Archive pour le Tag 'quand'

Démocratie-Quand les « Insoumis » vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

Démocratie-Quand les Insoumis vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

 

De provocation en provocation, il faut s’attendre à tout de la part de certains « Insoumis »; ils sont  prêts à toutes les provocations y compris en faisant planer des menaces physiques sur les juifs. Sur la tendance, et compte tenu de leurs affinités idéologiques ( la plupart sont en réalité des communistes marxistes léninistes), ils pourraient être conduits à brandir au parlement le drapeau russe ou chinois dont les régimes sont proches de leur corpus idéologique. Voir à cet égard comment on se débarrasse des opposants chez les « insoumis ». Sans procès, sans délibération et sans motif.

Ainsi par exemple un député des « Insoumis n’a pas hésité à mettre une pancarte dans le dos des sportifs juifs récemment. Un habitué de la provocation et de l’exhibitionnisme politique.

Un autre qui a fait planer des menaces physiques sur Bellamy lequel a déposé plainte

Il serait temps que les les républicains se réveillent pour dénoncer les attaques permanentes de certains « Insoumis » qui confondent l’Assemblée nationale avec une école maternelle et les institutions démocratiques comme des gadgets dépassés. Leur modèle est celui de la Russie, de Cuba, du Venezuela, de la Chine bref celui de la dictature, de la misère et de l’oppression.

Certains responsables sont indignes de représenter les Français à l’Assemblée nationale et devraient être systématiquement poursuivis en justice pour leurs propos qui incitent à la violence voire au crime chez certains esprits fragiles et endoctrinés.

Quand les Insoumis vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

Quand les Insoumis vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

 

De provocation en provocation, il faut s’attendre à tout de la part de certains « Insoumis »; ils sont  prêts à toutes les provocations y compris en faisant planer des menaces physiques sur les juifs. Sur la tendance, et compte tenu de leurs affinités idéologiques ( la plupart sont en réalité des communistes marxistes léninistes), ils pourraient être conduits à brandir au parlement le drapeau russe ou chinois dont les régimes sont proches de leur corpus idéologique. Voir à cet égard comment on se débarrasse des opposants chez les « insoumis ». Sans procès, sans délibération et sans motif.

Ainsi par exemple un député des « Insoumis n’a pas hésité à mettre une pancarte dans le dos des sportifs juifs récemment. Un habitué de la provocation et de l’exhibitionnisme politique.

Un autre qui a fait planer des menaces physiques sur Bellamy lequel a déposé plainte

Il serait temps que les les républicains se réveillent pour dénoncer les attaques permanentes de certains « Insoumis » qui confondent l’Assemblée nationale avec une école maternelle et les institutions démocratiques comme des gadgets dépassés. Leur modèle est celui de la Russie, de Cuba, du Venezuela, de la Chine bref celui de la dictature, de la misère et de l’oppression.

Certains responsables sont indignes de représenter les Français à l’Assemblée nationale et devraient être systématiquement poursuivis en justice pour leurs propos qui incitent à la violence voire au crime chez certains esprits fragiles et endoctrinés.

Législatives : les «frondeurs» de LFI élus quand même ?

Législatives : les «frondeurs» de LFI  élus quand même ?

En dépit de la quasi excommunication prononcée par le seul Mélenchon trois des quatre députés LFI ont des chances d’être élus aux législatives.

 

À l’issue du premier tour des législatives anticipées, les quatre députés LFI « frondeurs », et « purgés » lors de la distribution des circonscriptions, sont malgré tout parvenus à se qualifier au second tour. Lancés en dissidence, ils se retrouvaient pourtant sur la grille de départ avec à un concurrent LFI « officiel », sous la bannière « Nouveau Front populaire » – même si le reste de la coalition les soutenait. Dans la 15e circonscription de Paris et dans la 7e de la Seine-Saint-Denis, Danielle Simonnet et Alexis Corbière sont même arrivés en tête (41,87 % et 41,33 %), malgré une campagne violente où tous les coups semblaient permis.

 

A quand le retour du service militaire ?

A quand le retour du service militaire ?

 

Le président a parlé à plusieurs reprises de réarmement. Un mot mis à toutes les sauces y compris pour le réarmement civique. Sans doute pas à travers le service national de quelques jours, ni civique, ni militaire et qui ressemble plutôt une colonie de vacances. Pourtant, Plusieurs facteurs militent en faveur de l’urgence d’un service obligatoire à vocation militaire. Il y a d’abord l’environnement conflictuel avec la politique agressive d’expansion de Poutine et sa phobie de l’ancien empire russe. Poutine multiplie les attaques en Europe de l’Est, en Finlande et bien sûr en Ukraine. Il N’a jamais admis l’éclatement de la puissante union soviétique. En outre, ce dictateur a besoin de ranimer en permanence la flamme des nationalistes pour jeter un voile pudique sur la dictature et sur le détournement de fonds par les oligarques et lui-même. Il y a aussi urgence à rétablir l’ordre dans les quartiers où les policiers sont complètement désarmés et désabusés. L’urgence aussi à faire adhérer aux valeurs républicaines en utilisant le service militaire comme outil de brassage sociologique, culturel et comme école d’autorité et de discipline.

Il y a fort à parier que Trump ( s’il est réelu) pourra s’accommoder d’un désengagement des moyens américains au service de l’Europe. Par ailleurs en Europe -et en France compris- l’esprit de Munich prévaut vis-à-vis de la Russie à l’extrême gauche comme à l’extrême droite. Beaucoup seraient prêts à offrir l’Ukraine à la Russie en échange de la paix pour le reste de l’Europe. Un raisonnement hypocrite et à courte vue évidemment. Dans le même temps, la Russie attaque sur tous les fronts dans tous les pays influencés par les occidentaux ( voir à cet égard les échecs successifs de la France au Mali, Burkina Faso , au Niger et ailleurs). Partout la Russie avance ses pions . La Russie qui trouve des alliés de circonstance chez les dirigeants de régime autoritaire encore nombreux dans le monde.

On objectera que la France est sans doute l’un des seuls pays européens avec la Grande-Bretagne toutefois à disposer d’un système de défense complet mais une armée cependant miniature : exemple un seul porte-avions et seulement 160 000 hommes, l’équivalent de ce dont dispose l’Ukraine. Quand la Russie dispose de 10 fois plus de troupes en plus évidemment des technologies. Mais contrairement aux dires de pseudo experts, les troupes au sol ne sont pas incompatibles avec la technologie, elles se complètent et les conflits tant en Ukraine qu’à Gaza démontrent encore l’importance des troupes au sol.

La seconde raison qui justifierait le rétablissement du service militaire est davantage sociétale. Il s’agirait de réhabiliter le grand brassage sociologique que permettait le service obligatoire. En outre, un service qui pourrait être utile pour contribuer à revaloriser le concept de discipline et d’effort.

La plupart des experts militaires et les militaires eux-mêmes s’opposent à la résurgence d’un service militaire au motif que la France n’aurait pas les moyens d’une part et que la défense a technologiquement évolué dans son contenu. Notons cependant que dans toutes les opérations extérieures effectifs et technologies ont été totalement complémentaires. En dernier ressort, ce sont surtout les troupes au sol qui payent le prix de la guerre. En cas de conflit d’ampleur, sans formation on envoie à la boucherie des jeunes et des moins jeunes non formés. Ce qu’on constate par exemple chez les russes mais aussi en Ukraine.

Les États-Unis ne supporteront pas ad vitam aeternam les coûts du parapluie militaire américain. L’Europe devra assurer sa défense. Et de ce point de vue l’objectif d’atteindre 2 % du pour les dépenses militaires est complètement inadapté aux enjeux quand il faudrait 6 ou 7 % et que les Russes consacrent 30 % de leur budget aux dépenses de l’armée.

La dernière raison qui justifie la réhabilitation du service militaire obligatoire c’est la nécessité de diffuser à nouveau dans l’opinion les valeurs attachées à la nation aujourd’hui éclatées pour des raisons sociétales voire religieuses.

Ce n’est pas la dernière minute qu’il conviendra de réajuster sérieusement la politique de défense. La stratégie dans ce domaine comme d’ailleurs dans d’autres demandes lucidité, courage et continuité. Le contraire de ce qu’on a fait en supprimant lâchement le service militaire ou en conviant les jeunes à quelques jours de colonies de vacances dans le cas d’un pseudo service national.

 

Sciences Po « Gaza » : Ou quand les futurs petits-bourgeois font leur crise de gauchisme

Sciences Po  « Gaza » : Ou quand les futurs petits-bourgeois font leur crise de gauchisme

 

Il y a évidemment quelque chose de surréaliste de voir nombre d’élèves de sciences Po se convertir à la religion du gauchisme et du wokisme et même tomber dans l’antisémitisme .

Une posture assez paradoxale car les élèves de la célèbre école iront atterrir dans les postes de cadres supérieurs des entreprises ou  de la politique abandonnant au passage leurs anciennes convictions révolutionnaires. Ainsi hier dans les années 70, on s’était converti au maoïsme. Beaucoup sont devenus ministres ou hauts responsables oubliant leurs convictions d’hier. Aujourd’hui c’est le wokisme, la lutte anti conformiste et tout ce qui symbolise les valeurs occidentales.

Mardi matin, une centaine d’étudiants ont occupé l’amphithéâtre principal de Sciences Po dans le cadre d’une « journée de mobilisation universitaire européenne pour la Palestine ».

Une étudiante de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a alors « été empêchée d’accéder à l’amphithéâtre » où se tenait l’action, et « des propos accusatoires ont été prononcés (à la tribune, NDLR) à l’encontre » de l’association étudiante, a dénoncé Sciences Po sur X. « ‘Ne la laissez pas rentrer, c’est une sioniste’ », tels sont les propos dénoncés par l’UEJF.

Une forme de pente, de dérive, liée à une minorité agissante et dangereuse à Sciences Po », a dénoncé Gabriel Attal devant le Conseil d’administration, précisant qu’un « administrateur provisoire (allait) être nommé très prochainement (…) pour faire respecter toujours partout nos principes républicains ».

Plus tôt dans la journée, Emmanuel Macron avait pour sa part dénoncé des propos « parfaitement intolérables ». Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a pour sa part parlé d’un « incident dérisoire », s’étonnant que l’affaire prenne une telle « ampleur médiatique nationale ».

Records de profits quand le pouvoir d’achat baisse

Records de profits   quand le pouvoir d’achat baisse

 

C’est  le paradoxe, alors que les indicateurs économiques tirent la croissance, la Bourse, elle, vient de dépasser le record de 8000 points.Un record aussi pour les bénéfices autour de 150 milliards en 2023 et plus de 60 milliards distribués comme dividendes.

 

En 2023, les fleurons français du CAC 40 sont parvenus à défier les éléments et à atteindre de nouveaux sommets historiques pour la deuxième année consécutive. Alors qu’ils avaient collectivement pulvérisé leurs profits en 2022, avec un résultat net cumulé de 142 milliards d’euros, ce chiffre a encore progressé l’an passé à 146,8 milliards d’euros (+3%) pour les 38 groupes de l’indice phare de la Bourse de Paris ayant publié leurs résultats . C’est la troisième année consécutive que les profits des multinationales du CAC 40 dépassent les 140 milliards d’euros.

 

 Exprimées en dollar, pour faciliter les comparaisons mondiales, les sommes reversées à leurs actionnaires par les 40 entreprises françaises recensées ont atteint 68,7 milliards en 2023, selon l’étude annuelle du gestionnaire d’actifs Janus Henderson. C’est l’équivalent de 63,2 milliards d’euros.

La France, comme 21 autres pays tels que les Etats-Unis, l’Allemagne, l’Italie ou encore le Danemark, est à un record en termes de dividendes versés. C’est une hausse de 8,70% sur un an, et de 31% par rapport à 2017, où 47 entreprises françaises étaient incluses. La France demeure largement le premier pays au niveau de l’Union européenne, mais reste derrière le Royaume-Uni.

D’une certaine manière, c’est encore la conséquence du processus inflationniste particulièrement anti redistributif. En effet tendis que les profits des grandes sociétés progressent, le pouvoir d’achat des ménages, lui, diminue. Grâces à l’inflation nombre d’entreprises ont pu plus ou moins discrètement ajouté des augmentations de prix à l’inflation générale. Les actionnaires ont été largement récompensés avec une de distribution de 100 milliards en 2023 pour les dividendes.

En quelque sorte la valorisation boursière évolue à l’inverse de l’économie réelle. En cause, des masses monétaires énormes délivrées par les banques centrales et notamment la banque centrale européenne et sans intérêt. Pas même la moitié de ces aides financières n’ont soutenu réellement l’économie. Elles se baladent  maintenant et soutiennent artificiellement les marchés boursiers. 

Corse : Quand la société civile se lève contre la mafia

Corse : Quand la société civile se lève contre la mafia

L’ancien leader nationaliste Leo Battesti décrit dans son livre l’emprise, encore souvent niée, de la violence exercée par un pouvoir mafieux sur le territoire insulaire français et la naissance des mouvements citoyens qui la rejettent.( dans Le Monde)

L’arme la plus efficace contre la mafia n’est pas forcément la justice, la police ou encore les médias, c’est sans doute la société qu’elle a gangrenée. Car son pouvoir tient à la terreur qu’elle inspire au corps social. Si celui-ci se rebelle, elle ne peut plus se cacher et s’expose à la lumière. C’est dans cette optique qu’il faut lire le court ouvrage A Maffia No (Arthaud, 224 pages, 19,90 euros), de Leo Battesti, un ancien chef indépendantiste corse devenu l’un des responsables du collectif Maffia No, A Vita Iè (« Non à la mafia, oui à la vie »).

Longtemps, en Corse, l’idée de l’existence d’une mafia a été rejetée ou niée. Il a fallu attendre l’automne 2019 pour que naissent deux collectifs antimafia, dont celui auquel appartient M. Battesti. Issue de la société civile, cette parole publique est venue valider la réalité d’une violence organisée ayant pris en otage une population et un bout de territoire français. L’Etat, lui, en tant qu’institution, ne prend toujours pas cette emprise mafieuse pour un fait. Si quelques hiérarques magistrats ou policiers assument publiquement l’existence d’une mafia insulaire, d’autres la démentent.

L’auteur décrit la genèse de ce rassemblement de citoyens aux profils très divers qui se lèvent contre un pouvoir mafieux dont la seule légitimité est la violence. Il relate les difficultés de faire vivre en Corse un tel mouvement et répond aux attaques dont il est lui-même l’objet sur ces liens avec certains personnages controversés. Il évoque les dossiers sensibles liés aux marchés publics, au foncier, pour montrer comment la mafia corse fait pression sur l’économie et la démocratie locale.

Mais l’originalité de ce texte ne réside pas tant dans la description de la mafia, qui n’est que survolée, l’auteur reconnaissant qu’il n’est « ni journaliste ni historien » : elle tient surtout au discours qu’il développe sur la place de la violence en Corse. Fort de son expérience de la prison et de militant clandestin rompu aux actions armées, il assure que la dérive mortifère du mouvement nationaliste a favorisé l’émergence d’un système mafieux sur l’île. « L’avènement de la loi des armes, écrit-il, était le prélude au règne de la voyoucratie et la voie était dégagée pour la mafia au sein de la société corse. »

Militant pur et dur, il reconnaît avoir cautionné des éliminations physiques. « Nous étions devenus des tueurs. » 

Bourse, or , bitcoin: record quand le pouvoir d’achat baisse

Bourse, or , bitcoin: record  quand le pouvoir d’achat baisse

 

C’est  le paradoxe, alors que les indicateurs économiques tirent la croissance, la Bourse, elle, vient de dépasser le record de 8000 points.

Les grandes entreprises ont affiché des profits records également.

En 2023, les fleurons français du CAC 40 sont parvenus à défier les éléments et à atteindre de nouveaux sommets historiques pour la deuxième année consécutive. Alors qu’ils avaient collectivement pulvérisé leurs profits en 2022, avec un résultat net cumulé de 142 milliards d’euros, ce chiffre a encore progressé l’an passé à 146,8 milliards d’euros (+3%) pour les 38 groupes de l’indice phare de la Bourse de Paris ayant publié leurs résultats . C’est la troisième année consécutive que les profits des multinationales du CAC 40 dépassent les 140 milliards d’euros.

 

D’une certaine manière, c’est encore la conséquence du processus inflationniste particulièrement anti redistributif. En effet tendis que les profits des grandes sociétés progressent, le pouvoir d’achat des ménages, lui, diminue. Grâces à l’inflation nombre d’entreprises ont pu plus ou moins discrètement ajouté des augmentations de prix à l’inflation générale. Les actionnaires ont été largement récompensés avec une de distribution de 100 milliards en 2023 pour les dividendes.

En quelque sorte la valorisation boursière évolue à l’inverse de l’économie réelle. En cause, des masses monétaires énormes délivrées par les banques centrales et notamment la banque centrale européenne et sans intérêt. Pas même la moitié de ces aides financières n’ont soutenu réellement l’économie. Elles se baladent  maintenant et soutiennent artificiellement les marchés boursiers. 

Nouveaux records en Bourse quand le pouvoir d’achat baisse

Nouveaux records en Bourse   quand le pouvoir d’achat baisse

 

C’est  le paradoxe, alors que les indicateurs économiques tirent la croissance, la Bourse, elle, vient de dépasser le record de 8000 points.

Les grandes entreprises ont affiché des profits records également.

En 2023, les fleurons français du CAC 40 sont parvenus à défier les éléments et à atteindre de nouveaux sommets historiques pour la deuxième année consécutive. Alors qu’ils avaient collectivement pulvérisé leurs profits en 2022, avec un résultat net cumulé de 142 milliards d’euros, ce chiffre a encore progressé l’an passé à 146,8 milliards d’euros (+3%) pour les 38 groupes de l’indice phare de la Bourse de Paris ayant publié leurs résultats . C’est la troisième année consécutive que les profits des multinationales du CAC 40 dépassent les 140 milliards d’euros.

 

D’une certaine manière, c’est encore la conséquence du processus inflationniste particulièrement anti redistributif. En effet tendis que les profits des grandes sociétés progressent, le pouvoir d’achat des ménages, lui, diminue. Grâces à l’inflation nombre d’entreprises ont pu plus ou moins discrètement ajouté des augmentations de prix à l’inflation générale. Les actionnaires ont été largement récompensés avec une de distribution de 100 milliards en 2023 pour les dividendes.

En quelque sorte la valorisation boursière évolue à l’inverse de l’économie réelle. En cause, des masses monétaires énormes délivrées par les banques centrales et notamment la banque centrale européenne et sans intérêt. Pas même la moitié de ces aides financières n’ont soutenu réellement l’économie. Elles se baladent  maintenant et soutiennent artificiellement les marchés boursiers. 

Record en Bourse quand le pouvoir d’achat baisse

Record en  Bourse  quand le pouvoir d’achat baisse

 

C’est  le paradoxe, alors que les indicateurs économiques tirent la croissance, la Bourse, elle, vient de dépasser le record de 8000 points.

D’une certaine manière, c’est encore la conséquence du processus inflationniste particulièrement anti redistributif. En effet tendis que les profits des grandes sociétés progressent, le pouvoir d’achat des ménages, lui, diminue. Grâces à l’inflation nombre d’entreprises ont pu plus ou moins discrètement ajouté des augmentations de prix à l’inflation générale. Les actionnaires ont été largement récompensés avec une de distribution de 100 milliards en 2023 pour les dividendes.

En quelque sorte la valorisation boursière évolue à l’inverse de l’économie réelle. En cause, des masses monétaires énormes délivrées par les banques centrales et notamment la banque centrale européenne et sans intérêt. Pas même la moitié de ces aides financières n’ont soutenu réellement l’économie. Elles se baladent  maintenant et soutiennent artificiellement les marchés boursiers. 

Bourse : hausse record pouvoir d’achat en baisse

La Bourse franchit la barre des 8000 points quand le pouvoir d’achat baisse

 

C’est  le paradoxe, alors que les indicateurs économiques tirent la croissance, la Bourse, elle, vient de dépasser le record de 8000 points.

D’une certaine manière, c’est encore la conséquence du processus inflationniste particulièrement anti redistributif. En effet tendis que les profits des grandes sociétés progressent, le pouvoir d’achat des ménages, lui, diminue. Grâces à l’inflation nombre d’entreprises ont pu plus ou moins discrètement ajouté des augmentations de prix à l’inflation générale. Les actionnaires ont été largement récompensés avec une de distribution de 100 milliards en 2023 pour les dividendes.

En quelque sorte la valorisation boursière évolue à l’inverse de l’économie réelle. En cause, des masses monétaires énormes délivrées par les banques centrales et notamment la banque centrale européenne est sans intérêt. Pas même la moitié de ces aides financières n’ont soutenu réellement l’économie. Elles se baladent  maintenant et soutienneny artificiellement les marchés boursiers. 

À quand une fiscalité sur la transition énergétique

À quand une fiscalité sur la transition énergétique

Il ne faut pas rêver; pour l’instant, tout le monde chante l(hymne à la transition énergétique en espérant notamment la fin des énergies fossiles. Reste que cette transition va priver l’Etat de nombre de recettes fiscales notamment sur le carburant et qu’il faudra bien s’attendre à un moment ou un autre à une fiscalité spécifique sur l’électricité.

la Direction générale du Trésor estime que la transition énergétique fera perdre 13 milliards d’euros aux recettes de l’Etat d’ici à 2030, car la sortie des énergies fossiles implique une baisse des taxes sur les carburants.Et 30 milliards d’ici 2050§

La sortie des énergies fossiles implique une baisse des taxes sur les carburants : à fiscalité inchangée, elles pourraient s’éroder « de 13 milliards d’euros à horizon 2030 et 30 milliards d’euros à horizon 2050 », estime le Trésor dans ce rapport intermédiaire de l’étude sur « les enjeux économiques de la transition vers la neutralité carbone » qu’il publiera en 2024.

Ces chiffres s’inscrivent dans le scénario d’un réchauffement mondial limité à 1,5°, pour lequel la France et l’Union européenne ont pris des engagements de réduction de leurs émissions nettes de gaz à effet de serre de 55 % en 2030 par rapport à 1990, et de neutralité carbone en 2050.

Le rapport observe que les pays scandinaves, dont l’électrification du parc automobile a commencé plus tôt, font déjà face à ce phénomène d’érosion des recettes, et que « plusieurs pays européens réagissent en mobilisant davantage d’autres sources de recettes au sein du secteur routier » comme les péages urbains ou la réduction des subventions aux véhicules électriques à mesure que leur prix d’achat baisse.
s électriques et aux efforts de sobriété.

Fibre optique : un droit au raccordement, quand ?

Fibre optique : un droit au raccordement, quand ?

Il n’y a pas encore formellement de droit au raccordement à la fibre optique puisque certaines zones très éloignées pourraient avoir à se satisfaire du satellite ou de la 5g. Les opérateurs rechignent à se déployer très massivement dans les zones plus désertiques. Cependant les pouvoirs publics ont obtenu d’Orange l’engagement pour le raccordement d’un, 5 millions de nouveaux foyers par Orange. Surtout dans les villes secondaires.

Ce lundi soir, dans le Figaro, Jean-Noël Barrot, le ministre délégué en charge du Numérique, explique qu’Orange a pris de nouveaux engagements. L’opérateur historique va raccorder 1,5 million de nouveaux foyers dans le pays.

Dans le détail, d’ici à 2025, Orange va apporter la fibre à 1,2 million de foyers supplémentaires dans les villes moyennes et les périphéries des grandes agglomérations et 300.000 de plus dans les grands centres urbains. Cette date n’a pas été choisie au hasard : Emmanuel Macron avait promis que tous les Français disposeraient de la fibre optique à cet horizon.

Cependant à cet horizon, on sera encore loin du droit au raccordement à la fibre pour tous et comme pour le téléphone il y aura des zones blanches et où des zones mal raccordées. Une sorte de paradoxe de la mobilité de l’information car plus les zones sont éloignées et plus paradoxalement elles sont mal desservies. Or la fonction des télécoms est précisément de contracter l’espace par la gestion des communications.

Orange ne couvrira donc, à terme, selon Le Figaro, « que » 98,5% des foyers des zones moyennement denses dont il a la charge – et dont il s’était pourtant, des années plus tôt, engagé à atteindre les 100% en 2022. A ce jour, l’opérateur couvre 88% de cette zone. En outre, sa couverture des grands centres urbains va grimper de 92% à 96%. Cela signifie, en clair, que tous les foyers – et en premier lieu les plus difficiles à raccorder – n’auront vraisemblablement pas la fibre. Ils devront, en conséquence, se rabattre sur des technologies alternatives, comme le satellite et la 5G à usage fixe.

Bref, cela risque fort de faire jaser les collectivités. Beaucoup estimeront sans doute qu’avec cet accord, présenté comme une victoire par l’exécutif, le compte n’y est pas. Les débats s’annoncent déjà électriques ce mardi, où se déroule à partir du début d’après-midi, à Paris, un colloque de l’Avicca, qui rassemble les collectivités engagées dans le numérique.

A noter que ce deal entre Orange et le gouvernement va introduire un système de raccordement à la fibre sur demande, et dans les six mois, des abonnés qui le souhaitent, comme l’avait détaillé La Tribune en septembre dernier.

En contrepartie de ses engagements, Orange s’évite une sanction – et possiblement une grosse amende – pour n’avoir pas couvert en fibre l’intégralité des villes moyennes dans les temps. Le gouvernement, pour sa part, espère redonner un coup de fouet au déploiement de cette technologie, qui a beaucoup ralenti ces derniers mois. L’objectif est que les autres opérateurs – SFR, Bouygues Telecom et Free – se mettent dans la roue de l’opérateur historique sur les nouveaux raccordements. S’ils ne le font pas, ils risquent, sur le papier du moins, de perdre des parts de marché.

Émeutes : à quand le rétablissement du service militaire

Émeutes : à quand le rétablissement du service militaire

Les bobos et autres technocrates ne cessent de tourner autour du pot à propos des émeutes et autres violences. Le bilan est chaque année catastrophique et la société tout entière porte une responsabilité. Les familles en premier, surtout les familles éclatées où la mère notamment est condamnée à passer une grande partie de son temps au travail et à la gestion des tâches domestiques. L’école bien sûr qui n’assume plus sa mission depuis longtemps du fait du laxisme irresponsable des pédagogistes qui ont négligé à la fois la discipline et même le contenu des savoirs fondamentaux. Enfin les politiques qui ont lâchement adhéré à la suppression du service militaire qui permettait un brassage de population et un rappel des valeurs de la république et de la discipline.

En mal d’analyse et de propositions, la première ministre annonce piteusement qu’elle n’est plus opposée à un encadrement militaire des délinquants dans certains cas. Autant dire de façon marginale alors que le problème de la délinquance avec une grande partie de la jeunesse de quartiers défavorisés via l’économie de la drogue.

Il serait grand temps que le système politique arrête sa politique des petits pas en avant mais parfois en arrière et prennent conscience de l’enjeu actuel de l’insécurité et de la délinquance d’une partie de la jeunesse.

De ce point de vue, le rétablissement du service militaire est urgent. Ce n’est pas un ersatz de service national d’une quinzaine de jours qui peut le remplacer.

En outre, il y a aussi un besoin de revoir la stratégie de défense d’un pays comme la France qui ne dispose que d’une micro armée certes complète mais complètement sous dimensionnée. Il ne faudrait pas attendre un conflit pour solliciter le recrutement de jeunes non formés qu’on enverrait alors à la boucherie.

La Première ministre a donc annoncé l’encadrement de mineurs condamnés par la justice par des militaires « dans certains cas ». Emmanuel Macron avait déjà évoqué cette possibilité lors du débat de l’entre-deux-tours en 2022.

Elle a notamment évoqué « un encadrement de jeunes délinquants par des militaires dans certains cas pour « transmettre des valeurs de dépassement de soi », sans plus de détails.

La cheffe du gouverment a également évoqué sa volonté de « proposer au Palement de placer des jeunes délinquants dans des unités éducatives de la protection judiciaire de la jeunesse ».

Plus d’un an avec les émeutes liées à la mort du jeune Nahel tué d’un tir de policier, Gérald Darmanin avait évoqué à Mayotte sa volonté d’avoir recours à l’armée pour « rééduquer » certains jeunes.

« Il faut permettre d’avoir de la rétention dans un environnement militaire », avait avancé Emmanuel Macron lors du débat de l’entre-deux-tours de 2022 avec Marine Le Pen.
Un centre militaire en 2024 à Mayotte

Un centre de ce type est dans les cartons à Mayotte Le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a annoncé une mise en service « prévue pour la fin de l’année 2024″.

L’idée d’un encadrement militaire des mineurs délinquants n’est pas une idée nouvelle. Elle avait déjà été évoquée par Ségolène Royal en 2007, déclenchant à l’époque une vive polémique.

Marchés financiers : le plongeon des bourses jusqu’à quand

Marchés financiers : le plongeon des bourses jusqu’à quand

Le CAC 40 plonge et est tombé autour des 7.000 points ( 6997 hier à la clôture)


Les marchés Financiers sont tendanciellement orientés vers la baisse. Mécaniquement les capitaux se réorientent vers les marchés obligataires avec la hausse des taux. Une tendance qui va durer tant que les taux se maintiendront à des niveaux records. Au moins une bonne partie de l’année 2024 car les banques centrales n’envisagent pas de relâcher leur politique restrictive avant. Le problème c’est que ce relèvement des taux pourrait parallèlement tuer la croissanceSur la tendance à Paris et au plan mondial, le « malade économie » pourrait mourir mais guéri de l’inflation. En effet avec une hausse historique des taux, les banques centrales assomment la croissance qui pourrait plonger elle aussi en 2024. Non seulement le pouvoir d’achat des ménages est fortement impacté mais aussi les investissements devenus trop chers à amortir. Il faut évidemment lutter contre l’inflation mais pas au point d’affecter l’activité économique et c’est tout ce savant dosage qui est en cause.

Avec des taux obligataires de très haut niveau les capitaux vont s’orienter vers les placements prudents et déserter la bourse. Une bourse qui pourra aussi être affectée justement par la baisse de croissance et donc de profit. Bref comme les taux vont se maintenir à ce niveau pendant toute l’année 2024, la bourse risque d’être malade pendant au moins la nouvelle année. Le CAC 40 est passé ce mardi sous la barre des 7.000, à 6.997,05 points (-1,01 %). A l’ouverture de la journée, l’indice phare de la Bourse de Paris avait démarré à 7 031,59 points.

Marché plombé par la hausse des taux obligataires
En cause, un marché plombé depuis une dizaine de jours par la montée des taux d’intérêt sur le marché obligataire, qui atteignent des plus hauts depuis 2007 pour les échéances à deux, dix et trente ans. Lors de sa dernière réunion de septembre, la Réserve fédérale américaine s’est, en effet, montrée plus ferme que ce qu’anticipaient les investisseurs. Elle a laissé présager que ses taux directeurs resteraient à des niveaux élevés en 2024, tandis que les marchés les voyaient descendre dans un avenir proche.

De même, la Banque centrale européenne (BCE) a relevé ses taux pour la dixième fois consécutive le 14 septembre dernier pour continuer à baisser les prix. Poursuivant son resserrement monétaire, l’institution a augmenté son taux de référence de 25 points de base. Désormais à 4%, il se situe au plus haut niveau de son histoire. Le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal se situent, eux, à 4,50% et 4,75%.

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Au total, ce dernier relèvement porte à 450 points de base la hausse des taux dans la zone euro depuis plus d’un an. De quoi peser sur l’activité économique. D’autant plus qu’en juin dernier, la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique) se trouvait techniquement en récession avec le recul du produit intérieur brut (PIB) sur deux trimestres consécutifs, de -0,1% d’octobre à décembre et à nouveau de -0,1% entre janvier et mars, d’après les données d’Eurostat, révisées et publiées ce jeudi 8 juin.

Même tendance observée chez d’autres places boursières ces derniers mois
Depuis le 20 septembre, le CAC 40 a perdu plus de 4,5%, tandis que dans le même temps le taux d’intérêt de la dette de l’Etat français à dix ans est passé de 3,23% à 3,48% et a signé un nouveau plus haut depuis novembre 2011. Le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans ne cesse de grimper également et évolue au plus haut depuis près de 16 ans, à 4,74%.

Les investisseurs craignent que les taux élevés pèsent sur l’activité économique.

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