contexte économique et fiscal», selon M. Garnier, grimpant à un niveau équivalent à celui de fin 2022, pendant la crise énergétique. L’activité a été quasi stable dans l’industrie en novembre. Elle a évolué mieux que prévu dans les services marchands, et elle a de nouveau fléchi dans le bâtiment. Pour décembre, les entreprises anticipent une baisse globale dans l’industrie, une progression modérée dans les services marchands et un recul dans le bâtiment.

 

Conjoncture économique-Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

Conjoncture économique-Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

La Banque de France reconnaît mais un peu timidement qu’il y a peu de chances pour que la croissance progresse au quatrième trimestre. En clair on va vers la stagnation. En cause évidemment l’environnement mondial, les inquiétudes géo politiques et la crise économique et politique.

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%. (Crédits : Reuters)

L’activité devrait enregistrer une « progression légèrement positive » entre octobre et décembre, mais cette hausse serait contrebalancée par le « contrecoup » induit par la fin des JO. Un contrecoup « estimé à -0,2 point de PIB », a précisé l’institution dans son enquête mensuelle de conjoncture, sans chiffrer le niveau de croissance attendu au quatrième trimestre. Un niveau qui sera sans doute nul comme le prévoit d’ailleurs l’INSEE

 

Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

La Banque de France reconnaît mais un peu timidement qu’il y a peu de chances pour que la croissance progresse au quatrième trimestre. En clair on va vers la stagnation. En cause évidemment l’environnement mondial, les inquiétudes géo politiques et la crise économique et politique.

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%. (Crédits : Reuters)

L’activité devrait enregistrer une « progression légèrement positive » entre octobre et décembre, mais cette hausse serait contrebalancée par le « contrecoup » induit par la fin des JO. Un contrecoup « estimé à -0,2 point de PIB », a précisé l’institution dans son enquête mensuelle de conjoncture, sans chiffrer le niveau de croissance attendu au quatrième trimestre. Un niveau qui sera sans doute nul comme le prévoit d’ailleurs l’INSEE

 

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%, comme le gouvernement et l’Institut national de la statistique (Insee). Ce dernier s’attend à une croissance nulle au cours du dernier trimestre.

Selon l’enquête de conjoncture menée auprès d’environ 8.500 entreprises interrogées entre le 29 octobre et le 6 novembre, l’activité a progressé en octobre dans l’industrie, soutenue par l’aéronautique et l’agro-alimentaire. En revanche, le secteur automobile a continué de souffrir, surtout « la production de voitures électriques, qui pâtissent de la concurrence chinoise et d’une baisse de la demande sur ces modèles », a souligné la Banque de France.

Les carnets de commandes industriels sont toujours jugés « dégarnis », sauf dans l’aéronautique.  Dans les services marchands, l’activité a tourné au ralenti tandis que dans le bâtiment, le gros œuvre a bénéficié de la reprise de chantiers qui avaient été décalés par les JO.

En novembre, la Banque de France estime que l’activité devrait « peu » évoluer dans l’industrie et les services, et qu’elle reculerait dans le bâtiment.  Elle note que l’indicateur mensuel d’incertitude, fondé sur les commentaires des entreprises, demeure « relativement élevé dans tous les secteurs ».

« Les chefs d’entreprise mentionnent l’incertitude sur la politique économique et fiscale nationale, et l’instabilité de la situation géopolitique (en particulier avant les élections américaines), qui tendent à mettre en attente les projets d’investissement », selon elle.

 

Activité économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

Activité économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

 

Après l’euphorie de JO, événements sportifs mais aussi sociétaux réussis on comptait  sur la dynamique pour accélérer la croissance en France. En réalité le bilan économique de ces jeux est loin d’être aussi satisfaisant qu’on le pensait sauf pour Paris et encore. Le problème économique pour la France, c’est la mollesse et même la réduction de la consommation qui porte l’essentiel de la croissance en France. Toutes les enquêtes et les indicateurs patronaux marquent la stagnation voir la régression de l’activité plombé en outre par le climat politique délétère .

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce jeudi, l’Insee a maintenu sa prévision de croissance pour 2024 à 1,1%, soit un niveau équivalent à la prévision du gouvernement figurant dans le budget 2025, présentée ce jour.

Les Jeux olympiques ont permis de soutenir l’activité durant le troisième trimestre (+0,4). Mais cet épisode s’est limité dans le temps et la durée. L’institut public table désormais sur une stagnation de la croissance du produit intérieur brut (PIB) au dernier trimestre.

Du côté de la consommation, les clignotants sont au rouge. L’inflation a certes ralenti (1,5% en septembre pour l’IPCH), mais les Français restent plongés dans l’incertitude depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. Les conjoncturistes parlent même d’un « choc d’incertitudes ». Le pouvoir d’achat progresserait d’environ 1,8% en 2024 mais la consommation a flanché au premier semestre.

Le  niveau d’épargne devrait rester à un niveau élevé en 2024 (17,9%), à un niveau bien supérieur à 2022 et 2023 (16,9%). Les coupes budgétaires à venir et les hausses d’impôts pourraient à nouveau faire grimper l’épargne des Français particulièrement attentistes dans cette période de flou.
Toujours côté demande, l’investissement des entreprises continue de flancher. Depuis deux trimestres, les investissements sont en repli, plombés par une demande en berne, un durcissement des conditions de financement et l’incertitude politique.

Croissance économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

Croissance économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

 

Après l’euphorie de JO, événements sportifs mais aussi sociétaux réussis on comptait  sur la dynamique pour accélérer la croissance en France. En réalité le bilan économique de ces jeux est loin d’être aussi satisfaisant qu’on le pensait sauf pour Paris et encore. Le problème économique pour la France, c’est la mollesse et même la réduction de la consommation qui porte l’essentiel de la croissance en France. Toutes les enquêtes et les indicateurs patronaux marquent la stagnation voir la régression de l’activité plombé en outre par le climat politique délétère .

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce jeudi, l’Insee a maintenu sa prévision de croissance pour 2024 à 1,1%, soit un niveau équivalent à la prévision du gouvernement figurant dans le budget 2025, présentée ce jour.

Les Jeux olympiques ont permis de soutenir l’activité durant le troisième trimestre (+0,4). Mais cet épisode s’est limité dans le temps et la durée. L’institut public table désormais sur une stagnation de la croissance du produit intérieur brut (PIB) au dernier trimestre.

Du côté de la consommation, les clignotants sont au rouge. L’inflation a certes ralenti (1,5% en septembre pour l’IPCH), mais les Français restent plongés dans l’incertitude depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. Les conjoncturistes parlent même d’un « choc d’incertitudes ». Le pouvoir d’achat progresserait d’environ 1,8% en 2024 mais la consommation a flanché au premier semestre.

Le  niveau d’épargne devrait rester à un niveau élevé en 2024 (17,9%), à un niveau bien supérieur à 2022 et 2023 (16,9%). Les coupes budgétaires à venir et les hausses d’impôts pourraient à nouveau faire grimper l’épargne des Français particulièrement attentistes dans cette période de flou.
Toujours côté demande, l’investissement des entreprises continue de flancher. Depuis deux trimestres, les investissements sont en repli, plombés par une demande en berne, un durcissement des conditions de financement et l’incertitude politique.

Activité économique France: la stagnation au quatrième trimestre

Activité économique: la stagnation au quatrième trimestre ?

Pour ne pas désespérer Billancourt et surtout plaire au pouvoir, la Banque de France fait le pari d’une croissance insignifiante de 0,1 % au quatrième trimestre. Autant dire en vérité qu’on va tutoyer la stagnation ( que prévoit l’Insee) voire la récession. En effet, tout va dépendre de l’attitude des ménages qui encaissent mal les conséquences de l’inflation sur la baisse drastique du pouvoir d’achat. Pour preuve la consommation est régulièrement en recul en France.

D’après la Banque de France, l’activité mesurée par l’évolution du PIB devrait croître très légèrement, de 0,1%, au quatrième trimestre dans un contexte de grande incertitude liée notamment à la crise énergétique, a indiqué jeudi 8 décembre la Banque de France. Cette «bonne nouvelle» selon l’institution, mais Qui pourrait rapidement être contredite par les faits , s’appuie sur la résilience des entreprises alors que la France subit de plein fouet la flambée des prix de l’énergie depuis l’invasion de l’Ukraine et une inflation soutenue qui entame le pouvoir d’achat.

L’activité économique devrait continuer à progresser sensiblement dans les services en décembre, tandis qu’elle se stabiliserait dans l’industrie et se replierait légèrement dans le bâtiment, selon cette enquête menée auprès d’environ 8500 entreprises entre fin novembre et début décembre.
«Globalement, il n’y a pas du tout de chute de l’activité en fin d’année», a souligné Olivier Garnier: le PIB devrait croître de 0,1% au quatrième trimestre, confirmant la prévision précédente d’une «très légère hausse». «Bien sûr, c’est encore entaché d’incertitude», a-t-il ajouté, mais «on a une activité qui résiste bien, et même plutôt un tout petit mieux que prévu».

Pour l’ensemble de l’année 2022, la Banque de France a confirmé sa prévision d’une croissance de 2,6%, identique à celle de l’Insee qui s’attend pour sa part à une stagnation du PIB au dernier trimestre.

Dans un contexte de hausse des prix se poursuivant à un «rythme soutenu», la Banque de France a dit cependant rester attentive à la situation de trésorerie, qui se stabilise à un niveau «très bas» dans l’industrie, ainsi qu’à l’évolution des stocks. Ces derniers ont grimpé à un niveau jugé «élevé» du fait d’une baisse de la demande ou de difficultés d’approvisionnement notamment, voire de craintes d’éventuelles pénuries d’énergie dans les prochains mois.

Quant à l’impact de la crise énergétique sur leur activité, les entreprises n’ont pas fait état de changement significatif par rapport à octobre, quand la Banque de France a commencé à les interroger sur ce sujet. Ainsi, 24% d’entre elles disent avoir été affectées en novembre, dont 6% fortement. Elles sont toutefois 35% à s’attendre à un impact sur les trois prochains mois, et elles sont encore plus nombreuses à craindre pour leurs marges (52%).

Selon le gouverneur de la Banque de France, tout ira mieux en 2025. Le même pronostic que Macron !

Perspective Croissance : la stagnation au quatrième trimestre ?

Perspective Croissance : la stagnation au quatrième trimestre ?

Pour ne pas désespérer Billancourt et surtout plaire au pouvoir, la Banque de France fait le pari d’une croissance insignifiante de 0,1 % au quatrième trimestre. Autant dire en vérité qu’on va tutoyer la stagnation ( que prévoit l’Insee) voire la récession. En effet, tout va dépendre de l’attitude des ménages qui encaissent mal les conséquences de l’inflation sur la baisse drastique du pouvoir d’achat. Pour preuve la consommation est régulièrement en recul en France.

D’après la Banque de France, l’activité mesurée par l’évolution du PIB devrait croître très légèrement, de 0,1%, au quatrième trimestre dans un contexte de grande incertitude liée notamment à la crise énergétique, a indiqué jeudi 8 décembre la Banque de France. Cette «bonne nouvelle» selon l’institution, mais Qui pourrait rapidement être contredite par les faits , s’appuie sur la résilience des entreprises alors que la France subit de plein fouet la flambée des prix de l’énergie depuis l’invasion de l’Ukraine et une inflation soutenue qui entame le pouvoir d’achat.

L’activité économique devrait continuer à progresser sensiblement dans les services en décembre, tandis qu’elle se stabiliserait dans l’industrie et se replierait légèrement dans le bâtiment, selon cette enquête menée auprès d’environ 8500 entreprises entre fin novembre et début décembre.
«Globalement, il n’y a pas du tout de chute de l’activité en fin d’année», a souligné Olivier Garnier: le PIB devrait croître de 0,1% au quatrième trimestre, confirmant la prévision précédente d’une «très légère hausse». «Bien sûr, c’est encore entaché d’incertitude», a-t-il ajouté, mais «on a une activité qui résiste bien, et même plutôt un tout petit mieux que prévu».

Pour l’ensemble de l’année 2022, la Banque de France a confirmé sa prévision d’une croissance de 2,6%, identique à celle de l’Insee qui s’attend pour sa part à une stagnation du PIB au dernier trimestre.

Dans un contexte de hausse des prix se poursuivant à un «rythme soutenu», la Banque de France a dit cependant rester attentive à la situation de trésorerie, qui se stabilise à un niveau «très bas» dans l’industrie, ainsi qu’à l’évolution des stocks. Ces derniers ont grimpé à un niveau jugé «élevé» du fait d’une baisse de la demande ou de difficultés d’approvisionnement notamment, voire de craintes d’éventuelles pénuries d’énergie dans les prochains mois.

Quant à l’impact de la crise énergétique sur leur activité, les entreprises n’ont pas fait état de changement significatif par rapport à octobre, quand la Banque de France a commencé à les interroger sur ce sujet. Ainsi, 24% d’entre elles disent avoir été affectées en novembre, dont 6% fortement. Elles sont toutefois 35% à s’attendre à un impact sur les trois prochains mois, et elles sont encore plus nombreuses à craindre pour leurs marges (52%).

Selon le gouverneur de la Banque de France, tout ira mieux en 2025. Le même pronostic que Macron !

Croissance : la France va frôler la stagnation au quatrième trimestre

Croissance : la France va frôler la stagnation au quatrième trimestre

Pour ne pas désespérer Billancourt et surtout plaire au pouvoir, la Banque de France fait le pari d’une croissance insignifiante de 0,1 % au quatrième trimestre. Autant dire en vérité qu’on va tutoyer la stagnation ( que prévoit l’Insee) voire la récession. En effet, tout va dépendre de l’attitude des ménages qui encaissent mal les conséquences de l’inflation sur la baisse drastique du pouvoir d’achat. Pour preuve la consommation est régulièrement en recul en France.

D’après la Banque de France, l’activité mesurée par l’évolution du PIB devrait croître très légèrement, de 0,1%, au quatrième trimestre dans un contexte de grande incertitude liée notamment à la crise énergétique, a indiqué jeudi 8 décembre la Banque de France. Cette «bonne nouvelle» selon l’institution, mais Qui pourrait rapidement être contredite par les faits , s’appuie sur la résilience des entreprises alors que la France subit de plein fouet la flambée des prix de l’énergie depuis l’invasion de l’Ukraine et une inflation soutenue qui entame le pouvoir d’achat.

L’activité économique devrait continuer à progresser sensiblement dans les services en décembre, tandis qu’elle se stabiliserait dans l’industrie et se replierait légèrement dans le bâtiment, selon cette enquête menée auprès d’environ 8500 entreprises entre fin novembre et début décembre.
«Globalement, il n’y a pas du tout de chute de l’activité en fin d’année», a souligné Olivier Garnier: le PIB devrait croître de 0,1% au quatrième trimestre, confirmant la prévision précédente d’une «très légère hausse». «Bien sûr, c’est encore entaché d’incertitude», a-t-il ajouté, mais «on a une activité qui résiste bien, et même plutôt un tout petit mieux que prévu».

Pour l’ensemble de l’année 2022, la Banque de France a confirmé sa prévision d’une croissance de 2,6%, identique à celle de l’Insee qui s’attend pour sa part à une stagnation du PIB au dernier trimestre.

Dans un contexte de hausse des prix se poursuivant à un «rythme soutenu», la Banque de France a dit cependant rester attentive à la situation de trésorerie, qui se stabilise à un niveau «très bas» dans l’industrie, ainsi qu’à l’évolution des stocks. Ces derniers ont grimpé à un niveau jugé «élevé» du fait d’une baisse de la demande ou de difficultés d’approvisionnement notamment, voire de craintes d’éventuelles pénuries d’énergie dans les prochains mois.

Quant à l’impact de la crise énergétique sur leur activité, les entreprises n’ont pas fait état de changement significatif par rapport à octobre, quand la Banque de France a commencé à les interroger sur ce sujet. Ainsi, 24% d’entre elles disent avoir été affectées en novembre, dont 6% fortement. Elles sont toutefois 35% à s’attendre à un impact sur les trois prochains mois, et elles sont encore plus nombreuses à craindre pour leurs marges (52%).

Selon le gouverneur de la Banque de France, tout ira mieux en 2025. Le même pronostic que Macron !

Croissance menacée au quatrième trimestre

Croissance menacée au quatrième trimestre

La croissance pourrait être insignifiante au quatrième trimestre voir même nulle. la Banque de France table en effet sur une croissance décevante au dernier trimestre 2022.
« Compte tenu des nombreuses incertitudes, nous nous attendons à une très légère hausse du PIB au dernier trimestre » , a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier. Compte tenu de ces incertitudes, la Banque de France ne prend même pas le risque de fournir des prévisions chiffrées.

Dans son enquête mensuelle de conjoncture du mois d’octobre, la Banque de France a interrogé les dirigeants sur les répercussions de la crise énergétique sur leur activité et leurs marges dans les prochains mois. Résultat, deux tiers des industriels anticipent un impact de cette crise sur leur taux de marge au cours du dernier trimestre. Du côté du bâtiment, cette proportion (63%) est comparable à celle de l’industrie. Enfin, dans les services, 44% des entreprises redoutent des conséquences sur leur taux de marge dans les mois à venir. Ces différences ne sont pas vraiment une surprise compte tenu du poids de l’énergie dans les coûts de production dans l’industrie et le bâtiment. Le prolongement de cette hausse de prix pourrait porter un coup sévère à l’industrie française déjà fragilisée ces dernières décennies.

Après avoir connu de fortes perturbations en lien avec la pandémie, les entreprises retrouvent des couleurs en matière d’approvisionnement. Il faut dire que la crise sanitaire et les confinements à répétition avaient provoqué un séisme sur les routes commerciales maritimes, aériennes et ferroviaires partout sur le planète. Selon la dernière enquête de la Banque de France, la proportion d’entreprises dans l’industrie ayant des difficultés d’approvisionnement est passée de 48% à 43% entre septembre et octobre.

Du côté du bâtiment, ce ratio reste stable autour de 40% sur la même période. La tendance observée depuis le pic du printemps montre une vraie inflexion des courbes. En revanche, les problèmes de recrutement, certes en repli, demeurent à des niveaux extrêmement élevés au mois d’octobre à 55% en moyenne pour l’ensemble des secteurs. Dans le bâtiment ou les services, ce pourcentage atteint des sommets (60%). La détente sur le marché du travail tant attendue par les recruteurs se fait attendre.

Vaccin Covid-19 : une quatrième dose aux plus de 80 ans

Vaccin Covid-19 : une  quatrième dose aux plus de 80 ans

Jean Castex a annoncé samedi l’ouverture de la quatrième dose de vaccin «aux plus de 80 ans ayant reçu leur dose de rappel depuis plus de trois mois», face au léger rebond de l’épidémie de Covid-19, dans une interview au Parisien. Le premier ministre a dit aussi recommander «fortement aux personnes fragiles du fait de leur âge ou de leurs pathologies de maintenir le port du masque dans les lieux clos et dans les grands rassemblements.»

Dans ce contexte, le premier ministre a dit vouloir «accompagner les personnes les plus vulnérables». En ce sens, «nous allons ouvrir dès à présent la quatrième dose aux plus de 80 ans ayant reçu leur dose de rappel depuis plus de trois mois, qui sont confrontés à une perte progressive de leur immunité», a-t-il déclaré.

Grippe aviaire en France : la quatrième vague

Grippe aviaire en France : la quatrième vague

 

C’est le quatrième épisode de grippe aviaire de la France qui actuellement compte compte 328 foyers de grippe aviaire dans des élevages (Dont 218 dans les Landes). Près de trois millions de volailles ont été abattues depuis le début de cet épisode.

 

C’est le quatrième épisode de grippe aviaire qui touche la France -et singulièrement le Sud-Ouest- depuis 2015. Le dernier, l’hiver passé, avait entraîné l’abattage de plus de 3,5 millions de volailles, essentiellement des canards.

Ses voisins européens ne sont pas épargnés, en particulier l’Italie où 18 millions de volailles ont été abattues depuis octobre.

Le gouvernement français a décidé le 20 janvier de massifier les abattages préventifs dans une zone couvrant principalement le sud des Landes, mais aussi l’ouest du Gers et le nord des Pyrénées-Atlantiques, afin que le virus ne trouve plus de support sur lequel se multiplier. « Les éleveurs savent que quand le virus se propage, il n’y a pas grand-chose à faire que d’abattre les animaux sains », a commenté une source au ministère de l’Agriculture.

« On n’a pas eu d’opposition sur le terrain », a poursuivi cette source, selon laquelle « on a quasiment fini de dépeupler les canards, il reste encore des gallus [volailles de types poulets, dindes, pintades] à abattre ».

L’influenza aviaire possède un caractère saisonnier. Transportée par des oiseaux migrateurs venant d’Asie, elle commence généralement à se développer en octobre en Europe et se poursuit jusqu’au mois d’avril.

S

Vaccin Covid : bientôt une quatrième dose ?

Vaccin Covid : bientôt une quatrième dose ?

 

 

Une quatrième dose pourrait bientôt se révéler nécessaire en tout cas de manière tout qu’à progressive en commençant par les personnes à risque notamment les plus âgés. La question n’est pas encore tranchée mais il apparaît en tout cas certain que des doses supplémentaires renforcent l’immunité contre les formes graves. «Le COSV (Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, ndlr) doit rendre un avis sur ce sujet et nous avons également saisi la Haute autorité de santé (HAS) sur la question de la quatrième dose», a indiqué le ministère lors d’un point avec des journalistes.

Au-delà de cette quatrième dose se pose cependant la question de doses successives supplémentaires dont on ne sait pas si elles seront annuelles ou même effectuées de manière plus rapprochée.

Covid: la problématique d’une quatrième dose

Covid: la problématique d’une quatrième dose

 

 

D’après plusieurs études notamment israéliennes, sud-africaines et anglaises la protection contre le virus par les vaccins diminuerait sérieusement au bout de quelques mois. Dans ces conditions il pourrait être utile voir indispensable d’envisager une quatrième dose trois mois après la précédente. La question de la quatrième dose est «sur la table », selon Alain Fischer

 

Pour Alain Fischer, professeur d’immunologie pédiatrique et président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, la question de la quatrième dose de rappel «est sur la table». «Le sujet est en réflexion» a-t-il déclaré sur RTL, mercredi 29 décembre.

Tout se fera en fonction des études faites sur l’efficacité du vaccin ainsi que sa durée: «En fonction des données, si la protection contre les formes graves diminue ou est stable à un très bon niveau, en fonction de la classe d’âge, si les personnes sont fragiles ou pas, alors il faudra préconiser, dans un délai que je ne peux pas aujourd’hui préciser, sur la nécessité d’un rappel supplémentaire, soit pour tous soit pour les personnes fragiles».

Vaccination Covid: Bientôt une quatrième dose ?

Vaccination  Covid: Bientôt une quatrième dose ?

 

Le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy a estimé qu’ »il est possible que nous ayons besoin à un moment donné d’une quatrième dose ».

« Pour l’instant, c’est un rappel, mais peut-être qu’il en faudra un quatrième, je ne sais pas. Je ne sais pas combien de temps va durer le rappel. (…) Dans une crise de ce type, il faut qu’on dise tout ce qu’on sait, et qu’on le mette sur la table, pour qu’on partage ce qu’on sait ou ne sait pas. Donc il est possible que nous ayons besoin à un moment donné d’une quatrième dose, pour rappeler, et dans quel délai, je ne le sais pas encore », a déclaré Jean-François Delfraissy.

« Il est possible aussi que le boost donné par la troisième dose soit tellement important qu’il soit durable dans le temps », a ajouté Jean-François Delfraissy.

Vaccin Covid: Bientôt une quatrième dose ?

Vaccin Covid: Bientôt une quatrième dose ?

 

Le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy a estimé qu’ »il est possible que nous ayons besoin à un moment donné d’une quatrième dose ».

« Pour l’instant, c’est un rappel, mais peut-être qu’il en faudra un quatrième, je ne sais pas. Je ne sais pas combien de temps va durer le rappel. (…) Dans une crise de ce type, il faut qu’on dise tout ce qu’on sait, et qu’on le mette sur la table, pour qu’on partage ce qu’on sait ou ne sait pas. Donc il est possible que nous ayons besoin à un moment donné d’une quatrième dose, pour rappeler, et dans quel délai, je ne le sais pas encore », a déclaré Jean-François Delfraissy.

« Il est possible aussi que le boost donné par la troisième dose soit tellement important qu’il soit durable dans le temps », a ajouté Jean-François Delfraissy.

 

123



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol