Archive pour le Tag 'quasi stagnation'

Croissance Japon 2024 : quasi stagnation

Croissance Japon 2024 : quasi stagnation

 

Au Japon, une quasi-stagnation de son Produit intérieur brut (PIB), le le PIB de la quatrième économie mondiale a progressé de 0,1% l’an dernier en termes réels (corrigés de l’inflation), contre une croissance de 1,5% en 2023.

 

«Le principal facteur de croissance a été une hausse considérable» du niveau net du commerce extérieur, avec un modeste gonflement des exportations associé à un plongeon des importations, observe Marcel Thieliant, analyste de Capital Economics. «L’augmentation de la production au cours du dernier trimestre n’a pas été particulièrement généralisée. Alors que la consommation privée a progressé de 0,1% en glissement trimestriel (…) la demande publique est restée stable», ajoute-t-il.

Pour autant, «si le niveau élevé du taux d’épargne (des ménages japonais) laisse une grande marge de manœuvre pour que la consommation continue d’augmenter, il est aussi possible que les consommateurs se serrent la ceinture en réponse à la baisse de leurs revenus réels» face à une inflation toujours très élevée et pas nécessairement compensée par les revalorisations salariales, avertit M. Thieliant.

La hausse des prix à la consommation au Japon (hors produits frais) a accéléré de 3% sur un an en décembre, après avoir déjà grimpé à 2,7% le mois précédent, se maintenant très au-delà de la cible d’environ 2% fixée par la Banque du Japon (BoJ). Ce qui pourrait encourager l’institution à relever de nouveau ses taux.

 

 

Economie : l’activité en quasi stagnation

Economie : l’activité en quasi stagnation

Dès le troisième trimestre, l’ économie française devrait tomber en quasi stagnation. L’Insee a maintenu sa prévision de croissance à 2,6% en 2022. Mais l’inflation et les craintes sur l’approvisionnement en énergie pourraient engendrer un repli d’activité.Le produit intérieur brut (PIB) français devrait donc stagner cet automne

La prévision d’une stagnation du PIB au quatrième trimestre est donc un «scenario intermédiaire» qui inclut «la résilience» de certains indicateurs mais aussi les «craintes associées à d’éventuels arrêts de production» dans l’industrie. L’inflation, contenue en septembre (5,6% sur un an) notamment grâce à la remise à la pompe, devrait diminuer légèrement en octobre puis «repartirait à la hausse» en novembre avec la baisse de la ristourne sur les carburants, pour atteindre 6,4% sur un an en décembre (contre 6,6% prévu précédemment).

Sur l’année, la prévision d’inflation passe de 5,3% à 5,2%, une prévision bien meilleure que pour d’autres pays européens grâce aux «fixations des prix de l’énergie» et aux «politiques publiques mises en place pour limiter les hausses des prix», affirme l’INSEE. La hausse des prix pèse cependant sur le pouvoir d’achat des ménages qui devrait baisser plus que prévu en 2022 (-0,6% selon l’indicateur par unité de consommation, contre -0,5% escompté initialement). Si les mesures de soutien permettent de limiter les prix de l’énergie, c’est l’alimentation qui, depuis septembre, pèse le plus avec une inflation attendue en glissement annuel à près de 12% en fin d’année.

Croissance- Etats-Unis : quasi stagnation au 4 ème trimestre

Etats-Unis : quasi stagnation au 4 ème trimestre

 

0.1% ou quasi stagnation aux Etas Unis au quatrième trimestre ; une surprise alors que tous les économistes pensaient que le PIB repartait nettement à la hausse. L’économie américaine a enregistré une très légère croissance au quatrième trimestre, une performance meilleure que prévu à l’exportation et une baisse des importations ayant amené le gouvernement à revoir à la hausse son estimation initiale, publiée fin janvier, qui annonçait une légère contraction. Selon la deuxième estimation publiée jeudi par le département du Commerce, le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a progressé de 0,1% en rythme annuel entre octobre et décembre 2012, alors que le gouvernement américain avait annoncé une contraction de 0,1% en première estimation. Ce rythme de croissance se situe néanmoins à son plus bas niveau depuis le premier trimestre 2011 et est considéré comme étant nettement insuffisant pour accélérer la baisse du taux de chômage. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à ce que le PIB du quatrième trimestre soit révisé à +0,5%. Toutefois, cette faiblesse de la croissance s’explique en grande partie par un ralentissement de la reconstitution de stocks et par une chute des dépenses militaires. Ces facteurs devraient jouer en sens inverse pour le premier trimestre 2013. Sans compter la composante volatile des stocks des entreprises, le PIB a crû de 1,7%, conformément aux attentes. Les stocks ont coûté 1,55 point de pourcentage à la croissance du PIB, un peu plus qu’annoncé en première estimation, et les dépenses militaires ont plongé de 22%, ce qui a coûté, comme annoncé initialement, 1,28 point à la croissance.

 




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