Archive pour le Tag 'qualifié'

Islam : le pouvoir français qualifié de nazi par une ministre pakistanaise sur la France

Islam : le pouvoir français qualifié de nazi par une  ministre pakistanaise sur la France

 

Une nouvelle fois une ministre du Pakistan fait dans l’outrance la plus inacceptable en comparant la France au régime des nazis concernant la situation des musulmans.

 

Le Pakistan utilise la même technique qu’Erdogan en Turquie, il externalisé ses difficultés notamment économiques pour tenter de refaire une unité nationale.

 

Le Pakistan fait en effet actuellement face à une situation économique difficile qui se caractérise par d’importants déficits public (6,4 % en 2017/18 et 6,8% en 2018/19) et de la balance courante (6,3 % du PIB en 2017/18 et 4,6 % en 2018/19). La forte croissance enregistrée aux cours des cinq dernières années s’est ainsi accompagnée d’une hausse considérable de la dette publique (75 % du PIB), d’une baisse des réserves de change (représentant 1,5 mois d’importations) et d’un arrêt des réformes structurelles (fiscalité, environnement des affaires, gestion des entreprises publiques, compétitivité et hypertrophie du secteur informel). La croissance devrait se replier à 2,4 % en 2019/20 selon le FMI et être accompagnée d’une accélération de l’inflation (autour de 13 % après 7,3% en 2018/19 et 3,9% en 2017/18).

 

Sur le réseau social Twitter, la ministre Shireen Mazari, a tiré à boulets rouges sur le chef de l’Etat en déclarant que « Macron fait aux musulmans ce que les nazis infligeaient aux Juifs », en prétendant que  »les enfants musulmans devront avoir un numéro d’identification, comme les Juifs étaient forcés à porter l’étoile jaune sur leurs vêtements pour être identifiés ».

 

Une information formellement démentie par le gouvernement français.

« Un membre du gouvernement pakistanais s’est exprimé aujourd’hui sur les réseaux sociaux dans des termes profondément choquants et injurieux à l’égard du président de la République et de notre pays », s’indigne la diplomatie française.

 

Paris condamne ainsi ces propos qu’elle qualifie de « mensonges éhontés, empreints d’une idéologie de haine et de violence ».

Le Pakistan est le théâtre depuis le mois de septembre de manifestations anti-françaises, souvent houleuses, après la republication des caricatures du prophète Mahomet par l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo.

 

Ce sentiment anti-français est aussi alimenté par le Premier ministre pakistanais, Imran Khan. Ce dernier avait accusé fin octobre Emmanuel Macron d« attaquer l’islam ». Dans la foulée, l’ambassadeur de France au Pakistan avait été convoqué pour dénoncer la « campagne islamophobe systématique sous couvert de la liberté d’expression » du président français.

 

Sarko le baptiste qualifie ses amis

Sarko le baptiste qualifie ses amis

 

Sarko rebaptise des amis politiques avec une certaine pertinence et un sens certain de la formule. Certes on peut mettre en doute certaines sources comme celles de Buisson mais les définitions sont confirmées par d’autres propos tenus par ailleurs. Chirac «corrompu», Fillon «pauvre type», Xavier Bertrand «méchant», Estrosi «abruti», DSK «dégoûtant personnage» qu’il a «de quoi faire exploser en plein vol»… Florilège des petites phrases et autres confessions de Nicolas Sarkozy, selon son ancien conseiller Patrick Buisson, dans un livre, «La Cause du peuple», à paraître jeudi.

- sur Jacques Chirac: «Il aura été le plus détestable de tous les présidents de la Ve. Franchement, je n’ai jamais vu un type aussi corrompu (…) J’ai rarement rencontré quelqu’un d’aussi méchant et avide.»

- sur François Fillon, après l’inauguration en 2010 par son Premier ministre d’une mosquée: «Pauvre type, minable… Tant qu’il y est, il n’a qu’à venir mercredi au Conseil des ministres en babouches et avec un tapis de prière!»

- sur Dominique Strauss-Kahn: «Ce type est un dégoûtant personnage. Il n’aime pas les femmes, mais le sexe. Faites-moi confiance. J’ai de quoi le faire exploser en plein vol.» Et Buisson, pour qui Sarkozy a «la mine des mauvais jours» quand éclate l’affaire du Sofitel en mai 2011, d’ajouter: «Selon les jours, il évoquait une mystérieuse affaire à Marrakech ou une triviale histoire de +parties fines+ à Lille, s’excusant à chaque fois de ne pas pouvoir nous en dire davantage.»

- sur François Baroin en 2010, et dont il dit aujourd’hui qu’il fera son Premier ministre en cas de victoire en 2017: «Je l’ai acheté à la baisse. Trop cher, je te le concède, pour un second rôle.»

- sur le choix de son gouvernement, en juin 2007: «Je sais bien que je suis le Tom Cruise du pauvre, mais enfin Gérard Larcher ministre, ce n’est pas possible: il est trop laid! Tandis qu’avec Rachida (Dati) et Rama (Yade), on va leur en mettre plein la vue.»

- sur lui-même, en mars 2007: «Ils s’en moquent, les Français, que je sois sympathique! Ils veulent que je fasse le job. Est-ce qu’on demande à Rocco Siffredi (acteur pornographique, ndlr) d’avoir des sentiments?»

- sur Carla Bruni: «Crois-tu que notre histoire à Carla et à moi aura un impact favorable sur le moral des Français?» Et M. Buisson raconte une scène où «il s’extasie sur le décolleté de son épouse et invite ses conseillers à faire de même».

- sur Xavier Bertrand: «C’est un méchant. Dix ans à essayer de placer des assurances en Picardie, dix ans à taper aux portes et à se prendre des râteaux, ça a de quoi vous rendre méchant pour le restant de vos jours. C’est d’ailleurs pour ça que je l’avais choisi.»

- sur Christian Estrosi: «Cet abruti (…) qui a une noisette dans la tête.»

- sur Angela Merkel, à qui il disait en plaisantant «Je suis la tête, vous êtes les jambes», Patrick Buisson assure que la chancelière allemande lui répondait: «Nein, je suis la banque.»

(AFP)

Attentat de Valence : pourquoi le « suspect » n’est-il pas qualifié de terroriste ?

Attentat de Valence : pourquoi le « suspect » n’est-il pas qualifié de terroriste ?

 

Peu de grands médias ce sont étonnés des tergiversations du parquet de Valence pour qualifier le suspect de terroristes. Il semble bien que le pouvoir politique ait  d’une certaine manière intérêt à minimiser cet acte criminel Le conducteur, qui a foncé vendredi sur des militaires devant la mosquée de Valence, a été mis en examen dimanche seulement pour tentative d’homicides sur personnes dépositaires de l’autorité publique, a-t-on appris auprès du procureur de Valence. Pour le procureur il s’agirait d’un acte individuel non prémédité qui n’aurait aucun lien avec l’État islamique. Dans le même temps on reconnaît que coupable ne manifeste pas de troubles psychiatriques. Il semblerait que le gouvernement souhaite minimiser et même nier la dimension terroriste de cet événement pour ne pas porter atteinte à la crédibilité à la politique de lutte contre les attentats des criminels au service de l’État islamique. Pourtant on a trouvé dans l’ordinateur de l’intéressé des éléments indiscutables concernant la propagande de l’État islamique. On comprend que le gouvernement éprouve une gêne à reconnaître l’évidence alors que plus de 100 000 policiers surveillaient les espaces publics et à la veille du débat sur la loi devant donner une légitimité à l’état d’urgence. Ce déni de qualification de crimes terroristes constitue sans doute une tentative pour masquer les difficultés (aussi la complexité) à lutter contre le risque terroriste. De ce point de vue l’argumentation du parquet de Valence apparaît surréaliste :




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