Archive pour le Tag 'Pulvar'

Audrey Pulvar : « les voix destructrices de la droite»

Audrey Pulvar : « les voix destructrices de la droite»

La candidate aux élections régionales en Ile-de-France répond aux commentaires indignés qui, à droite, à l’extrême droite et jusque dans la majorité présidentielle, ont suivi ses propos sur les réunions « non mixtes ». ( le problème c(est que le débat ne concerne pas seulement la droite NDLR)

Tribune. 95 000. C’est le nombre de personnes qui, en cette fin mars, ont perdu la vie, en un an, dans notre pays, victimes du Covid-19. Un terrifiant bilan, hélas provisoire, auquel s’ajoutent le basculement de 1 million de personnes déjà précaires dans la grande pauvreté, les tourments d’une jeunesse sacrifiée, l’angoisse permanente pour des dizaines de milliers de chefs d’entreprises, de petits commerçants et artisans, le casse-tête quotidien de parents, sans recours devant des écoles fermées pour cause de nouveaux cas détectés.

Tandis que monte la troisième vague, soignants, enseignants, personnels qui accueillent des enfants, accompagnants de personnes en grande vulnérabilité, convalescents Covid long se remettant mal ne cessent de nous alerter sur la gravité de la situation et leur propre état d’épuisement physique et mental…


Pourtant, un sujet, un seul, occuperait les esprits depuis 72 heures, si l’on en croit réseaux sociaux, chaînes d’info et comptes propagateurs de haine : les propos que j’aurais tenus, intimant « aux Blancs » le silence, quand il s’agit de parler de racisme. Bigre ! Celles et ceux qui ont pris la peine de m’écouter savent, à condition d’honnêteté, qu’il n’en est rien.

Mais, par un spectaculaire retournement, là où je refusais le principe de réunions totalement fermées – j’ai dit mon opposition aux réunions « interdites à » –, là où j’invitais simplement à écouter, sans l’interrompre, la parole de victimes, qui doivent pouvoir être les premières à s’exprimer, la droite et l’extrême droite, complaisamment relayées, ont fait croire et répété à l’envi que je voulais empêcher la parole.

Jamais je n’ai dit vouloir réduire au silence une partie de la population, pour quelque motif que ce soit, et encore moins pour sa couleur de peau. Jamais je n’ai prononcé ni conçu les mots « les Blancs doivent se taire », phrase pourtant répétée à l’infini par des éditorialistes pressés d’en découdre et des zélotes de la pensée étroite. Une telle phrase ne m’aurait même pas effleuré l’esprit, tant elle est contraire à tout ce que je suis, à tout ce que je porte et tout ce pour quoi je me bats.

Réunions non mixtes : Audrey Pulvar patauge

Réunions non mixtes : Audrey Pulvar patauge

 

En fait, Audrey Pulvar confirme sans confirmer et va créer finalement encore davantage de confusion avec le flou de ses explications contradictoires.

 

«Jamais je n’ai dit vouloir réduire au silence une partie de la population, pour quelque motif que ce soit, et encore moins pour sa couleur de peau», écrit Audrey Pulvar. Critiquée par une partie de la classe politique pour ses propos, elle regrette que ces derniers aient été déformés. «Par un spectaculaire retournement, là où je refusais le principe de réunions totalement fermées (…), la droite et l’extrême droite, complaisamment relayées, ont fait croire et répété à l’envi, que je voulais empêcher la parole.»

 

La candidate aux élections régionales d’Île-de-France a déclaré cependant que l’on peut demander «à une femme blanche» ou «à un homme blanc» de «se taire». Dans une tribune publiée dans Le Monde, l’élue soutenue par Anne Hidalgo dénonce une polémique créée par «les voix opportunistes et destructrices de la droite et de l’extrême droite

On constate que la gauche a des difficultés à reconnaître ses erreurs. De toute évidence l’expression d’Audrey Pulvar été pour le moins maladroite. Elle aurait dû le reconnaître au lieu de patauger dans des explications vaseuses.

Racialisme: Pulvar dérape encore

 

Racialisme: Pulvar dérape encore

Encore un dérapage d’Audrey Pulvar de plus en plus gauche bobo (elle est chargée de l’agriculture auprès d’Anne Hidalgo !) qui approuve la ligne racialiste qui exclut les blancs supposés tous coupables de discriminations genrées. Faute de programme, une partie de la gauche substitue la problématique raciale à la problématique plus générale du programme politique. Ou un repli sectaire en forme déjà d’acceptation de la marginalisation de la gauche minoritaire dans le pays se repliant sur l’extrémisme et les bobos;. .Selon l’écrivain et philosophe, les propos d’Audrey Pulvar sur les réunions «non-mixtes» entretiennent «un climat d’affrontement».Pascal BRUCKNER philosophe dénonce ce repli sectaire. dans LE FIGARO.

- Sur BFM-TV, Audrey Pulvar a jugé qu’on peut demander aux Blancs «de se taire» lors d’une réunion non-mixte. Selon vous, certaines discriminations se justifient-elles au nom de l’antiracisme?

Pascal BRUCKNER. - En tenant ces propos, Audrey Pulvar franchit la ligne rouge. Elle rejoint le camp des «fous de la race» et devient le symptôme d’un phénomène plus large, au terme duquel pourrait apparaître la justification de l’apartheid au nom de l’antiracisme. Au XXe siècle, les organisations antiracistes prônaient un idéal universaliste et combattaient toute forme de ségrégation, désormais de nouvelles associations ethniques ont pour principe de base de dénoncer les coupables: les hommes blancs et les femmes blanches. Dans cette optique, naître blanc, c’est naître avec un casier judiciaire plein et naître non-blanc c’est naître avec un passeport de victime éternelle. Dans

 

Rachida Dati à Montebourg « casse-toi, pauvre con » ; toujours la grande classe (vestimentaire) !

Rachida Dati à Montebourg  « casse-toi, pauvre con » ;   toujours la grande classe (vestimentaire) !

 

Interrogée sur « Canal » à propos de la séparation Pulvar-Montebourg », réaction de Rachida Dati «  Casse-toi pauvre con ». Une experte sans doute puisqu’elle même a du solliciter la justice pour connaitre le père de son enfant ; Elle connaît la question. Elle reprochait récemment à Fillon de n’être pas vraiment un homme d’Etat ; ses propos de caniveau lui donnent sans doute cette légitimité qu’elle refuse à celui qui fut son Premier ministre alors qu’elle sévissait à la justice sans autre compétence que celle de diplômes contestés. Avec ce type de personnage la politique est vraiment tombée dans le caniveau et le vernis de l’élégance vestimentaire ne saurait dissimuler la vulgarité intérieure. Humour sans doute  de Rachida Dati ? En tout cas en cohérence avec le reste.




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